Le 20 janvier 2024 à 18:31:19 :
Le 20 janvier 2024 à 18:29:02 consultantsap a écrit :
Le 20 janvier 2024 à 18:18:50 :
Le 20 janvier 2024 à 18:17:06 https://www.jeuxvideo.com/profil/consultantsap?mode=infos a écrit :
Le 20 janvier 2024 à 18:11:53 :
> Le 20 janvier 2024 à 18:10:01 https://www.jeuxvideo.com/profil/consultantsap?mode=https://www.jeuxvideo.com/profil/infos?mode=infos a écrit :
> > Sauf que chez Spinoza tout est nécessaire donc forcément il doit redéfinir les termes qui se définissent selon la nécessité.
>
> Sauf qu'en résumé :
> -> Tu n'es pas déterminé à comprendre le déterminisme, et donc tu ne seras jamais "libre nécessaire".
> -> Tu es déterminé à comprendre le déterminisme, et donc à identifier tes affects pour être "libre nécessaire". Or, tout ce cheminement de compréhension et d'identification est lui-même déterminé au préalable. Tu n'es donc pas "libre" au véritable sens, ce que tu appelles être "libre nécessaire" est juste la "chance" d'avoir eu le bon cerveau et les bons paramètres d'accès à ce cheminement, donc un concept totalement différent à ce qui s'apparente à de la liberté. Mettre le terme de liberté sur cette "chance déterminée", qui est un tout autre concept, est, d'après moi, problématique.
Tu fais un raisonnement circulaire khey. Dans ton deuxième point, tu utilises "libre" avec la notion de liberté contingente.
Oui car c'est ce que je disais au préalable : les mots ont un sens.
On ne peut pas, par exemple, appeler "libre" le fait d'être esclave parce que tel courant philosophe entrevoit la liberté de telle façon, sinon on ne s'en sort plus et on ne discute de plus rien ; et ça marche pour plein d'autres mots et de concepts philosophiques.C'est pour ça que c'est mieux de préciser liberté nécessaire ou liberté contingente.
Mais c'est justement mon propos : attribuer "liberté nécessaire" pour le concept décrit est mal approprié, car trop différent du concept de liberté.
Ce concept de "liberté nécessaire" n'a aucun rapport avec le concept de liberté comme tout le monde l'entend lorsqu'il l'emploie, et ce dans toutes les classes sociales : du président Macron au SDF au coin de la rue.
Ainsi, parler de "liberté nécessaire" pour un concept totalement étranger à celui de la liberté ou de la "liberté contingente" est une erreur, d'après moi.
Sinon, je le répète, je peux inventer le terme "liberté absolue" et dire qu'un esclave en -700 avant JC est autant libre qu'un homme de 2024 ; en mettant derrière "liberté absolue" un concept et une définition totalement farfelus sur la liberté. Les mots n'ont alors plus aucun sens, puisque l'idée même initiale de liberté est complètement réfutée et contradictoire avec ces nouveaux concepts qu'on attribue à la liberté elle-même, sous prétexte qu'on y met un adjectif ou un mot pour l'accompagner.Spinoza adopte la notion de liberté comme opposé de la contrainte. C'est pas déconnant : on dit aussi que quand on n'est pas contraint, on est libre. Puis globalement je suis pas fan de débats sur une définition, c'est pas hyper pertinent.
De même mais malheureusement c'est indispensable de bien définir ce dont on parle, et de bien nommer les choses, sinon le débat est impossible ou n'a aucun sens.
Le 20 janvier 2024 à 18:21:01 :
Ce que tu décris n'est pas le déterminisme de Spinoza.
Le déterminisme dont on parle est celui où justement il y a ce rapport causes/conséquences permanent.
Par exemple tu dis : "mais puisque l'homme parle, il est libre de penser et d'exercer sa pensée."
Or c'est faux dans la vision déterministe, car sa pensée est elle-même déterminée par des causes et par des processus biochimiques et cognitifs en relation avec le cerveau ; eux-mêmes n'étant que l'évolution d'une suite de causes/conséquences.La raison, c'est ce qui permet bien chez spinoza non pas de sortir du déterminisme religieux, biologique, de l'éducation, mais de le reconnaitre comme ce qui est, c'est là, comme le traumatisme, c'est là, je le reconnais, car je suis un être de langage capable de raison, car par le langage je peux penser, établir des raisonnements, ce que l'animal ne peut pas faire, il ne raisonne pas, ne parle pas, il est dans son état de nature soumis à ces instincts, il ne peut pas les sublimer dans l'art.
L'homme lui peut sortir de cet état de nature par la culture, c'est l'artiste même qui montre le chemin de ce qu'est la liberté, il reconnait ses déterminismes, ce qui le constitue, ses désirs par exemple de meurtre, ce que décrivait dostoievski dans les frères karamazov et crimes et chatiments, pour en faire quelque chose d'autre.
Tu fais intervenir une vision biologique et scientiste dans le raisonnement de spinoza, ça ne va pas, c'est une vision fataliste alors qu'à mon sens, de ce que j'ai compris spinoza n'est pas fataliste, mais dans la reconnaissance des déterminismes par la raison, ceci afin de permettre de reconnaitre ce qui est pour ne plus être aliéné par ces déterminismes. Ce forum on voit souvent ce déterminisme que tu explicites "gneugneu tout est déterminé par les gênes, je raté la loterie génétique, je suis condamné à être rejeté", c'est pas ce que dit spinoza à mon sens.
Là encore, c'est une vision fataliste de la vie, et un refus de la souffrance, de ce qui est, c'est un être qui baigne dans l'idéal de paradis perdu, un être bourré de ressentiment car il voit ce qu'il n'a pas, par exemple les femmes ou la beauté, et il boucle là dessus, il ressasse, là où spinoza accepterait ce qui est, c'est là, mais je peux faire autre chose, cesser de subir ce ressentiment dû à cette haine qui ne se dit pas, de cet amour qui n'a pas eu lieu, mais accepter la haine, l'amour, l'ambivalence des sentiments au lieu de refouler ou de projeter sur l'autre. L'acceptation par exemple souvent d'une pathologie, provoque souvent chez la personne concernée un soulagement, elle sait ce qu'elle a, ce qui la tourmente, ou la révélation d'un secret de famille.
Un exemple de ce fatalisme génétique qui vire à l'obsession et au ressentiment dans le monde du jv, c'est liquid snake et sa haine envers solid snake, du fait de penser qu'il a recu les mauvais gênes, et que c'est cela qui le dirige, ses gênes, il n'y a donc aucune source d'espoir, tout est dirigé par les gênes.
Tu sembles inclure une notion de libre arbitre et de raison indépendamment du déterminisme.
Tu dis : "Tu fais intervenir une vision biologique et scientiste dans le raisonnement de spinoza, ça ne va pas, c'est une vision fataliste alors qu'à mon sens, de ce que j'ai compris spinoza n'est pas fataliste, mais dans la reconnaissance des déterminismes par la raison, ceci afin de permettre de reconnaitre ce qui est pour ne plus être aliéné par ces déterminismes."
Dans ton discours on a l'impression qu'on peut s'émanciper de nos déterminismes via notre raison.
Or, cette raison est elle-même conditionnée et déterminée au préalable.
Si tu as telle raison ou telle façon de penser, c'est parce que ça a été déterminé comme ceci.
