En gros, je faisais des eyecontacts avec une meuf dans ma salle depuis début juin. Elle s'entraîne dans ma salle et elle y travaille( c'est la meuf à l'accueil)
À cause de la reprise de la FAC, nos horaires pour s'entraîner ne concordaient plus . Donc, je ne la voyais plus.
Sauf que hier, je l'ai revu à ma grande surprise. Elle travaillait à l'accueil
On s'est croisé du regard et elle l'a détourné. Durant ma séance, on se cherchait du regard.
Là je me suis dit, je dois porter mes couilles et aller l'aborder à la fin de ma séance.
Arrivé à la fin de ma séance, je commençais à stresser un peu dans les vestiaires
J'ai pensé aux kheyous du fofo et du potentiel topic que je pouvais faire après l'avoir aborder
Vous m'avez donné de la force indirectement en sachant que je suis introverti + timide
Je me dirige vers la sortie de la salle et je la vois me fixer. Je la regarde en retour et je me DIRIGE VERS ELLE
Moi : Salut tu t'appelles comment ?
Elle : Juliette ( nom fictif)
Moi : moi c'est M3c-23 enchanté ( je lui sers la main)
Moi: donc, je voudrais savoir si je pouvais avoir ton snap
Elle : Non... J'ai un copain
Moi : ah ok.. salut
Je commence à partir et elle dit "je suis désolée "
Je marmonne un truc et je quitte la salle avec un grand sourire comme ça :
De un parce que je suis dans l'incompréhension, de deux parce que j'ai porter mes couilles sans begayer et de trois parce que je ferais un topic pour les kheyous du forum
Mais les kheys on est d'accord que c'est bizarre qu'une fille en couple fixe à de nombreuses reprises un mec ? Après, je suis un 7/10
Vous pensez qu'elle m'a mytho ?
De plus, vous pensez qu'elle a dit "désolée" par politesse ou pcq elle trouvait ça vraiment dommage ?
Les non-vaccinés, je fais l'appel
Mais ZERO mesure concrète prise.
Transports en commun minables, zéro ligne de train, rien à part Paris et certaines grandes villes.
ZERO transport dans les petites et moyennes villes.
Pas de progressivité du tarif énergétiques, ni de l'eau (je parle de progressivité selon la conso)
Toutes les aides rénovations qui concernent l'hiver.
Un logement DPE A peut être INVIVABLE l'été
On fait rentrer des millions de personnes de pays chauds pour les mettre dans des HLM qui nécessitent du chauffage, WTF ?
Il oublie de les activer et consomme de l'électricité 2 ans comme si ils les avaient https://www.sudinfo.be/id736984/article/2023-10-28/geoffrey-doit-payer-20000-euros-de-surconsommation-les-34-panneaux?utm_campaign=pushs&utm_source=Facebook&utm_medium=fb_page_sudinfo&fbclid=IwAR0fVZGUikrUwkxIqGvxIHU1Z4FzXDOHnMctaodJhBDiX3eMU0EEnXheJTo
Ayaho cette sélection
Hé oui, n'en déplaise à la légende gaulliste
Voici un extrait du livre De Gaulle, la grandeur et le néant, de Dominique Venner.
Contexte : en 1940 l'Allemagne envahit la France, ses armées encerclent d'importantes divisions françaises et britanniques qui doivent refluer sur Dunkerque. De l'extérieur du cordon fatal l'armée française lance plusieurs attaques pour essayer de le rompre, de Gaulle est alors chargé du secteur d'Abbeville.
Préambule.
De Gaulle ne s'est pas trompé en plaçant son ambition sur le terrain politique. Il y brillera de façon incomparable alors que ses prestations militaires se révéleront décevantes.
Montcornet.
