Mes salauds, faut t-il savoir qu'à ma première nuitée, j'ai culbuté le facholier sans "capotes"
C'était sans crainte à ce qu'un jour je ne tape du bitonio dans un bout de verre souple, plastique qu'ils nomment cela
Un soi-disant outil rupestre pour se protéger le bâton de famille
Je m'en vais donc prestemment mandé une fille de joie, quelle bonheur fut-il d'apprendre qu'elle ne coûtait point écu, mais qu'elle était simplement niaise à souhait, un homo-rectus m'a rallumé la lanterne "décadente" qu'il disait
Moi Asteroxe, fier petit-homme fraichement dépucelé de sa première nuitée à 18 ans
J'étais quelque peu turlupiné de cette invasion, LE CAPOTE, ce machin qu'on donnera à un lépreux pour épauler ces membres dans ce petit sac
Ma deuxième nuitée fut donc, nous nous installâmes dans sa chaumière de gueuse, dans un vieux patelin bon pour les écuyers de basse court, HLM qu'ils appellent ça
Premier Malaisius, nous partîmes rendre visite à un enchanteur pour nous procurer se sac à bâton de famille, "quelle taille ?" me demande la gueuse
Je lui réponds prestement non sans sueur "ma foi ma douce je ne serais dire ... nous parlons plus d'un fendoir que d'une épée de mousquetaire, j'ai le mandrin à pleine poignée"
Choquée, ma belle me prit le soi-dit miracle, d'une taille mais encore inconnu de mon égard, nous rentrames à la bonne nuitée dans sa chaumière, les vieux n'étaient pas présents, idéal pour notre nuitée
On pris à parti le cuissard dès la première estocade du gosier
Prestement, je m'en vais mendier son sanctuaire, mais coup de langue enjaille des débattus rocambolesques aussi vifs qu'un fier destrier, ça pouïr, mais il en faut plus pour ébranler ma foi
Vient enfin les poulardes! Les saucisses ! Les fessiers bien poivrées, quelques fions avec de la bonne souavre, une pipe bien farcie, les amuses bouche m'ont mis en appétit !
Je déballe ma carlingue, le drakkar impressionne la gueuse, ça change de christophe colombe et de sa frégate molle
Le bitinio près à planter la roche, dur comme le fer, flamboyant
Et là le drame mes salauds, le capoflard, la capote, le bitonio de plastique à lépreux
J'enfile tant bien que mal ce machin, je pince le capuchon comme un enculé à m'en perforer le doigt potelé avec mes ongles
Et là, paf ! C'est tout sérré ! Y'a point d'air pour respirer !
Ça serre, j'ai l'impression que ma bite c'est un gigot
Tellement serré que ma bite fait une forme de 8
Que nenni, j'envoi le bitinio en pature au fachollier, ça glisse moins que d'habitude, j'ai l'impression de frotter ma verge dans une gourdasse
"VA CHIER !" Que j'exclame par delà la chaumière de cette gueuse
Que trépasse si HIV
"Que fais tu ?" Ma douce m'interpelle
"Je baise pas avec ta merdasse, laisse faire" vilaine !
Me voilà lui défonçant le coquillard comme un bourguignon, la peur se lit sur son visage
Je contrôle le tout, quand vient le moment !
Je décharge le scharptel tout en sortant des meurtrières, aucune esclaffe dans les géoles, je suis safe
Elle m'aura cassé les couilles quelques nuitées pour ça, mais je n'aurais point faibli pour le bout de plastique, mort au capote, VIVE LE NO CAPOTE !
Depuis je ne baise plus du tout avec capotes, c'est d'la merdasse
La vidéo de la soirée où ils ne devaient être que 6