Ton cerveau n'est qu'un amas d'atomes et la conséquence de causes qui déterminent tous les processus biochimiques et cognitifs qui t'amènent à penser ce que tu penses, il n'y a donc pas de "raison" indépendante au déterminisme : ta raison et ta pensée sont elles-mêmes prédéterminées. Elles ne sont pas transcendantes.
Tu as ta propre vision mais je ne pense pas que ce soit le courant de Spinoza qui corresponde le plus à ta façon de penser.
Le 20 janvier 2024 à 18:18:50 :
Le 20 janvier 2024 à 18:17:06 consultantsap a écrit :
Le 20 janvier 2024 à 18:11:53 :
Le 20 janvier 2024 à 18:10:01 https://www.jeuxvideo.com/profil/consultantsap?mode=infos a écrit :
Sauf que chez Spinoza tout est nécessaire donc forcément il doit redéfinir les termes qui se définissent selon la nécessité.
Sauf qu'en résumé :
-> Tu n'es pas déterminé à comprendre le déterminisme, et donc tu ne seras jamais "libre nécessaire".
-> Tu es déterminé à comprendre le déterminisme, et donc à identifier tes affects pour être "libre nécessaire". Or, tout ce cheminement de compréhension et d'identification est lui-même déterminé au préalable. Tu n'es donc pas "libre" au véritable sens, ce que tu appelles être "libre nécessaire" est juste la "chance" d'avoir eu le bon cerveau et les bons paramètres d'accès à ce cheminement, donc un concept totalement différent à ce qui s'apparente à de la liberté. Mettre le terme de liberté sur cette "chance déterminée", qui est un tout autre concept, est, d'après moi, problématique.Tu fais un raisonnement circulaire khey. Dans ton deuxième point, tu utilises "libre" avec la notion de liberté contingente.
Oui car c'est ce que je disais au préalable : les mots ont un sens.
On ne peut pas, par exemple, appeler "libre" le fait d'être esclave parce que tel courant philosophe entrevoit la liberté de telle façon, sinon on ne s'en sort plus et on ne discute de plus rien ; et ça marche pour plein d'autres mots et de concepts philosophiques.C'est pour ça que c'est mieux de préciser liberté nécessaire ou liberté contingente.
Mais c'est justement mon propos : attribuer "liberté nécessaire" pour le concept décrit est mal approprié, car trop différent du concept de liberté.
Ce concept de "liberté nécessaire" n'a aucun rapport avec le concept de liberté comme tout le monde l'entend lorsqu'il l'emploie, et ce dans toutes les classes sociales : du président Macron au SDF au coin de la rue.
Ainsi, parler de "liberté nécessaire" pour un concept totalement étranger à celui de la liberté ou de la "liberté contingente" est une erreur, d'après moi.
Sinon, je le répète, je peux inventer le terme "liberté absolue" et dire qu'un esclave en -700 avant JC est autant libre qu'un homme de 2024 ; en mettant derrière "liberté absolue" un concept et une définition totalement farfelue sur la liberté. Les mots n'ont alors plus aucun sens, puisque l'idée même initiale de liberté est complètement réfutée et contradictoire avec ces nouveaux concepts qu'on attribue à la liberté elle-même, sous prétexte qu'on y met un adjectif ou un mot pour l'accompagner.
Le 20 janvier 2024 à 18:11:53 :
Le 20 janvier 2024 à 18:10:01 consultantsap a écrit :
Sauf que chez Spinoza tout est nécessaire donc forcément il doit redéfinir les termes qui se définissent selon la nécessité.
Sauf qu'en résumé :
-> Tu n'es pas déterminé à comprendre le déterminisme, et donc tu ne seras jamais "libre nécessaire".
-> Tu es déterminé à comprendre le déterminisme, et donc à identifier tes affects pour être "libre nécessaire". Or, tout ce cheminement de compréhension et d'identification est lui-même déterminé au préalable. Tu n'es donc pas "libre" au véritable sens, ce que tu appelles être "libre nécessaire" est juste la "chance" d'avoir eu le bon cerveau et les bons paramètres d'accès à ce cheminement, donc un concept totalement différent à ce qui s'apparente à de la liberté. Mettre le terme de liberté sur cette "chance déterminée", qui est un tout autre concept, est, d'après moi, problématique.Tu fais un raisonnement circulaire khey. Dans ton deuxième point, tu utilises "libre" avec la notion de liberté contingente.
Oui car c'est ce que je disais au préalable : les mots ont un sens.
On ne peut pas, par exemple, appeler "libre" le fait d'être esclave parce que tel courant philosophe entrevoit la liberté de telle façon, sinon on ne s'en sort plus et on ne discute de plus rien ; et ça marche pour plein d'autres mots et de concepts philosophiques.
Le 20 janvier 2024 à 18:05:23 :
Le 20 janvier 2024 à 18:01:16 :
Mais si tout est déterminé nécessairement, alors le fait même que l'on s'intéresse à la philo, à Spinoza, et qu'on cherche à "identifier activement ses affects", ça aussi ça a été déterminé.
Donc le fait que "on soit conscient de cette détermination et qu'on cherche à transcender sa condition", ce fait est lui-même pré-déterminé. Ainsi, on est pas libre non plus en faisant cette identification et en faisant cette acceptation, puisque par avance programmé pour avoir la possibilité de la faire ou non.
Ce n'est pas par libre-arbitre qu'on fait cette identification et ce travail, mais bien parce qu'on a été déterminé pour le faire, donc il y a une contradiction intrinsèque dans cette volonté de transcender et le fait d'être de toute façon déterminé.
Ainsi, être conscient du déterminisme n'avance à rien en soi, si ce n'est à relativiser certaines choses néfastes qui peuvent nous arriver dans la vie, et ainsi mieux les encaisser.Encore une fois, la liberté chez Spinoza ne s'oppose pas à la nécessité. Il s'agit d'une "libre nécessité" en quelques sortes.
Sauf que les mots ont un sens. Si on appelle "liberté" 2 concepts qui n'ont absolument rien à voir, ça devient compliqué de s'entendre, surtout sur une notion complexe comme celle-là.
En adoptant cette démarche de donner trop de sens différents à la notion de liberté, alors je peux même en arriver à dire qu'un esclave est libre.Ça vient du fait que la liberté est un concept formel. L'histoire de l'étude de la question de la liberté en philosophie à été d'associer cette idée : la liberté, à quelque chose de concret.
C'est pas que les philosophes changent le sens des mots, c'est que le passage du formel au concret est équivoque.
Justement, le concret et le réel nous font poser des mots sur des concepts/objets physiques pour communiquer.
Si le réel me montre un esclave de l'Egypte antique et un homme de 2024 dans notre société française, on peut quand même bien plus attribuer le terme "libre" à l'homme de 2024.
Si on commence à dire que ni l'un ni l'autre ne sont "libres", car sur telle vision "déterministe" ou sur telle autre courant philosophique, aucun n'est libre, alors les mots n'ont plus aucun sens et les concepts non plus, et on ne peut plus discuter de rien.
Cela dit, je reste d'accord pour qu'on philosophe, questionne et remette constamment en question ces concepts, et qu'on revoie leur définition. Or il ne faut pas tomber dans du relativisme absolu de ces termes, ou des changements radicaux de leur définition initiale, sinon on ne peut plus discuter ni se comprendre.
Sauf que chez Spinoza tout est nécessaire donc forcément il doit redéfinir les termes qui se définissent selon la nécessité.
Sauf qu'en résumé :
-> Tu n'es pas déterminé à comprendre le déterminisme, et donc tu ne seras jamais "libre nécessaire".
