Messages de Lord_anxious

Fume pas... Jamais.
J'ai commencé à fumer il y a environ 10 ans. Et je fume autour des 20/25 clopes par jour. Je suis intoxiqué : je chope la moindre merde, surinfections bactériennes systématiques, mycoses buccales, cardio de phoque, poumons qui brûlent tous les matins, dépendance anxieuse, se sentir en sursis alors que je n'ai pas 30 ans. Etc. Etc.
Et je ne parle pas du prix de cette merde...

C'est ma lourde anxiété qui m'a poussé à fumer. J'ai été lâche et faible.
Je regrette, car je n'ai pas même le courage, aujourd'hui, d'arrêter.

Aussi : les meufs détestent le fumeur. Tu pues de la gueule, tes fringues puent. Tu pues.

Je suis une merde.
03/10/2023 23:25

Tu ne parles que de choses somme toute soit superficielles (l'apparence : a-t-on idée de se considérer comme une "merde" parce que l'on se PERÇOIT laid ?), soit réversibles, changeables, corrigeables (techniques de sociabilisation, je parle bien de TECHNIQUES), qui, qui plus est, ne font pas de toi une "merde".
Ce seul qualificatif pourrait être attribuer sur le plan moral : là, le cœur de l'homme, ce qui fait l'homme, homme : sa postulation de la lumière, ou du néant. Sa conscience.

Et encore... même une ordure ne peut être une "merde"... C'est peut-être parce que je suis chrétien, mais l'homme ne peut être une "merde" - l'homme fait à l'image de Dieu, ce Dieu qui "compte jusqu'à notre moindre de nos cheveux".

Mais foi mise à part, car ce n'est pas le sujet, bordel ! tu es un homme ! Avec une âme d'homme, une intelligence d'homme, un cœur d'homme - capable de tous les possibles - capable du Bien. Cet espèce d'animal-roi, superbe atypisme naturel...
Un homme qui a une vie sociale médiocre, soit, mais quoi ? Tu vas te laisser abattre, ou te révéler à toi-même, te réaliser ?
Un coup de pied au cul, un rdv chez un psy si syndromes dépressifs - mais lève-toi, et marche !

Le 01 octobre 2023 à 12:20:53 :
Putain en plus j'ai cum à moitié dedans je me suis retiré trop lentement

Osef de se retirer ou non. >>> liquide pré-séminal

Je ne te souhaite rien, mais ouais, si tu chopes une merde et/ou si tu te retrouves avec un avortement sur la conscience, ce sera NATÜRLICHE.

Dura lex sed lex.

Doctolib > prendre rdv avec un dentiste ou un stomatologue le plus rapidement possible.

Si fièvre > urgences (ou SOS Médecins).

Si tu es vraiment inquiet, tu peux appeler le 15, et avoir un médecin au téléphone, qui pourra te rassurer.

Mais laisse tomber les vide-greniers : tu vas te faire arnaquer, oui ; et si tu as des pièces de valeur, et si tu les mets au bon prix, elles ne partiront pas. Car les collectionneurs qui les fréquentent recherchent le naïf...

Va chez un numismate/collectionneur, justement (tu sais, les boutiques un peu intrigantes, où tu peux voir en vitrine des capsules de bière...), pour évaluation... Souvent des passionnés un peu atypiques : je ne pense pas qu'ils arnarquent (j'étais for my own philatéliste, plus jeune : c'est un milieu sympa).

Si tu as des pièces en or, go aux comptoirs d'échange (en trouver un digne de confiance). Mais il faut surveiller le cours de l'or, et y aller au bon moment.

J'achète rien de particulier, for my own ; besoin de rien, et le luxe corrompt l'âme...

