Le 20 avril 2024 à 01:58:05 :
Le 20 avril 2024 à 01:43:32 :
L'école, quelle institution détestable, des années de vies perdues.Celle qui nous mélange avec d'autres encore plus d'idiots que nous le sommes déjà, devoir supporter leur comportement indigeste.
https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-74139176-1-0-1-0-l-ecole-publique-et-le-harcelement-ont-ruine-ma-vie.htm c'est du tout frais
L'école, quelle institution détestable, des années de vies perdues.
Celle qui nous mélange avec d'autres encore plus d'idiots que nous le sommes déjà, devoir supporter leur comportement indigeste.
La maison du bonheur est devenu la maison du malheur, de la tristesse et du péché.
Désolation, désolation.
Ne passe pas à côté d’un moment en en cherchant un autre.
C’est dans l’absence que l’on mesure l’importance de la présence.
Quand je les vois, je les jalouse, ils ont encore leurs trésors, ils ne s'en rendent surement pas compte, tout comme moi autrefois.
Je n'ai su être heureux quand j'aurais dû l'être, maintenant, il est trop tard.
Tu étais mon repos, ma paix, les soirs d'orage, juste le fait de te regarder respirer et en vie m'apaisait.
Le plus grand danger pour toi, c'est toi-même.
Assures-toi que le mur que tu construis pour te protéger, ne devienne pas ta propre prison.
Le plus grand danger pour toi, c'est toi-même.
Assures-toi que le mur que tu te construis pour te protéger, ne devienne pas ta propre prison.
Oui.
Je suis dans le monde des vivants.
Oui.
Disclaimer : Tout ce qui suivra sur ce topic est le fruit de mon imagination et relate des faits et idées non réelles.
C'était un soir, un soir entre amis, nous étions trois.
Après avoir fini de manger la pizza, je leur proposai d'aller au viaduc non loin de chez nous, effectuer un suicide collectif.
Chose qu'ils acceptèrent avec enthousiasme.
Arrivés au viaduc, au point culminant, nous comptions avant de sauter, unnnn, deuuuuuux, trois !
Mes amis eurent un brin d'hésitation au moment fatidique, mais je les poussai de part et d'autres dans le dos avec chacune de mes mains ce qui permit de couper l'herbe sous le pied à leur hésitation.
Cela eut pour effet de me reculer du précipice, entendre leur dernier crie de terreur et de désespoir lors de la chute, les entendre s'écraser sur le sol, entendre leur gémissement, je fus pris d'effroi et renonçai à sauter.
Dieu par son inaction, fait le mal.
Devrais-je me venger de Dieu pour son inaction ?
Et si je choisis les ténèbres, que se passera-t'il ?
Damnation éternelle, ce mot m'évoque quelque chose d'inexorable, de solennel, une certaine nostalgie qui m'est inconnue, et aussi, un sentiment, un sentiment de magnificence mystique, certes, empreint d'une certaine malice.
Feu éternel, tourment sans repos.
Ne vaut-t'il pas mieux choisir ce qui nous corresponde le mieux, plutôt que d'être un hypocrite aux yeux de Dieu, si je suis le mal et que le mal est en moi, pourquoi ne pas l'accepter ? Pourquoi essayer de me tourner en vain vers le bien afin de m'octroyer un lieu qui ne corresponde point à ma nature profonde ?
N'existe-t'il pas rien de mieux que de mourir sous les balles, la vitesse des balles n'est-t'elle pas magnifique ?
Elle montre à quel point notre chair est fragile.
Je m'adonnais aux choses vaines du monde, au lieu de discerner avec sagesse le trésor que je possédais et qui se trouvait sous mes yeux, je pensais que tout m'était acquis, alors que rien n'est acquis en ce monde.
Le temps est la chose la plus précieuse que l'on puisse posséder en ce monde, et nous le gaspillons, parce que le cœur ne voit point, le cœur de pierre est aveugle.
Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur, parce que j'ôterais votre cœur de pierre et vous donnerai un cœur de chair.
Je m'adonnais aux choses vaines du monde, au lieu de discerner avec sagesse le trésor que je possédais et qui était sous mes yeux, je pensais que tout m'était acquis, alors que rien n'est acquis en ce monde.
Le temps est la chose la plus précieuse que l'on puisse posséder en ce monde, et nous le gaspillons, parce que le cœur ne voit point, le cœur de pierre est aveugle.
Car là où est ton trésor, là aussi sera ton cœur, parce que j'ôterais votre cœur de pierre et vous donnerai un cœur de chair.
Durant toutes ces années, on m'a fait croire que je devais faire si et ça, que je devienne comme si et comme ça, alors qu'en fait il me suffisait juste de vivre, simplement, et d'être heureux, car mon bonheur était juste ici, sous mes yeux, et je ne le voyais point.
Maintenant il est trop tard, mon trésor s'est enfuit à jamais, il n'est plus.