Blessée grièvement à la gorge, la jeune victime, étant dans le milieu médical, s’est faite elle-même un point de compression et a donné les indications à deux de ses voisines venues lui porter secours après l’avoir entendu crier. Ce qui a permis de la sauver.
Présentant une importante plaie saignante au cou d’une longueur de 15 cm, la jeune femme a ensuite été prise en charge par les sapeurs-pompiers de l’Hérault. Elle a été transportée, avec un pronostic vital engagé, au centre hospitalier Lapeyronie et admise en soins intensifs au sein du département anesthésie réanimation (Dar A). Selon nos informations, elle ne serait plus en danger à l’heure actuelle.
« Les habitants sont un brin agacés. Ils ne comprennent pas pourquoi les autorités n’ont recours à des interpellations que lorsqu’une femme politique est agressée, alors qu’eux subissent cette bande tous les jours » indique une source locale
Sur les faits, les militants agressés, dont la ministre Prisca Thevenot, raconte que lors du collage, un homme se serait approché et aurait arraché une affiche avant de s’adresser à plusieurs jeunes filles du quartier : « sur le Coran appelle tout le monde ». Celles-ci se sont alors rendues dans un commerce à proximité pour avertir une bande qui pourrie la vie du quartier, et dont les membres seraient âgés de 14 à 20 ans environ, selon une source locale. Une vingtaine de ces « racailles », selon cette source locale, sont alors arrivés. Certains militants qui tractaient ont été frappés à coup de trottinette, notamment au niveau de la mâchoire. Ils ont également reçu des coups de poings.
« Les habitants sont un brin agacés. Ils ne comprennent pas pourquoi les autorités n’ont recours à des interpellations que lorsqu’une femme politique est agressée, alors qu’eux subissent cette bande tous les jours » indique une source locale
Sur les faits, les militants agressés, dont la ministre Prisca Thevenot, raconte que lors du collage, un homme se serait approché et aurait arraché une affiche avant de s’adresser à plusieurs jeunes filles du quartier : « sur le Coran appelle tout le monde ». Celles-ci se sont alors rendues dans un commerce à proximité pour avertir une bande qui pourrie la vie du quartier, et dont les membres seraient âgés de 14 à 20 ans environ, selon une source locale. Une vingtaine de ces « racailles », selon cette source locale, sont alors arrivés. Certains militants qui tractaient ont été frappés à coup de trottinette, notamment au niveau de la mâchoire. Ils ont également reçu des coups de poings.
Les quatre individus interpellés et placés en garde à vue après l’agression de Prisca Thévenot et son équipe à Meudon dans les Hauts de Seine sont :
1) Jugurtha B., 20 ans, né à Meudon (92), Français, "type nord africain", préparateur de commandes intérimaire, habite à Meudon (92), "très défavorablement connu des services", indique une source policière.
2) Un mineur de 17 ans, né à Sèvres (92), Français, "type nord africain", habite à Meudon (92)
3) Un mineur de 16 ans, né à Colombes (92), Français, "type nord africain", habite Meudon (92)
4) Un mineur de 15 ans, né en Cote d’Ivoire, Ivoirien, "type africain", habite à Meudon (92)