Messages de Ethanisback

Tu crois que les vaccins ont été testés sur des chimpanzés ? Ils ont directement pu passer à l'étape humain pour le coup.
Elle a au moins eu la chance de sortir. Ce qui m'étonne le plus c'est qu'elle ne soit pas devenue folle et asociale.

Vanilla, un chimpanzé de 28 ans, qui a passé toute sa vie en cage, a vu le ciel pour la première fois de son existence.

Vanilla, le chimpanzé sauvé, a passé ses premières années dans un laboratoire de recherche biomédicale de New York où les chimpanzés étaient souvent logés dans de petites cages "suspendues au sol comme des cages à oiseaux", selon Save the Chimps, un sanctuaire pour chimpanzés où elle réside désormais.

https://youtu.be/r2PS-qoM35M
https://youtu.be/-uUcGSI7wg0

Ce serait intéressant la même vidéo avec un forumeur sortant de sa chambre pour la première fois.

Vous avez vu la chute du spectateur dans le ravin ?
Parce que nous sommes dans une société du divertissement, qui a annihilé le sens de l'effort. Tu ajoutes à ça l'individualisme qui n'incite pas à se décarcasser pour une entreprise ou simplement un but commun. Enfin, certains entrevoient les limites du productivisme à outrance. De fait, pendant des années, les hommes se contentaient de satisfaire leurs besoins primaires. Encore aujourd'hui, les quelques tribus qui vivent en autarcie n'ont pas d'activités qui ressemblent au travail dans le son où on le conçoit dans nos sociétés.

Le 22 juin 2023 à 16:59:36 :

Le 22 juin 2023 à 16:57:22 :
Au début ça me faisait rire cette histoire, mais cette nuit, dans mon lit, dans le noir et le silence, j’ai imaginé ce que les cinq passagers avaient dû ressentir. J’espère vraiment pour eux qu’il y a eu une fuite ou un accident et qu’ils ont eu une mort violente. Parce que sinon, s’ils sont « simplement » restés coincés dans l’épave, c’est clairement la pire mort qui puisse exister, bien plus atroce que le mec resté bloqué tête en bas dans sa grotte (avec le sang qui lui montait à la tête et les drogues assimilées, il a été rapidement inconscient).

Là on parle de cinq individus enfermés dans une boîte, à 3 800 mètres de profondeur, en plein océan atlantique. Ils sont dans le noir total ; une obscurité qui n’existe que dans le abysses ; sur terre, il y a toujours une petite once de lumière quelque part. Donc cinq hommes, dans une obscurité et un silence absolus. Ils ne peuvent pas bouger, pas se relever ; contrairement à une noyade où l’adrénaline décuple tes forces, te donne une fureur de vivre que tes muscles peuvent canaliser et utiliser, et te plonge dans un état second qui te rend extérieur au moment présent. Là non, ils sont en pleine conscience, restent juste à suffoquer, entassés les uns sur les autres pendant trois jours, à entendre le moindre soupir, la moindre respiration émis par les autres et par eux-mêmes, dans la moiteur d’un espace confiné, avec une odeur de pisse et de merde abjecte qui doit leur retourner les poumons à chaque respiration. Forcément, certains ont dû sangloter, d’autres prier ; sans doute certains sont devenus fous et ont hurlé de désespoir.

Cette nuit, en vous endormant, essayez, juste pendant quelques secondes de vous imaginer enfermé dans une boîte, dans le noir absolu, à 3800 mètres de profondeur, dans la chaleur et la puanteur, incapable de vous redresser, de vous mettre debout ; affamé, assoiffé, désespéré ; juste condamné à attendre, patiemment, la mort, par asphyxie, votre fin, le néant ; néant qui n’arrivera qu’au bout d’une lente agonie de 24 heures, 48 heures, 92 heures, sans que vous ne puissiez rien changer, rien accélérer...

Ce sous marin en papier a cesser d'émettre, ca veut dire:

plus de courant = plus de système de survie = plus de ventilation = pas de recyclage d'air + plus de chauffage

Implosion = https://www.koreus.com/video/implosion-wagon-citerne.html x1000

En bref, ils sont morts depuis des jours.

À 4000 mètres de fond, de ce que j'ai entendu, tu n'émets pas un signal vers la surface comme avec ton smartphone à côté de ta box... L'hypothèse qu'ils soient restés coincés au fond pour X raisons, toujours en vie, est très probable. Sinon, ils n'auraient pas déployé tous ces moyens et pas engagé des recherches avec le sous-marin Hector dans les profondeurs...