Le 17 mai, sa contre-offensive de Montcornet, près de Laon, à la tête de la 4e DCR, s'est heurté à l'arrière garde de la 2e Panzer. Elle a été refoulée avec de lourdes pertes. Sur les 162 blindés engagés par de Gaulle, 101 ont été détruits. 750 hommes ont été mis hors de combat, tués, blessés ou prisonniers. Les chars allemands ont continué leur route sans se soucier de l'attaque de la division de Gaulle. Pour les Allemands, l'affaire de Montcornet a si peu d'importance qu'elle n'a pas été portée à la connaissance du grand état-major (OKW). N'en déplaise à la pieuse légende, ce ne fut pas un succès. Devant Abbeville, ce fut pire.
Abbeville.
L'affaire d'Abbeville, les biographes s'y sont peu attardés. Elle est pourtant connue avec précision depuis l'étude rigoureuse et documentée qu'Henri de Wailly a consacrée à la bataille qui s'est déroulée pendant trois jours, les 28, 29 et 30 mai 1940. Une bataille oubliée par les livres d'histoire, sans doute parce que ce fut une bataille perdue. Du côté franco-britannique, Abbeville a pourtant été le théâtre d'une des plus grosses concentrations de chars de la campagne. Un homme a dirigé l'un des épisodes de cette bataille, le général de Gaulle. Faute d'avoir su manoeuvrer, malgré son courage et son acharnement, il a échoué.
Ordre de mission.
Abbeville avait été conquise par l'offensive audacieuse de Guderian. Le 28 mai, de Gaulle, dont la 4e DCR a été reconstituée, reçoit mission de reprendre ce noeud de communications capital sur lequel la 1re division blindée britannique vient déjà de se casser les dents. Le but est de couper Guderian de ses arrières et de ses approvisionnements (carburants, munitions, etc.), en attendant de le détruire.
Les forces allemandes :
La ville n'est défendue, au prix de lourdes pertes, que par un régiment d'infanterie bavarois. Celui-ci n'a pas un seul char et ne dispose d'aucune couverture aérienne, tous les Stukas étant jetés sur Dunkerque. En dehors de son armement d'infanterie, le régiment bénéficie toutefois d'un groupe de huit canons antiaériens Flak de 88mm qui seront remarquablement utilisés en tir horizontal par le lieutenant-colonel Wolf, commandant la Flak 64, et vrai vainqueur de cette bataille.
Les forces françaises :
En face, le général de Gaulle dispose d'une supériorité écrasante. Que l'on en juge : 187 chars modernes de la 4e DCR, dont 33 chars lourds B1/Bis, les plus imposants et les mieux protégés de l'époque. La DCR compte également six bataillons d'infanterie. Elle est renforcée par deux régiments de la 4e DLM (division légère mécanique), il est vrai en piteux état. Deux divisions légères de cavalerie motorisée (la 5e et la 2e DLC) lui sont subordonnées. Environ 20 000 combattants français sont engagés dans l'attaque d'Abbeville. À la tête de cette force, de Gaulle n'est soumis à aucun supérieur pour conduire l'action, et il a l'oreille du chef du gouvernement.
Pendant trois jours, de Gaulle livre une bataille en contradiction complète avec ses écrits. À la façon des généraux de 1918, il utilise les chars en appui de l'infanterie, les dispersant par petits paquets, expédiant ses fantassins devant les blindés sur des glacis meurtriers battus par le feu adverse.
Échecs et tensions avec les subordonnés.
"Merci, Mon Général, mais je ne suis pas un âne".
Avec ses subordonnés qu'il insulte parfois publiquement, il se montre arrogant, impérieux, fermé aux objections. Vieil officier d'une trempe exceptionnelle le chef de bataillon Bertrand, commandant le 4e bataillon de chasseurs à pied, ne se laissera pas faire. Ses chasseurs obtiendront le seuls succès français de cette bataille, capturant en deux jours 250 fantassins allemands (et non pas 500 comme il est dit dans les Mémoires de guerre [de De Gaulle]). Alors que de Gaulle croit devoir le stimuler en lui faisant miroiter une décoration s'il s'empare d'un village, Bertrand réplique : "Merci, Mon Général, mais je ne suis pas un âne : la carotte est superflue, je ferai mon devoir". Le dialogue n'ira pas plus loin.
"Le plan appliqué amènera au même échec que la veille."
