Le 10 juillet 2021 à 16:43:28 :
"D'un point de vue conséquentialiste, il semblerait préférable de tuer un lion plutôt que de tuer (indirectement) tous ces autres animaux"C'est le même type de réflexion qui a amené aux chambres à gaz et c'est nofake
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/26/3/1625067419-b6103851-4b70-4ec4-804e-0afaa4c717a6.png
Oups
Le 10 juillet 2021 à 16:40:09 :
Pour ma parthttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/26/3/1625067419-b6103851-4b70-4ec4-804e-0afaa4c717a6.png
D'après certains antispécistes oui https://www.cahiers-antispecistes.org/sur-le-droit-a-la-vie-des-predateurs/
Nous-mêmes tendons alors à récuser une telle idée, expliquant que nous préférons des moyens plus « doux », comme le développement de préparations alimentaires végétaliennes adaptées pour les lions, ou la modification progressive de leur génome (par des technologies type gene drive par exemple) pour qu'ils cessent de devoir et vouloir tuer, ou encore par l'extinction progressive de leur espèce par la stérilisation. [...] Ceci pourtant est en dissonance avec le fait qu'un seul lion tue un grand nombre d'autres animaux au cours de sa vie. En nous abstenant de tuer un lion, nous tuons de nombreuses gazelles. D'un point de vue conséquentialiste, il semblerait préférable de tuer un lion plutôt que de tuer (indirectement) tous ces autres animaux
Une belle idéologie proche de la nature
Le 10 juillet 2021 à 10:21:27 :
Le 10 juillet 2021 à 10:20:07 :
Le 10 juillet 2021 à 10:18:47 :
Le 10 juillet 2021 à 10:17:34 :
OK mais maintenant tu regardes Stargate Atlantis et univers.Jamais la saison 8 ma traumatisé de Stargate
Le 10 juillet 2021 à 10:17:46 :
Donc déjà, on part sur une ddb pour apprendre le respect à la jeunesse.Les séries des années 2000 sont pratiquement chiantes. Ya que la nostalgie qui vous fait dire le contraire
Tu t'enfonce
Tu va me dire que Buffy, XFiles, Smallville, Supernatural sont des séries INCROYABLE ?
Va là-bas
Bah X-Files oui
C’est sorti tout seul, j’étais énervé. Lorsque cette femme dans le bus m’a demandé de lui céder ma place parce qu’elle était enceinte de quatre mois, mon sang n’a fait qu’un tour. « Moi aussi, j’attends un bébé, lui ai-je rétorqué sèchement en restant assis. Et ça fait cinq mois. » Non mais oh, il n’y en a que pour elles, ou quoi ! ? Et les « hommes enceints », alors ? Je maugréais tout bas, sûr de mon bon droit. Mais, lorsque j’ai croisé le regard médusé de la moitié des gens du bus et de cette petite vieille aux cheveux rouges, à deux doigts de s’étrangler (m’étrangler ?), j’ai compris que quelque chose ne tournait pas rond chez moi.
JE SUPPORTAIS MAL LE CÔTÉ PRINCESSE ASSUMÉ DE MA FEMME
Cette grossesse commençait à me rendre dingue. Pourtant, j’étais le plus heureux des hommes à l’idée d’avoir un enfant. Ce dimanche où nous avons lu, sur le test digital, « Enceinte 1-2 semaines », je crois que mes voisins s’en souviennent encore. A 9 heures du matin, j’avais mis du Rage Against the Machine à fond. Les murs tremblaient, et, moi, je bondissais de joie. Ça faisait plus d’un an et demi qu’on attendait cette bonne nouvelle. A la première échographie, les larmes me sont venues lorsque j’ai entendu les battements de son cœur. J’étais sur un nuage, oui, mais, très vite, j’ai ressenti un petit malaise. Je supportais mal le côté princesse assumé de ma femme. O.K., elle était fatiguée. Mais à ce point-là ? Ménage, courses, cuisine, je devais tout gérer en plus de mes nouvelles responsabilités au bureau. Je ne suis pas le genre de mec qui développe de l’urticaire à la vue de la moindre casserole. Au contraire, je suis pour le partage des tâches. Mais, là, même pour aller chercher une baguette, elle était « trop nase ». La bouteille de lait était « trop lourde ». Trop de cinéma, ouais ! Je trouvais qu’elle abusait sévèrement de sa soudaine « immunité ». J’avais l’impression d’être son homme à tout faire. Et, pendant ce temps, madame flottait sur une autre planète, euphorique, en se caressant le bidon. Moi aussi, je le voulais, ce shoot d’hormones ! Moi aussi, je voulais sentir ces « battements d’ailes de papillon dans le ventre » ! Mais non, moi, j’étais juste bon à aller chez Champion. J’enviais secrètement le lien que ma femme tissait avec notre enfant. Et plus elle s’arrondissait, plus je m’en sentais exclu. Notre entourage ne m’aidait pas.
