Messages de -wak

Pour assouvir ce fantasme je me rends de temps en temps dans un cinéma X de Pigalle. La bas l'ambiance peut paraître un peu glauque mais je dois avouer que cela me plaît assez. Les mains se baladent, les corps se touchent à la moindre occasion mais sans violence aucune. Il y a parfois des travestis qui "travaillent" dans le cinéma mais dans la plupart des cas ce sont des hommes assez grand, qui parlent un peu forts ou qui sont un peu dédaigneux. Ce n'est vraiment pas ma tasse de thé mais chacun ses goûts. Un jours que je me promenais dans les allées d'une des deux salles du cinéma j'aperçois une merveille. Une transsexuelle (c'est extrêmement rare qu'une femme seule vienne dans le cinéma). Elle a un haut échancrée sur une poitrine qui a l'air magnifique, elle est mince, des cheveux bouclées et elle se promène également suivi par de nombreux hommes. Je fais mon possible pour la croiser. quand j'arrive à sa hauteur j'essaye d'engager la conversation. - Bonjour, ça va ? (pas très original mais bon ..) - Oui mais je n'aime que les noirs! me répond elle. Bon ben voila! moi qui avait le fol espoir de passer un peu de temps avec elle me voila rembarré (oui parce je suis blanc donc pas vraiment dans ses goûts). Assez déçu je passe mon chemin et continue à vaquer à mes occupations. Je reviens quelques semaines plus tard dans ce même cinéma. Toujours quelques effleurements, quelques sexes touchés et branlés, quelques mains qui me caressent les fesses ou me branlent mon sexe. Soudain dans la salle je vois cette transsexuelle qui revient. Elle se positionne debout dans un coin de la salle, seule. Je tente à nouveau une approche (des fois que ses préférences ait changées) - Bonjour, ça va?- Oui mais mais j'ai envie de me faire sucer! répond elle cette fois ci.- Je peux te sucer si tu veux.- C'est vrai?- Bien sur.- ok, me dit elle. et elle commence à déboutonner son jean. Je suis très excité à l'idée de prendre en bouche son sexe. Mon Dieu, son sexe est gros et bien dur. Je m'agenouille, je le contemple, je le prend déjà en main. Il est beau et elle est très belle. Je commence doucement à lécher le gland puis je fais tourner ma langue sur ce sexe qui me tente envie. Je la suce bien, j'aime ça. Un attroupement se fait autour de nous attiré par le spectacle de ce corps parfait en train de prendre du plaisir. Je balade mes mains sur son ventre sur ses seins. Elle est debout devant moi, Elle me regarde fixement, elle a l'air d'apprécier. Moi aussi. Parfois tandis que je la caresse je rencontre d'autres mains qui la caressent également. Elle les écarte gentiment mais fermement. L'atmosphère devient irrespirable. Il fait très chaud. Elle me relève et me dit:- Viens, il y a trop de monde ici, on va dans un coin tranquille. Je la suis bien évidemment car j'ai bien envie d'avoir sa giclée de foutre chaud au fond de ma gorge. Elle m'emmène dans la salle du bas ou il y a, dans un recoin, une petite pièce d'un mètre sur un mètre. Il y a beaucoup de monde devant qui attendent de voir qui va rentrer dedans et qui espère être invité aux ébats. Nous nous enfermons. Elle se déshabille. Elle a un corps magnifique. Un corps mince et ferme, des seins (faux évidemment mais superbes) et un sexe magnifique). Je me remets à genou, je la repompe doucement puis plus énergiquement, jouant avec la langue. Elle gémit, elle aime ça. Je prend mon temps et mon pied. Des gens essaient d'ouvrir la porte pour regarder mais nous sommes bien tranquilles. Je la suce pendant trente minutes. - Je veux ton cul, me dit elle:- Je n'ai jamais fait ça, tu es trop gros, ça pourra jamais rentrer. C'est vrai que je n'avais jamais fait ça. C'est un fantasme d'essayer une fois mais j'ai vraiment peur qu'elle me déchire. - Tu veux bien que j'essaye.- D'accord mais doucement. Je me relève j'enlève mon jean. Elle se plaque dans mon dos et essaye de rentrer son sexe bien dure dans mon petit trou. Ca me fait horriblement mal et je prend peur. - Stop! Stop! Ca me fait vraiment trop mal! lui dis je:- Ok c'est pas grave. On se caresse encore un peu et on décide de se rhabiller et de sortir. Nous allons nous asseoir ensemble sur les fauteuils de la salle pour discuter un peu. - je m'appelle Carolina, me dit elle. Elle est d'Amérique du sud comme beaucoup de transsexuelle.