Fume pas... Jamais.
J'ai commencé à fumer il y a environ 10 ans. Et je fume autour des 20/25 clopes par jour. Je suis intoxiqué : je chope la moindre merde, surinfections bactériennes systématiques, mycoses buccales, cardio de phoque, poumons qui brûlent tous les matins, dépendance anxieuse, se sentir en sursis alors que je n'ai pas 30 ans. Etc. Etc.
Et je ne parle pas du prix de cette merde...
C'est ma lourde anxiété qui m'a poussé à fumer. J'ai été lâche et faible.
Je regrette, car je n'ai pas même le courage, aujourd'hui, d'arrêter.
Aussi : les meufs détestent le fumeur. Tu pues de la gueule, tes fringues puent. Tu pues.
Tu ne parles que de choses somme toute soit superficielles (l'apparence : a-t-on idée de se considérer comme une "merde" parce que l'on se PERÇOIT laid ?), soit réversibles, changeables, corrigeables (techniques de sociabilisation, je parle bien de TECHNIQUES), qui, qui plus est, ne font pas de toi une "merde".
Ce seul qualificatif pourrait être attribuer sur le plan moral : là, le cœur de l'homme, ce qui fait l'homme, homme : sa postulation de la lumière, ou du néant. Sa conscience.
Et encore... même une ordure ne peut être une "merde"... C'est peut-être parce que je suis chrétien, mais l'homme ne peut être une "merde" - l'homme fait à l'image de Dieu, ce Dieu qui "compte jusqu'à notre moindre de nos cheveux".
Mais foi mise à part, car ce n'est pas le sujet, bordel ! tu es un homme ! Avec une âme d'homme, une intelligence d'homme, un cœur d'homme - capable de tous les possibles - capable du Bien. Cet espèce d'animal-roi, superbe atypisme naturel...
Un homme qui a une vie sociale médiocre, soit, mais quoi ? Tu vas te laisser abattre, ou te révéler à toi-même, te réaliser ?
Un coup de pied au cul, un rdv chez un psy si syndromes dépressifs - mais lève-toi, et marche !
Le 01 octobre 2023 à 12:20:53 :
Putain en plus j'ai cum à moitié dedans je me suis retiré trop lentement
Osef de se retirer ou non. >>> liquide pré-séminal
Je ne te souhaite rien, mais ouais, si tu chopes une merde et/ou si tu te retrouves avec un avortement sur la conscience, ce sera NATÜRLICHE.
Dura lex sed lex.
Doctolib > prendre rdv avec un dentiste ou un stomatologue le plus rapidement possible.
Si fièvre > urgences (ou SOS Médecins).
Si tu es vraiment inquiet, tu peux appeler le 15, et avoir un médecin au téléphone, qui pourra te rassurer.
Va chez un numismate/collectionneur, justement (tu sais, les boutiques un peu intrigantes, où tu peux voir en vitrine des capsules de bière...), pour évaluation... Souvent des passionnés un peu atypiques : je ne pense pas qu'ils arnarquent (j'étais for my own philatéliste, plus jeune : c'est un milieu sympa).
Si tu as des pièces en or, go aux comptoirs d'échange (en trouver un digne de confiance). Mais il faut surveiller le cours de l'or, et y aller au bon moment.
J'achète rien de particulier, for my own ; besoin de rien, et le luxe corrompt l'âme...
Je me garde 2/3 millions, je mets bien ma famille (modestement toutefois), et le reste, je le donne (plus que j'investis - l'argent est le sang de la Cité... il doit circuler).
Du genre, je monte une maison d'édition, pour mettre en avant philosophes, scientifiques et écrivains mis au ban par la Médiocrité de notre temps, qui, administrativement, serait une entreprise autogérée et syndicale, où travailleraient handicapés légers ou personnes marginalisées (SDF, associaux, etc.), histoire de leur donner à travailler, car le travail, à dimension humaine, et avec un salaire digne, n'est pas aliénant, au contraire.
Je ferai du mécénat d'Art (digne de ce nom) aussi...
