Le 09 novembre 2023 à 17:57:51 :
Non elles se forcentC est pour ça qu'elles n'aiment pas le sexe etc
Le 09 novembre 2023 à 17:52:58 :
Le 09 novembre 2023 à 17:51:24 :
Le 09 novembre 2023 à 17:50:29 :
Après si ma femme en entend parler et comprend que ça emmerde les gauchistes elle voudra peut-être y aller. Elle est vraiment dans la haine des gauchistes et des arbres ma femmehttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/52/6/1608985783-ahi-triangle.png Son QI ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/31/7/1533487398-jesusbrocoli.jpg Infiniment supérieur aux électeurs LFI
Bon golem
Le 09 novembre 2023 à 17:50:29 :
Après si ma femme en entend parler et comprend que ça emmerde les gauchistes elle voudra peut-être y aller. Elle est vraiment dans la haine des gauchistes et des arbres ma femmehttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/52/6/1608985783-ahi-triangle.png
Son QI ?
Le 09 novembre 2023 à 17:48:37 :
Je ne peux pas y aller mais je vais pleurer deux fois plus pour compenser.
Je sais le scénario demande beaucoup d'imagination, faites un effort.
Macron a été renversé depuis longtemps par un état et un gouvernement fort, patriote, qui lutte pour les intérêts de la France. Les choses ayant un peu dégénérées, la France s'est retrouvée en guerre contre quelques pays dont les USA, après quelques années de guerre, 7 millions de nos soldats ont été tués au combat ou capturés, et 20 millions de civils tués sous les bombes.
Nous sommes le 27 Novembre 2035, l'armée US encercle Paris après avoir pris tout le reste de la France.
Vous êtes au milieu des 400.000 derniers "soldats" qu'il reste pour défendre la capitale, un mélange de vieux, de très jeunes, l'état a raclé les fonds de tiroir tellement il ne lui reste plus rien. Vous êtes au milieu des ruines de la capitale, et vous savez que tout est perdu, mais vous savez aussi qu'après leur victoire, les Américains effaceront la France de l'histoire, pour un nouvel ordre mondial définitif ou seul l'Anglais et son histoire existera. Que faites-vous ?
Si vous vous rendez, vous serez à jamais un sous-citoyen du nouveau monde, pas leur égal.
de telles lignes.
Mais je n'ai pas le choix. Notre vie n'est plus qu'une question de jours, ou peut-être d'heures.
Je te rassure, Hermann n'est pas avec moi. Mais je suis fermement convaincue que tu le reverras.
Il va certainement réussir à rejoindre la Bavière pour y poursuivre la résistance. Le Führer lui-même ne croit plus en une fin heureuse.
J'aimerais porter jusqu'à la fin le bracelet en or avec la pierre verte. Puis on me l'enlèvera et je souhaite que tu le portes à ton tour, comme je l'ai toujours porté. Malheureusement, j'ai donnée ma montre ornée de diamants à réparer, je te note l'adresse ci-dessous, avec un peu de chance tu pourras la récupérer. Elle te revient de droit.
De même je te laisse le bracelet de diamants, et le collier en topaze que le Führer m'a offert, pour mon dernier anniversaire. J'ai encore quelques dettes auprès de la société Heize, elle va peut-être vouloir les recouvrer, mais cela ne devrait en aucun cas dépasser les 1500 reichsmark. Je t'en prie, brule tout de suite les lettres professionnelles et privées, ainsi que l'enveloppe adressée au Führer. Par la même occasion, je t'envoie des vivres et du tabac, partage le café avec Linleur et Katel. Les cigarettes sont pour Mamie, le tabac est pour Papa. Et le chocolat, pour maman. Je ne sais pas quoi ajouter, ce sera tout pour aujourd'hui. Ma chère petite soeur, je te souhaite bonne chance. Et n'oublie pas, tu reverras très certainement Hermann. Je pense à toi, et je t'embrasse tendrement, ta sœur."
"Mon très cher fils, je ne sais pas si tu recevras cette lettre. Il est peut-être une âme humaine qui te permettras de lire mes dernières pensées. Je veux que tu saches que je suis restée au côté de papa contre sa volonté.
Dimanche dernier encore le Führer m'a proposé de sortir d'ici. Mais tu connais ta mère, nous avons le même sang. Pour moi, il n'en était pas question. Notre merveilleuse idée est réduite à néant, et avec elle disparait tout ce que j'ai connu de beau, d'admirable de noble et de bon dans ma vie. Le monde qui succédera au Führer et au national-socialisme ne mérite pas qu'on y vive. C'est pour cette raison que j'ai amenés les enfants ici avec moi.
Le monde à venir n'est pas digne d'eux, et dieu, dans sa miséricorde, comprendra que je leur apporte moi-même la délivrance."