- Et moi Patrick. - Tu suce bien. - Merci. J'adore ton sexe et ton corps - Tu n'as jamais couché avec un homme - Non, j'aimerais bien essayer avec toi mais ça fait vraiment mal - On peut faire ça chez moi si tu veux, j'ai du gel et ça passera beaucoup mieux. - Pourquoi pas, ça m'excite vraiment d'essayer. - J'habite dans l'ouest de Paris. - Moi aussi, on est voisin. - On y va maintenant? - demain si ça te dérange pas On s'échange nos numéros de téléphone et on prend rendez vous le lendemain chez elle. Arrive le dimanche. J'ai vraiment hâte d'avoir cette nouvelle expérience. J'arrive chez elle. Elle vient me chercher à la station de métro. On va chez elle silencieusement. Elle vit dans un immeuble cossu mais dans les caves de l'immeuble. Les caves sont emménagés en de minuscules appartements. On rentre dans son appartement. On se jette l'un sur l'autre, on s'embrasse, on se caresse. Elle s'assied dans un fauteuil, nue, le sexe déjà au garde à vous. Je m'agenouille et recommence le travail commencé la veille. Son sexe est toujours aussi dure, aussi bon, je me régale. Après 10 minutes elle se lève. Me demande de me mettre à 4 pattes. C'est le moment. - Fait doucement, lui dis je. Met du gel - Ne t'en fait pas. Ca va bien se passer. Elle met du gel et commence à rentrer. - Ca fait mal! Elle remet du gel et rentre doucement Au fur à mesure tout rentre et elle commence à faire des va et vient. Je ressens un peu de douleurs mais très supportable. Elle commence à me pilonner - Ha oui vas y! défonce moi Elle y met du cœur. Elle met tout son poids sur moi, Ses seins contre mon dos. La sensation est exquise. J'aime vraiment ça. Elle me retourne. Met mes jambes sur ses épaules et elle me défonce. J'aime voir son visage pendant qu'elle me pilonne, voir ses seins, la toucher. - Je veux ton foutre sur mon visage, luis dis je. Pendant trente minutes elle me défonce bien. Elle se retire de mon cul et se lève. Je me met à genou prêt à recevoir son offrande. Elle décharge son foutre bien chaud sur mon visage. C'est si bon. je la reprend en bouche. elle est encore dure. C'est une première fois bien réussie et agréable. Carolina est une femme superbe et très gentille. On se quitte en se disant qu'on veut se revoir Malheureusement, j'ai perdu mon téléphone et tout les numéros que j'avais dessus. Je ne peux plus l'appeler Je ne sais plus son adresse exacte. J'ai bien essayé de la retrouver au cinéma ou dans son quartier mais impossible de la retrouver. Fin

Je me demande coment faire.

Salut tout le monde,J'ai essayé Facebook Rencontres et je suis déçu de l'application.-Déjà je ne trouvais pas mon profil pour pouvoir modifier des infos.Il y a des raccourcis au dessus de la photo et il faut balayer a gauche pour voir le profil,pas très clair déjà.-La géolocalisation fonctionne et les résultats se situent bien aux périmètres de distance choisis,mais les profils cherchés ne se font que un par un;je m'attendais a une grille de résultats mais non,il faut soit aimer le profil ou le passer pour passer aux profils suivants et ainsi de suite.-Si on "Dislike" des profils,il y'a une option seconde chance pour les retrouver,mais rebelotte,pas de grille,il faut faire la croix (dislike) jusqu'a retrouver le profil qu'on veut retrouver.Pas pratique.-Enfin,surement le point que je ne comprends absolument pas,c'est quand on aime les profils (le coeur).J'ai eu beau cherché partout dans l'application,il n'y a aucuns moyens de revoir les profils likés.On ne peut pas envoyer de messages pour commencer une discussion.Donc on like,mais après ? Même s'il n'y a pas de match,je trouve toujours utile de tenter quand-même sa chance en communication.C'est la première fois que je teste une application de rencontres et honnêtement je ne suis pas pour.Mais elle est entièrement gratuite.Si vous avez déjà essayer Facebook Rencontres,quels sont vos retours ? Merci.

J'ai trouvé cette annonce d'un trans pour vous ça sent bon ?Je crève l’abscès d’entrée de jeu au sujet de mon âge : j’ai 41 ans. Certains diront que je suis trop vieille et bien tant pis pour eux ! Je ne vais pas m’excuser d’aimer le sexe passé la quarantaine ! Je suis une transe qui a passée des années à s’excuser d’exister alors maintenant c’est bien terminer de me priver pour ne pas heurter les autres !Donc, je suis mature et en prime j’ai une longue queue et un gros cul !! Je suis une shemale versatile ou active et passive si tu préfères. J’ai autant de plaisir a enculer qu’a me faire prendre. Cela facilite de beaucoup les choses pour rencontrer, peu importe ta position sexuelle favorite, je peux m’y adapter !! Et si tu es curieux d’en tenter une nouvelle, je suis partante et motivée ! Cool n’est-ce pas ?Avec cette annonce je désire recevoir des messages d’hommes dans la région Ile-de-France qui sont intéressés à me rencontrer. Je suis sur Sceaux 92330 dans les Hauts-de-Seine, c’est juste au sud de la capitale. Je t’invite chez moi, tu verras c’est une belle propriété, je vis seule alors aucun danger. Ce qui se déroulera ici restera entre nous, la discrétion est une valeur très importante pour moi…