Tout le reste, je le donne aux services sociaux de l'Église, ou pour les Chrétiens d'Orient.
Moi, à ta place, je laisserais tomber, khey...
Si jamais tu veux quand même faire la visite : n'y vas pas tout seul. Prends avec toi 2 potes mâles de > 80 kg.
Plutôt - ou, disons, de manière plus conséquente et utile - que de la thune, essaye de te rapprocher d'elle, de comprendre, selon tes soupçons, ce qui cloche chez elle, dans sa vie, et de l'aider par là...
L'aide psychologique et affective est plus conséquente que l'aide financière, car tu l'aiderais à régler le problème de fond.
C'est ta sœur, c'est un devoir (jusqu'à une certaine limite : si cela te met en danger toi-même).
Plusieurs choses peuvent être des petites lumières au fond du gouffre :
- sur le plan mental, psychique : aller consulter, un psychologue, voire un psychiatre. Parler, et être compris ; ne pas être jugé ; avoir des conseils de vie pour s'en sortir.
- sur le plan socio-affectif : voir ses proches, famille, amis : se sentir aimé, et être accompagné affectivement.
Trouver un travail sympa, aussi, et passionnant : le stabilité sociale étant plus nécessaire et vitale que la richesse.
- sur le plan spirituel : prier, et se tourner vers Dieu, vers l'Homme-Dieu, qui est allé au bout de la souffrance de l'homme, et l'a prise sur lui, qui a eu des angoisses sanglantes, et a senti le total abandon sur la Croix : "Mon Dieu, mon Dieu ; pourquoi m'as-tu abandonné ?"
- sur le plan intellectuel : lire, de la philosophie. St Thomas d'Aquin disait que, contre l'angoisse, il n'y avait qu'un remède : la raison. Lis Platon, c'est solaire, et radical. Ton retrait du monde te dispose à recevoir la Vérité, à la connaître, à la vivre ; ainsi assuré par la Science, tu reviendras au monde, détaché et serein.
Courage, khey. Je suis passé par là aussi.
Tu n'es et ne seras jamais seul.
Que tu aies du désir, a fortiori en ces circonstances (c'est quoi cette meuf sérieux ?), c'est plus que normal, l'ami. Nous sommes des êtres sexués, érotiques, désirants... Ce n'est pas un mal, au contraire.
Ce qui importe, c'est ce que tu fais de ce désir, alors que tu es engagé en couple : le cultives, ou y renonces. Si tu aimes ta copine, et si tu as un haut sens moral - ton cas - tu y renonces.
Mais sans te torturer, te rendre malade... car, sinon, c'est un cercle vicieux : plus tu culpabilises, plus, paradoxalement, ton désir sera fort.
Tu détournes donc les yeux, et te dis que ta volonté, ta raison est maîtresse en ton âme.
Sans médicaments, la résilience sera bien ardue, si ce n'est impossible.
Arrêter avec ce mythe des médicaments qui rendraient légumes. Infondé. Le malade psy est une loque SANS médicaments.
Ils ne font pas tout, certes, mais ils réalisent quand même le plus gros du taf. (Je sais de quoi je parle.)
Abilify, très bien (surtout à si faible dose !): donne-toi quelques semaines pour voir son éventuel effet positif, jusqu'au prochain rdv avec ton psy.
Force à toi.
À un moment donné, il va falloir arrêter de vous hyperventiler avec le message "au diable" de la mère. Il a rien de particulier, ce message, il est tout banal (et non cryptique, les Jean-Da Vinci Code) ; vous ne le comprenez seulement pas, parce que vous êtes étrangers à l'Église, à sa spiritualité : que vous ne connaissez pas les pratiques dévotionnelles.
Ce message, donc, demande l'intercession d'un saint.
Portez-vous bien... Et protégez vos gosses, vos frères, sœurs, vos neveux, etc., de cette époque de tarés... (car qu'elle que soit l'issue de cette histoire glauque, le fait est là : l'enfance et la pureté sont bien attaqués aujourd'hui... [c'est aussi ce que sous-entendait le message de la mère d'Emile...]).