Je connais bien le milieu cheminot, je ne suis même pas choqué par cette histoire.
V'la la geule des branleur c'est quand même une boite où il y a un préavi de grève à vie
Bref nique cette boite vivement qu'elle coule
Pour tout les kheys qui sont sur Paris !
Ps: si votre libido vous ordonne de contacter madame, faites nous suivre.
Bon les kheys, c'est la merde... Je ne pensais jamais dire ça, mais je crois que je plais aux femmes. Ces derniers temps, suite à une remise en question de ma vie sexuelle inactive, et ayant une centaine de likes en attente sur mon compte Tinder (réglage : 18 - +100 ans / +180 km), j'ai décidé de passer à Tinder Gold. Ce fut suivi par les plus gros chocs de dopamine de toute ma vie... et voilà des meufs par-ci, des meufs par-là. Le pire, c'est que ces meufs étaient facilement dans les 7/10. C'était incroyable, je parlais systématiquement à au moins 5-7 femmes.
Mais voilà, mon abonnement vient de se terminer. C'était un abonnement d'une semaine, et mon cerveau n'a jamais autant été niqué. Je cherche constamment la notification sur mon téléphone, ce qui entraîne un stress et une angoisse permanents liés à ce manque.
des questions? des conseils?
Pour vous expliquer comment j'en suis arrivé là, laissez-moi vous donner le contexte. J’habite dans la banlieue parisienne, ce qui est important car cela signifie que je vis dans une zone assez peuplée, mais aussi parce que les parcs dont je parle ne sont pas très surveillés, à la différence de ceux comme le Luxembourg à Paris. Un soir, j'étais avec trois amis dans un parc local, en train de discuter, quand une idée saugrenue m'est venue à l'esprit… Et si je me mettais nu en plein milieu du parc pour vivre une expérience quelque peu hors du commun dans l'un des parcs où j’ai passé une grande partie de mon enfance ? Cette idée a été confrontée par deux courants de pensée : d'un côté, un esprit libertaire un peu marginal m'incitait à le faire en arguant que de toute façon, je ne croiserais personne ; de l'autre, un esprit plus conservateur me déconseillait de le faire par crainte de rencontrer un inconnu errant dans le parc. C’est à ce moment précis, tiraillé par ce dilemme intérieur, que m'est venue cette fameuse prise de conscience… « Je ne risque pas de croiser personne dans ce parc… » car au fil des années (sauf cas exceptionnels), je n'ai jamais vraiment croisé de groupe d'individus ayant pour habitude d'errer dans les parcs la nuit, car ces lieux sont généralement tranquilles et bucoliques, où moi et mes amis pouvons nous réunir en toute tranquillité. Grâce à cela, j'ai pris conscience d’être une sorte de marginal notoire qui vit ou a vécu en marge des autres groupes sociaux, car pour moi, les parcs ont presque toujours joué un rôle lors de mes sorties nocturnes (un terme qui englobe une large gamme de soirées), en incarnant ce lieu de refuge loin de toute nuisance urbaine.
Une fois cette prise de conscience intégrée, permettez-moi de faire une petite digression personnelle. Pendant mes années lycée, dans ma ville, des rassemblements étaient organisés (dans un parc) par un collectif anonyme. Leur unique but : réunir tous les lycéens des lycées environnants ; ces rassemblements étaient systématiquement des réussites, transformant le parc en une sorte de soirée en plein air en raison de leur popularité et de leur ampleur, car ils attiraient vraiment beaucoup de monde. Cette digression me fait donc réfléchir à pourquoi personne n’a l'habitude de se rendre dans les parcs non seulement parce que ces lieux sont très agréables mais aussi parce que (si consensus collectif) ces lieux pourraient devenir des lieux de rencontre à plein temps réunissant divers groupes sociaux.
Qu’en pensez-vous ?
Le 18 juin 2024 à 20:32:10 :
Le 18 juin 2024 à 20:31:27 Siciliati a écrit :
Simp pitoyableça m'aide à chopper, que tu le veuilles ou non
Hein, tu choppes avec cette tech??!
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