Hier soir, j'ai franchi le pas. Ceci est nofake, je m'appelle kakuigakx, et ceci est mon histoire avec un transsexuel.Cela commence il y a environ 1 mois, tu conjures ton ennui sur un célèbre forum de jeux vidéos francophone. Comme d'habitude, la moitié des topics parlent de Plan Cul, de Baise, d'Escorts, de Camgirls. La plupart du temps, c'est stérile, mais tu as en mémoire quelques anciens récits de valeureux kheys relatant leurs expériences dans les FKK, joyeuses demeures Espagnoles. Toi, voilà plusieurs mois que tu as rompu avec ton ex et que tu as abandonné tes entreprises de coït à répétition.D'ailleurs, tu t'étais bien amusé avec, vous étiez allé au grand air, dans des cages d'escalier... Depuis, tu te masturbes quotidiennement, adepte de la section rencontre transexuelle du célèbre site aux trèfle à 4 feuilles. D'ailleurs, ça regorge de femmes à pénis, par là-bas, même si tu ne t'es jamais attardé sur le genre. Tu t'es toujours vu comme un pur hétéro, même si t'as des délires du genre public.Et puis, de temps en temps, tu t'amuses à aller voir les escorts présentent sur le site "la rue vive". Tu as découvert ce truc en écoutant ton père . N'y aurait-il pas un salon de massage chinois, à proximité ? Oui, tu as déjà poussé la porte d'un de ces lieux, l'été dernier (quand tu étais encore en couple d'ailleurs ), tu avais eu droit à une branlette éclair à 50 euros pièce par une jeune chinoise, qui, si elle n'était pas physiquement parmi les meilleures, semblait détenir de ses ancêtres une technique masturbatoire invincible, réussissant à te faire cracher en 30 secondes alors que tu t'étais déjà dégorgé le poireau le matin même.Tu es donc un aventurier, tu en as conscience, peut-être un peu honte, et tu te trouves sur cette rue miraculeuse. En fantasque que tu es, tu es attiré par l'extra-normalité. Les nombreuses "masseuses" ne retiennent guère ton attention, tu te surprends à scruter les annonces de la section "gay", la plupart du temps sans photo rencontre transexuelle, et particulièrement explicites. "cherche jeune queue à sucer", "passif chaud pour black ou rebeu TTBM", tu n'as jamais eu aucune attirance homosexuelle, mais tu te dis quand même que ça a l'air simple. Un SMS, et une pipe gratuite.Mais tu te méfies, et si c'était un piège ? Et puis, il y a peu de chances que tu arrives à bander avec un vieux qui te pompe le dard, même dans la pénombre. Tu repenses d'ailleurs à ce spécimen du 18-25 que tu as vu l'année dernière, dont tu as oublié le nom, un gars de la quarantaine qui s'affichait nu, en laisse, sur Twitter, et qui répondait à des topics sur le forum. (ce n'est pas lui sur le sticker, c'est juste pour illustrer dans la thématique)Bref, le gay, c'est pas pour toi. Plus tard, peut-être. Par contre, il t'est déjà arrivé d'avoir une belle érection face à des photos de trans. Et puis, elles ont des seins, parfois un beau visage, la seule différence apparente réside dans l'érection du corps spongieux. Bref, t'as pas de blocage. Et puis, t'es pas gay, mais tu te demandes bien ce que ça peut être de sucer une bite, d'autant plus que tu lis ces threads de confidences sur le site aux 4 feuilles, certains sont disent être devenus accros après avoir essayé.Tu regardes donc ce qui est disponible dans la section trans de la rue joyeuse. Certains spécimens font carrément peur, tu pourrais presque deviner les poils émerger sous les photos en chemisettes avec filtre instagram. En revanche, certaines annonces sont intéressantes, un bon corps avec des seins, un visage gracieux , le tout sans être des photos de luxe rencontre transexuelle(parce que oui, tu es étudiant, donc tu ne peux pas te permettre de solliciter des demoiselles facturant 300 euros la demi-heure).Bref, tu reviens régulièrement sur la rue joyeuse, presque tous les jours même, tu commences à te renseigner en profondeur, d'ailleurs tu découvres d'autres annuaires, avec des annonces qui semblent être mises à jour régulièrement et de qualité.Peu à peu, une idée lancinante germe dans ton esprit : et si j'y allais ?Les jours passent, tu consultes les annonces régulièrement, tu vois que les filles changent, quelques une réapparaissent parfois au bout d'une semaine, d'autres semblent "en tournée".Tu découvres également qu'il y a des forums consacrés aux trans, où les passionnés donnent leur avis sur les filles et la qualité de leurs services ; tu y passeras d'ailleurs plusieurs heures dessus, pour le bien de la science.Voilà que tu rentres un soir chez toi, t'es un peu fatigué de ta journée, et tu décides de te palucher avant de te doucher. Par habitude, tu vas parcourir les allées des champs de trèfles à 4 feuilles, mais tu jettes également un œil sur l'état du marché local. Et là, tu vois encore cette annonce que tu as repéré voilà 2 semaines, fraîchement mise