Le 08 mars 2024 à 17:03:33 :
Paris
Les femmes
Ton logement plus petit qu'un trou à rat
Faire la morale aux provinciaux
Saint lazare
Le temps
Les esclavariés
Le 08 mars 2024 à 15:46:34 :
Y'a même pas l'eau courante partout là bas khey, tu devrais y aller avant de parler
Il ne parle pas du réseau d'infrastructures hydro-éléctriques le low IQ. Mais de la culture sanitaire, et les pays méditerranéens MOG sans commune mesure les culs puants d'europe du nord qui pensent que se torcher le Fiak au PQ est suffisant.
Pour rappel, Les français c'est le peuple :
Qui se fait la bise à tout bout de champ
Qui se lave le moins les mains
Qui n'hésite pas à manger son triangle sodedaube en marchant, dans le métro ou voir quasiment assis par terre dans les couloirs de la fac
Qui traine dans sa chambre à couché en vêtement et chaussure de ville
NE SE RINCE PAS LE CUL après chier bordel
Se "Rince"
Fume beaucoup
Préfère faire l'esclavarié en semaine en délaissant les corvées ménagère pour le WE
Adopte une mode pitoyable de poil de culs sur le visage censés rendre bg
N'a aucun problème à se promener en ville avec ses converses / airforce blanche brunatre, salis et éclatée
Greta qui devient radicale
Découvrez en avant première son livre où elle dit comment elle va sauver la planète
Demain matin, ivre de rage,vous vous jetterez encore groggy sur l’écran de votre smartphone et le tapoterez frénétiquement jusqu’à ce que vous réussissiez à couper l’odieuse mélodie qui vous a extirpé de votre sommeil.
Court répits pour votre pauvre âme brisée, car à peine recommencera t'elle à se dégourdir, cédant momentanément à la chaleureuse torpeur d’un repos bienveillant, qu'elle sera stoppée nette par la force d'un nouveau viol mental de votre réveil matin multiple prévu pour ce genre de situation de faiblesse
Vous foudroierez l’interface de l’application de l’horloge de nouveau, et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’un dégout profond, une haine larmoyante, vous extirpe finalement de ce lit.
A peine votre journée a-t-elle commencé que vous êtes déjà brisé et exténué.
Sans force, sans conviction, vous vous poussez de vos bras pour lever votre corps rouillé.
Assis sur le bord de son lit, comme chaque matin, vous retenez vos larmes, l’angoisse de la vie vous saisit, et vous pensez à la vacuité, à l’absurdité de la vie que vous gaspillez.
C’est avec un profond dégout de vous-même que vous vous soumettez malgré vous à ce rituel quotidien, celui du réveil matin, par lequel l’esclavarié obéit au signal pavlovien d’une machine réglant son existence. L’arrachant sans sommation au repos régénérateur dont il aurait tant besoin, le maintenant ainsi au fil des jours dans un état d’apathie et de fatigue constantes.
Par la brusquerie de ce procédé quasi-martial, l’esclavarié est administré sa dose de cortisol matinale, qui assure sa passivité et sa servilité totale.
Le corps endolorit, vous vous dirigerez machinalement vers la douche, pour que la stimulation de l’eau sur votre corps fasse émerger votre conscience enfouie dans un brouillard, dans le smog mental, recroquevillée après tant de viols psychologiques. Eau chaude puis eau froide, sans aucun plaisir, sans aucune satisfaction, juste des rituels pour exorciser la rage bestiale qui bouillonne sur le brasier frustré d’une révolte impossible. Le sombre piège du quotidien de l’esclavariat s’est refermé sur vous avec la férocité des serres de l’oiseau de proie. Il ne vous relâchera que pour laisser tomber la carcasse en loque dans le vide d’une existence misérable.
Le silence vous bourdonne dans les oreilles, vous lever dans la solitude, face au plafond, écrasé par un étau de 4 murs blancs.
La cellule de l’esclavarié, vous y logez à vos frais, et, ni logé, ni nourrit, ni blanchit - contrairement au sort enviable que vous auriez eu en prison - vous vous préparez à être ensuite déporté vers la ville, là où il exerce votre esclavariat de forçat.