-> Tu es déterminé à comprendre le déterminisme, et donc à identifier tes affects pour être "libre nécessaire". Or, tout ce cheminement de compréhension et d'identification est lui-même déterminé au préalable. Tu n'es donc pas "libre" au véritable sens, ce que tu appelles être "libre nécessaire" est juste la "chance" d'avoir eu le bon cerveau et les bons paramètres d'accès à ce cheminement, donc un concept totalement différent à ce qui s'apparente à de la liberté. Mettre le terme de liberté sur cette "chance déterminée", qui est un tout autre concept, est, d'après moi, problématique.
Le 20 janvier 2024 à 17:52:57 :
Le 20 janvier 2024 à 17:39:19 :
Le 20 janvier 2024 à 16:56:22 :
Ah ben je te réponds ici plutôt qu'en MP du coup
Un truc essentiel à comprendre, c'est que pour Spinoza, la liberté est l'inverse de la contrainte, pas de la nécessité. Tout étant, par essence, nécessaire chez Spinoza, ça n'aurait de toute façon pas vraiment de sens d'avoir un concept qui s'y oppose.Ainsi, être libre pour un homme ne signifie pas transcender le déterminisme, ça c'est impossible, mais plutôt transcender sa condition de vulgaire machine passive à affects. Identifier activement ses affects, ce qui les cause, ce qui les satisfait, c'est ça être libre. Mais ça Spinoza le développe surtout dans les parties IV et V de son Ethique.
Mais si tout est déterminé nécessairement, alors le fait même que l'on s'intéresse à la philo, à Spinoza, et qu'on cherche à "identifier activement ses affects", ça aussi ça a été déterminé.
Donc le fait que "on soit conscient de cette détermination et qu'on cherche à transcender sa condition", ce fait est lui-même pré-déterminé. Ainsi, on est pas libre non plus en faisant cette identification et en faisant cette acceptation, puisque par avance programmé pour avoir la possibilité de la faire ou non.
Ce n'est pas par libre-arbitre qu'on fait cette identification et ce travail, mais bien parce qu'on a été déterminé pour le faire, donc il y a une contradiction intrinsèque dans cette volonté de transcender et le fait d'être de toute façon déterminé.
Ainsi, être conscient du déterminisme n'avance à rien en soi, si ce n'est à relativiser certaines choses néfastes qui peuvent nous arriver dans la vie, et ainsi mieux les encaisser.Tout n'est pas déterminé à l'avance comme si dieu avait un chemin pour chacun et forcerait chacun à suivre ce chemin, à lire tel ou tel livre. On a une nature qui nous est propre, des déterminismes en fonction de notre éducation, de nos parents, des événements subis, mais puisque l'homme parle, il est libre de penser et d'exercer sa pensée.
Une pensée qui peut être réduite à cause de ces déterminismes, et de ce désir qui s'il n'est pas révélé par la parole, le symbolique et la conscience, restera inconscient, et forcera à l'agir. Le cas typique c'est la personne qui répète dans l'agir, sans le savoir le crime qu'elle même a subi. En révélant le traumatisme de l'événement la personne justement cesse d'être comme spectatrice de sa vie, mais actrice, elle devient responsable.
L'enfant, comme le peuple, n'est pas responsable, il tient à ses chaines, il ne veut pas se séparer de ses parents, hors c'est bien la parole qui incise, qui coupe, qui libère, ce que dieu fait en apportant différents langages. Faire UN dans la tour de babel, reviendrait à s'annihiler dans un tout, dans une globalité par peur de ne plus être aimé, hors dieu sépare, il coupe, comme l'enfant est coupé, séparé de la dyade avec la mère, comme jésus apporte non pas la paix, mais le glaive, il rend l'homme non pas coupable, mais responsable, et pour cela il doit se séparer de ses parents.
Se séparer de ses parents ce n'est pas "papa maman, je pars de la maison" c'est aussi et surtout s'en séparer psychiquement, les tuer comme dirait freud symboliquement, comme le firent zeus et les dieux avec cronos, un meurtre symbolique, qui s'il n'est pas établi dans cet ordre symbolique, tendra à se répéter dans le réel, ce qu'est en soi la révolution française, le coupable c'est le père, le roi, les frères c'est le peuple qui est agit par ses passions, son ressentiment, et dirigé par les sophistes et les bourgeois.
L'homme à la différence de l'animal parle, il n'est pas un être d'instinct, mais de désir et de langage, émettre des sons comme le ferait l'animal ce n'est pas parler, parler c'est être sujet de sa parole, donc séparé d'un autre, la mère. On est par la naissance et le langage aliéné par le discours de l'autre, le langage, c'est la langue maternelle, celle qui nous constitue, et pourtant il faut le reconnaitre pour être libre, et être sujet de sa parole. Le schizophrène est dans sa prison intérieure, il ne peut rentrer en communication avec l'autre, il est non séparé, lié à un autre, à un retour dans le réel par les hallucinations, de ce qui n'est pas advenu dans le symbolique, la coupure, la séparation.
L'animal ne réfléchit pas l'acte sexuel, il le fait point, y'a pas d'érotisme animalier, il est dans l'état de nature, l'homme dans l'état de culture, et c'est pour cela qu'il peut tendre vers la liberté et la responsabilité, ce n'est pas un état de fait obtenu à la naissance, mais par une séparation, des castrations d'ordre symboliques, ce qu'étaient déjà les rites de passage à l'age adulte chez les peuples primitifs, l'homme et la femme étaient séparé, dans la fierté de leur sexe, ce qui n'est plus aujourd'hui où plane un flou constant de ce qu'est être homme ou femme, ce n'est pas être libre que de se dire non genré, pas dans le bon corps, c'est faire le jeu de l'enfant roi victime de ses caprices, de ses passions.
Ce que tu décris n'est pas le déterminisme de Spinoza.
Le déterminisme dont on parle est celui où justement il y a ce rapport causes/conséquences permanent.
Par exemple tu dis : "mais puisque l'homme parle, il est libre de penser et d'exercer sa pensée."
Or c'est faux dans la vision déterministe, car sa pensée est elle-même déterminée par des causes et par des processus biochimiques et cognitifs en relation avec le cerveau ; eux-mêmes n'étant que l'évolution d'une suite de causes/conséquences.
Mais si tout est déterminé nécessairement, alors le fait même que l'on s'intéresse à la philo, à Spinoza, et qu'on cherche à "identifier activement ses affects", ça aussi ça a été déterminé.
Donc le fait que "on soit conscient de cette détermination et qu'on cherche à transcender sa condition", ce fait est lui-même pré-déterminé. Ainsi, on est pas libre non plus en faisant cette identification et en faisant cette acceptation, puisque par avance programmé pour avoir la possibilité de la faire ou non.
Ce n'est pas par libre-arbitre qu'on fait cette identification et ce travail, mais bien parce qu'on a été déterminé pour le faire, donc il y a une contradiction intrinsèque dans cette volonté de transcender et le fait d'être de toute façon déterminé.
Ainsi, être conscient du déterminisme n'avance à rien en soi, si ce n'est à relativiser certaines choses néfastes qui peuvent nous arriver dans la vie, et ainsi mieux les encaisser.Encore une fois, la liberté chez Spinoza ne s'oppose pas à la nécessité. Il s'agit d'une "libre nécessité" en quelques sortes.
Sauf que les mots ont un sens. Si on appelle "liberté" 2 concepts qui n'ont absolument rien à voir, ça devient compliqué de s'entendre, surtout sur une notion complexe comme celle-là.