à jour et agrémentée d'une nouvelle photo. La description est laconique, mais les commentaires sont élogieux. Et puis tu franchis le pas. Tu envoies un message. Bien respectueux, "Bonjour, j'ai vu votre annonce, quels sont vos tarifs et êtes vous disponible ? Merci d'avance."Oh, wait, ça fait un mois que tu scrutes les annonces, et tu viens de mettre un pied dans le plat. Tu attends un peu, 5 minutes, 10 minutes, pas de réponse. Bon, peut-être qu'elle répond pas aux sms, c'était pas précisé dans l'annonce, ou c'est une fausse annonce. Mais malgré les minutes, tu es incapable de toucher à ton pénis. Ça t'excitait de faire le tour des annonces, mais tout à coup, tu deviens pensif. "Ai-je vraiment envie de rencontrer un trans ? tu sens tout à coup sur tes épaules le poids de l'anathème et de 2000 ans de chrétienté. Tes ancêtres qui ont fait les croisades doivent se retourner dans leur tombe.Mais aucune réponse ne vient. Du coup, tu vas prendre ta douche, tout en laissant ton portable à proximité, au cas-où. Tu arrives même un peu à oublier ce que tu viens de faire : il faut dire que la douche est pour toi l'occasion quotidienne de réfléchir à la marche du monde, tu as un côté philosophe. Mais à la fin, toujours pas de réponse. Bref, tu commences à faire à bouffer, quand ton portable vibre.Putain, elle a répondu. elle veut savoir ton âge et ton origine. Tu lui réponds, et s'ensuit une petite conversation par message. Elle veut une photo de toi, demande ce que tu veux faire. Et là, elle te demande quand est-ce que tu veux la voir. T'es un peu pris au dépourvu, déjà que tu pensais te faire refouler à cause de ton jeune âge. Mais téméraire que tu es, rencontre transexuelle tu lances un "ce soir ou demain aprem ?", sachant qu'il est déjà 20h30, elle a dû déjà voir passer pas mal de bites aujourd'hui.Là, elle te répond qu'elle est dispo pour 21h30 ou 21h45. Tu dis d'accord pour 45, et demande l'adresse : c'est à 45 minutes de chez toi, il te faudra marcher 20 minutes après la station de métro, il est maintenant 20h55, tu es en short chez toi, et en plus il faut que tu retires du fric, parce que t'en as pas assez. Ni une ni deux, tu repenses à ce militaire, qui, un jour, t'avais expliqué les yeux dans les yeux ce qui le séparait du commun des mortels : le sens de la mission.

Hier soir, j'ai franchi le pas. Ceci est nofake, je m'appelle Lifemanbu, et ceci est mon histoire avec un transexuel.Cela commence il y a environ 1 mois, tu conjures ton ennui sur un célèbre forum de jeux vidéos francophone. Comme d'habitude, la moitié des topics parlent de Plan Cul, de Baise, d'Escorts, de Camgirls. La plupart du temps, c'est stérile, mais tu as en mémoire quelques anciens récits de valeureux kheys relatant leurs expériences dans les FKK, joyeuses demeures Portuguaises. Toi, voilà plusieurs mois que tu as rompu avec ton ex et que tu as abandonné tes entreprises de coït à répétition.D'ailleurs, tu t'étais bien amusé avec, vous étiez allé au grand air, dans des cages d'escalier... Depuis, tu te masturbes quotidiennement, adepte de la section recherche rencontre transexuelle du célèbre site aux trèfle à 4 feuilles. D'ailleurs, ça regorge de femmes à pénis, par là-bas, même si tu ne t'es jamais attardé sur le genre. Tu t'es toujours vu comme un pur hétéro, même si t'as des délires du genre public.Et puis, de temps en temps, tu t'amuses à aller voir les escorts présentent sur le site "la rue vive". Tu as découvert ce truc en écoutant ton père . N'y aurait-il pas un salon de massage chinois, à proximité ? Oui, tu as déjà poussé la porte d'un de ces lieux, l'été dernier (quand tu étais encore en couple d'ailleurs ), tu avais eu droit à une branlette éclair à 50 euros pièce par une jeune chinoise, qui, si elle n'était pas physiquement parmi les meilleures, semblait détenir de ses ancêtres une technique masturbatoire invincible, réussissant à te faire cracher en 30 secondes alors que tu t'étais déjà dégorgé le poireau le matin même.Tu es donc un aventurier, tu en as conscience, peut-être un peu honte, et tu te trouves sur cette rue miraculeuse. En fantasque que tu es, tu es attiré par l'extra-normalité. Les nombreuses "masseuses" ne retiennent guère ton attention, tu te surprends à scruter les annonces de la section "gay", la plupart du temps sans photo recherche rencontre transexuelle, et particulièrement explicites. "cherche grosse queue à sucer", "passif chaud pour black ou rebeu TTBM", tu n'as jamais eu aucune attirance homosexuelle, mais tu te dis quand même que ça a l'air simple. Un SMS, et une pipe gratuite.Mais tu te méfies, et si c'était un piège ? Et puis, il y a peu de chances que tu arrives à bander avec un vieux qui te pompe le dard, même dans la pénombre. Tu repenses