Messages de LapinSCHIAPPA

Le 20 août 2023 à 21:11:46 :
Je comprends pas. Pourquoi ils se chient dessus à même le couloir ? Ils pourraient pas se planquer quelque part ?

Ils se sont resignés, une fois que la première goutte sort c'est déjà trop tardhttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/41/5/1665740531-zidane-chad-removebg-preview.png

Le 16 juillet 2023 à 22:21:23 :
bien les franc maçons qui ont reussi à vous faire croire qu'on est qu'une bande de macaque destiné à etre asservi ?

Darwin le juif franc maçon 33e degrés qui a fait croire aux goyim qu'ils sont issus d'animauxhttps://image.noelshack.com/fichiers/2023/01/4/1672945276-paixsurvous.png

Talmud :
- Sefa Tel 4, 1c : Une âme juive a plus de valeur et est plus agréable à Dieu que toutes les âmes des autres peuples de la terre qui descendent du démon et son semblable aux âmes des animaux.

- Sanhédrin 59a : Tuer un non-juif est comme tuer un animal sauvage.

- Kerithuth 6b p. 78 : Les juifs sont des humains, non les Non-juifs, ce sont des animaux.

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Le 16 juillet 2023 à 22:18:41 :

Le 16 juillet 2023 à 22:11:38 :

Le 16 juillet 2023 à 22:04:22 :
Australopithèque > Homo Habilis > Homo Sapiens

Les golems endormis qui croient en cette théorie fumeuse sont des Homo Sapioncehttps://image.noelshack.com/fichiers/2023/01/4/1672945276-paixsurvous.png

C'a suffit à faire fuir l'auteur, remarque.

Je parle des golems qui croient en la théorie de l'évolutionhttps://image.noelshack.com/fichiers/2023/01/4/1672945276-paixsurvous.png

A. Les fossiles sont la seule preuve directe de l’évolution

Comme Darwin l’avait reconnu en son temps, la doctrine de l’évolution tient ou tombe avec les fossiles. Selon cette théorie, si elle est vraie, une quantité colossale de fossiles de créatures intermédiaires doit être enfermée dans les strates géologiques. Ces fossiles sont l’unique preuve possible de l’existence, à un moment donné du passé, du passage entre espèces différentes. Or, cette preuve unique était absente à l’époque de Darwin. Darwin reconnaissait cette absence de formes intermédiaires, mais il l’attribuait au faible nombre de fossiles découverts et à l’extrême rareté de leur formation.

« La géologie ne révèle assurément pas une série organique bien graduée, et c’est en cela, peut-être, que consiste l’objection la plus sérieuse qu’on puisse faire à la théorie. Je crois que l’explication se trouve dans l’extrême insuffisance des documents géologiques. »

Darwin pensait, espérait que les recherches paléontologiques confirmeraient sa théorie ; de son vivant, il se cramponnait à cette hypothèse devenue sa vision du monde. Mais aujourd’hui les muséums du monde entier contiennent plus de 200 millions de fossiles, de sorte qu’il est impossible d’avancer que le registre fossile est incomplet. Comme Carl Werner l’écrit en citant de nombreux paléontologues réputés, « les archives fossiles sont complètes, équilibrées, précises et impressionnantes ». Que nous enseignent donc, aujourd’hui, les fossiles après cent cinquante ans de recherches et de fouilles intenses ? Il est possible d’affirmer que les fossiles témoignent d’une histoire de la Terre marquée par des catastrophes de grande ampleur, de la discontinuité, de la complexité et de la stabilité des espèces.

B. La discontinuité du registre fossile

Pratiquement toutes les nouvelles espèces fossiles découvertes depuis les années 1860, représentant des milliers d’espèces différentes, montrent soit des formes voisines ou identiques aux espèces connues, soit des types, des groupes uniques de parenté inconnue. L’absence de nombreuses formes intermédiaires exigées par la théorie de l’évolution est remarquable. Dès le début de leur apparition dans les archives fossiles, les onze grands types d’invertébrés sont complètement distincts les uns des autres. Ces groupes fondamentaux sont donc apparus sans histoire évolutive. Les fossiles démontrent les fossés énormes qui existent entre toutes les espèces, passées et présentes. Ces faits bruts justifient un verdict sans appel de la part des scientifiques évolutionnistes les plus renommés :

George Neville : « … le registre fossile continue toujours d’être composé principalement par des fossés[5]. »
Stephen Jay Gould : « … L’archive fossile avec ses transitions abruptes ne soutient en rien un changement graduel… Tous les paléontologistes savent que l’archive fossile contient précisément peu de formes transitoires ; les transitions entre les groupes majeurs sont caractéristiquement abruptes[6]. »
Steven M. Stanley : « … le registre fossile connu ne documente pas un seul exemple d’évolution phylogénique accomplissant une transition morphologique majeure et donc n’offre aucune preuve que le modèle gradualiste puisse être valable[7]. »
Autrement dit, les fossiles ne témoignent en rien d’une histoire transformiste graduelle mais bien plutôt d’apparitions soudaines de créatures entièrement formées et fonctionnelles, soit de créations spéciales.

