Le 05 juillet 2024 à 05:36:38 :
Le 05 juillet 2024 à 05:35:40 :
Le 05 juillet 2024 à 04:17:05 :
HihihiQuel est le montant actuel du RSA? Si c'est proche des 800€ je vais peut être arrêté de travailler, ça suffit pour couvrir mes charges.
Si 800e te suffit à couvrir tes charges tu auras déjà 1ans de chômage a +1000e avant d'avoir le RSA 700e
Oui mais je suis en CDI, je ne peux pas démissionner. Ou alors enchainer avec un intérim de 1 jour pour débloquer mes droits peut etre... Je vais voir
Le 05 juillet 2024 à 04:17:05 :
Hihihi
Quel est le montant actuel du RSA? Si c'est proche des 800€ je vais peut être arrêter de travailler, ça suffit pour couvrir une grosse partie de mes charges.
Le 05 juillet 2024 à 05:27:37 :
Les animaux fantastiques = bide
Ses contes = bide
Tous ses romans sous le nom de Robert Galbraith = bideChaud, elle a juste percé grâce à Harry Potter
Sinon sa carrière d'écrivaine est une catastrophe, dès qu'elle écrit quelque chose = c'est un bide alors que c'est l'auteur la plus lue au monde grâce à HP
The Casual Vacancy était très bien.
Le 05 juillet 2024 à 05:23:05 :
https://x.com/ReaActuelle/status/1802479612548510027
Strictement aucun lien avec l'immigration...
En France, les passagers d’un vol Paris-Bamako ont réussi à empêcher l’expulsion d’un homme, ce vendredi 28 juin dans l’après-midi. Moussa, 25 ans, a vécu la majeure partie de sa vie en France mais est sous le coup d’une obligation de quitter le territoire (OQTF). Sur les réseaux sociaux, le hashtag libérez Moussa appelait les voyageurs programmés sur le même vol que Moussa à exiger son débarquement. Et la mobilisation a porté ses fruits : le jeune homme échappe momentanément à cette expulsion mais pour combien de temps ?
La mobilisation des passagers du vol Paris-Bamako n’aura pas suffi. Moussa Sacko a finalement été expulsé vers le Mali mardi 2 juillet dans l’après-midi.
C’est une petite musique discrète et lancinante, qui s’est insinuée, sans qu’on n’y prenne garde, dans les campagnes bretonnes, de la Creuse, dans les petites communes du Puy-de-Dôme ou du Loir-et-Cher. « On n’en voyait pas avant vous savez ? » souffle une habitante de Lorient, ville paisible du Morbihan «On n’en voyait pas avant, vous savez », entend-on aussi à Guéret, dans la Creuse, où le RN a bondi de plus de 10 points en cinq ans, à 28 %. Les premiers migrants y sont arrivés en novembre 2016, après le démantèlement de la «jungle » de Calais. Depuis, cinq centres d’accueil pour demandeurs d’asile ont ouvert, totalisant 260 places dans une ville de 13 500 habitants.
Lorsqu’une vague migratoire sans précédent arrive sur l’Europe en 2015, portée par la guerre en Syrie, le dispositif national d’accueil (DNA) chargé de les accueillir compte, en France, 55 000 places. Il y en a aujourd’hui 113 000, réparties depuis 2021 sur l’ensemble du territoire. Le nombre de demandeurs d’asile ayant battu un nouveau record en 2023, avec plus de 142 000 premières demandes déposées.
Depuis deux ans pourtant, le mouvement de répartition s’est accéléré, note une source au ministère de l’Intérieur. « Nous faisons partir en moyenne 2 000 personnes par mois de Paris vers les régions. On a ventilé comme ça plus de 20 000 personnes par an. » Le Point s’est procuré la liste des 1 144 centres (Cada, Caes, Huda, etc.) créés pour les recevoir, qui révèle un net basculement de la politique d’accueil : aujourd’hui, plus de 20 % des demandeurs d’asile sont hébergés dans des départements ruraux de moins de 500 000 habitants, dans des communes ne comptant parfois que quelques centaines d’âmes.
Les crédits de l’hébergement d’urgence ont été multipliés par 4,4 en douze ans (ils dépassent 1,3 milliard d’euros en 2024), mais ne suffisent pas à absorber la demande, qui explose. la gestion de l’État concentre les critiques. Les élus sont rarement consultés avant l’ouverture d’un centre - encore moins informés de ce qu’il s’y passe, ou des publics reçus.
Il était en train de revenir du match de football de l’équipe de France dans la soirée du lundi 1er juillet. Alors qu’il traversait la rue Royale, un policier du commissariat de Calais, qui n’était pas en service, a été agressé par cinq individus. Marc Alegre, délégué permanent de Calais pour le syndicat Unité SGP Police, raconte : « Il était 21 h 45, il marchait à proximité du casino quand un premier véhicule, avec à son bord quatre personnes, s’est arrêté à sa hauteur. Ils l’ont reconnu et se sont jetés sur lui. Un second véhicule est arrivé, s’est arrêté, et une dizaine de personnes s’en sont mêlées, mais seulement cinq l’ont frappé. Il s’est roulé en boule et a été roué de coups. Il a eu de la chance. »
Un sentiment d'insécurité...
"l’individu qui a commis cet acte totalement gratuit a aussitôt pris la fuite."
Après Jack L'Éventreur... L'égorgeur de Montpellier...