Au troisième jour de la bataille, le 30 mai, alors que ses unités ont été durement étrillées en pure perte au cours des journées précédentes, le général de Gaulle a donné ses ordres pour reprendre l'attaque comme la veille. Au cours d'une brève conférence de liaison, intervient le général Chanoine qui commande la 5e DLC. Il a écouté le plan exposé par le chef d'état-major du général de Gaulle. Cavalier formé à la manoeuvre, il n'approuve pas. Il le dit. Le capitaine Le Corbeiller témoignera : "le général Chanoine fit une observation très pertinente. Le plan appliqué contre un ennemi ayant bien préparé ses couverts et connaissant les hausses à appliquer, amènera au même échec que la veille. Il suggère donc de modifier l'axe d'attaque : au lieu d'attaquer le point fort de l'ennemi, il propose de le déborder. On progressera ainsi hors des vues de l'ennemi, qui sera à la fois isolé et obligé de modifier ses plans de feu. on coupera de la sorte la tête de pont à sa racine".
De Gaulle n'a encore rien dit. Ayant écouté Chanoine, il répond d'un mot, écartant toute discussion : "Mon général, mes ordres sont donnés : je n'y changerai rien". Tous les officiers présents sont atterrés. Le plan sera donc appliqué. Et comme les jours précédents, il échouera au prix de de grosses pertes et beaucoup de sang.
Bilan.
En trois jours, sur 187 chars, la DCR en a perdu 111 et elle atteint la limite de l'épuisement. Le lendemain, au vu de ces brillants résultats, le général Altmayer, chef de la Xe armée, suspend jusqu'à nouvel ordre l'attaque sur Abbeville.
De Gaulle se met au repos.
Par la magie de son imagination et de son verbe, le fiasco d'Abbeville se transforme en grand succès. Se félicitant d'avoir provisoirement "conquis" quelques kilomètres de prairies sans utilité militaire, il écrit dans ses mémoires de guerre : "Nous n'avons pu liquider entièrement la tête de pont d'Abbeville".
Admirable ! La position allemande n'a pas même été écornée.
Je souhaite explorer les liens complexes entre le conflit israélo-palestinien et la dynamique des relations hommes-femmes. Nous examinons comment les enjeux politiques au Moyen-Orient ont des répercussions sur les perspectives et les expériences des individus, en particulier sur les femmes.
Le conflit israélo-palestinien est un sujet brûlant de l'actualité mondiale, mais nous ne devons pas ignorer comment il affecte les relations, la santé mentale et la perception de soi. De plus, nous discutons de l'impact sur les jeunes adultes dans les régions touchées par ces conflits, y compris les pressions sociales et culturelles qui peuvent contribuer à des problèmes tels que la dépression liée au fait d'être puceau.
Je vous encourage à participer à cette discussion pour explorer ces interconnexions, partager vos points de vue et discuter des implications plus larges de ces enjeux sur nos sociétés. Il est essentiel d'aborder ces sujets complexes de manière réfléchie et d'écouter différentes perspectives pour mieux comprendre le monde qui nous entoure.
Je voulais partager mon expérience récente avec le minimalisme, un concept qui a complètement transformé ma vie. Au début, j'étais sceptique, mais après avoir pris quelques mesures simples, j'ai commencé à voir des changements incroyables dans ma vie quotidienne. J'ai réduit le désordre, économisé de l'argent et, surtout, j'ai découvert un nouveau niveau de bonheur.
Je vais partager les étapes que j'ai suivies pour simplifier ma vie, des astuces pour désencombrer ma maison à la façon dont j'ai repensé ma consommation. J'aimerais également entendre vos expériences et vos conseils sur la recherche du bonheur à travers le minimalisme.
N'hésitez pas à partager vos réflexions, vos questions ou vos idées sur le sujet. Le minimalisme n'est pas seulement une tendance, c'est un changement de mode de vie qui peut profondément influencer notre bien-être. J'espère que ce sujet inspirera des discussions fructueuses et des idées pour tous les membres de notre communauté.