En adoptant cette démarche de donner trop de sens différents à la notion de liberté, alors je peux même en arriver à dire qu'un esclave est libre.
Le 20 janvier 2024 à 16:56:22 :
Ah ben je te réponds ici plutôt qu'en MP du coup
Un truc essentiel à comprendre, c'est que pour Spinoza, la liberté est l'inverse de la contrainte, pas de la nécessité. Tout étant, par essence, nécessaire chez Spinoza, ça n'aurait de toute façon pas vraiment de sens d'avoir un concept qui s'y oppose.Ainsi, être libre pour un homme ne signifie pas transcender le déterminisme, ça c'est impossible, mais plutôt transcender sa condition de vulgaire machine passive à affects. Identifier activement ses affects, ce qui les cause, ce qui les satisfait, c'est ça être libre. Mais ça Spinoza le développe surtout dans les parties IV et V de son Ethique.
Mais si tout est déterminé nécessairement, alors le fait même que l'on s'intéresse à la philo, à Spinoza, et qu'on cherche à "identifier activement ses affects", ça aussi ça a été déterminé.
Donc le fait que "on soit conscient de cette détermination et qu'on cherche à transcender sa condition", ce fait est lui-même pré-déterminé. Ainsi, on est pas libre non plus en faisant cette identification et en faisant cette acceptation, puisque par avance programmé pour avoir la possibilité de la faire ou non.
Ce n'est pas par libre-arbitre qu'on fait cette identification et ce travail, mais bien parce qu'on a été déterminé pour le faire, donc il y a une contradiction intrinsèque dans cette volonté de transcender et le fait d'être de toute façon déterminé.
Ainsi, être conscient du déterminisme n'avance à rien en soi, si ce n'est à relativiser certaines choses néfastes qui peuvent nous arriver dans la vie, et ainsi mieux les encaisser.
Le 19 janvier 2024 à 14:18:01 :
Le 19 janvier 2024 à 14:17:13 consultantsap a écrit :
Le 19 janvier 2024 à 14:11:46 :
Le 19 janvier 2024 à 14:11:01 consultantsap a écrit :
Le 19 janvier 2024 à 14:08:10 :
> Le 19 janvier 2024 à 14:06:52 elden_mohg a écrit :
> > Le 19 janvier 2024 à 13:56:52 :
> > Exemple 1 : des chercheurs ont réussi à faire un médicament parfaitement inefficace mais qui a un superbe effet placebo : il guérit 60% des personnes qui le prennent, tandis que ceux qui ne le prennent pas ne guérissent qu'à 20%. L'effet est purement placebo et, si le patient est au courant qu'il n'y a aucune molécule active, l'efficacité chute à 20%.
> > Vous êtes président et devez choisir s'il faut mentir à la population et cacher que le médicament est un placebo pour obtenir 60% de guérison, ou bien dire la vérité.
> >
> > Exemple 2 : vous pouvez apporter une fausse preuve mais extrêmement convaincante qu'un paradis existe après la mort, accessible à tous ceux qui font preuve d'altruisme et d'empathie au cours de leur vie. Ladite preuve est parfaitement fausse et vous en êtes conscient. La propagez-vous malgré tout ?
> >
> > Bref vous avez compris l'idée. Imaginez dans chaque expérience qu'il est impossible que la population apprenne la trahison, en cas de mensonge.
> >
> > Vous avez plutôt une morale relativiste et utilitariste (mentir pour le bien commun), ou une morale absolue et transcendantale (ne pas mentir, par principe) ?
> >
> >
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/06/3/1612978436-spin.jpg >
> Un mensonge aussi bénéfique soit-il n'en reste pas moins un mensonge.
Oui et ?
> Le 19 janvier 2024 à 14:07:40 consultantsap a écrit :
> Je suis pour la morale évolutionniste, toutes les autres ne sont que des dérivées de celle-ci.
Définis "morale évolutionniste" stp ?
Notre morale se perfectionne au fur à mesure de l'évolution de notre espèce et elle découle de nos instincts fondamentaux, notamment la survie et la reproduction.
Comment t'expliques qu'il y ait tant de morales différentes alors ?
Le 19 janvier 2024 à 14:10:32 RakanAveugle a écrit :
Le 19 janvier 2024 à 14:01:02 :
> Le 19 janvier 2024 à 14:00:12 76edose a écrit :
> Dans le 1er cas, je serai favorable au mensonge. Dans le 2e non, car c'est une question métaphysique, la vérité doit primer.
> Je suis aucun des deux, simplement incohérent j'imagine
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1494048058-pppppppppppppppppppp.png Effectivement, incohérent. C'est pas bien grave, énormément de personnes ont une morale dynamique
Ca ne me semble pas incohérent, il place simplement son choix ailleurs que sur le seul argument "permettre à l'humain de se sentir bien ou dire la vérité".
Je suis de cet avis également que dans le premier cas, le mensonge ne coûte rien à celui qui le reçois et ne fait que lui apporter une chance accrue d'aller mieux (ce qui est universellement reconnu comme étant mieux que d'être malade).
Dans le second cas en revanche, il le prive de sa liberté de réfléchir à l'après vie pour le conditionner de telle sorte qu'il se comporte de façon empathique et altruiste. Ce sont des notions qui sont moins universelles. On peut vouloir être égoïste et déconnecté de l'autre.Intéressant
La morale est évolutionniste, ce sont les règles morales qui différent, cela est justement dû au fait que l'évolution et les conditions de cette dernière ne sont pas les mêmes d'un peuple à l'autre, créant ainsi des cultures différentes, etc.
Je suis d'accord avec ça mais du coup ça répond pas au topic
La morale absolue est une aberration.
Ceux qui la défendent seront les premiers à la renier si ça touche un membre de leur famille.
Donne leur le même exemple en plus trash :
Tu parles avec ta mère d'un sujet random.
Si tu lui dit la vérité sur ce sujet, elle meurt.
Si tu lui mens, elle reste en vie.
Quelle morale choisir ?
Ici, tous ceux qui t'avaient dit "morale absolue : jamais mentir" vont changer d'avis.
Je te le répète, il n'y a que la morale évolutionniste qui a du sens.
Dans tes exemples donc, c'est l'utilitarisme qui prévaut, mais lui-même n'est qu'une sous-branche de la morale évolutionniste.
Le 19 janvier 2024 à 14:11:46 :
Le 19 janvier 2024 à 14:11:01 consultantsap a écrit :
Le 19 janvier 2024 à 14:08:10 :
Le 19 janvier 2024 à 14:06:52 elden_mohg a écrit :
Le 19 janvier 2024 à 13:56:52 :
Exemple 1 : des chercheurs ont réussi à faire un médicament parfaitement inefficace mais qui a un superbe effet placebo : il guérit 60% des personnes qui le prennent, tandis que ceux qui ne le prennent pas ne guérissent qu'à 20%. L'effet est purement placebo et, si le patient est au courant qu'il n'y a aucune molécule active, l'efficacité chute à 20%.
Vous êtes président et devez choisir s'il faut mentir à la population et cacher que le médicament est un placebo pour obtenir 60% de guérison, ou bien dire la vérité.Exemple 2 : vous pouvez apporter une fausse preuve mais extrêmement convaincante qu'un paradis existe après la mort, accessible à tous ceux qui font preuve d'altruisme et d'empathie au cours de leur vie. Ladite preuve est parfaitement fausse et vous en êtes conscient. La propagez-vous malgré tout ?
