Ce plaisir coupable quand même
nogay
On d'accord que c'est d'arrière en avant et en se tenant les testicules évidemment ?
Enfin personnellement je m'essuie uniquement quand je suis chez les gens, chez moi je le fais avec ma main et ensuite je la sens, j'aime cette odeur de mâle
Et vouent ?
Puis elle m’a dit d’utiliser sa chatte au lieu de ce truc pour puceaux
Et dire que des 2000 ne connaissent pas l'original de cette idée de génie
Pour information la vaginette à été créée par le Khey JEAN FENTE, vidéo originale :
https://youtu.be/_nsC4lbqmng
S’entend sa belle-mère par remariage
Taper dans le même trou que son père
La concurrence père / fils
Les combats de regard à table pendant que belle maman est en sueur en se disant qu’elle se tape les deux
Y’a pas mal de vidéo de ce genre là sur Brazzers Algérie
...
Ma mère infusait des herbes napolitaines dans une petite tasse de porcelaine. Mon père lisait les caractères noirs de Valeurs actuelles ; la chronique d'André Bercoff, plus précisément, sur le malaise des banlieues. J'entrai dans le salon à pas feutrés. Mon père leva la tête. Par-dessus la monture de ses lunettes il me jeta un regard inquisiteur. Je ne pu soutenir le bleu de ses yeux dont la plissure inquiète accompagnait, quand nous eûmes été plus jeunes, une pluie de coups. L'horloge en pied murmurait par ses entrailles un son régulier pareil à celui d'un métronome
Je tonnai d'une voix d'airain qu'une annonce devait leur être faite. Ma mère trempa ses lèvres dans le thé comme pour se donner le courage. Mon père inspira lourdement par son nez droit. « Je t'écoute ». Une chaleur électrique du ventre irradia mon tronc. « J'aime les femmes en chair ». Je prononçai ces mots graves alors que le poids coupable quittât mon cœur serré
Mon père bondit et colla presque son visage au mien. « Tu aimes les BBW ? » interrogea-t-il. À cet odieux spectacle ma mère sanglota. Ses larmes féminines coulèrent dans la tasse. « Oui. Je les aime, père. Comme je vous aimais quand vous ne fussiez pas fâché. Le temps ensommeille les corps. Père, vous ne m'effrayez plus. Adieu ». Je bondis hors du salon, les bras au vent, la redingote bâillante. Nous étions libres de nos passions
Grand adepte du Facesitting, j'ai rencontré la semaine dernière un problème avec ma copine d'1m50, et environ 105 kg, plus facile à rouler qu’à porter
Voici donc ce qu'il s'est passé. Après un bonne soirée en amoureux chez O’Tacos, ma copine et moi, nus, posés sur mon lit, elle se mit en position a ma demande et posa son gros cul sur mon visage ce qui ne manqua pas de dresser mon chibre instantanément. Jusque là tout allait bien, je maintenais légèrement son cul avec mes mains pour respirer et je lui bouffais alternativement la chatte et le trou du cul
Ses gémissements porcins m'encourageaient dans mon exercice de lapage quand soudain, sans doute trop excitée par mes coups de langues elle se laissa complètement aller et enfonça son cul sur mon visage sa chatte écrasant ma bouche et mon nez pénétrant son anus. Du fait de sa corpulence imposante je ne pouvais redresser son cul avec mes mains et je ne pouvais ainsi plus respirer
Sur le moment cela ne fit que redoubler mon excitation mais après quelques dizaine de secondes en apnée dans son anus j'essayai de me dégager pour reprendre mon souffle et réalisai et que j'en étais incapable. Impossible de la soulever, je me mis alors à lui fesser le cul pour l'avertir de mon manque d'oxygène mais manifestement elle comprit le message inverse et pressa davantage sa croupe sur mon visage
Paniqué, je lui pinçai les fesses et les jambes mais ses grosses cuisses bien en chaires semblaient insensible à ce genre douleur. Résigné à mourir étouffé dans son trou du cul, dans un état second mes narines plongées dans son anus inhalant les fragrances nébuleuses de son fondement je décidai de laisser mon esprit vagabonder et d'abandonner la partie
Quand soudain une très forte pression souffla dans mes narines accompagnée d'un affreux bruit de pet. Elle avait venté sur mon visage. Elle sursauta en gloussant et retira enfin son cul de mon visage. Victime d'asphyxie anale il me fallu une bonne minute pour reprendre mon souffle et mes esprits. Il me sembla l'entendre balbutier quelques mots d'excuse dans un rire entremêlé de gène et de plaisir coupable
Allongé, tremblant je redressai ma tête fébrilement et constatai que mon chibre était toujours dressé, plus vigoureux que jamais. « Je t'ai fait plaisir maintenant empale toi sur ma bite ma cochonnette » lui assénai-je. Ni une ni deux elle me bondit dessus comme l'orque de Sauver Willy. Ecartant ses fesses de mes mains expertes, manipulant ses bourrelets avec dextérité je parvins à trouver une brèche vers son trou du cul et la pénétrai
Ainsi elle me chevaucha sauvagement en vachère inversée, grouinant comme une truie possédée et une vingtaine de secondes plus tard je déchargeai dans son fondement. Transpirant comme un phoque elle s'écroula à côté de moi non sans complimenter mon vaillant 13 cm. Quant à moi, affalé sur le lit, je contemplai mon reflet dans le miroir posé au plafond et m'aperçut qu'il y avait une trace marron sur mes narines
De préférence nord-Africains, et sentir l'adrénaline ainsi que le stress t’envahir, subir les sévices des malfrats et qu'ils abusent de moi sans forcément me faire du mal physiquement, à la rigueur juste des gifles et des bifles mais rien de plus, mais pas de tortures létales, et en ressortir indemne j'ai oublié de le préciser
l'idée vous excite aussi les autres blancs du forum ?
« Issou ! », juste « issou ! », ce chien qui s autosuce devant son maître