d'ailleurs à ce spécimen du 18-25 que tu as vu l'année dernière, dont tu as oublié le nom, un gars de la quarantaine qui s'affichait nu, en laisse, sur Twitter, et qui répondait à des topics sur le forum. (ce n'est pas lui sur le sticker, c'est juste pour illustrer dans la thématique)Bref, le gay, c'est pas pour toi. Plus tard, peut-être. Par contre, il t'est déjà arrivé d'avoir une belle érection face à des photos de trans. Et puis, elles ont des seins, parfois un beau visage, la seule différence apparente réside dans l'érection du corps spongieux. Bref, t'as pas de blocage. Et puis, t'es pas gay, mais tu te demandes bien ce que ça peut être de sucer une bite, d'autant plus que tu lis ces threads de confidences sur le site aux 4 feuilles, certains sont disent être devenus accros après avoir essayé.Tu regardes donc ce qui est disponible dans la section trans de la rue joyeuse. Certains spécimens font carrément peur, tu pourrais presque deviner les poils émerger sous les photos en chemisettes avec filtre instagram. En revanche, certaines annonces sont intéressantes, un bon corps avec des seins, un visage gracieux , le tout sans être des photos de luxe recherche rencontre transexuelle(parce que oui, tu es étudiant, donc tu ne peux pas te permettre de solliciter des demoiselles facturant 300 euros la demi-heure).Bref, tu reviens régulièrement sur la rue joyeuse, presque tous les jours même, tu commences à te renseigner en profondeur, d'ailleurs tu découvres d'autres annuaires, avec des annonces qui semblent être mises à jour régulièrement et de qualité.Peu à peu, une idée lancinante germe dans ton esprit : et si j'y allais ?Les jours passent, tu consultes les annonces régulièrement, tu vois que les filles changent, quelques une réapparaissent parfois au bout d'une semaine, d'autres semblent "en tournée".Tu découvres également qu'il y a des forums consacrés aux trans, où les passionnés donnent leur avis sur les filles et la qualité de leurs services ; tu y passeras d'ailleurs plusieurs heures dessus, pour le bien de la science.Voilà que tu rentres un soir chez toi, t'es un peu fatigué de ta journée, et tu décides de te palucher avant de te doucher. Par habitude, tu vas parcourir les allées des champs de trèfles à 4 feuilles, mais tu jettes également un œil sur l'état du marché local. Et là, tu vois encore cette annonce que tu as repéré voilà 2 semaines, fraîchement mise à jour et agrémentée d'une nouvelle photo. La description est laconique, mais les commentaires sont élogieux. Et puis tu franchis le pas. Tu envoies un message. Bien respectueux, "Bonjour, j'ai vu votre annonce plan cul, quels sont vos tarifs et êtes vous disponible ? Merci d'avance."Oh, wait, ça fait un mois que tu scrutes les annonces, et tu viens de mettre un pied dans le plat. Tu attends un peu, 5 minutes, 10 minutes, pas de réponse. Bon, peut-être qu'elle répond pas aux sms, c'était pas précisé dans l'annonce, ou c'est une fausse annonce. Mais malgré les minutes, tu es incapable de toucher à ton pénis. Ça t'excitait de faire le tour des annonces, mais tout à coup, tu deviens pensif. "Ai-je vraiment envie de rencontrer un trans ? tu sens tout à coup sur tes épaules le poids de l'anathème et de 2000 ans de chrétienté. Tes ancêtres qui ont fait les croisades doivent se retourner dans leur tombe.Mais aucune réponse ne vient. Du coup, tu vas prendre ta douche, tout en laissant ton portable à proximité, au cas-où. Tu arrives même un peu à oublier ce que tu viens de faire : il faut dire que la douche est pour toi l'occasion quotidienne de réfléchir à la marche du monde, tu as un côté philosophe. Mais à la fin, toujours pas de réponse. Bref, tu commences à faire à bouffer, quand ton portable vibre.Putain, elle a répondu. elle veut savoir ton âge et ton origine. Tu lui réponds, et s'ensuit une petite conversation par message. Elle veut une photo de toi, demande ce que tu veux faire. Et là, elle te demande quand est-ce que tu veux la voir. T'es un peu pris au dépourvu, déjà que tu pensais te faire refouler à cause de ton jeune âge. Mais téméraire que tu es, recherche rencontre transexuelle tu lances un "ce soir ou demain aprem ?", sachant qu'il est déjà 20h30, elle a dû déjà voir passer pas mal de bites aujourd'hui.Là, elle te répond qu'elle est dispo pour 21h30 ou 21h45. Tu dis d'accord pour 45, et demande l'adresse : c'est à 45 minutes de chez toi, il te faudra marcher 20 minutes après la station de métro, il est maintenant 20h55, tu es en short chez toi, et en plus il faut que tu retires du fric, parce que t'en as pas assez. Ni une ni deux, tu repenses à ce militaire, qui, un jour, t'avait expliqué les yeux dans les yeux ce qui le séparait du commun des mortels : le sens de la mission.

