Le 28 décembre 2023 à 10:59:54 :
Attention cependant : tout est Dieu mais tu n'est ni tout ni Dieu.
Je t'invite à relire pour comprendre
Le 28 décembre 2023 à 10:54:55 :
Le 28 décembre 2023 à 10:50:18 :
Tu fais surtout un non sens et tu vas à l'inverse même du message du Christ qui vient accomplir la loi, donc apporte non pas la paix qui réaliserait justement cette unité d'être, mais le glaive, celui qui coupe, sépare le fils de son père, la fille de sa mère, tout comme dieu l'a fait avec la tour de Babel en séparant l'homme du paradis perdu et en instituant différents langages.Comme disait Lacan, le sujet est divisé par le langage, un langage qui nous précède, qui nous habite, un verbe qui se fit chair et qui était au commencement.
Mais dire dieu est tout ça ne veut rien dire, dieu ce n'est pas tout, dieu c'est le verbe, la parole, incarnée dans le corps du Christ, et nous sommes des enfants de dieu en parole, pas en atome ou en molécule.
Suivre Spinoza sur la question de dieu, c'est comme suivre Pascal et son pari qui est là aussi un non sens, l'homme existe, il sort de l'autre, du paradis perdu, dieu n'a pas à exister, il est celui qui est, il est comme le langage, il précède l'homme, il est là avant que l'on soit né et l'homme baigne dans le langage.
Apporter la paix, cette unité d'être, dire que dieu est tout, c'est au contraire mortifère. Jésus n'apporte pas un message rassurant, de sécurité où on serait tous ensemble, ça c'est le chef d'une secte qui se pense tout amour qui le fait, où tout devient égal, au contraire Jésus proclame la différence, la singularité des êtres, et le fait de réaliser son propre chemin de croix, d'avoir pour ennemi les gens de sa propre maison.
L'amour du prochain elle est déjà dans le fait de s'aimer soi, en s'aimant soi-même on peut aimer l'autre selon sa singularité. Aimer l'autre ce n'est pas dire que l'autre = moi, c'est au contraire le respecter selon son essence propre, ce qui fait de lui un être à part, il n'y a plus gros manque de respect que de dire "ce que tu vis, je l'ai vécu aussi", c'est nier la singularité de l'autre. Aimer l'autre comme soi même c'est passer par un narcissisme secondaire, sain, en renvoyant l'amour de soi vers l'autre, mais ce n'est aucunement dire que l'autre c'est moi et qu'on est UN. Ça c'est l'homme dans sa volonté de retour au paradis perdu qui le pense, faire un, un seul langage. Hors l'homme parle car séparé, on ne se comprend jamais totalement, et c'est par ce manque, que l'on désire comme le disait Platon, c'est ce manque à tout dire qui nous fait parler.
Il me semble qu'il est bien dit dans la Bible que Dieu est en toute chose, je vérifierai ce soir en rentrant quand je l'aurais sous la main
Notre respiration porte le nom de Yahweh
Le 28 décembre 2023 à 10:54:55 :
Le 28 décembre 2023 à 10:50:18 :
Tu fais surtout un non sens et tu vas à l'inverse même du message du Christ qui vient accomplir la loi, donc apporte non pas la paix qui réaliserait justement cette unité d'être, mais le glaive, celui qui coupe, sépare le fils de son père, la fille de sa mère, tout comme dieu l'a fait avec la tour de Babel en séparant l'homme du paradis perdu et en instituant différents langages.Comme disait Lacan, le sujet est divisé par le langage, un langage qui nous précède, qui nous habite, un verbe qui se fit chair et qui était au commencement.
Mais dire dieu est tout ça ne veut rien dire, dieu ce n'est pas tout, dieu c'est le verbe, la parole, incarnée dans le corps du Christ, et nous sommes des enfants de dieu en parole, pas en atome ou en molécule.
Suivre Spinoza sur la question de dieu, c'est comme suivre Pascal et son pari qui est là aussi un non sens, l'homme existe, il sort de l'autre, du paradis perdu, dieu n'a pas à exister, il est celui qui est, il est comme le langage, il précède l'homme, il est là avant que l'on soit né et l'homme baigne dans le langage.
Apporter la paix, cette unité d'être, dire que dieu est tout, c'est au contraire mortifère. Jésus n'apporte pas un message rassurant, de sécurité où on serait tous ensemble, ça c'est le chef d'une secte qui se pense tout amour qui le fait, où tout devient égal, au contraire Jésus proclame la différence, la singularité des êtres, et le fait de réaliser son propre chemin de croix, d'avoir pour ennemi les gens de sa propre maison.
L'amour du prochain elle est déjà dans le fait de s'aimer soi, en s'aimant soi-même on peut aimer l'autre selon sa singularité. Aimer l'autre ce n'est pas dire que l'autre = moi, c'est au contraire le respecter selon son essence propre, ce qui fait de lui un être à part, il n'y a plus gros manque de respect que de dire "ce que tu vis, je l'ai vécu aussi", c'est nier la singularité de l'autre. Aimer l'autre comme soi même c'est passer par un narcissisme secondaire, sain, en renvoyant l'amour de soi vers l'autre, mais ce n'est aucunement dire que l'autre c'est moi et qu'on est UN. Ça c'est l'homme dans sa volonté de retour au paradis perdu qui le pense, faire un, un seul langage. Hors l'homme parle car séparé, on ne se comprend jamais totalement, et c'est par ce manque, que l'on désire comme le disait Platon, c'est ce manque à tout dire qui nous fait parler.
Il me semble qu'il est bien dit dans la Bible que Dieu est en toute chose, je vérifierai ce soir en rentrant quand je l'aurais sous la main
1 Corinthiens 3:16 - 3:17
Ne savez vous pas que vous êtes le temple de Dieu, et que l'Esprit de Dieu habite en vous ? Si quelqu'un détruit le temple de Dieu, Dieu le détruira; car le temple de Dieu est saint, et c'est ce que vous êtes
Le 28 décembre 2023 à 10:39:14 :
Il est vrai, sans mensonge, certain et très véritableCe qui est en bas est comme ce qui est en haut et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas.
… par ces choses se font les miracles d'une seule chose
Le 28 décembre 2023 à 10:34:01 :
Ultra redpillhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/32/4/1628766707-moine.png