Oui, vous n’habitez pas en ville, esclavarié, mais en banlieue dortoir, grise et maussade, sans âme.
Malheureusement pour vous, une cellule en ville aurait été trop chère pour le salaire de subsistance que l’on daigne vous verser, ces restes que vous ne recevez qu’après le rapt féodal des 101 impôts.
Solitaire malgré vous, loin de votre famille, vous avez été déporté ici, par cette chose que l’on appelle nécessité, mais qui n’est rien d’autre que le sentiment d’urgence, de fatalité et surtout une étroitesse d’esprit, cultivés par l’environnement de l’esclavarié pour l’empêcher de prendre du recul.
Sur les rails vous avez été placé et sur les rails vous resterez. L’esclavarié doit agir et non pas réfléchir, faire des choix, prendre des décisions, l’urgence des examens, l’urgence des concours, l’urgence des sélections, l’urgence des candidatures, l’urgence de la concurrence, l’urgence du paraitre, l'urgence du transilien
Demain matin, ivre de rage,vous vous jetterez encore groggy sur l’écran de votre smartphone et le tapoterez frénétiquement jusqu’à ce que vous réussissiez à couper l’odieuse mélodie qui vous a extirpé de votre sommeil.
Court répits pour votre pauvre âme brisée, car à peine recommencera t'elle à se dégourdir, cédant momentanément à la chaleureuse torpeur d’un repos bienveillant, qu'elle sera stoppée nette par la force d'un nouveau viol mental de votre réveil matin multiple prévu pour ce genre de situation de faiblesse
Vous foudroierez l’interface de l’application de l’horloge de nouveau, et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’un dégout profond, une haine larmoyante, vous extirpe finalement de ce lit.
A peine votre journée a-t-elle commencé que vous êtes déjà brisé et exténué.
Sans force, sans conviction, vous vous poussez de vos bras pour lever votre corps rouillé.
Assis sur le bord de son lit, comme chaque matin, vous retenez vos larmes, l’angoisse de la vie vous saisit, et vous pensez à la vacuité, à l’absurdité de la vie que vous gaspillez.
C’est avec un profond dégout de vous-même que vous vous soumettez malgré vous à ce rituel quotidien, celui du réveil matin, par lequel l’esclavarié obéit au signal pavlovien d’une machine réglant son existence. L’arrachant sans sommation au repos régénérateur dont il aurait tant besoin, le maintenant ainsi au fil des jours dans un état d’apathie et de fatigue constantes.
Par la brusquerie de ce procédé quasi-martial, l’esclavarié est administré sa dose de cortisol matinale, qui assure sa passivité et sa servilité totale.
Le corps endolorit, vous vous dirigerez machinalement vers la douche, pour que la stimulation de l’eau sur votre corps fasse émerger votre conscience enfouie dans un brouillard, dans le smog mental, recroquevillée après tant de viols psychologiques. Eau chaude puis eau froide, sans aucun plaisir, sans aucune satisfaction, juste des rituels pour exorciser la rage bestiale qui bouillonne sur le brasier frustré d’une révolte impossible. Le sombre piège du quotidien de l’esclavariat s’est refermé sur vous avec la férocité des serres de l’oiseau de proie. Il ne vous relâchera que pour laisser tomber la carcasse en loque dans le vide d’une existence misérable.
Le silence vous bourdonne dans les oreilles, vous lever dans la solitude, face au plafond, écrasé par un étau de 4 murs blancs.
La cellule de l’esclavarié, vous y logez à vos frais, et, ni logé, ni nourrit, ni blanchit - contrairement au sort enviable que vous auriez eu en prison - vous vous préparez à être ensuite déporté vers la ville, là où il exerce votre esclavariat de forçat.
Oui, vous n’habitez pas en ville, esclavarié, mais en banlieue dortoir, grise et maussade, sans âme.
Malheureusement pour vous, une cellule en ville aurait été trop chère pour le salaire de subsistance que l’on daigne vous verser, ces restes que vous ne recevez qu’après le rapt féodal des 101 impôts.
Solitaire malgré vous, loin de votre famille, vous avez été déporté ici, par cette chose que l’on appelle nécessité, mais qui n’est rien d’autre que le sentiment d’urgence, de fatalité et surtout une étroitesse d’esprit, cultivés par l’environnement de l’esclavarié pour l’empêcher de prendre du recul.