J’ÉTAIS TOMBÉ DANS LE STUPIDE CLICHÉ : ENCEINTE = RELOU
« Comment va Emilie ? » était la seule question qui préoccupait ma famille et nos copains. Je concevais que le monde tourne désormais autour d’elle et du bébé. Mais qui s’inquiétait de mes nuits blanches et de mon stress de devenir papa ? De cette peur de ne pas être à la hauteur ? De ma fatigue ? De mon incompréhension devant les humeurs de ma femme qui, un jour, m’aurait tué pour du Babybel, le lendemain pour une Vache qui rit ? Personne. Pas même elle, totalement accaparée par le bébé. Et je ne parle pas de notre vie sexuelle proche du néant. J’avais du mal à comprendre le sentiment contradictoire qui m’accablait : d’un côté, j’étais ravi de devenir père, de l’autre, je souffrais de passer au second plan et de ne pas connaître le truc de fou que ma femme et ce petit être étaient en train de partager. A ce stade, j’étais incapable d’imaginer que je puisse établir moi aussi une relation avec lui. Rien ne se passait en moi. Je veux dire dans ma chair. Je voyais ma femme se transformer physiquement et mentalement. De mon côté, rien ne se produisait. J’étais toujours le même. A part m’offrir plus de boulot et une vie de moine, ce bébé restait un concept abstrait. « Tu lui dis bonjour ? » essayait Emilie pleine d’enthousiasme pour m’impliquer. « Allez, vas-y, communique avec lui ! Tiens, touche ici, il bouge là !, s’exclamait-elle encore. C’est magique. » Ah oui ? « Mais si, regarde, là ! » insistait-elle en m’attrapant la main de force. Invariablement, ça finissait par m’agacer, déçu de ce qu’elle pouvait percevoir, et pas moi. Peu à peu, j’ai développé une légère aversion envers ma femme. Elle m’énervait. Conscient de l’injustice d’un tel ressentiment, j’éprouvais cependant un malin plaisir à la contrarier. C’était plus fort que moi, j’oubliais régulièrement la moitié des courses, son lait ou ses petits biscuits du matin. Ça l’exaspérait. Je sortais beaucoup, sans elle, évidemment, et je ne manquais jamais de préciser, l’air dégagé, que telle ou telle copine était ravissante ce soir-là. Elle le prenait rarement bien, surtout avec ses 12 kilos en plus. Autant dire qu’on s’engueulait beaucoup. Mais jamais je n’exprimais mon réel mal-être. En avais-je au moins conscience ? J’étais tombé dans le stupide cliché : enceinte = relou. Je ne voulais surtout pas être honnête avec moi-même et encore moins voir un peu plus loin.