Bref vous avez compris l'idée. Imaginez dans chaque expérience qu'il est impossible que la population apprenne la trahison, en cas de mensonge.
Vous avez plutôt une morale relativiste et utilitariste (mentir pour le bien commun), ou une morale absolue et transcendantale (ne pas mentir, par principe) ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/06/3/1612978436-spin.jpg Un mensonge aussi bénéfique soit-il n'en reste pas moins un mensonge.
Oui et ?
Le 19 janvier 2024 à 14:07:40 consultantsap a écrit :
Je suis pour la morale évolutionniste, toutes les autres ne sont que des dérivées de celle-ci.Définis "morale évolutionniste" stp ?
Notre morale se perfectionne au fur à mesure de l'évolution de notre espèce et elle découle de nos instincts fondamentaux, notamment la survie et la reproduction.
Comment t'expliques qu'il y ait tant de morales différentes alors ?
Le 19 janvier 2024 à 14:10:32 RakanAveugle a écrit :
Le 19 janvier 2024 à 14:01:02 :
Le 19 janvier 2024 à 14:00:12 76edose a écrit :
Dans le 1er cas, je serai favorable au mensonge. Dans le 2e non, car c'est une question métaphysique, la vérité doit primer.
Je suis aucun des deux, simplement incohérent j'imaginehttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1494048058-pppppppppppppppppppp.png Effectivement, incohérent. C'est pas bien grave, énormément de personnes ont une morale dynamique
Ca ne me semble pas incohérent, il place simplement son choix ailleurs que sur le seul argument "permettre à l'humain de se sentir bien ou dire la vérité".
Je suis de cet avis également que dans le premier cas, le mensonge ne coûte rien à celui qui le reçois et ne fait que lui apporter une chance accrue d'aller mieux (ce qui est universellement reconnu comme étant mieux que d'être malade).
Dans le second cas en revanche, il le prive de sa liberté de réfléchir à l'après vie pour le conditionner de telle sorte qu'il se comporte de façon empathique et altruiste. Ce sont des notions qui sont moins universelles. On peut vouloir être égoïste et déconnecté de l'autre.Intéressant
La morale est évolutionniste, ce sont les règles morales qui différent, cela est justement dû au fait que l'évolution et les conditions de cette dernière ne sont pas les mêmes d'un peuple à l'autre, créant ainsi des cultures différentes, etc.
Le 19 janvier 2024 à 14:08:10 :
Le 19 janvier 2024 à 14:06:52 elden_mohg a écrit :
Le 19 janvier 2024 à 13:56:52 :
Exemple 1 : des chercheurs ont réussi à faire un médicament parfaitement inefficace mais qui a un superbe effet placebo : il guérit 60% des personnes qui le prennent, tandis que ceux qui ne le prennent pas ne guérissent qu'à 20%. L'effet est purement placebo et, si le patient est au courant qu'il n'y a aucune molécule active, l'efficacité chute à 20%.
Vous êtes président et devez choisir s'il faut mentir à la population et cacher que le médicament est un placebo pour obtenir 60% de guérison, ou bien dire la vérité.Exemple 2 : vous pouvez apporter une fausse preuve mais extrêmement convaincante qu'un paradis existe après la mort, accessible à tous ceux qui font preuve d'altruisme et d'empathie au cours de leur vie. Ladite preuve est parfaitement fausse et vous en êtes conscient. La propagez-vous malgré tout ?
Bref vous avez compris l'idée. Imaginez dans chaque expérience qu'il est impossible que la population apprenne la trahison, en cas de mensonge.
Vous avez plutôt une morale relativiste et utilitariste (mentir pour le bien commun), ou une morale absolue et transcendantale (ne pas mentir, par principe) ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/06/3/1612978436-spin.jpg Un mensonge aussi bénéfique soit-il n'en reste pas moins un mensonge.
Oui et ?
Le 19 janvier 2024 à 14:07:40 consultantsap a écrit :
Je suis pour la morale évolutionniste, toutes les autres ne sont que des dérivées de celle-ci.Définis "morale évolutionniste" stp ?
Notre morale se perfectionne au fur à mesure de l'évolution de notre espèce et elle découle de nos instincts fondamentaux, notamment la survie et la reproduction.
Le 18 janvier 2024 à 16:06:39 :
Le 18 janvier 2024 à 16:05:56 pzodl_ a écrit :
Le 18 janvier 2024 à 16:03:38 :
Le 18 janvier 2024 à 16:01:20 :
Le 18 janvier 2024 à 15:57:31 :
> Mais qu'est-ce qu'on s'en branle que des complexés moches comme toi et tes "collègues ricains" se foutent de nous ?
> Bordel on s'en branle de plaire à des puceaux frustrés tu comprends pas ça ?
> Pendant que vous vous masturbez sur vos accents de rosbif entre 2/10 nous on gère des 8/10 avec notre accent éclatax le puceau
ah mais t'es un QLF
Je me disais aussi, je comprenais pas la haine anti fr
ça se passe comment l'expat dream avec 300 euros de salaire en call center ?
j'ai hurlé, on entend les types dans l'open space derrière
le type bosse dans un call center rempli de pak et il nous fait la leçon
Ayaaa le dream
C'est donc eux les collègues pakpak avec qui il se fout de nos accents quand on quitte la pièce
Le 18 janvier 2024 à 15:57:40 :
Le 18 janvier 2024 à 15:55:48 :
Le 18 janvier 2024 à 15:48:12 :
18 janvier 2024 à 15:06:02 :> > > >> Le 18 janvier 2024 à 15:03:57 :
> > > > >> Le 18 janvier 2024 à 14:48:42 :
> > > > > >> Le 18 janvier 2024 à 14:43:06 :
> > > > > > >Le délire de vouloir avoir un accent parfait c'est trop un truc de low iq de français
> > > > > > > Je suis allé à Malte 6mois et je m'en branle je fais 0 effort sur l'accent, personne ne m'a jamais fait de remarque, tout le monde me disait même que je parle bien anglais
> > > > > > > Bizarrement les seuls qui ont critiqué mon accent c'est des français, en France
> > > > > > > Mentalité de puceau suceur d'anglais
> > > > > > > Tant que tu te fais comprendre osef de l'accent les suceurs de rosbif
> > > > > >
> > > > > > et non célestin , tu ne parlera jamais bien anglais avec ton accent du périgord , faire aucune faute de grammaire ne signifie pas bien parler la langue
> > > > > > après a toi de voir si tu veux faire partie de la masse ou si tu veux faire partie de l'élite des 0.2% de français qui maitrisent le sujet ))">
> > > > > > justement ca me fait plaisir quand les natifs anglophone me disent que j'ai un très bon accent , mais je le fais pas pour eux non plus , c'est juste que je suis perfectionniste et si je fait un truc je le fait a fond
> > > > >
> > > > > Sauf que contrairement à toi j'en ai rien à foutre d'avoir un accent parfait dans n'importe quelle langue que ce soit, l'essentiel c'est de pouvoir communiquer
> > > > > T'es exactement le profil que je décrivais, à savoir un puceau suceur de rosbif, tout le monde s'en branle que tu prononces correctement un mot en anglais le low
> > > >
> > > > écoute on a compris que tu parleras toujours anglais comme un picard mais reste digne célestin
> > > > et ca fait + de 10 ans que je peux communiquer dans 4 langues différente sans problème donc si tu veux je me suis pas arrêter à ca
> > >
> > > Ben oui je parlerai toujours avec une prononciation imparfaite et j'en suis content, ça m'empêche pas de tenir une conversation et de gérer des gourgandines en anglais, c'est tout ce qui compte
> > > Y a que les puceaux frustrés qui ont ce complexe et qui veulent absolument parler parfaitement
