If you have schizoid personality disorder, it's likely that you:
- Want to be alone and do activities alone.
- Do not want or enjoy close relationships.
- Feel little if any desire for sexual relationships.
- Take pleasure in few activities, if any.
- Find it hard to express your emotions and react.
- May lack humor or not be interested in others. Or you may be cold toward others.
- May lack the drive that makes you want to reach goals.
- Do not react to praise or criticism from others.
- People may view you as odd or unusual.
Schizoid personality disorder most often begins when a person is a young adult. But some symptoms might be noticed during childhood. These symptoms may make it hard to do well in school, at work, in social situations or in other areas of life. But the person may do well if the job can be done by mostly working alone.
Although the names may sound alike, schizoid personality disorder, schizotypal personality disorder and schizophrenia spectrum disorders are all different types of mental health conditions. But they can have similar symptoms, such as not being able to make social connections or show a full range of emotions.
In contrast to schizotypal personality disorder and schizophrenia, people with schizoid personality disorder:
Are in touch with reality.
Are not likely to feel paranoid, hold bizarre beliefs or hallucinate.
Make sense when speaking. Although the tone may not be lively, the content of the person's speech is not strange or hard to follow.
Symptoms of schizoid personality disorder include having:
Apparent indifference to the praise or criticism of others
Emotional coldness, detachment, or flattened affect
Enjoyment of few, if any, activities
Lack of close friends or confidants, except possibly first-degree relatives
Little, if any, interest in sexual activity with another person
No desire for or enjoyment of close relationships, including those with family members
Strong preference for solitary activities
Someone with schizoid personality disorder may have had these traits all their life. These traits may present themselves in childhood. People with schizoid personality disorder may have preferred to be alone as a child. Furthermore, a child with schizoid personality disorder can become socially ostracized at school, and that disconnection can become ingrained as they don't develop social relationships.
'ai passé des années en asile de barges ma mère était schizophrène qui ne me semble pas être une maladie imaginaire puisqu'elle entendait des voix et avait des hallucinations après ce n'est pas ce que j'ai moi, j'ai failli me faire tuer plusieurs fois par mon père ou par des déséquilibrés ultra dangereux en asile de fous où on me répétait que j'étais malade et tant que j'étais pas guéri je sors pas
après je confirme ne pas me sentir malade, c'est plus une série de mécanismes de défense suite à des traumatismes et des réflexes/façons d'appréhender autrui après toutes ces violences, bcp de présentations insistent qu'on peut être en très bonne santé
bcp d'éléments ne sont pas du tout imaginaires, la sensation de perte de soi semble fantaisiste mais je la ressens fréquemment, l'impression d'oublier qui je suis, de ne pas savoir me définir, d'oublier littéralement mon prénom et mon âge ça m'est arrivé plusieurs fois, la sensation de vide intérieur pê lié à une estime de soi inexistante, de ne pas connaître le propre son de ma voix tant je suis habitué à un semi-mutisme, la sensation d'étrangeté à soi-même si forte que l'impression de voir presque un inconnu dans le miroir et de ne pas s'y reconnaître, l'étranger perpétuel, le livre de camus a un très bon titre, meursault est l'étranger dans un monde étrange, j'ai pris et je prends d'innombrables précautions prises pour éviter ou minimiser au maximum le contact avec autrui, l'écourter, je me vois bien vivre dans un autre pays où personne ne parle anglais, dans la ruralité ou avoir un boulot de total solitaire complètement coupé du monde ça m'irait totalement avec du temps pour me consacrer à mes obsessions
Je préfère être ignoré, c'est ce qu'il y a de mieux pour moi lorsque je suis en groupe, qu'on m'oublie, je porte généralement des habits discrets et sans couleur afin de passer inaperçu
je n'aime pas qu'on s'occupe de moi, j'ai déjà parlé d'envies fréquentes d'avoir le pouvoir magique de disparaître, me téléporter hors d'interactions sociales que je subis, je les minimise et si les gens n'en n'ont rien à faire de moi tant mieux pour eux, pour moi, pour tout le monde