J’EN VOULAIS À MA FEMME
A une fête, ça explosa. Il était 2 heures du matin, Emilie voulait rentrer. J’étais ivre, je voulais rester. « Parce que madame est enceinte, il faut que la terre entière s’arrête de tourner ? On ne peut plus sortir, c’est ça ? » je bafouillais péniblement. Elle commença une violente diatribe contre moi. Tout y passa : ma « méchanceté », ma « bêtise », mon « égocentrisme psychotique » et… ma « jalousie » envers elle et sa grossesse. Je n’ai rien trouvé de mieux à répondre qu’un pâteux : « Tu commences à nous gonfler avec ton bébé ! » Le possessif a eu l’effet d’une bombe sur elle. « Quoi ? Mon bébé ? Et je l’ai fait toute seule, peut-être ? Si tu n’en voulais pas, il fallait le dire avant ! » hurla-t-elle avant de quitter la soirée en me traitant de « pauvre con », si mes souvenirs sont bons. Je l’avais bien cherché. Pourtant, oh que oui ! Je le voulais, cet enfant. Plus que tout. J’étais froid et distant, mais, au fond, j’étais mort d’inquiétude. Le jour où Emilie s’est plainte d’avoir des contractions, je me suis farci tous les sites, forums et autres Doctissimo de femmes enceintes pour tenter de me rassurer. J’étais viscéralement préoccupé par cette grossesse, mais je ne parvenais pas à trouver ma place, comme s’il me manquait le mode d’emploi. Jusqu’à ce matin-là, dans le bus 63, où je l’avais défendue bec et ongles, ma place, passant pour un goujat… au point de réaliser que la place que je devais conquérir, c’était celle de père. J’ai compris, devant les grimaces menaçantes de la mamie vermillon, que j’en voulais à ma femme de vivre une expérience que je ne vivrai jamais. Je n’allais pas changer la nature. Ma jalousie ne pouvait plus durer. Il fallait que je trouve la façon d’exprimer ma future paternité. Je suis rentré chez moi avec un pack de lait (et un pack de bière). Ma femme était aux anges. Le bébé bougeait, « si, si », elle m’assurait, mais je n’ai rien senti. J’ai décidé de lui faire une compil de musique. Que des tubes dansants, histoire de le faire vraiment gigoter. Timidement, je me suis mis à lui parler, même si je trouvais toujours un peu débile de m’adresser à un nombril. En tout cas, je me suis décentré du mien. J’ai enfin fini par les ressentir, ces ailes de papillon. C’est vrai que c’est magique. Mais bien moins qu’à la naissance, lorsque j’ai vu ma petite fille. A ce moment-là, j’ai su que j’étais foutu. J’allais devenir un vrai papa poule.
Le 09 juillet 2021 à 10:30:07 :
Le 09 juillet 2021 à 10:27:23 :
Les "particules" virtuelles ne sont pas des particules qui apparaissent et disparaissent très vite hienSi un observateur tombe dans un trou noir il ne verrait pas la fin de l'univers, la quantité d'information tombant dans sa chute étant finie
C'est "en gros" comme ça que les particules virtuelles fonctionnent.
Non c'est pas ça. Une particule virtuelle représente une ligne interne dans un diagramme de Feynman et apparaît dans les développement perturbatifs. Ces "particules" disparaissent lorsqu'on sort de ce régime perturbatif, ce qui montre bien que ce ne sont que des objets purement abstraits et utilent pour les calculs.
L'accélération de la perception du temps étant proportionnelle à la gravité, et celle ci tendant vers l'infini a la singularité du trou noir c'est très probablement ce qu'il se passerait basé sur les théories actuelles
Non, un observateur à l'infini d'un trou noir verra les objets bloqués pendant un temps infini à l'horizon du trou noir. Mais un observateur tombant dans un trou noir traversera et atteindra la singularité en un temps fini. Il ne verra qu'une partie finie de l'histoire de l'univers (il faut faire le calcul détaillé).
Les "particules" virtuelles ne sont pas des particules qui apparaissent et disparaissent très vite hien
Si un observateur tombe dans un trou noir il ne verrait pas la fin de l'univers, la quantité d'information tombant dans sa chute étant finie
Le 09 juillet 2021 à 00:33:50 :
L'odeur des summerfags
Le 08 juillet 2021 à 12:23:47 :
Son histoire est particulièrement intéressante je trouve aussihttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/37/1/1599511894-pazamalgamdrronaldogeraltlerifpazula.png ᴇᴎᴛ" Autrefois assez populaire dans sa région d'origine, elle décline fortement dans la seconde moitié du xxe siècle et manque de disparaître, sauvée par le programme de conservation des races locales mené par l'Institut Technique du Porc. "
Le 08 juillet 2021 à 12:19:02 :
Comment vous esquivez la vérification d'age?https://image.noelshack.com/fichiers/2021/27/4/1625739539-2e601609-0629-4311-bf22-66618d40323c.png
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