> > > Sinon gg pour les 4 langues
> >
> > chacun ses priorité , si tu veux choper des gourgandines c'est vraiment le premier stade quoi , donc tu t'arrête là très bien mais il y a toute une langue derrière , et je le fais aussi principalement pour mon taff , quand tu va au fin fond du texas je peux te dire qu'avec ton accent personne te comprendras en fait
> > et ta une vision très limité si tu compare le fait de vouloir exceller dans quelque chose a la notion de pucellerie ou de frustration je pense que t'es encore très jeune pour penser comme ca
>
> C'est sur que si tu veux faire prof d'anglais ou t'expat au Texas, je suis d'accord faut bien prononcer
> Or pour 99% des gens c'est pas le cas, donc on s'en branle de prononcer parfaitement hein
> Si si souvent les gens qui critiquent la prononciation sont des complexés et frustrés parce qu'ils ont eux même été critiqués sur leur prononciation un jour, ou ils ont vu des gens être critiqués sur ça et ils veulent pas que ça leur arrive car pas de confiance en eux (par abus de langage je dis donc puceau), et le jour où ils prononcent bien ils reproduisent cette même critique débile, comme une sorte de vengeance
> Un peu comme les harcelés qui deviennent harceleurs
mais pas du tout bordel , c'est juste parceque c'est beaucoup plus stylé en fait et que l'accent français est putain de dégueulasse en fait et que je trouve la langue anglaise qui sors de la bouche d'un mec avec son énorme accent français c'est juste horrible , c'est le respect de la langue aussi
c'est comme un américain qui au lieu de dire beaucoup il dit beaucul , bah non en fait c'est moche et il passe pour un con , bien dis toi que toi c'est exactement pareilBizarrement y a que les français comme toi qui trouvent ça dégueulasse, à l'étranger personne ne pense ça, et c'est ce qu'on te dit depuis tout à l'heure : c'est une critique typique française (de complexé)
Et non, un étranger qui parle français avec son accent il passe pas pour un con et je vais pas trouver ça moche, au contraire je vais apprécier qu'il fasse l'effort, y a que les gens hautains et débiles qui pensent comme ça
D'ailleurs si j'entends une italienne qui parle français avec son accent, c'est tout le contraire, je vais trouver ça mignon et excitant
Le 18 janvier 2024 à 15:39:38 :
Le 18 janvier 2024 à 15:37:18 :
> Le 18 janvier 2024 à 15:35:37 :
>> Le 18 janvier 2024 à 15:34:18 :
> >> Le 18 janvier 2024 à 15:32:12 :
> > >L'accent français est ignoble, j'ai un collègue belge qui lorsqu'il parle, personne bite rien moi y compris car la prononciation joue énormément
> > > encore ce matin, il a du répéter 3 fois le mot "handle" parce qu'il prononçait ça "an-deul"
> > > bref, faites un effort les low
> >
> > T'es juste nul en anglais khey, j'ai bossé avec des russes et tchèques qui ont un accent hyper cru, ça se comprend parfaitement
> >
> > Le plus dur reste les asiats qui ont un faible niveau, là ça peut être complexe
>
> T'façon il parle de problèmes de prononciation, c'est pas un problème d'accent
Un francophone comprend plus facilement un autre francophone qui fait 0 effort de prononciation
Les étrangers par contre c'est moins sûr
Bah c'est logique que des francophones se comprennent mieux entre eux vu qu'ils sont habitués aux erreurs de prononciation récurrentes des francophones.
Le 18 janvier 2024 à 15:40:28 :
Le 18 janvier 2024 à 15:38:33 :
> Le 18 janvier 2024 à 15:34:18 :
>> Le 18 janvier 2024 à 15:32:12 :
> >L'accent français est ignoble, j'ai un collègue belge qui lorsqu'il parle, personne bite rien moi y compris car la prononciation joue énormément
> > encore ce matin, il a du répéter 3 fois le mot "handle" parce qu'il prononçait ça "an-deul"
> > bref, faites un effort les low
>
> T'es juste nul en anglais khey, j'ai bossé avec des russes et tchèques qui ont un accent hyper cru, ça se comprend parfaitement
>
> Le plus dur reste les asiats qui ont un faible niveau, là ça peut être complexe
Khey, je suis désolé je ne peux pas, je commence à écouter et le malaise est trop grand. J'imagine le célestin ambulant en train de forcer son accent
Mais qu'est-ce qu'on s'en branle que des complexés moches comme toi et tes "collègues ricains" se foutent de nous ?
Bordel on s'en branle de plaire à des puceaux frustrés tu comprends pas ça ?
Pendant que vous vous masturbez sur vos accents de rosbif entre 2/10 nous on gère des 8/10 avec notre accent éclatax le puceaukhey t'a pas l'air méchant mais tu deviens malaisant avec tes on gère des 8/10
Ayaa moi je troll par contre ce qui est grave c'est que vous vous êtes sérieux quand vous sucez vos accents de rosbif, comme l'autre avec ses vocaro
Le 18 janvier 2024 à 15:48:12 :
18 janvier 2024 à 15:06:02 :> >> Le 18 janvier 2024 à 15:03:57 :
> > >> Le 18 janvier 2024 à 14:48:42 :
> > > >> Le 18 janvier 2024 à 14:43:06 :
> > > > >Le délire de vouloir avoir un accent parfait c'est trop un truc de low iq de français
> > > > > Je suis allé à Malte 6mois et je m'en branle je fais 0 effort sur l'accent, personne ne m'a jamais fait de remarque, tout le monde me disait même que je parle bien anglais
> > > > > Bizarrement les seuls qui ont critiqué mon accent c'est des français, en France
> > > > > Mentalité de puceau suceur d'anglais
> > > > > Tant que tu te fais comprendre osef de l'accent les suceurs de rosbif
> > > >
> > > > et non célestin , tu ne parlera jamais bien anglais avec ton accent du périgord , faire aucune faute de grammaire ne signifie pas bien parler la langue
> > > > après a toi de voir si tu veux faire partie de la masse ou si tu veux faire partie de l'élite des 0.2% de français qui maitrisent le sujet ))">
> > > > justement ca me fait plaisir quand les natifs anglophone me disent que j'ai un très bon accent , mais je le fais pas pour eux non plus , c'est juste que je suis perfectionniste et si je fait un truc je le fait a fond
> > >
> > > Sauf que contrairement à toi j'en ai rien à foutre d'avoir un accent parfait dans n'importe quelle langue que ce soit, l'essentiel c'est de pouvoir communiquer
> > > T'es exactement le profil que je décrivais, à savoir un puceau suceur de rosbif, tout le monde s'en branle que tu prononces correctement un mot en anglais le low
> >
> > écoute on a compris que tu parleras toujours anglais comme un picard mais reste digne célestin
> > et ca fait + de 10 ans que je peux communiquer dans 4 langues différente sans problème donc si tu veux je me suis pas arrêter à ca
>
> Ben oui je parlerai toujours avec une prononciation imparfaite et j'en suis content, ça m'empêche pas de tenir une conversation et de gérer des gourgandines en anglais, c'est tout ce qui compte
> Y a que les puceaux frustrés qui ont ce complexe et qui veulent absolument parler parfaitement
> Sinon gg pour les 4 langues
chacun ses priorité , si tu veux choper des gourgandines c'est vraiment le premier stade quoi , donc tu t'arrête là très bien mais il y a toute une langue derrière , et je le fais aussi principalement pour mon taff , quand tu va au fin fond du texas je peux te dire qu'avec ton accent personne te comprendras en fait