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Tu t'es toujours vu comme un pur hétéro, même si t'as des délires du genre public.Et puis, de temps en temps, tu t'amuses à aller voir les escorts présentent sur le site "la rue vive". Tu as découvert ce truc en écoutant ton père . N'y aurait-il pas un salon de massage chinois, à proximité ? Oui, tu as déjà poussé la porte d'un de ces lieux, l'été dernier (quand tu étais encore en couple d'ailleurs ), tu avais eu droit à une branlette éclair à 50 euros pièce par une jeune chinoise, qui, si elle n'était pas physiquement parmi les meilleures, semblait détenir de ses ancêtres une technique masturbatoire invincible, réussissant à te faire cracher en 30 secondes alors que tu t'étais déjà dégorgé le poireau le matin même.Tu es donc un aventurier, tu en as conscience, peut-être un peu honte, et tu te trouves sur cette rue miraculeuse. En fantasque que tu es, tu es attiré par l'extra-normalité. Les nombreuses "masseuses" ne retiennent guère ton attention, tu te surprends à scruter les annonces de la section "gay", la plupart du temps sans photo Plantrans pour rencontrer des travestis et des trans, et particulièrement explicites. "cherche grosse queue à sucer", "passif chaud pour black ou rebeu TTBM", tu n'as jamais eu aucune attirance homosexuelle, mais tu te dis quand même que ça a l'air simple. Un SMS, et une pipe gratuite.Mais tu te méfies, et si c'était un piège ? Et puis, il y a peu de chances que tu arrives à bander avec un vieux qui te pompe le dard, même dans la pénombre. Tu repenses d'ailleurs à ce spécimen du 18-25 que tu as vu l'année dernière, dont tu as oublié le nom, un gars de la quarantaine qui s'affichait nu, en laisse, sur Twitter, et qui répondait à des topics sur le forum. (ce n'est pas lui sur le sticker, c'est juste pour illustrer dans la thématique)Bref, le gay, c'est pas pour toi. Plus tard, peut-être. Par contre, il t'est déjà arrivé d'avoir une belle érection face à des photos de trans. Et puis, elles ont des seins, parfois un beau visage, la seule différence apparente réside dans l'érection du corps spongieux. Bref, t'as pas de blocage. Et puis, t'es pas gay, mais tu te demandes bien ce que ça peut être de sucer une bite, d'autant plus que tu lis ces threads de confidences sur le site aux 4 feuilles, certains sont disent être devenus accros après avoir essayé.Tu regardes donc ce qui est disponible dans la section trans de la rue joyeuse. Certains spécimens font carrément peur, tu pourrais presque deviner les poils émerger sous les photos en chemisettes avec filtre instagram. En revanche, certaines annonces sont intéressantes, un bon corps avec des seins, un visage gracieux , le tout sans être des photos de luxe Plantrans pour rencontrer des travestis et des trans(parce que oui, tu es étudiant, donc tu ne peux pas te permettre de solliciter des demoiselles facturant 300 euros la demi-heure).Bref, tu reviens régulièrement sur la rue joyeuse, presque tous les jours même, tu commences à te renseigner en profondeur, d'ailleurs tu découvres d'autres annuaires, avec des annonces qui semblent être mises à jour régulièrement et de qualité.Peu à peu, une idée lancinante germe dans ton esprit : et si j'y allais ?Les jours passent, tu consultes les annonces régulièrement, tu vois que les filles changent, quelques une réapparaissent parfois au bout d'une semaine, d'autres semblent "en tournée".Tu découvres également qu'il y a des forums consacrés aux trans, où les passionnés donnent leur avis sur les filles et la qualité de leurs services ; tu y passeras d'ailleurs plusieurs heures dessus, pour le bien de la science.Voilà que tu rentres un soir chez toi, t'es un peu fatigué de ta journée, et tu décides de te palucher avant de te doucher. Par habitude, tu vas parcourir les allées des champs de trèfles à 4 feuilles, mais tu jettes également un œil sur l'état du marché local. Et là, tu vois encore cette annonce que tu as repéré voilà 2 semaines, fraîchement mise à jour et agrémentée d'une nouvelle photo. La description est laconique, mais les commentaires sont élogieux. Et puis tu franchis le pas. Tu envoies un message. Bien respectueux, "Bonjour, j'ai vu votre annonce plan cul, quels sont vos tarifs et êtes vous disponible ? Merci d'avance."Oh, wait, ça fait un mois que tu scrutes les annonces, et tu viens de mettre un pied dans le plat. Tu attends un peu, 5 minutes, 10 minutes, pas de réponse. Bon, peut-être qu'elle répond pas aux sms, c'était pas précisé dans l'annonce, ou c'est une fausse annonce. Mais malgré les minutes, tu es incapable de toucher à ton pénis. Ça t'excitait de faire le tour des annonces, mais tout à coup, tu deviens pensif. "Ai-je vraiment envie de rencontrer un trans ? tu sens tout à coup sur tes épaules le poids de l'anathème et de 2000 ans de chrétienté. Tes ancêtres qui ont fait les croisades doivent se retourner dans leur tombe.Mais aucune réponse ne vient. Du coup, tu vas prendre ta douche, tout en laissant ton portable à proximité, au cas-où. Tu arrives même un peu à oublier ce que tu viens de faire : il faut dire que la douche est pour toi l'occasion quotidienne de réfléchir à la marche du monde, tu as un côté philosophe. Mais à la fin, toujours pas de réponse. Bref, tu commences à faire à bouffer, quand ton portable vibre.Putain, elle a répondu. elle veut savoir ton âge et ton origine. Tu lui réponds, et s'ensuit une petite conversation par message. Elle veut une photo de toi, demande ce que tu veux faire. Et là, elle te demande quand est-ce que tu veux la voir. T'es un peu pris au dépourvu, déjà que tu pensais te faire refouler à cause de ton jeune âge. Mais téméraire que tu es, Plantrans pour rencontrer des travestis et des trans tu lances un "ce soir ou demain aprem ?", sachant qu'il est déjà 20h30, elle a dû déjà voir passer pas mal de bites aujourd'hui.Là, elle te répond qu'elle est dispo pour 21h30 ou 21h45. Tu dis d'accord pour 45, et demande l'adresse : c'est à 45 minutes de chez toi, il te faudra marcher 20 minutes après la station de métro, il est maintenant 20h55, tu es en short chez toi, et en plus il faut que tu retires du fric, parce que t'en as pas assez.Ni une ni deux, tu repenses à ce militaire, qui, un jour, t'avait expliqué les yeux dans les yeux ce qui le séparait du commun des mortels : le sens de la mission.