Je me garde 2/3 millions, je mets bien ma famille (modestement toutefois), et le reste, je le donne (plus que j'investis - l'argent est le sang de la Cité... il doit circuler).
Du genre, je monte une maison d'édition, pour mettre en avant philosophes, scientifiques et écrivains mis au ban par la Médiocrité de notre temps, qui, administrativement, serait une entreprise autogérée et syndicale, où travailleraient handicapés légers ou personnes marginalisées (SDF, associaux, etc.), histoire de leur donner à travailler, car le travail, à dimension humaine, et avec un salaire digne, n'est pas aliénant, au contraire.

Je ferai du mécénat d'Art (digne de ce nom) aussi...

Tout le reste, je le donne aux services sociaux de l'Église, ou pour les Chrétiens d'Orient.

Viens de me réveiller, tabassé de fièvre, après une nuit horrible perso

Moi, à ta place, je laisserais tomber, khey...

Si jamais tu veux quand même faire la visite : n'y vas pas tout seul. Prends avec toi 2 potes mâles de > 80 kg.

Suis je un f*p ?
13/09/2023 10:22

Plutôt - ou, disons, de manière plus conséquente et utile - que de la thune, essaye de te rapprocher d'elle, de comprendre, selon tes soupçons, ce qui cloche chez elle, dans sa vie, et de l'aider par là...
L'aide psychologique et affective est plus conséquente que l'aide financière, car tu l'aiderais à régler le problème de fond.

C'est ta sœur, c'est un devoir (jusqu'à une certaine limite : si cela te met en danger toi-même).

  • et dimension corporelle : sport, contemplation (nature, églises, art - etc.)

Plusieurs choses peuvent être des petites lumières au fond du gouffre :

- sur le plan mental, psychique : aller consulter, un psychologue, voire un psychiatre. Parler, et être compris ; ne pas être jugé ; avoir des conseils de vie pour s'en sortir.

- sur le plan socio-affectif : voir ses proches, famille, amis : se sentir aimé, et être accompagné affectivement.
Trouver un travail sympa, aussi, et passionnant : le stabilité sociale étant plus nécessaire et vitale que la richesse.

- sur le plan spirituel : prier, et se tourner vers Dieu, vers l'Homme-Dieu, qui est allé au bout de la souffrance de l'homme, et l'a prise sur lui, qui a eu des angoisses sanglantes, et a senti le total abandon sur la Croix : "Mon Dieu, mon Dieu ; pourquoi m'as-tu abandonné ?"

- sur le plan intellectuel : lire, de la philosophie. St Thomas d'Aquin disait que, contre l'angoisse, il n'y avait qu'un remède : la raison. Lis Platon, c'est solaire, et radical. Ton retrait du monde te dispose à recevoir la Vérité, à la connaître, à la vivre ; ainsi assuré par la Science, tu reviendras au monde, détaché et serein.

Courage, khey. Je suis passé par là aussi.
Tu n'es et ne seras jamais seul.

Debussy, Berlioz, Fauré, etc.
Yu-Gi-Oh, mais d'avant...

Que tu aies du désir, a fortiori en ces circonstances (c'est quoi cette meuf sérieux ?), c'est plus que normal, l'ami. Nous sommes des êtres sexués, érotiques, désirants... Ce n'est pas un mal, au contraire.

Ce qui importe, c'est ce que tu fais de ce désir, alors que tu es engagé en couple : le cultives, ou y renonces. Si tu aimes ta copine, et si tu as un haut sens moral - ton cas - tu y renonces.
Mais sans te torturer, te rendre malade... car, sinon, c'est un cercle vicieux : plus tu culpabilises, plus, paradoxalement, ton désir sera fort.
Tu détournes donc les yeux, et te dis que ta volonté, ta raison est maîtresse en ton âme.

Sans médicaments, la résilience sera bien ardue, si ce n'est impossible.

Arrêter avec ce mythe des médicaments qui rendraient légumes. Infondé. Le malade psy est une loque SANS médicaments.
Ils ne font pas tout, certes, mais ils réalisent quand même le plus gros du taf. (Je sais de quoi je parle.)

