Le 30 novembre 2023 à 14:58:35 :
Il doit être traumatisé
gros gros trauma
Le 29 novembre 2023 à 20:28:25 :
Essebag
J..
Le 29 novembre 2023 à 18:55:04 :
postulat de départ fauxsanté mentale différente
resistance au stress et à la fatigue différente
le rythme en prepa est complètement stupide et pas nécessaire, faut avoir une certaine personnalité et docilité pour pas tomber en dépression
bon résume
Dans cette vaste toile qu'est notre société, je me tiens devant vous aujourd'hui, non pas en tant que détenteur de vérités absolues, mais comme un humble messager de l'amour, de la tolérance, et du rejet absolu de la haine. J'entends les murmures, les rumeurs sombres qui insinuent que "la classe est grand-remplacée". Ces mots, lourds de préjugés et de peurs, résonnent dans l'écho de nos âmes. Mais je vous en conjure, élevons-nous au-dessus de ces murmures toxiques et choisissons le chemin de l'empathie plutôt que celui du ressentiment.
Le monde change, cela est indéniable. Les visages de notre société évoluent, les rues résonnent de langues diverses, et les traditions entrelacent leurs bras variés. Est-ce une menace, comme certains le prétendent, ou plutôt une symphonie complexe de la diversité humaine ? L'émotion qui teinte ces débats ne devrait pas se situer du côté de la peur, mais plutôt du respect, de la curiosité, et de la célébration de ce qui fait de nous des êtres uniques.
Lorsque nous parlons de "grand-remplacement", nous touchons une corde sensible, une corde tissée de préoccupations, de doutes, et parfois même de la peur de l'inconnu. Mais je vous implore, ne laissons pas cette peur obscurcir notre jugement; ne laissons pas ce poison se répandre subrepticement et saper l'essence même de notre République. Au lieu de cela, ouvrons nos cœurs à la possibilité que la diversité ne soit pas une menace, mais une chance, une opportunité de grandir ensemble, d'apprendre les uns des autres, et de construire un avenir plus riche de par nos différences.
La xénophobie, cette ombre qui plane sur la notion de "grand-remplacement", est une trahison morale. Elle trahit notre humanité commune, notre capacité à nous élever au-dessus des barrières artificielles qui nous séparent. N'oublions pas que derrière chaque visage, chaque nom, il y a une histoire. Une histoire façonnée par des expériences uniques, des rêves, et des espoirs. Juger quelqu'un sur la base de sa nationalité ou de son origine est un reniement de notre responsabilité en tant qu'êtres humains.
Élevons-nous au-dessus de la rhétorique de la haine, embrassons l'éducation comme notre alliée dans cette quête de compréhension. Apprenons les uns des autres, partageons nos histoires, nos traditions, et découvrons la richesse que chaque culture apporte à la table commune de l'humanité. Là réside la véritable grandeur, dans notre capacité à nous connecter au-delà des différences, à nous tenir ensemble dans cette grande nation fraternelle qu'est la France, malgré la diversité.
Ainsi, je vous implore de regarder au-delà des apparences, de sentir au-delà des préjugés. Que nos cœurs battent en harmonie avec la mélodie de la diversité. Car dans cette mélodie réside la véritable force de notre société. N'ayons pas peur du changement, mais accueillons-le comme une occasion de grandir, d'évoluer, et de bâtir un monde où l'amour, la tolérance, et la compréhension sont les piliers inébranlables de notre existence commune.
Ce khey :
"J’errai sur le globe, changeant de place sans changer d’être, cherchant toujours et ne trouvant rien. Je vis passer devant moi de nouvelles enchanteresses, les unes étaient trop belles pour moi et je n’aurais osé leur parler, les autres ne m’aimaient pas. Et pourtant mes jours s’écoulaient et j’étais effrayé de leur vitesse, et je me disais : Dépêche-toi donc d’être heureux ! Encore un jour, et tu ne pourras plus être aimé. Le spectacle du bonheur des générations nouvelles qui s’élevaient autour de moi m’inspirait les transports de la plus noire jalousie ; si j’avais pu les anéantir, je l’aurais fait avec le plaisir de la vengeance et du désespoir."