Il y a quoi comme lieu de rencontre trans à Paris ?

Le respect est la clé de l'entente.

Hier soir, j'ai franchi le pas. Ceci est nofake, je m'appelle Frankerses, et ceci est mon histoire avec un homme transexuel.Cela commence il y a environ 1 mois, tu conjures ton ennui sur un célèbre forum de jeux vidéos francophone. Comme d'habitude, la moitié des topics parlent de Plan Cul, de Baise, d'Escorts, de Camgirls. La plupart du temps, c'est stérile, mais tu as en mémoire quelques anciens récits de valeureux kheys relatant leurs expériences dans les FKK, joyeuses demeures Allemandes. Toi, voilà plusieurs mois que tu as rompu avec ton ex et que tu as abandonné tes entreprises de coït à répétition.D'ailleurs, tu t'étais bien amusé avec, vous étiez allé au grand air, dans des cages d'escalier... Depuis, tu te masturbes quotidiennement, adepte de la section trans trav paris du célèbre site aux trèfle à 4 feuilles. D'ailleurs, ça regorge de femmes à pénis, par là-bas, même si tu ne t'es jamais attardé sur le genre. Tu t'es toujours vu comme un pur hétéro, même si t'as des délires du genre public.Et puis, de temps en temps, tu t'amuses à aller voir les escorts présentent sur le site "la rue vive". Tu as découvert ce truc en écoutant ton père . N'y aurait-il pas un salon de massage chinois, à proximité ? Oui, tu as déjà poussé la porte d'un de ces lieux, l'été dernier (quand tu étais encore en couple d'ailleurs ), tu avais eu droit à une branlette éclair à 50 euros pièce par une jeune chinoise, qui, si elle n'était pas physiquement parmi les meilleures, semblait détenir de ses ancêtres une technique masturbatoire invincible, réussissant à te faire cracher en 30 secondes alors que tu t'étais déjà dégorgé le poireau le matin même.Tu es donc un aventurier, tu en as conscience, peut-être un peu honte, et tu te trouves sur cette rue miraculeuse. En fantasque que tu es, tu es attiré par l'extra-normalité. Les nombreuses "masseuses" ne retiennent guère ton attention, tu te surprends à scruter les annonces de la section "gay", la plupart du temps sans photo trans trav paris, et particulièrement explicites. "cherche jeune queue à sucer", "passif chaud pour black ou rebeu TTBM", tu n'as jamais eu aucune attirance homosexuelle, mais tu te dis quand même que ça a l'air simple. Un SMS, et une pipe gratuite.Mais tu te méfies, et si c'était un piège ? Et puis, il y a peu de chances que tu arrives à bander avec un vieux qui te pompe le dard, même dans la pénombre. Tu repenses d'ailleurs à ce spécimen du 18-25 que tu as vu l'année dernière, dont tu as oublié le nom, un gars de la quarantaine qui s'affichait nu, en laisse, sur Twitter, et qui répondait à des topics sur le forum. (ce n'est pas lui sur le sticker, c'est juste pour illustrer dans la thématique)Bref, le gay, c'est pas pour toi. Plus tard, peut-être. Par contre, il t'est déjà arrivé d'avoir une belle érection face à des photos de trans. Et puis, elles ont des seins, parfois un beau visage, la seule différence apparente réside dans l'érection du corps spongieux. Bref, t'as pas de blocage. Et puis, t'es pas gay, mais tu te demandes bien ce que ça peut être de sucer une bite, d'autant plus que tu lis ces threads de confidences sur le site aux 4 feuilles, certains sont disent être devenus accros après avoir essayé.Tu regardes donc ce qui est disponible dans la section trans de la rue joyeuse. Certains spécimens font carrément peur, tu pourrais presque deviner les poils émerger sous les photos en chemisettes avec filtre instagram. En revanche, certaines annonces sont intéressantes, un bon corps avec des seins, un visage gracieux , le tout sans être des photos de luxe trans trav paris(parce que oui, tu es étudiant, donc tu ne peux pas te permettre de solliciter des demoiselles facturant 300 euros la demi-heure).Bref, tu reviens régulièrement sur la rue joyeuse, presque tous les jours même, tu commences à te renseigner en profondeur, d'ailleurs tu découvres d'autres annuaires, avec des annonces qui semblent être mises à jour régulièrement et de qualité.Peu à peu, une idée lancinante germe dans ton esprit : et si j'y allais ?Les jours passent, tu consultes les annonces régulièrement, tu vois que les filles changent, quelques une réapparaissent parfois au bout d'une semaine, d'autres semblent "en tournée".Tu découvres également qu'il y a des forums consacrés aux trans, où les passionnés donnent leur avis sur les filles et la qualité de leurs services ; tu y passeras d'ailleurs plusieurs heures