"J'ai vu ça quand j'avais 8 ans, et mon père, comme mon grand père, m'ont dit qu'ils n'avaient jamais vu une cohésion aussi forte et utopique en France les jours qui ont suivi ce match. Même à la fin de la WW2 où 5 années de guerre et de boucherie prenaient fin, la France n'était pas aussi unie et heureuse que le soir du 12 juillet 98 et la semaine qui a suivi.
Au fond de moi, je suis fier d'avoir eu la chance de vivre un instant pareil qui est rarissime dans une vie.
Merci Zizou."