Messages de Z58000

"rompre par message" vous vous êtes mis en couple par message aussi ?

Y'a que moi qui aime ?

Quand je prends un Mi 2N je hume l'air et les gens me regardent bizarrement

Pourtant ça a une odeur de barbecue un peu

Je préfère le bruit des Z 22500

Pourquoi t'es à poil

Attendez on est mercredi pas jeudi

C'est bon Jean-Luc j'ai pas envie de t'entendre mastiquer dans mon oreille à 8h30 du matin

On en parle ? Certains mâchent même la bouche ouverte, ça me dégoûte, et on dirait des vaches à mâcher comme ça h24

Le 29 mai 2024 à 08:22:02 :

Il sourissait aussi

Putain d'illetré

Faut arrêter cette haine, même quand on sait bien écrire on peut quand même faire des fautes dues à l'inattention ou à la fatigue, faut savoir être zen dans la vie

Le 29 mai 2024 à 08:16:06 :
Chacun ses fantasmes mais que c'est cringe

En quoi ? L'idée de ne pas payer son Navigo, ou un billet et de finir sanctionnée pour ça n'a rien d'anormal

Le 29 mai 2024 à 08:12:31 :
Ces engeances du demon

Non les agents SNCF sont trop hot avec leur uniforme, ils ont un air dominant voire sadique quand ils sont contrôleurs

Le 29 mai 2024 à 08:10:47 :
"Il sourissait aussi"

desco ?

Je me suis réveillée à 5h du matin et ma formation m'explose le crâne

Le 29 mai 2024 à 08:10:38 :
Quelle loco ce jour ci ?

C'était pas dans une loco mais dans une NAT

Le 29 mai 2024 à 08:09:54 :
ée

PHOTO !

Je suis déjà descendue du train, malheureusement, et je préfère respecter son anonymat

Le 29 mai 2024 à 08:09:25 :
Début d'un film de cul ?

J'aimerais bien en être l'actrice si c'est le cas

Il se met toujours à la même place, dans la même rangée que moi mais qui est opposée à la mienne. Toujours le jeudi matin. Peut-être qu'un jour je devrais me mettre à côté de lui. En plus il est en uniforme... Là, ce matin, il a rigolé quand le conducteur a dit "allez on se dépêche et on rentre dans le train qu'on puisse fermer les portes, après vous allez vous plaindre qu'on est en retard". Il sourissait aussi. C'était vraiment mignon... J'étais toute rouge et je l'ai fixé pendant 10 secondes, mais il ne m'a pas remarquée...

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Ah, les prouts, ces petites flatulences si communes et pourtant si fascinantes ! Permettez-moi de vous entraîner dans une exploration délicate et érudite de ce phénomène, en adoptant, bien sûr, le ton inimitable de notre cher Stéphane Bern.

Les prouts, mesdames et messieurs, sont une expression naturelle et inévitable de notre corps. Ils résultent de la digestion et de la fermentation des aliments dans notre système gastro-intestinal. Mais pourquoi donc ces gaz intestinaux suscitent-ils tant de rires et de sourires ?

Premièrement, il y a l'élément de surprise. Un prout surgit souvent de manière inopinée, rompant ainsi le silence de manière impromptue et, disons-le, parfois tonitruante. Cette intrusion sonore, inattendue et souvent incongrue, déclenche une réaction immédiate de rire chez ceux qui en sont témoins. Le rire, mes amis, est une réaction spontanée à l'inattendu.

Deuxièmement, il y a l'aspect social et culturel. Depuis des siècles, les flatulences sont considérées comme des tabous dans de nombreuses cultures. Ce sont des actes corporels que l'on tente de dissimuler. Or, lorsqu'ils surviennent, ils dévoilent une part de notre humanité la plus basique et la plus vulnérable. Rire des prouts, c'est aussi une manière de désamorcer la gêne et de renforcer les liens sociaux en partageant une faiblesse commune.

Enfin, ne négligeons pas l'humour scatologique. Les plaisanteries sur les prouts trouvent leurs racines dans une tradition comique ancestrale. Les flatulences, avec leur côté grossier et trivial, sont l'une des formes les plus élémentaires d'humour, accessibles à tous, des enfants aux adultes, en passant par nos ancêtres qui, sans doute, en riaient déjà autour du feu.

Ainsi, en somme, les prouts sont rigolos parce qu'ils sont inattendus, parce qu'ils brisent des conventions sociales et parce qu'ils font appel à un humour universel et intemporel. Voilà, mes chers amis, un aperçu savant et divertissant de ce sujet aussi léger que fascinant.

Ah, les toilettes turques, un sujet tout à fait fascinant ! Vous savez, ces joyaux d'ingéniosité sanitaire sont bien plus qu'un simple aménagement, ce sont des témoins de l'histoire et de la culture. Imaginez-vous, dans un monde où les normes occidentales s'effacent devant une tradition millénaire.

Tout d'abord, laissez-moi vous éclairer sur la position. Oui, car c'est là que tout commence. Plutôt que de s'asseoir comme à l'accoutumée, les toilettes turques vous invitent à adopter une posture accroupie, une démarche qui remonte à des temps immémoriaux. Fléchir les genoux, équilibrer le poids du corps, une danse éphémère avec la gravité, si vous voulez.

