Le 26 septembre 2023 à 16:42:57 :
T'es en rien dangereux t'es qu'un être insignifiant un grain de poussière, personne ne pense à toi t'es personne
Tu seras juste condamné comme beaucoup d'être humain mais tu pourras faire tout ce que tu veux tu restes juste un être insignifiant
Oui oui allez
Le 26 septembre 2023 à 16:40:34 :
Bordel il est encore plus taré que ce que je pensais
très taré
Le 26 septembre 2023 à 16:39:36 :
aya putain t'es efficace aujourd'hui PuerAnus
t'a vu ça
Le 26 septembre 2023 à 16:37:57 :
sale n-word
Alors toi, adieu
Le 26 septembre 2023 à 16:38:46 :
Hop, chez les fous
Je ne suis pas fou !
Le 26 septembre 2023 à 16:37:39 :
Un vrai key
Ne me bannissez pas ! Je suis simplement Autiste Asperger !
Durant ma scolarité maternelle - primaire, une petite fille m'aimait beaucoup. Elle était dans ma classe, chaque année, jusqu'au début du collège. Puis arrivé en classe de 5ème, dès le début d'année, je ne l'ai plus supporté, pour la simple raison que je ne la trouvais plus a mon goût physiquement. (Elle était plus petite que moi, avait des lunettes, très mince, et même, son visage ne me plaisait plus) Pour l'éloigner de moi a coup sur, j'ai donc décidé de me mettre a la harceler salement.
Un mercredi de novembre 2011, j'ai donc commencé ma campagne de harcèlement scolaire. J'ai commencé a la traiter de "naine", de "moche" ainsi que d'autres noms d'oiseaux du genre. J'ai fait cela pendant plusieurs semaines, chaque jour, en continu. Un véritable harcèlement moral.
Mes parents me sont rapidement tombés dessus, mon AVS, ma psychologue de l'époque aussi, les délégués de classe aussi... tout le monde était indigné de mon attitude envers cette fille et cherchait a la protéger. Tout le monde autour de moi m'a engueulé, fait la morale, ordonné d'arrêter cela sous peine de conséquences, et de m'excuser auprès de cette fille. Sauf que moi, je m'en fichait. Je ne comptais pas arrêter. Au contraire. Je voulais la détruire, m'acharner le plus fortement possible afin d'être sur qu'elle ne fasse plus partie de ma vie, et d'être aussi certain qu'elle soit détruite mentalement, moralement, et sans danger pour moi après cela.
Je prenais un grand plaisir a la voir pleurer, a entendre mes parents / psy parler de cela entre eux, a voir les délégués essayer de me faire arrêter, car je savais que mon comportement avait un lourd impact sur elle. Et sur mon entourage.
Aujourd'hui, j'ai 24 ans. Presque 12 ans plus tard, je n'ai aucun remord ni regret. J'y pense chaque jour. J'admire la violence dont j'étais déjà capable a seulement 12 ans. Je suis encore très content de ce que j'ai fait a cette fillette, et, assurément, je recommencerai sur une nouvelle cible si nécessaire.
Le 26 septembre 2023 à 16:36:53 :
Tarax
Ne me bannissez pas ! Je suis simplement Autiste Asperger !
Durant ma scolarité maternelle - primaire, une petite fille m'aimait beaucoup. Elle était dans ma classe, chaque année, jusqu'au début du collège. Puis arrivé en classe de 5ème, dès le début d'année, je ne l'ai plus supporté, pour la simple raison que je ne la trouvais plus a mon goût physiquement. (Elle était plus petite que moi, avait des lunettes, très mince, et même, son visage ne me plaisait plus) Pour l'éloigner de moi a coup sur, j'ai donc décidé de me mettre a la harceler salement.
Un mercredi de novembre 2011, j'ai donc commencé ma campagne de harcèlement scolaire. J'ai commencé a la traiter de "naine", de "moche" ainsi que d'autres noms d'oiseaux du genre. J'ai fait cela pendant plusieurs semaines, chaque jour, en continu. Un véritable harcèlement moral.
Mes parents me sont rapidement tombés dessus, mon AVS, ma psychologue de l'époque aussi, les délégués de classe aussi... tout le monde était indigné de mon attitude envers cette fille et cherchait a la protéger. Tout le monde autour de moi m'a engueulé, fait la morale, ordonné d'arrêter cela sous peine de conséquences, et de m'excuser auprès de cette fille. Sauf que moi, je m'en fichait. Je ne comptais pas arrêter. Au contraire. Je voulais la détruire, m'acharner le plus fortement possible afin d'être sur qu'elle ne fasse plus partie de ma vie, et d'être aussi certain qu'elle soit détruite mentalement, moralement, et sans danger pour moi après cela.
Je prenais un grand plaisir a la voir pleurer, a entendre mes parents / psy parler de cela entre eux, a voir les délégués essayer de me faire arrêter, car je savais que mon comportement avait un lourd impact sur elle. Et sur mon entourage.
Aujourd'hui, j'ai 24 ans. Presque 12 ans plus tard, je n'ai aucun remord ni regret. J'y pense chaque jour. J'admire la violence dont j'étais déjà capable a seulement 12 ans. Je suis encore très content de ce que j'ai fait a cette fillette, et, assurément, je recommencerai sur une nouvelle cible si nécessaire.
Ne me bannissez pas ! Je suis simplement Autiste Asperger !
Durant ma scolarité maternelle - primaire, une petite fille m'aimait beaucoup. Elle était dans ma classe, chaque année, jusqu'au début du collège. Puis arrivé en classe de 5ème, dès le début d'année, je ne l'ai plus supporté, pour la simple raison que je ne la trouvais plus a mon goût physiquement. (Elle était plus petite que moi, avait des lunettes, très mince, et même, son visage ne me plaisait plus) Pour l'éloigner de moi a coup sur, j'ai donc décidé de me mettre a la harceler salement.
Un mercredi de novembre 2011, j'ai donc commencé ma campagne de harcèlement scolaire. J'ai commencé a la traiter de "naine", de "moche" ainsi que d'autres noms d'oiseaux du genre. J'ai fait cela pendant plusieurs semaines, chaque jour, en continu. Un véritable harcèlement moral.
Mes parents me sont rapidement tombés dessus, mon AVS, ma psychologue de l'époque aussi, les délégués de classe aussi... tout le monde était indigné de mon attitude envers cette fille et cherchait a la protéger. Tout le monde autour de moi m'a engueulé, fait la morale, ordonné d'arrêter cela sous peine de conséquences, et de m'excuser auprès de cette fille. Sauf que moi, je m'en fichait. Je ne comptais pas arrêter. Au contraire. Je voulais la détruire, m'acharner le plus fortement possible afin d'être sur qu'elle ne fasse plus partie de ma vie, et d'être aussi certain qu'elle soit détruite mentalement, moralement, et sans danger pour moi après cela.
Je prenais un grand plaisir a la voir pleurer, a entendre mes parents / psy parler de cela entre eux, a voir les délégués essayer de me faire arrêter, car je savais que mon comportement avait un lourd impact sur elle. Et sur mon entourage.
Aujourd'hui, j'ai 24 ans. Presque 12 ans plus tard, je n'ai aucun remord ni regret. J'y pense chaque jour. J'admire la violence dont j'étais déjà capable a seulement 12 ans. Je suis encore très content de ce que j'ai fait a cette fillette, et, assurément, je recommencerai sur une nouvelle cible si nécessaire.