C. La complexité

Aujourd’hui, les organismes sont rangés dans des séquences allant du plus « simple » au plus « complexe » ; mais si nous regardons chaque plan de base séparément, nous nous apercevons que les types « primaires » ne sont pas simples. Ils sont, au contraire, extrêmement complexes. Dès la base de la colonne géologique se trouvent beaucoup d’exemples d’organismes complexes défiant toute imagination : par exemple, l’œil incroyablement complexe des trilobites qui font partie pourtant des animaux les plus anciens.

L’apparition quasi simultanée des grands groupes d’invertébrés dès le début de la vie montre la présence d’organes complexes : yeux composés, appareils digestifs, appareils locomoteurs, système nerveux, organes des sens (fossiles du gisement d’Ediacara, etc.).

D. La stabilité ou invariance des espèces
Un « fossile vivant » est un animal ou une plante vivant aujourd’hui, mais présent en même temps dans le registre fossile. Ce sont des organismes que les scientifiques croyaient éteints et que l’on a retrouvés vivants. Il existe des centaines de fossiles vivants. Les plus connus sont le Cœlacanthe (qui était censé être un fossile caractéristique d’une époque, ainsi qu’une forme transitoire), le Dipneuste, le Trilobite, le Limule, l’Huître, le Nautile, le Péripate, la Myxine, la Lamproie, le Grand Requin Blanc, l’Esturgeon, les Mille-pattes, le Poisson d’argent, le Cafard, la Libellule, l’Hattéria, la Salamandre et presque tous les autres reptiles. Parmi les oiseaux, on peut citer le Huard (plongeon arctique) et le Grèbe, le Rouge-Bec tropical et la Frégate, le Coucou et la Mouette. Viennent ensuite l’opossum et le tatou à neuf bandes, le castor, la chauve-souris frugivore, le lamantin. Les plantes sont souvent aussi préservées en état fossile : les lycopodes, la prêle, la fougère, le Ginkgo, les Araucarias, le Séquoia… Sans parler aussi des nombreux insectes trouvés inchangés dans l’ambre : blattes, moustiques…

Les « fossiles vivants » sont des témoins fidèles de la stabilité des espèces dans le temps, puisque les organismes sont restés identiques à eux-mêmes ; cela contredit l’histoire évolutive supposée remplie de stades temporaires et intermédiaires reliant l’amibe à l’homme.

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Quand on connaît les circonstances de la découverte des fossiles « pré-humains », on a raison de n’accorder aucun crédit aux thèses élaborées sur l’origine de l’homme. C’est ainsi qu’Hesperopithecus, l’homme du Nebraska, a été reconstitué à partir… d’une dent - qui s’est avérée plus tard être une dent de porc ! L’éminent zoologiste évolutionniste français Pierre-Paul Grassé livre à ce sujet une réflexion intéressante :

Dans l’histoire des Primates, il faut bien se garder de prendre pour argent comptant les reconstitutions de nos ancêtres, fondées sur de misérables documents (quelques dents, un fragment de mâchoire, une calotte crânienne), que proposent, avec sérieux, des paléontologistes débordant d’imagination. Ceci explique la promptitude avec laquelle les arbres généalogiques de l’Homme sont dressés, mais aussi abattus. Nous avons l’impression que les travaux les plus récents sont médiocres, bien qu’ils portent sur des trouvailles nouvelles et intéressantes ; leurs auteurs n’ont ni le savoir, ni le bon sens qui leur permettraient de les interpréter correctement.

« Lucy », l’australopithèque le plus connu découvert par Donald Johanson en 1974, était un singe comme tous les autres, et non un hominidé. Marvin L. Lubenow le montre après vingt-cinq ans d’étude des fossiles humains. Son bassin était, en particulier, plus large, mais ses phalanges arquées témoignent bien qu’il était arboricole.

Homo habilis a été ainsi nommé car il fabriquait des outils de pierre très rudimentaires. Or, on a découvert que les chimpanzés actuels peuvent réaliser eux aussi des outils très simples : des sortes de balais pour attraper les termites. Les différences entre le singe et l’homo habilis ne tiennent plus.

Homo erectus pose lui aussi un sérieux problème, car il reste inchangé pendant 1,7 million d’années selon les évolutionnistes. Il ne témoigne donc pas d’une évolution graduelle vers l’homme.

L’homme de Néandertal, qui fut longtemps considéré comme l’intermédiaire entre l’homme et le singe, est reconnu maintenant être un homo sapiens comme nous.

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Le 16 juillet 2023 à 22:04:22 :
Australopithèque > Homo Habilis > Homo Sapiens

Les golems endormis qui croient en cette théorie fumeuse sont des Homo Sapioncehttps://image.noelshack.com/fichiers/2023/01/4/1672945276-paixsurvous.png

Le bot proZ Coa141 est un sacré golem aussihttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/41/5/1665709078-zidane-ent.png
Question aux antivax
16/07/2023 17:17

Parce que la Russie la Chine le Venezuela ou l'Iran ne sont pas opposés à l'occident mais sont la même face d'une même pièce. Ces pseudos oppositions ont toutes des banques centrales de Rothschild et suivent le même plan talmudique.

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