Abilify, très bien (surtout à si faible dose !): donne-toi quelques semaines pour voir son éventuel effet positif, jusqu'au prochain rdv avec ton psy.

Force à toi.

À un moment donné, il va falloir arrêter de vous hyperventiler avec le message "au diable" de la mère. Il a rien de particulier, ce message, il est tout banal (et non cryptique, les Jean-Da Vinci Code) ; vous ne le comprenez seulement pas, parce que vous êtes étrangers à l'Église, à sa spiritualité : que vous ne connaissez pas les pratiques dévotionnelles.

Ce message, donc, demande l'intercession d'un saint.

  • Or, un saint, est un homme qui a accompli le projet de Dieu, et par là, l'essence même de l'homme : à savoir, devenir empli de Lui, vivre en Lui et par Lui, librement, être un 'alter Christus', un autre Christ, homme parfait empli de la Grâce de Dieu (l'Esprit saint).
  • Un saint actualise donc la Grâce de Dieu à un moment donné de l'Histoire - Grâce actualisée selon les modalités humaines de ce saint, ses attributs spécifiques : la politique (saint Louis), la mendicité (saint Benoît Labre), le travail (saint Joseph), la connaissance/la science (saint Thomas d'Aquin), etc.
  • La vénérable Benoîte Rencurel, que la mère du petit Émile demande aux baptisés (c'est-à-dire qui ont reçu sacramentellement la Grâce sanctifiante : les baptisés forment ainsi, avec les saints, une communauté/communion invisible : la communion des saints) de prier, selon l'histoire personnelle de cette sainte (enlevée de chez elle par Satan pour être tentée) correspond donc à l'idée de *disparition*. C'est son attribut, sa spécificité en tant que sainte.
  • De plus, on ne prie pas un saint, on demande son intercession, à lui qui est au plus près de Dieu (du moins plus près de Dieu qu'un baptisé non saint) : c'est le principe de la communion de saints.
  • La vénérable Benoîte Rencurel étant donc la sainte [en réalité, elle ne l'est pas encore : "vénérable" correspond à une des premières étapes de la canonisation : on attend de sa part, de son intercession, un miracle divin, qui prouverait sa sainteté] que l'on prie, selon son attribut (*disparition*), dans ce cas de disparition, il est logique de la prier.
  • Enfin, il faut arrêter avec ses incriminations bêtasses, issues d'un "brainwashing" marxo-humaniste : qu'ils soient tradis, les parents du petit Émile, ne font pas d'eux des abrutis sectaires. Au contraire. Le catholicisme est la religion du Logos incarné, et de la connaissance déifiante (gnosis) - et les tradis, bien souvent, sont de vraies tronches (le père d'Emile, par exemple, est ingénieur). Loin des huluberlus superstitieux et profondément ruraux que certains aiment à se représenter... Cette génération, la nôtre, est vraiment de la merde : on est de gros névrotiques, à ne vouloir discriminer personne, à se flageller d'oser faire des conclusions parfois radicales (vite, 50 mg de padamalgam), mais quand il s'agit de cathos... là...
  • Et puis, merde : vous êtes français, catholiques de culture (que vous le vouliez... ou non !) : et c'est aberrant de devoir faire à certains le petit cours de catéchisme que je viens de vous faire !
  • Suivez donc la requête pieuse de la mère d'Émile : au lieu de vos investigations toutes plus fumeuses les unes que les autres (c'est vous qui passez pour des golemoïdes attardés à ne pas foutre comprendre le sens de son message, à la mère, et de partir dans vos délires sataniques...) - au lieu de vos investigations stériles : PRIEZ.

Portez-vous bien... Et protégez vos gosses, vos frères, sœurs, vos neveux, etc., de cette époque de tarés... (car qu'elle que soit l'issue de cette histoire glauque, le fait est là : l'enfance et la pureté sont bien attaqués aujourd'hui... [c'est aussi ce que sous-entendait le message de la mère d'Emile...]).