dessus, pour le bien de la science.Voilà que tu rentres un soir chez toi, t'es un peu fatigué de ta journée, et tu décides de te palucher avant de te doucher. Par habitude, tu vas parcourir les allées des champs de trèfles à 4 feuilles, mais tu jettes également un œil sur l'état du marché local. Et là, tu vois encore cette annonce que tu as repéré voilà 2 semaines, fraîchement mise à jour et agrémentée d'une nouvelle photo. La description est laconique, mais les commentaires sont élogieux. Et puis tu franchis le pas. Tu envoies un message. Bien respectueux, "Bonjour, j'ai vu votre annonce, quels sont vos tarifs et êtes vous disponible ? Merci d'avance."Oh, wait, ça fait un mois que tu scrutes les annonces, et tu viens de mettre un pied dans le plat. Tu attends un peu, 5 minutes, 10 minutes, pas de réponse. Bon, peut-être qu'elle répond pas aux sms, c'était pas précisé dans l'annonce, ou c'est une fausse annonce. Mais malgré les minutes, tu es incapable de toucher à ton pénis. Ça t'excitait de faire le tour des annonces, mais tout à coup, tu deviens pensif. "Ai-je vraiment envie de rencontrer un trans ? tu sens tout à coup sur tes épaules le poids de l'anathème et de 2000 ans de chrétienté. Tes ancêtres qui ont fait les croisades doivent se retourner dans leur tombe.Mais aucune réponse ne vient. Du coup, tu vas prendre ta douche, tout en laissant ton portable à proximité, au cas-où. Tu arrives même un peu à oublier ce que tu viens de faire : il faut dire que la douche est pour toi l'occasion quotidienne de réfléchir à la marche du monde, tu as un côté philosophe. Mais à la fin, toujours pas de réponse. Bref, tu commences à faire à bouffer, quand ton portable vibre.Putain, elle a répondu. elle veut savoir ton âge et ton origine. Tu lui réponds, et s'ensuit une petite conversation par message. Elle veut une photo de toi, demande ce que tu veux faire. Et là, elle te demande quand est-ce que tu veux la voir. T'es un peu pris au dépourvu, déjà que tu pensais te faire refouler à cause de ton jeune âge. Mais téméraire que tu es, trans trav paris tu lances un "ce soir ou demain aprem ?", sachant qu'il est déjà 20h30, elle a dû déjà voir passer pas mal de bites aujourd'hui.Là, elle te répond qu'elle est dispo pour 21h30 ou 21h45. Tu dis d'accord pour 45, et demande l'adresse : c'est à 45 minutes de chez toi, il te faudra marcher 20 minutes après la station de métro, il est maintenant 20h55, tu es en short chez toi, et en plus il faut que tu retires du fric, parce que t'en as pas assez. Ni une ni deux, tu repenses à ce militaire, qui, un jour, t'avais expliqué les yeux dans les yeux ce qui le séparait du commun des mortels : le sens de la mission.

Vous allez où pour rencontrer des trans ?

Je me demande coment faire.

certifié NOFAKE eh oui les clés, je chatais avec une gauchiasse au politiscale plus à gauche qu'un mélenchon après les JO au bout de 6 mois environ, elle me quitte quand elle voit un thread ou je dit que les pronoms personalisés des trans c'est une désillusion de zinzin pour noyer ma peine et mon seum (eh oui j'avais le seum), je me fais des plans cul rien de bien fou mais j'ai de la chance, je peux me prendre des 7/10 environs ca ne me fait pas oublier mais au moins je m'en sors mieux que certains golems du fofo un soir elle me dm pour discuter et je lui répond de manière un peu amere. là elle commence à faire la gentille à vouloir discuter, jouer à minecraft et j'accepte car ca me manque quand même un peu de lui parler MEILLEUR CHOIX DE TOUTE CETTE HISTOIRE un soir, elle m'appelle completement défoncée, se met à chialer à me raconter qu'elle a une vie de merde, une famille de merde, des amis de merde et qu'elle m'aime mais qu'elle ose pas me le dire sobre car elle sait que je lui répondrait pas positivement. ce plaisir putain, je suis son seul rayon de soleil, sa seule source de respect, de considération et elle sait qu'elle a merdée... naturelle fut sa sélection... jamais on se remettra jamais ensemble car elle est trop fière de ses idées politique et moi je suis trop rancunier mais au final, je suis content de voir qu'elle regrette. c'est mechant, toxique même, je sais... mais qu'est-ce que c'est bon putain de savoir que la meuf réalise son erreur et qu'elle est passée à coté de sa seule chance d'avoir une vie normale à tout les kheys largués pour rien, le temps fait le travail, le karma est sans pitié pour ce genre de filles. soyez patients pour les humilier

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