mes balades sont calculées à l'avance, je sors à des horaires où je sais que je croiserai peu de gens, je vis dans des lieux plutôt ruraux avec peu de monde et j'aime à marcher dans les forêts/champs/chemins désertés bien plus qu'en ville et aller dans des cafés/cinémas/musées (quoique j'adore la peinture, je vais plutôt découvrir un musée virtuellement que réellement juste pour éviter le trop plein, le monde, je suis allé voir des grands musées touristiques et l'expérience de voir des foules de moutons dépourvus de toute culture picturale s'agglutiner autour des tableaux les plus connus m'en a dégoûté je préfère à choisir les petits musées de campagne)
j'aime bcp être un éternel étudiant/disciple plus encore que l'idée de devenir prof/enseignant, quoique n'ayant que très peu de moments où la conversation d'autrui me fut agréable par le biais des cours virtuels sur youtube je peux dire que j'adore écouter des universitaires/doctorants de philosophie ou littérature anglophones transmettre leurs connaissances, voici l'exemple d'un chirurgien anglophone de 40 ans, lui aussi heureux célibataire n'ayant pas "besoin" de s'encombrer d'autrui, sur reddit qui se décide malgré tout à se lancer en autodidacte dans l'apprentissage d'une discipline que je découvre depuis qques années moi-même, apprenant le grec ancien et le latin et consacrant 40h/semaine à la philosophie (je fais grossièrement 70h/semaine depuis deux ans avec des hiatus, sans avoir tenté d'apprendre de langues mortes mais en m'intéressant à la littérature et l'histoire greco-romaine ainsi que la philosophie d'(extrême)-orient) https://www.reddit.com/r/askphilosophy/comments/111ufhk/40yo_with_established_career_and_freedom_wanting/ en termes d'absences de buts concrets j'avoue ne pas trop savoir que faire des innombrables notes/carnets virtuels ou non que je possède, il faudrait mélanger toutes ces connaissances pour écrire de la fiction probablement, l'idée de tenir mon propre blog me plaît bien
toujours dans l'amour de ce qui est récréatif et solitaire j'aimais bien les jeux vidéos avant aussi, là encore je crois que j'avais des goûts assez originaux/excentriques, les shoot em up (prédilection pour les bullet hell dont la fameuse série Touhou), les visual novels (jeux narratifs/jeux "livres"), les tactical-rpg (ressemblance avec les jeux de plateaux où l'on doit penser stratégie et tactique, avec des cases des pièces), la liste de jeux traditionnels à laquelle je me suis essayé est très grande, j'avais une obsession chronophage pour énormément de vieux jeux disparus venus d'ailleurs, le fait que mes passe-temps ludiques se transforment en obsessions me prenant tout mon temps libre qui me font oublier de me faire à manger/boire/sortir prendre l'air un minimum de temps en temps est un bon signe que je suis pê pas tout à fait normal
je n'aime pas en général les conversations d'autrui et étant le muet de service et sachant pertinemment à quel point ça peut être insupportable de devoir écouter autrui je "retourne l'échiquier" et il m'arrive parfois de me mettre à la place d'autrui
X personne n'a pas forcément envie de m'entendre ou que je sorte de mon mutisme, surtout que je n'ai pas grand chose de forcément pertinent à dire, même lorsque la conversation tourne autour d'un de mes centres d'intérêt obscurs (philo antique, variantes du jeu d'échecs) et que la personne aime autant que moi si ce n'est plus le domaine je ne me sens pas en mesure de tenir une conversation de qualité, puis plus généralement je me sens pas très à l'aise, solide dans mes appuis quand je prend la parole, j'ai rien de bien intéressant à dire dans la vie de tout les jours quoique je trouve la philosophie extrêmement intéressante j'en parle pas à mes plus proches connaissances/
Freud
Le cloître de la névrose
Comment supporter la réalité ?
La réalité étant pénible nous avons tendance à la fuir... en régressant vers l'enfance. (toujours l'enfance, selon certains psys on pourrait résoudre comme d'un coup de baguette magique de toute forme de déprime ou d'anxiété sociale en parlant longuement de son enfance à cause de lui, une écoute et conversation sur son enfance et ses refoulements, son désir oedipien et tout serait guéri, plus de phobie sociale, merci tonton Freud j'ai guéri de mes traumas infantiles qui me hantaient quotidiennement)
Lerêve, le symptôme pathologique, sont des solutions à l'insatisfaction et au manque... ainsi que la création artistique, qui permet un retour partiel au réel.
