Messages de FoutreHumide17

Je suis prof en collége et les profs chialent un peu trop souvent. Certe les gamins sont pour la plupart des abrutis finis à la pisse mais les semaines de vacances il y a quasi aucun métier qui propose autant de temps pour être peinard. Et quand t'as compris que les gamins seront jamais interessé par tes cours tu t'investis plus autant et c'est du temps de gagner dans la prépa. La plupart des profs sont de gros gauchos qui ne font que pointer les désavantages du métier c'est ça le problème. Le métier est pas facile en particulier à cause des enfants roi avec 0 éducations, mais il y a des désavantages dans chaque professions.
Par contre pour les profs investis qui veulent réellement essayer de changer les choses ça demande des heures considérables de travail, semaine très chargé.
L'auteur on peut discuter de ton souci par MP si tu veux ça m'intéresse.
D'ailleurs ça m'a développé un fantasme pour les franges (les 2 filles avaient ce point commun), de sorte à ce que je sois obligé de faire demi tour lorsque je croisais une frange dans la rue pour bien imprimer son visage dans ma tête et me créer plusieurs morceaux qui une fois assemblés reconstiturais le visage de celle croisée a Paris. Je passais pour un taré avec ça.
Il y a une fois où j'ai croisé une maître nageuse a Aqualand, pareil coup de foudre immédiat. J'ai passé les 3 jours suivant a attendre toute la journée devant Aqualand pour la retrouvé. Je suis pas malsain du tout au contraire je me considère super clean d'esprit, mais ça m'avait niqué la tête :). J'ai fini par lui écrire une lettre et elle m'a ajouté sur les réseaux sociaux le lendemain.
Avec le recul j'étais un putain de taré de faire ça, mais quand on idéalise les femmes on a souvent le cerveau retourné.
L'auteur je comprends j'ai quasi vécu ça aussi pas mal d'années (j'ai 30 ans maintenant). Et comme toi jusqu'à mes 28 ans j'étais bloqué sur 2 filles : une fille croisé au centre aéré quand j'avais 6 ans, et une autre "croisée dans la rue" pour qui j'ai eu un gros coup de foudre quand j'avais 19 ans. Avec le recul c'était complètement con et infondé, et pourtant quand je repensais à ces filles je vivais le truc a fond. J'ai connu des périodes de déprimés intenses a cause de ça, surtout pour celle que j'ai croisée quand j'avais 19 ans, mais j'ai réussi à la retrouver sur les réseaux sociaux alors que je connaissais ni son nom, ni sa ville (je l'avais croisé en plein Paris). Et c'est quand je l'ai retrouvé que je me suis rendu compte que c'est mon cerveau qui m'infligeait cette torture du penser constamment, parce qu'elle avait rien de particulier.