Le 01 mai 2021 à 22:20:36 :
Oui enfin tout le monde a lu La République de Platon hein
Personnellement je ne l'ai pas lu, mais je doute que la professionnalisation de la politique soit abordé dans ce texte...
Bonjour tout le monde,
Ma question part d'un simple constat. En effet, depuis 2017, les députés qui nous représentent sont majoritairement des cadres ou des permanents de la politique (des gens qui n'ont vécu que de leur mandat). Plus de 30% des députés ont occupé un poste de cadre du privé ou de fonctionnaire. Or, cela ne représente pas la France (https://www.insee.fr/fr/statistiques/2489546#figure1_radio1). Par ailleurs, en 2017, sur les 11 candidats à l'élection présidentielle, force est de constater que seulement deux avaient de "vrais" métiers et connaissaient la réalité du terrain. Je m'arrête là pour ce qui est des données, mais vous pouvez aisément voir sur Internet qu'il y a une véritable professionnalisation de la politique qui ne va qu'en augmentant depuis des années.
Je voulais donc savoir ce que vous pensiez de la professionnalisation de la politique. Est-ce une bonne chose selon vous ? Le problème ne viendrait-il pas de là ?
Pour ma part, je pense que les licences de sciences politiques et les institutions comme Sciences Po ne devraient pas exister. En étudiant que la sociologie, la politique, l'économie ou bien encore le droit, comment nos politiques peuvent-ils avoir un avis sur des sujets majeurs comme le dérèglement climatique ? Je trouve que la décision de supprimer l'ENA est une bonne chose par exemple. En faisant de la politique une profession, on déconnecte la caste politique du réel, de la réalité du terrain. Angela Merkel, par exemple, était chimiste avant d'être chancelière. Et pourtant, elle administre relativement bien son pays, non ?
J'ai hâte de lire vos avis.
Le 23 janvier 2021 à 16:18:08 PseudoBan118 a écrit :
ceux qui ont déjà eu le virus devrait pouvoir reprendre leurs activités car ils ne sont plus contagieuxhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/17/1493411336-macron-danse.png
L'immunité conférée par une infection passée n'est que temporaire et bien moins efficace. J'ai l'exemple en tête d'une étudiante qui s'est fait infectée en septembre et en décembre.
Bonjour,
Si je ne dis pas de bêtises, au vu de mes connaissances actuelles, non, ce n'est pas le cas. Le vaccin à ARN messager contient un ARN messager qui code pour la protéine spicule qui se trouve à la surface du SARS-CoV-2. Tant que cette dernière ne mute pas, le vaccin à ARN messager fonctionnera.
Les vaccins à vecteurs viraux (les vaccins traditionnels dont tu parles), inoculent des SARS-CoV-2 inactifs, mais le but est toujours le même : que l'organisme reconnaissent cette fameuse protéine S qui permet l'entrée dans les cellules pulmonaires ACE2.
De ce fait, le seul risque qu'il y a pour les vaccinés serait une mutation qui change la forme de la protéine S (une ou plusieurs, d'ailleurs).
Le 03 janvier 2021 à 21:32:59 LeViaduc a écrit :
Je ne pense pas. Les facs sont relativement indépendantes et parcoursup n'a pas accès à ce genre d'informations à mon avis.
D'accord, merci beaucoup ! Cela m'arrange, car si je n'ai pas les vœux souhaités (qui sont peu nombreux), je peux toujours abandonner la procédure Parcoursup.
Bonjour,
Je voulais savoir si Parcoursup avait la possibilité de savoir si l'on maintient une inscription en deuxième année dans notre formation actuelle de manière concomitante à une réinscription sur Parcousup avec de nouveaux vœux. L'idée, en fait, est de se réinscrire sur Parcoursup pour saisir de nouveaux vœux tout en s'inscrivant en deuxième année de ma formation actuelle (si j'ai toujours de bons résultats) au cas où je n'ai pas les vœux souhaités sur Parcoursup (puisque ce sont des formations sélectives).
Merci par avance.