Sinon, la névrose nous protégera.
La névrose, en tant que refuge nous rend l'existence supportable
Le 26 mars 2024 à 15:12:23 :
tu t'es déjà branlé à l'hospice en hurlant les prénoms des aides-soignants ?
non j'aimerai d'ailleurs oublier mes séjours en asile ça me fatigue j'ai des images d'une patiente se scarifiant en boucle en se grattant les ongles sur son bras elle portait des pulls en été à manches longues, je me méfie des raisons de ce pourquoi certaines femmes portent des pulls ou t shirt à manches longues en été désormais, j'ai même eu une fois eu un rire nerveux en voyant des scarifications sur les bras d'une amie que je fréquentais je ne sais pas pourquoi j'étais sobre, principalement fatigué et anxieux, elle voyait que j'étais très mal à l'aise, je me rappelle qu'elle avait une bibliothèque j'espère que cette personne ne se scarifie plus, je vais pas me morfondre pour des non-schizoïdes (d'ailleurs niveau imperméabilité, je sais pas trop comment être si qqun pleure, je vais pas m'agacer ou m'irriter mais je ressens rien, du vide en général et suis globalement inutile mais je peux écouter), personnellement je jouais aux cartes ou aux échecs étant trop shooté aux anxiolytiques pour lire un livre sans avoir les mots qui s'emmêlent devant moi, j'étais dans un mutisme quasi total au début et la psychiatre qui m'a fait sortir après un an et des patates à chaque rdv les progrès c'était sur les conversations que j'avais envers autrui, je sortais de mon mutisme (je me souviens qu'elle semblait très heureuse pour moi la fois où je lui ai dit que pour la première fois de ma vie j'avais discuté bien 30 minutes avec X patient de livres) ou que j'avais moins de tics d'anxieux, ou que je souriais davantage (elle pensait que ça voulait dire que j'étais moins "dépressif" alors que c'était en partie un effort conscient de ma part de feindre un bonheur et une sensation de plénitude)
je crois n'avoir jamais hurlé de ma vie, même crié, lorsque je m'efforce de sortir davantage de mon autarcie je suis un peu comme cette charmante Schizoid-chan dans la vie réelle (j'aime bien son côté encyclopédie vivante, sentinelle de la culture pour citer Jean-Sol comme dirait Boris Vian, le retrait/repli sur soi, l'extrême particularité/singularité de ce qu'elle relève: elle dit aimer d'un tourisme en france les catacombes ou encore se tenir à distance des films populaires ne jurant que par ses goûts de niche (je suis tout à fait pareil, trouver sa niche, son truc bien à soi, obscur et avoir des connaissances d'universitaire dessus), l'anhédonie, et semble vivre sous le modèle kantien en intellectualisant tout jusqu'à ses propres conversations avec des idées/réflexes/rituels pour éviter de prolonger les interactions sociales) globalement muet ou sinon laconique (contraire de bavard/loquace) quoique je donne l'impression inverse par écrit, je m'exprime dans un langage soutenu de manière générale, je n'ai jamais eu de démences, jamais de folies, jamais la moindre agressivité de ma part, je j'ai déjà dit mais aucun intérêt pour le sexe qui, sans religiosité aucune, le sexe ne m'attire peu ou prou, + ou - asexuel
tant que j'y suis je reprécise très peu d'intérêt aux relations sentimentales et aux relations amicales ne recherchant pas d'amitiés (je ne souffre pas de solitude, si une vie dans une planète identique à la Terre où je serais le seul être humain présent l'habitant je m'y sentirais très bien, je serais heureux d'aller dans des centres urbains vides, je me sentirais bien plus à mon aise, j'aime d'ailleurs l'idée de ruines, de restes de civilisation qui se font envahir par la verdure (peintures de tholos grecs, le destin des empires de thomas cole, shadow of the colossus/ico, les jeux vidéo zelda) les décors post-apocalyptiques mais sans vision de cauchemars calmes me plaisent il y a ce Iashikei (manga dans lequel il ne se passe rien) Yokohama où on suit les déambulations d'une femme-robot immortelle dans un monde dépeuplé des suites d'une catastrophe nucléaire, on trouve qques rares survivants à droite à gauche et tout est paisible, devenu plus rural, c'est très sympa
j'ai rien gagné d'aucune des rencontres effectuées sur ce site que je déteste profondément ainsi que les réseaux sociaux
en étant extrêmement sélectif et en n'acceptant de voir que celles chez qui je sentais un minimum d'intelligence et de culture j'ai été hyper déçu, autant aller chercher des amitiés dans des librairies/coins culturels
Le 26 mars 2024 à 23:16:54 :
Le 26 mars 2024 à 23:11:25 :
suicide, surtout il y a deux mois et un mois puis là ça va les pulsions suicidaires sont parties
en plus il y a pas de raisons il fait beauTes pulsions suiciderai ce calme parce qu'il fait beau ?
