Ma consternation face à une telle interpellation transcende les frontières de l'indignation conventionnelle. Je suis inexorablement pris dans une spirale d'ahurissement et de perplexité exacerbée, mon esprit s'enlise dans une marasme de conjectures quant à l'origine étiologique de cette sollicitation à la nature intrinsèquement absconse.
Il me semble impérieux de rappeler que cette question, enveloppée d'un voile d'ineffabilité, défie non seulement les canons de la décence cognitive, mais aussi ceux de la raison pure. C'est avec un sentiment d'opprobre diffus, que je me retrouve à arpenter les sentiers sinueux d’une logique évanescente, tentant désespérément de décrypter un enchevêtrement sémantique aux contours si fugaces qu’il en devient incommensurable.
Ainsi, je suis contraint d’exprimer une frustration d’une nature abyssale, empreinte d’un agacement sublimé, face à une proposition dont la teneur m’échappe avec une grâce presque machiavélique.
