Pourquoi on nous râbache cette propagande pro-militariste du défilé militaire, des avions ?
C'est pas censé être populaire cette fête nationale ?
Le 14 juillet 2023 à 11:51:56 :
<spoil>Dans un contexte d’augmentation générale des prix, le pouvoir d’achat est l’une des préoccupations principales des Français. Issus de tous milieux, certains ont accepté de nous ouvrir leurs comptes (salaires, revenus, dépenses) pour une série de témoignages.À l’âge où certains savourent l’insouciance que peut leur octroyer une vie étudiante, à 19 ans, Amaury Tardier achetait, lui, sa première maison avec son père, grâce à un apport de 12 000 euros. Puis, dans la foulée, un immeuble et deux autres bâtisses. Cinq ans plus tard, le jeune homme originaire du Morbihan, qui se décrit comme « entrepreneur et investisseur », est propriétaire de 11 logements mis en location et 33 terrains, dont 31 parcelles d’un lotissement en construction à Pontivy, près de Vannes.
Un patrimoine immobilier qui pourrait atteindre 2,1 millions d’euros selon ses calculs, une fois tous les travaux de viabilisation effectués et qui lui rapporte aujourd’hui 4 850 euros de rentes mensuelles, en plus des bénéfices de certaines plus-values immobilières réalisées. Alors qu’il a terminé ses études de commerce l’an passé, le jeune homme qui vit entre Vannes et Nantes aurait le loisir de cesser de travailler pour profiter de ces confortables revenus, mais il s’y refuse : « Je pourrais partir en Indonésie et vivre là-bas avec 1 000, 1 500 euros… conçoit Amaury, mordu d’immobilier. Mais j’aime tellement ce que je fais, je veux investir depuis que j’ai 15 ou 16 ans. »
Il est aujourd’hui à la tête de quatre sociétés liées à l’immobilier, dont la plus ancienne a été fondée en 2020, qui proposent du coaching, de la formation, mais aussi des solutions pour acquérir des biens clés en mains. Amaury Tardier assure que ces activités lui génèrent environ 1 750 euros de revenu mensuels qu’il ne se verse pas. Il les réutilise pour le fonctionnement de ses sociétés et ses dépenses de transport (environ 500 euros de billets de train, de frais et de carburant pour sa voiture) et de restaurant le midi notamment.
« Je me donne au moins jusqu’à mes 30 ans pour tester des projets, et ensuite on verra », explique le Breton, qui puise donc dans ses rentes immobilières pour vivre. En déduisant les 37 380 euros d’impôts sur la revente de biens payés sur ces trois dernières années, les 1 785 euros mensuels de charges immobilières locatives (dont crédit, assurances, comptable et frais de gestion) et les 135 euros de taxe foncière qu’il doit débourser chaque mois - un montant faible car ses biens locatifs sont implantés en zone rurale, précise-t-il -, il reste environ 2 930 euros à cet homme « très économe » pour assurer son train de vie. Si ses traites de crédit immobilier sont si faibles, c’est qu’il a la possibilité de rembourser le prêt lié à son lotissement en une seule fois, lors de la revente.
Le jeune breton a par ailleurs un avantage de taille : il ne paye actuellement pas de logement et dort chez des amis en attendant de pouvoir se faire construire une maison, grâce à la vente du lotissement à naître dont il est propriétaire.
« Je pourrais me contenter de ça »L’entrepreneur débourse environ 150 euros de courses mensuelles, qui servent à remplir le frigo de ses hôtes. « Je vais souvent au restaurant, dans le cadre de mon activité, indique aussi le chef d’entreprise, qui dit y consacrer 200 à 300 euros chaque mois, bien souvent réglés avec sa carte bancaire professionnelle. Mais là aussi je fais toujours attention à ce que je dépense. Je vois quand même véritablement l’inflation, là où un restaurant coûtait il y a peu entre 10 et 15 euros, aujourd’hui il faut compter 15 à 20 euros minimum. » Il dit regarder « les prix au kilo » et opérer désormais « des choix » lors de ses courses alimentaires.
« Je fais toujours attention à mes dépenses, des vêtements je n’en achète quasiment jamais, mais je sors un peu. Le vrai kif, ce sont mes vacances tout le mois d’août avec des amis », détaille le jeune homme, qui estime débourser environ 500 euros en moyenne par mois dans les loisirs, notamment pour ses vacances et ses sorties. L’argent qu’il lui reste après ses dépenses mensuelles, soit 2 230 euros environ, Amaury ne l’épargne pas : « Je réinvestis tout dans mes sociétés ».
« On a énormément déménagé avec mes parents »« Le fait de vivre uniquement du locatif m’intéressait beaucoup au départ, ensuite j’ai évolué. Je pourrais me contenter de ça, mais cet argent me donne la liberté de pouvoir me lancer à côté, avec d’autres investisseurs », se justifie le Breton, qui dit avoir eu une prise de conscience dans son adolescence. « On a énormément déménagé avec mes parents et je me suis rendu compte qu’ils gagnaient plus d’argent lors des opérations d’achat et revente de leurs maisons qu’avec leurs salaires annuels. »
Amaury assume aussi certaines erreurs stratégiques dans son parcours d’investisseur. « L’immobilier me réussit bien, mais alors le reste… J’ai mis 8 500 euros dans une société de voitures, je me suis fait arnaquer. J’ai investi dans les robots trading, les cryptomonnaies, en bourse… et j’ai perdu de l’argent, au moins 20 000 euros. » Le jeune homme compte beaucoup sur la vente de son lotissement en construction à Pontivy, dont il estime la valeur finale à près de 1,3 million d’euros, pour continuer ses projets et acquérir sa propre résidence. « J’ai autour de 100 000 euros bloqués sur ce lotissement, c’est plus ça qui me manque aujourd’hui, ce matelas de sécurité », observe-t-il.
Celui qui dit avoir « toujours envie de plus » le reconnaît : « Le métier d’entrepreneur est assez mal vu en France, on a plutôt une image d’arnaqueur », mais il est toutefois persuadé de la pertinence de son choix de vie. « J’ai le sentiment que pour beaucoup, le travail est une contrainte, moi aujourd’hui c’est un plaisir », clame le Breton, persuadé qu’il demeure « hyper important de ne pas être dépendant d’une seule source de revenus ». Notamment, note Amaury, avec les évolutions de carrière liées à « la réforme des retraites ».</spoil>
À l’âge où certains savourent l’insouciance que peut leur octroyer une vie étudiante, à 19 ans, Amaury Tardier achetait, lui, sa première maison avec son père,
Donc aidé par son père + achats en milieux ruraux + arnaqué à la crypto/bourse donc ne s'y connaît pas en réalité
Le 14 juillet 2023 à 11:46:29 :
[11:44:51] <RiviereEnForet>
Le 14 juillet 2023 à 11:42:52 :
Tqt je bosse chez action pour mettre du beurre dans les épinards et c'est dans le même style que toi.... T'as deux mois de CDD ? Au pire du pire, tu démissionnes à la fin de ton premier mois.Oula passé la période d'essai, en général quelques jours, sans accord de l'employeur tu peux pas quitter le CDD
Il est en droit de demander un dédommagementOuais enfin personne s'emmerde aux Prud'hommes pour un SMICARD remplacable quasi immédiatement qui abandonne son poste
aaaaaaaaaaaaaaaaaayaaa tu démissionnes et puis c'est tout
Limite ta des chaînes quoi
nimportequoi
Le 14 juillet 2023 à 11:43:09 :
Le 14 juillet 2023 à 11:42:07 :
Salaire ?Le smic