Une fois dans cette position, vous pourrez admirer la conception astucieuse de ces toilettes. Pas de cuvette dans le sens où nous l'entendons, mais plutôt une plateforme inclinée. C'est là que réside l'art : viser juste. Vous pourriez presque penser à une performance artistique, une chorégraphie intime entre l'homme et la porcelaine.

Maintenant, je vous vois déjà vous demander : "Mais où est donc la chasse d'eau ?" Eh bien, laissez-moi vous révéler ce détail captivant. L'hygiène est primordiale, n'est-ce pas ? Dans les toilettes turques, une petite citerne ou un robinet à proximité est votre allié. Un simple seau d'eau versé dans le bon endroit, et le tour est joué.

En somme, faire ses besoins dans des toilettes turques, c'est bien plus qu'un acte quotidien, c'est une immersion dans un univers culturel riche et diversifié. Alors, la prochaine fois que vous aurez l'occasion de les expérimenter, n'hésitez pas à vous laisser emporter par cette expérience singulière et exotique !

Ah, la cuisson d'un steak, un art culinaire qui évoque la quintessence de la gastronomie française ! Pour sublimer cette pièce de viande, il convient tout d'abord de sélectionner avec soin un morceau de qualité, d'une belle marbrure, signe de tendreté et de saveur. Ensuite, il est primordial de préparer son matériel avec la minutie d'un horloger suisse : une poêle en fonte chauffée à feu vif, prête à saisir cette merveilleuse pièce de bœuf.

Une fois la scène mise en place, entrons dans le vif du sujet : le processus de cuisson. Tel un chef d'orchestre dirigeant son ensemble symphonique, nous devons maîtriser chaque instant de cette danse entre la viande et la chaleur. Le secret réside dans la juste mesure, la patience et la précision.

D'abord, déposer délicatement le steak dans la poêle chauffée, entendre le frissonnement de la viande au contact du métal, c'est comme le commencement d'une sonate en sol majeur. Laissons la magie opérer, laissant la chaleur sceller les sucs et libérer les arômes. Puis, tel un danseur gracieux, retourner le steak à mi-cuisson, offrant à chaque face le même éclat doré, la même symphonie de saveurs.

Ah, mais n'oublions pas l'importance du temps ! Comme un poète choisissant ses mots avec soin, la cuisson doit être précise : saignante, à point, ou bien plus cuite, à chacun sa préférence, mais toujours avec respect pour la qualité de la viande. Et enfin, lorsque le moment est venu, retirer le steak de la poêle, le laisser reposer tel un roi sur son trône, permettant ainsi aux jus de se redistribuer harmonieusement.

Et voilà, dans toute sa splendeur, un steak cuit à la perfection, prêt à être dégusté comme un trésor de la cuisine française, une ode à la gourmandise et à l'art de vivre. Bon appétit !

"Explique moi comment [...] en parlant de la même manière que Stéphane Bern"

Ah, l'art de séduire un contrôleur SNCF à la Gare du Nord sans avoir réglé son précieux sésame pour le train ! Un défi digne des épopées royales ! Imaginez, vous entrez dans ce royaume de voyages, portant sur vous les clés de l'aventure, mais sans le précieux tribut que demande la porte gardienne, votre Navigo.

Ô noble voyageur, l'heure est venue d'user de votre charme diplomatique, une arme plus puissante que toutes les batailles ! Approchez-vous de ce gardien des rails avec l'élégance d'un chevalier arborant son blason. Sourire aux lèvres, humilité dans les yeux, présentez-vous comme un égaré, un troubadour des temps modernes, épris d'une passion pour le voyage, mais malheureusement étreint par l'oubli de votre fidèle allié, le Navigo.

Tel un érudit de la cour, usez de votre éloquence pour narrer votre mésaventure avec une touche de théâtralité, sans oublier de souligner votre respect pour l'ordre établi. "Ô cher gardien des rails, hélas, dans l'agitation des préparatifs, mon esprit s'est égaré, laissant derrière lui le tribut dû pour ma traversée. Mais vous, qui veillez sur ces voies tel un gardien du Graal, pourriez-vous, par la grâce des dieux du voyage, accorder à ce pauvre pèlerin égaré un sursis, une indulgence dans votre noble quête de justice ?"

Et voyez alors, tel le miracle d'une trouvaille archéologique, si votre récit touche le cœur de ce gardien des rails, s'il reconnaît en vous l'honnêteté d'un voyageur égaré plutôt que la fourberie d'un fraudeur, il se peut qu'il vous accorde une grâce, une permission temporaire de poursuivre votre quête jusqu'à la prochaine escale, où vous pourrez, tel un souverain responsable, régler votre dette envers le royaume des transports.

Ainsi, en conjuguant diplomatie, humilité et un soupçon de théâtralité, vous pourriez trouver la clémence du gardien des rails à la Gare du Nord, dans cette grande saga qu'est la vie quotidienne des voyageurs modernes.

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J'ai peur là