je vais couper internet avant minuit et aller marcher pê courir
j'en sais rien, je me sens relativement "bien" alors que j'étais bcp plus dépressif en automne/hiver
je n'ai aucune culture je débute tout juste depuis deux ans avec des tentatives plus tôt
je peux en revanche passer des ressources pour s'y mettre en mp si tu le souhaites, profs de philo sur youtube (michael sugrue (mort récemment c'est dommage il est extraordinairement charismatique), greg b sadler, rick roderick, arthur f holmes, bruce gore, matthias warnes, luc ferry, france culture, ancrages éditions, amour de la sagesse, etc
le wikipédia français et anglais sur la philo (notamment le portail), SEP (stanford encyclopedia of philosophy), IEP (internet encyclopedia of philosophy),
les podcast historyofphilosophywithoutanygaps (très érudit peter adamson), philosophize this, hermitix podcast
reddit, un chirurgien de 40 ans veut débuter https://www.reddit.com/r/askphilosophy/comments/111ufhk/40yo_with_established_career_and_freedom_wanting/
Il faut lire le Russell ou le Bréhier, deux anthologies sur l'histoire de la philo
Puis tout Platon (en commençant par les 4 dialogues sur la fin de Socrates "the last days of socrates", tout Aristote)
Le 26 mars 2024 à 22:26:22 :
Le 26 mars 2024 à 22:24:21 :
corps sain dans un esprit sain, c'est en se droguant à internet et en oubliant de dormir, manger, boire convenablement qu'on court les risques de perdre la bouleVa dire ça aux philosophes qui étaient tous schizophrènes, sophiste
schizoïdes
Le 26 mars 2024 à 22:21:07 :
Le 26 mars 2024 à 22:19:18 :
Le 26 mars 2024 à 22:00:52 :
Le 26 mars 2024 à 21:57:32 :
Le 26 mars 2024 à 21:56:17 :
> Le 26 mars 2024 à 21:54:37 :
>> Le 26 mars 2024 à 21:51:28 :
> >C'est l excès de lecture qu'ils critiquaient, et effectivement si tu lis trop, et surtout si tu restes dans l éternelle passivité, tu peux pas développé une pensée par toi-même
> >
> > Un peu comme si tu passes ta.voe à regarder du contenu youtube ou insta sans jamais rien produire par toi même, ben tu fini par tuer ta propre créativité
>
> Rassure toi comme tu peux le golmon
Nietzsche et Schopenhauer ont lu des centaines de livres hein
Et tu crois qu’il faut faire la même chose ?
Schopenhauer a livré un mode de conduite du savoir, une méthode d hygiène de vie de développement perso, par exemple le fait de marcher 2H par jours, de ne pas trop penser la nuit (car notre cerveau ne fonctionne pas correctement le soir) et de lire uniquement des livres reconnus par l histoire
Pour Schopenhauer, 99% des livres sont de la merde, et la seule façon de savoir qu'un livre vaut la peine d être lu, c'est de savoir si il a était reconnu dans le temps.
