Le 08 novembre 2023 à 17:03:39 :
Bordel mais c'est en France ce genre d'histoire.......
Bah écoute au moins ils ont pas 7 de moyenne à l'année comme moi donc je leur souhaite du bien
Je hais la fac personnellement j'ai qu'une hâte : la fin
Mais si des gens y prennent plaisir je rage pas sur eux au contraire
Le 08 novembre 2023 à 12:12:14 :
c'est entre eux, rien à foutre
Non c'est pas entre eux
Déjà les pauvres femmes, les clients sont des français et doivent eux aussi être condamnés
Ensuite ça crée un climat d'insécurité sur le territoire puisque ce gang a fait de nombreuses victimes qui n'étaient pas liées au gang, ils alimentent aussi le trafic de drogue et les cambriolages dans la ville de Marseille
Le 08 novembre 2023 à 02:04:33 :
Bordel ils vont venir des pauvres filles pour les prostituées et les tuer apres et ils encourent seulement 10 ans de prison avec la ps4 et salle de muscu a disposition
Je suis choqué par la peine aussi
Dans leur pays ils se feraient décapiter sur la place publique mais dans le pays des droits de l'homme c'est 10 ans max
Pour des tortures, des viols, des meurtres et surement pire mais on sait pas encore
Interpellés en juin 2020, les prévenus sont poursuivis pour des faits de proxénétisme aggravés, violences avec armes et en réunion, de viols, association de malfaiteurs et d'aides au séjour irrégulier. Ils encourent jusqu'à dix ans de réclusion. Le procès va durer jusqu'au 24 novembre.
10 ans de réclusion maximum pour des viols, des meurtres, de la torture, de l'abus de faiblesse, du proxénétisme et d'autres faits sans doute encore plus graves et qu'on ignore.
La violence touche aussi les jeunes hommes exploités par le système :
Mais la violence s'exerce aussi contre les hommes, pour les contraindre à adhérer au gang ("cult") ou à ne pas le quitter. L'un des prévenus, "J-Boy", a ainsi été puni par les "germans", les membres du gang: "Je ne voulais plus les suivre dans leurs activités de bagarre, d'attaques au couteau, de vol d'argent, alors ils m'ont coupé aux poignets avec une machette", a-t-il raconté aux enquêteurs.
Puis, le 29 février 2020, dans la cité des Flamants, où les Nigérians géraient un squat dans un immeuble en attente de rénovation, il avait été jeté du 6e étage car, "pour eux, la seule façon de quitter la secte était de mourir".
Ceux qui veulent partir sont obligés de mourir.
Pendant trois semaines, au tribunal correctionnel de Marseille, la justice va plonger au coeur du fonctionnement des "Arrow Baga", un groupe connu pour ses réseaux d'immigration clandestine et son proxénétisme.
Parmi eux, deux anciens Doctor One, les chefs successifs des Arrow Baga à Marseille. Un troisième, échappé en Italie, est sous le coup d'un mandat d'arrêt. Face à eux, côté parties civiles, une dizaine de jeunes femmes, prostituées de force et violées, et deux associations.
Le gang trouvait essentiellement ses revenus dans le proxénétisme, voici leur manière de procéder :
Ils trouvaient des filles au pays, décrit Laura* (les prénoms ont été changés), ils allaient voir leurs familles et leur disaient qu'ils leur feraient passer la frontière. Ils disaient qu'en France elles auraient le droit de faire une formation, ils trainent autour des lycées au Nigeria pour repérer celles qui voudraient faire des études en France. Ils vont voir leurs pères et leurs disent "il y a une place dans une université pour elle, on peut lui faire passer la frontière".
Ensuite quand les filles arrivent en France, pas de formation, ni université. Ils les séquestrent dans des appartements insalubres et leurs disent qu'ils tueront leur famille ou leur feront subir le Djoudjou (rite de torture nigérien) si elles résistent aux rapports imposés avec des clients trouvés sur internet.
Les filles touchent rien de cet argent c'est de l'exploitation, si une fille devient moche après avoir été battue par un client, ils la tuent. On leur donne les restes à manger, comme des chiens.
Emilie* constituante partie civile explique que les hommes frappaient les filles jusqu'à ce qu'elles soient désarticulées, qu'ils les forçaient à se piquer à la drogue pour ensuite pouvoir les soumettre plus facilement. Elle raconte qu'elle n'a jamais pu appeler ses parents. Elle raconte qu'elles veulent toutes partir, mais qu'elles ont toutes très peur et très honte. Elle explique que dans leur culture une fille qui n'est pas vierge n'a pas de valeur, elle a l'impression qu'on lui a volé la sienne, elle qui rêvait d'un diplôme en France puis d'une vie de famille avec un homme religieux.
La punition c'était la maison secrète, si une fille refusait une pratique sexuelle à un client elle était trainée dans cette villa abandonnée où des hommes étaient chargés de la violer collectivement avec une extrême violence, en utilisant des armes et des couteaux.
Le gang nie les faits : Les prévenus voudront convaincre le tribunal que leurs accusatrices sont des "Reines bleues", membres d'un clan adverse cherchant à les éliminer judiciairement.
https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/bouches-du-rhone/marseille/mafia-nigeriane-trois-questions-sur-le-proces-hors-norme-des-arrow-baga-qui-debute-a-marseille-2868050.html
https://www.bfmtv.com/marseille/marseille-ouverture-du-proces-des-arrow-baga-gang-criminel-nigerian-ultra-violent_AD-202311060483.html
https://www.lepoint.fr/societe/a-marseille-proces-des-arrow-baga-gang-criminel-nigerian-ultra-violent-06-11-2023-2542093_23.php
https://www.laprovence.com/article/faits-divers-justice/67376265611475/proces-du-gang-nigerian-a-marseille-il-ma-frappee-puis-il-a-dit-a-dautres-hommes-de-me-violer
T'inquiète je comprends clé
Les études qui te demandent plus d'efforts qu'aux autres parce que 0 facilité
Malgré tout tu rates quand même après des mois à ne faire que ça
Impossibilité de travailler à côté car incapable de gérer plusieurs trucs à la fois
Pas d'amis
Isolement social alors qu'à 20 ans on a besoin de contact social justement
En plus de ça j'ai été moqué par mes camarades de fac
Mais bon j'ai réussi à tenir jusqu'à master après un redoublement en L2 et des notes tout juste passable, un petit master mais un master quand même
Aujourd'hui je bosse et je suis content mais j'ai toujours des frisson de honte quand je repense à ces années, c'était définitivement les pires années de ma vie jusqu'à present