et ta une vision très limité si tu compare le fait de vouloir exceller dans quelque chose a la notion de pucellerie ou de frustration je pense que t'es encore très jeune pour penser comme caC'est sur que si tu veux faire prof d'anglais ou t'expat au Texas, je suis d'accord faut bien prononcer
Or pour 99% des gens c'est pas le cas, donc on s'en branle de prononcer parfaitement hein
Si si souvent les gens qui critiquent la prononciation sont des complexés et frustrés parce qu'ils ont eux même été critiqués sur leur prononciation un jour, ou ils ont vu des gens être critiqués sur ça et ils veulent pas que ça leur arrive car pas de confiance en eux (par abus de langage je dis donc puceau), et le jour où ils prononcent bien ils reproduisent cette même critique débile, comme une sorte de vengeance
Un peu comme les harcelés qui deviennent harceleursmais pas du tout bordel , c'est juste parceque c'est beaucoup plus stylé en fait et que l'accent français est putain de dégueulasse en fait et que je trouve la langue anglaise qui sors de la bouche d'un mec avec son énorme accent français c'est juste horrible , c'est le respect de la langue aussi
c'est comme un américain qui au lieu de dire beaucoup il dit beaucul , bah non en fait c'est moche et il passe pour un con , bien dis toi que toi c'est exactement pareilBizarrement y a que les français comme toi qui trouvent ça dégueulasse, à l'étranger personne ne pense ça, et c'est ce qu'on te dit depuis tout à l'heure : c'est une critique typique française (de complexé)
Et non, un étranger qui parle français avec son accent il passe pas pour un con et je vais pas trouver ça moche, au contraire je vais apprécier qu'il fasse l'effort, y a que les gens hautains et débiles qui pensent comme ça
D'ailleurs si j'entends une italienne qui parle français avec son accent, c'est tout le contraire, je vais trouver ça mignon et excitant
Le 18 janvier 2024 à 15:39:38 :
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Le 18 janvier 2024 à 15:35:37 :
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> Le 18 janvier 2024 à 15:32:12 :
>L'accent français est ignoble, j'ai un collègue belge qui lorsqu'il parle, personne bite rien moi y compris car la prononciation joue énormément
> encore ce matin, il a du répéter 3 fois le mot "handle" parce qu'il prononçait ça "an-deul"
> bref, faites un effort les low
T'es juste nul en anglais khey, j'ai bossé avec des russes et tchèques qui ont un accent hyper cru, ça se comprend parfaitement
Le plus dur reste les asiats qui ont un faible niveau, là ça peut être complexe
T'façon il parle de problèmes de prononciation, c'est pas un problème d'accent
Un francophone comprend plus facilement un autre francophone qui fait 0 effort de prononciation
Les étrangers par contre c'est moins sûr
Bah c'est logique que des francophones se comprennent mieux entre eux vu qu'ils sont habitués aux erreurs de prononciation récurrentes des francophones.
Le 18 janvier 2024 à 15:40:28 :
Le 18 janvier 2024 à 15:38:33 :
Le 18 janvier 2024 à 15:34:18 :
Le 18 janvier 2024 à 15:32:12 :
L'accent français est ignoble, j'ai un collègue belge qui lorsqu'il parle, personne bite rien moi y compris car la prononciation joue énormément
encore ce matin, il a du répéter 3 fois le mot "handle" parce qu'il prononçait ça "an-deul"
bref, faites un effort les lowT'es juste nul en anglais khey, j'ai bossé avec des russes et tchèques qui ont un accent hyper cru, ça se comprend parfaitement
Le plus dur reste les asiats qui ont un faible niveau, là ça peut être complexe
Khey, je suis désolé je ne peux pas, je commence à écouter et le malaise est trop grand. J'imagine le célestin ambulant en train de forcer son accent
Mais qu'est-ce qu'on s'en branle que des complexés moches comme toi et tes "collègues ricains" se foutent de nous ?
Bordel on s'en branle de plaire à des puceaux frustrés tu comprends pas ça ?
Pendant que vous vous masturbez sur vos accents de rosbif entre 2/10 nous on gère des 8/10 avec notre accent éclatax le puceau
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> Le 18 janvier 2024 à 15:03:57 :
>> Le 18 janvier 2024 à 14:48:42 :
> >> Le 18 janvier 2024 à 14:43:06 :
> > >Le délire de vouloir avoir un accent parfait c'est trop un truc de low iq de français
> > > Je suis allé à Malte 6mois et je m'en branle je fais 0 effort sur l'accent, personne ne m'a jamais fait de remarque, tout le monde me disait même que je parle bien anglais
> > > Bizarrement les seuls qui ont critiqué mon accent c'est des français, en France
> > > Mentalité de puceau suceur d'anglais
> > > Tant que tu te fais comprendre osef de l'accent les suceurs de rosbif
> >
> > et non célestin , tu ne parlera jamais bien anglais avec ton accent du périgord , faire aucune faute de grammaire ne signifie pas bien parler la langue
> > après a toi de voir si tu veux faire partie de la masse ou si tu veux faire partie de l'élite des 0.2% de français qui maitrisent le sujet ))">
> > justement ca me fait plaisir quand les natifs anglophone me disent que j'ai un très bon accent , mais je le fais pas pour eux non plus , c'est juste que je suis perfectionniste et si je fait un truc je le fait a fond
>
> Sauf que contrairement à toi j'en ai rien à foutre d'avoir un accent parfait dans n'importe quelle langue que ce soit, l'essentiel c'est de pouvoir communiquer
> T'es exactement le profil que je décrivais, à savoir un puceau suceur de rosbif, tout le monde s'en branle que tu prononces correctement un mot en anglais le low
écoute on a compris que tu parleras toujours anglais comme un picard mais reste digne célestin
et ca fait + de 10 ans que je peux communiquer dans 4 langues différente sans problème donc si tu veux je me suis pas arrêter à caBen oui je parlerai toujours avec une prononciation imparfaite et j'en suis content, ça m'empêche pas de tenir une conversation et de gérer des gourgandines en anglais, c'est tout ce qui compte
Y a que les puceaux frustrés qui ont ce complexe et qui veulent absolument parler parfaitement
Sinon gg pour les 4 langueschacun ses priorité , si tu veux choper des gourgandines c'est vraiment le premier stade quoi , donc tu t'arrête là très bien mais il y a toute une langue derrière , et je le fais aussi principalement pour mon taff , quand tu va au fin fond du texas je peux te dire qu'avec ton accent personne te comprendras en fait
et ta une vision très limité si tu compare le fait de vouloir exceller dans quelque chose a la notion de pucellerie ou de frustration je pense que t'es encore très jeune pour penser comme caC'est sur que si tu veux faire prof d'anglais ou t'expat au Texas, je suis d'accord faut bien prononcer
Or pour 99% des gens c'est pas le cas, donc on s'en branle de prononcer parfaitement hein
Si si souvent les gens qui critiquent la prononciation sont des complexés et frustrés parce qu'ils ont eux même été critiqués sur leur prononciation un jour, ou ils ont vu des gens être critiqués sur ça et ils veulent pas que ça leur arrive car pas de confiance en eux (par abus de langage je dis donc puceau), et le jour où ils prononcent bien ils reproduisent cette même critique débile, comme une sorte de vengeance