Par exemple un mec comme Houellebecq qui ne traversera sûrement pas l épreuve du temps, jamais Schopenhauer aurait conseiller de le lire
schopenhauer on dirait moi
misogyne, misandre à la fin de sa vie car il avait été un gros yeslife il avait tellement eu de relations sociales, qu'il dit que le vrai bonheur c'est la solitude
Rousseau pareil , il a fini seul sur sa petite ile biennoise
il a trouvé l'ataraxie dans les rêveries du promeneur solitaire qui est bien plus agréable à lire que sa philo politique
non j'aimerai d'ailleurs oublier mes séjours en asile de barges ça me rend insomniaque j'ai des images d'une patiente souffrant d'un viol se scarifiant en boucle en se grattant les ongles sur son bras elle portait des pulls en été à manches longues, je me méfie des raisons de ce pourquoi certaines femmes portent des pulls ou t shirt à manches longues en été désormais, j'ai même une fois eu un rire nerveux en voyant des scarifications sur les bras d'une fille je ne sais pas pourquoi j'étais sobre, principalement fatigué et très anxieux mais ça va je crois qu'elle me déteste pas elle voyait que j'étais très mal à l'aise, je vais pas me morfondre pour des non-schizoïdes (d'ailleurs niveau imperméabilité, je sais pas trop comment être si qqun pleure, je vais pas m'agacer ou m'irriter mais je ressens rien, du vide en général et suis globalement inutile mais je peux écouter), personnellement je jouais aux cartes ou aux échecs étant trop shooté aux anxiolytiques pour lire un livre sans avoir les mots qui s'emmêlent devant moi, j'étais dans un mutisme quasi total au début et la psychiatre qui m'a fait sortir après un an et des patates à chaque rdv les progrès c'était sur les conversations que j'avais envers autrui, je sortais de mon mutisme (je me souviens qu'elle semblait très heureuse pour moi la fois où je lui ai dit que pour la première fois de ma vie j'avais discuté bien 30 minutes avec X patient de livres) ou que j'avais moins de tics d'anxieux, ou que je souriais davantage (elle pensait que ça voulait dire que j'étais moins "dépressif" alors que c'était en partie un effort conscient de ma part de feindre un bonheur et une sensation de plénitude)
je crois n'avoir jamais hurlé de ma vie, même crié, lorsque je m'efforce de sortir davantage de mon autarcie je suis un peu comme cette charmante Schizoid-chan dans la vie réelle (j'aime bien son côté encyclopédie vivante, sentinelle de la culture pour citer Jean-Sol comme dirait Boris Vian, le retrait/repli sur soi, l'extrême particularité/singularité de ce qu'elle relève: elle dit aimer d'un tourisme en france les catacombes ou encore se tenir à distance des films populaires ne jurant que par ses goûts de niche (je suis tout à fait pareil, trouver sa niche, son truc bien à soi, obscur et avoir des connaissances d'universitaire dessus), l'anhédonie, et semble vivre sous le modèle kantien en intellectualisant tout jusqu'à ses propres conversations avec des idées/réflexes/rituels pour éviter de prolonger les interactions sociales) globalement muet ou sinon laconique (contraire de bavard/loquace) quoique je donne l'impression inverse par écrit, je m'exprime dans un langage soutenu de manière générale, je n'ai jamais eu de démences, jamais de folies, jamais la moindre agressivité de ma part, je j'ai déjà dit mais aucun intérêt pour le sexe qui, sans religiosité aucune, le sexe ne m'attire peu ou prou, + ou - asexuel
tant que j'y suis je reprécise très peu d'intérêt aux relations sentimentales et aux relations amicales ne recherchant pas d'amitiés (je ne souffre pas de solitude, si une vie dans une planète identique à la Terre où je serais le seul être humain présent l'habitant je m'y sentirais très bien, je serais heureux d'aller dans des centres urbains vides, je me sentirais bien plus à mon aise, j'aime d'ailleurs l'idée de ruines, de restes de civilisation qui se font envahir par la verdure (peintures de tholos grecs, le destin des empires de thomas cole, shadow of the colossus/ico, les jeux vidéo zelda) les décors post-apocalyptiques mais sans vision de cauchemars calmes me plaisent il y a ce Iashikei (manga dans lequel il ne se passe rien) Yokohama où on suit les déambulations d'une femme-robot immortelle dans un monde dépeuplé des suites d'une catastrophe nucléaire, on trouve qques rares survivants à droite à gauche et tout est paisible, devenu plus rural, c'est très sympa