L'agresseur était déjà bien connu des services de police. Son casier judiciaire comportait 11 mentions et avait déjà été en prison à 2 reprises, en 2017 et 2018.
La veille de l'agression, il avait été interrogé au commissariat pour un vol, finalement classé sans suite.
On a tous droit a une 12eme chance, Un jour normal en france