Messages de Clochartpuant
Le 23 janvier 2024 à 13:36:14 :
C'est vrai.La plupart des hommes vont faire des études, choper un boulot, une situation, faire du sport, bien s'habiller, s'entretenir, se cultiver etc... L'objectif final c'est a minima de baiser, au mieux d'obtenir l'affection féminine et d'être en couple. S'ils avaient la certitude d'obtenir ça sans consentir à tous ces efforts, on serait beaucoup à être full shlag.
C'est vrai 
D'ailleurs pour ça que les hommes ayant abandonnés ces objectifs, et ne vivant qu'à travers des mondes virtuels (mangas/jeu vidéos/pornos) ne s'entretiennent plus et redeviennent des enfants
Le 23 janvier 2024 à 13:33:49 :
Le sexe est indispensable aux femmes car c'est leur instrument de survie et de prospérité (famille, enfants etc). Mais si elles sont en mesure de l'utiliser aussi froidement, c'est bien que ce n'est pas une grande source de plaisir pour elles Sinon elles seraient beaucoup plus fragiles et honnêtes.Là, tu présumes que les femmes sont très fortes psychologiquement, au point d'être capables de refouler un désir bien plus fort que le nôtre.
Mais c'est faux. Les prétendues femmes libérées n'existent pas par exemple. Elles ont des rapports sexuels à tout va afin de faire leurs bourgeoises rebelles, mais ce n'est pas spontané, naturel, c'est du cinéma. Idem, 3/4 des lesbiennes, c'est du cinéma, elles se regardent vivre sans être vraiment elles-mêmes. Plus elles sont cochonnes, plus elles sont artificielles, bien souvent. Une femme avec une sexualité exhubérante, au fond c'est la même chose qu'une vierge effarouchée : de l'hystérie.
Une femme tient au sexe car elle sait que c'est comme ça que l'homme fonctionne, et que sa part de pouvoir dépend de ça. Mais c'est tout.
Non, les femmes sont globalement asexuelles, elles ne mentent pas là-dessus. Si le sexe est important pour elles, c'est pour des raisons purement stratégiques.
C'est très intéressant, j'ai tout lu et j'avoue que ça fait réfléchir...c'est à peu près ce que je pensais
Le sexe leur sert à des objectifs lointains, externes on va dire, au plaisir intrinsèque à l'acte lui-même (qu'elles ne ressent peut-être pas aussi souvent que nous ?)