Au début ça me faisait rire cette histoire, mais cette nuit, dans mon lit, dans le noir et le silence, j’ai imaginé ce que les cinq passagers avaient dû ressentir. J’espère vraiment pour eux qu’il y a eu une fuite ou un accident et qu’ils ont eu une mort violente. Parce que sinon, s’ils sont « simplement » restés coincés dans l’épave, c’est clairement la pire mort qui puisse exister, bien plus atroce que le mec resté bloqué tête en bas dans sa grotte (avec le sang qui lui montait à la tête et les drogues assimilées, il a été rapidement inconscient).

Là on parle de cinq individus enfermés dans une boîte, à 3 800 mètres de profondeur, en plein océan atlantique. Ils sont dans le noir total ; une obscurité qui n’existe que dans le abysses ; sur terre, il y a toujours une petite once de lumière quelque part. Donc cinq hommes, dans une obscurité et un silence absolus. Ils ne peuvent pas bouger, pas se relever ; contrairement à une noyade où l’adrénaline décuple tes forces, te donne une fureur de vivre que tes muscles peuvent canaliser et utiliser, et te plonge dans un état second qui te rend extérieur au moment présent. Là non, ils sont en pleine conscience, restent juste à suffoquer, entassés les uns sur les autres pendant trois jours, à entendre le moindre soupir, la moindre respiration émis par les autres et par eux-mêmes, dans la moiteur d’un espace confiné, avec une odeur de pisse et de merde abjecte qui doit leur retourner les poumons à chaque respiration. Forcément, certains ont dû sangloter, d’autres prier ; sans doute certains sont devenus fous et ont hurlé de désespoir.

Cette nuit, en vous endormant, essayez, juste pendant quelques secondes, de vous imaginer enfermé dans une boîte, dans le noir absolu, à 3800 mètres de profondeur, dans la chaleur et la puanteur, incapable de vous redresser, de vous mettre debout ; affamé, assoiffé, désespéré ; juste condamné à attendre, patiemment, la mort, par asphyxie, votre fin, le néant ; néant qui n’arrivera qu’au bout d’une lente agonie de 24 heures, 48 heures, 92 heures, sans que vous ne puissiez rien changer, rien accélérer...

Les provinciales des Pascal et à la recherche du temps perdu de Proust. Bilan : je ne comprends pas l'engouement autour de Proust.

Tu n'as pas Charcot, mais plus certainement une carence en magnésium, ainsi qu'une hernie cervicale, et des symptômes fortement accentués par le stress.

J'ai exactement eu la même chose que toi et imaginé les mêmes causes : fasciculations dans tout le corps pendant des mois (il m'est arrivé d'en avoir une pendant 48 heures non stop au quadriceps droit), bras engourdis au réveil, sensation de "crampe" permanente dans le mollet gauche, gêne au niveau du pouce gauche quand j'utilise mon tél, fourmillements...

Tu peux y aller, simplement dis pas juste j'ai mal au dos, plutôt "je suis tombé dans les escaliers et j'ai très mal au dos depuis".
Alcatraz frappe plus fort que Nadal mais ses coups sont beaucoup moins liftés. Le gros point fort de Nadal c'était son coup droit lifté rendant la balle très difficile à maîtriser pour l'adversaire. D'où les fautes parfois très grossières de Federer contre lui.
Joli échange pour une fois.
Ça joue quand-même sacrément mal.
Bf 2042 est très sympa désormais.
Celui qui a fait le discours comme quoi Djokovic c'était juste un gros mental c'est pas Lévêque en tout cas.
C'est pas du tout Fabien Lévêque qui critique Djokovic. C'est l'autre commentateur.
Hormis Skyrim et Fallout 4 qui finiront par te lasser au bout d'une bonne centaine d'heures, les autres tu peux y passer des années sans te lasser 🐱
Rage 2 si tu as aimé Doom. Les derniers opus Wolfenstein sinon.
Pas malaise, c'est quand même un condensé de plein de genres différents. Ce que réussissait à faire parfaitement Tarantino à ses débuts notamment. Pulp fiction par exemple emprunte à différents genres.
Et oui, critique sociale en toile de fond. Bref, combo gagnant pour plaire aux critiques.