Un peu comme les harcelés qui deviennent harceleursmais pas du tout bordel , c'est juste parceque c'est beaucoup plus stylé en fait et que l'accent français est putain de dégueulasse en fait et que je trouve la langue anglaise qui sors de la bouche d'un mec avec son énorme accent français c'est juste horrible , c'est le respect de la langue aussi
c'est comme un américain qui au lieu de dire beaucoup il dit beaucul , bah non en fait c'est moche et il passe pour un con , bien dis toi que toi c'est exactement pareil
Bizarrement y a que les français comme toi qui trouvent ça dégueulasse, à l'étranger personne ne pense ça, et c'est ce qu'on te dit depuis tout à l'heure : c'est une critique typique française (de complexé)
Et non, un étranger qui parle français avec son accent il passe pas pour un con et je vais pas trouver ça moche, au contraire je vais apprécier qu'il fasse l'effort, y a que les gens hautains et débiles qui pensent comme ça
D'ailleurs si j'entends une italienne qui parle français avec son accent, c'est tout le contraire, je vais trouver ça mignon et excitant
Le 18 janvier 2024 à 15:15:33 :
Le 18 janvier 2024 à 15:06:56 :
J'ai un accent ultra français et les gens me comprennent très bien. Par contre quand je force l'accent bien anglais, ils comprennent plus rien. Ça sert à rien de se prendre la tête avec çahttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/18/1494048058-pppppppppppppppppppp.png Bah oui. J'ai connu des gens qui forçaient à mort pour avoir un accent américain comme ils l'entendaient dans les séries alors que leur vocabulaire était ultra limité. J'ai connu à l'inverse des gens qui avaient un accent français très fort mais qui n'avaient pas de problème pour communiquer avec des anglophones. C'est vraiment un problème franco-français le complexe sur l'accent. Les anglophones en ont rien à foutre de votre accent À la limite ils diront simplement qu'ils le trouvent joli
This
Bordel ça me rassure qu'il reste des gens intelligents
Cette critique est typiquement franco-française, des putain de complexé suceur de rosbif
Le 18 janvier 2024 à 15:16:52 :
Le 18 janvier 2024 à 15:12:16 :
Le 18 janvier 2024 à 15:06:02 :
Le 18 janvier 2024 à 15:03:57 :
Le 18 janvier 2024 à 14:48:42 :
> Le 18 janvier 2024 à 14:43:06 :
>Le délire de vouloir avoir un accent parfait c'est trop un truc de low iq de français
> Je suis allé à Malte 6mois et je m'en branle je fais 0 effort sur l'accent, personne ne m'a jamais fait de remarque, tout le monde me disait même que je parle bien anglais
> Bizarrement les seuls qui ont critiqué mon accent c'est des français, en France
> Mentalité de puceau suceur d'anglais
> Tant que tu te fais comprendre osef de l'accent les suceurs de rosbif
et non célestin , tu ne parlera jamais bien anglais avec ton accent du périgord , faire aucune faute de grammaire ne signifie pas bien parler la langue
après a toi de voir si tu veux faire partie de la masse ou si tu veux faire partie de l'élite des 0.2% de français qui maitrisent le sujet ))">
justement ca me fait plaisir quand les natifs anglophone me disent que j'ai un très bon accent , mais je le fais pas pour eux non plus , c'est juste que je suis perfectionniste et si je fait un truc je le fait a fondSauf que contrairement à toi j'en ai rien à foutre d'avoir un accent parfait dans n'importe quelle langue que ce soit, l'essentiel c'est de pouvoir communiquer
T'es exactement le profil que je décrivais, à savoir un puceau suceur de rosbif, tout le monde s'en branle que tu prononces correctement un mot en anglais le lowécoute on a compris que tu parleras toujours anglais comme un picard mais reste digne célestin
et ca fait + de 10 ans que je peux communiquer dans 4 langues différente sans problème donc si tu veux je me suis pas arrêter à caBen oui je parlerai toujours avec une prononciation imparfaite et j'en suis content, ça m'empêche pas de tenir une conversation et de gérer des gourgandines en anglais, c'est tout ce qui compte
Y a que les puceaux frustrés qui ont ce complexe et qui veulent absolument parler parfaitement
Sinon gg pour les 4 langueschacun ses priorité , si tu veux choper des gourgandines c'est vraiment le premier stade quoi , donc tu t'arrête là très bien mais il y a toute une langue derrière , et je le fais aussi principalement pour mon taff , quand tu va au fin fond du texas je peux te dire qu'avec ton accent personne te comprendras en fait
et ta une vision très limité si tu compare le fait de vouloir exceller dans quelque chose a la notion de pucellerie ou de frustration je pense que t'es encore très jeune pour penser comme ca
C'est sur que si tu veux faire prof d'anglais ou t'expat au Texas, je suis d'accord faut bien prononcer
Or pour 99% des gens c'est pas le cas, donc on s'en branle de prononcer parfaitement hein
Si si souvent les gens qui critiquent la prononciation sont des complexés et frustrés parce qu'ils ont eux même été critiqués sur leur prononciation un jour, ou ils ont vu des gens être critiqués sur ça et ils veulent pas que ça leur arrive car pas de confiance en eux (par abus de langage je dis donc puceau), et le jour où ils prononcent bien ils reproduisent cette même critique débile, comme une sorte de vengeance
Un peu comme les harcelés qui deviennent harceleurs
Le 18 janvier 2024 à 15:06:02 :
Le 18 janvier 2024 à 15:03:57 :
Le 18 janvier 2024 à 14:48:42 :
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Le délire de vouloir avoir un accent parfait c'est trop un truc de low iq de français
Je suis allé à Malte 6mois et je m'en branle je fais 0 effort sur l'accent, personne ne m'a jamais fait de remarque, tout le monde me disait même que je parle bien anglais
Bizarrement les seuls qui ont critiqué mon accent c'est des français, en France
Mentalité de puceau suceur d'anglais
Tant que tu te fais comprendre osef de l'accent les suceurs de rosbifet non célestin , tu ne parlera jamais bien anglais avec ton accent du périgord , faire aucune faute de grammaire ne signifie pas bien parler la langue
après a toi de voir si tu veux faire partie de la masse ou si tu veux faire partie de l'élite des 0.2% de français qui maitrisent le sujet ))">
justement ca me fait plaisir quand les natifs anglophone me disent que j'ai un très bon accent , mais je le fais pas pour eux non plus , c'est juste que je suis perfectionniste et si je fait un truc je le fait a fondSauf que contrairement à toi j'en ai rien à foutre d'avoir un accent parfait dans n'importe quelle langue que ce soit, l'essentiel c'est de pouvoir communiquer
T'es exactement le profil que je décrivais, à savoir un puceau suceur de rosbif, tout le monde s'en branle que tu prononces correctement un mot en anglais le lowécoute on a compris que tu parleras toujours anglais comme un picard mais reste digne célestin
et ca fait + de 10 ans que je peux communiquer dans 4 langues différente sans problème donc si tu veux je me suis pas arrêter à ca
Ben oui je parlerai toujours avec une prononciation imparfaite et j'en suis content, ça m'empêche pas de tenir une conversation et de gérer des gourgandines en anglais, c'est tout ce qui compte
Y a que les puceaux frustrés qui ont ce complexe et qui veulent absolument parler parfaitement
Sinon gg pour les 4 langues