Sur les rails vous avez été placé et sur les rails vous resterez. L’esclavarié doit agir et non pas réfléchir, faire des choix, prendre des décisions, l’urgence des examens, l’urgence des concours, l’urgence des sélections, l’urgence des candidatures, l’urgence de la concurrence, l’urgence du paraitre, l'urgence du transilien
Le 07 mars 2024 à 10:05:55 :
Toujours mieux que d'être sans dignité au RSA
VETRINAIRE, BOTANISTE, ARCHEOLOGUE, KINE, GARDE FORESTIER ... Et TU FINIS ESCLAVARIE
Courage ESCLAVARIÉS encore 40 ans a tenir ce rythme inhuman
Trauma par le viol psychologique du réveil matin
Shoot de cortisol dès le réveil pour debuter sa journée sur un stress post traumatique et un reflexe pavlovien
Le mode de vie occidental est sain
J'adore les turbo golems qui se rassurent "oui moi je suis CONTENT, regardez moi comme je suis DIGNE , c'est parceque je fais une corvée qui me PLAIT. Oui MAÎTRE, ma corvée me PLAIT, elle vaut bien que je ampute de mon sommeil et que je vous serve QUEL HONNEUR."
Mhhh ma dignité desclavarie entassé comme du bétail dans le métro 13 pour être déporté vers les différents centres d'exploitation où je vais passer mon temps de vie à m'amuser devant des tableurs Excel à réaliser des tâches inutiles miam, je me sens dignes et utile
J'aurais le privilège de gagner un salaire vampirisé par l'Etat pour payer mon loyer surévalué et il me restera assez pour me nourrir de pattes et de riz pour le reste du mois miam miam quelle vida loca
Dommage que je ne vois plus la lumière du jour
Le 07 mars 2024 à 10:02:13 :
L'OP bloqué en 82, pensant que tout les CSP sont en costume.
Ces humains en trop, ont été rassemblés tels des singes au sein de la grande Paris. Leur Zoo où l'abattage quotidien s'exercent inlassablement. Ici, ces humains surnuméraires sont entassés pour y servir les hommes utiles, les entrepreneurs et les capitalistes. Ils les servent en les enrichissant, en les distrayant et en les servants. Ainsi entassés, ils occupent moins d'espaces et sont d'une moindre gène pour l'homme utile. Un jour bientôt, l'on pourra se débarrasser des inutiles, des ESCLAVARIÉS puants, reliquats archaïques d'une époque manageriale révolue.
Si :
Vous êtes cadre esclavarié.
Vous prenez le metro/Rer/Transilien pour vous rendre à votre lieu de Travail.
Vous passez toute la journée dans un Open space, entre Pack Office et Reunion.
Vous sortez de chez vous vers 7h et rentrez chez vous vers 19h.
Ne mangez pas au moins 3 fois par semaine de la Viande ou du poisson de bonne qualité faute de moyens.
Vous passez votre WE à faire les courses, la paperasse, les corvées ménagères accumulées en semaine ou la grasse matinée pour rattraper la fatigue.
Si vous cochez toutes ses cases alors sachez que vous êtes un Golem ressemblant à la majorité écrasante des Franciliens et que tous, sans exception, êtes des humains surnuméraires et inutiles, et surtout, surtout et par dessus tout, AVEZ RATÉ VOTRE VIE.
Le 07 mars 2024 à 09:58:37 :
Télétravail aujourd'hui
Que penses tu des ESCLAVARIÉS fatigués et brisés qui vont l'échine courbée converger vers Paris l'immonde et la puante ce matin. Ils y exerceront leurs métiers de bureaux féminisant et castrateurs en échange d'un maigre salaire, tout juste assez pour leur permettre de continuer à s'alimenter. Ce sont de toutes façons des humains surnuméraires, des immondes homoncules qui ne méritent pas de vivre, des hommes en trop, qu'il faut bien utiliser d'une quelconque façon.
Le 07 mars 2024 à 09:54:40 :
Rifson est devenu écrivain
As tu pleuré ce matin en apercevant ton reflet insipide sur la vitre embuée du transilien t'emmenant à l’abattoir psychique ?