Troll qui veut juste faire poster les KJ fragiles
Les KJ fragiles : Ouaient, c'est trop bien de vivre dans Naruto et de jeter des pokéball sur les fruits du demon !!
Comme si quelqu'un faisait les 100 pas devant la fenêtre... puis ça s'est arrêté en disparaissant encore une fois sur la droite... encore 10 ou 15 bonnes minutes plus tard j'aperçois enfin le véhicule des gendarmes qui se gare à une dizaine de mètres plus loin, 3 hommes descendent du véhicule, l'un d'eux ouvre le coffre
(un genred'espace aménagé pour transporter un ou plusieurs chiens)
Et fait sortir un malinois, il accroche une laisse à son harnais, puis j'engage la conversation.
-Bonsoir, mon chef vous à expliquer la situation ?
-Bonsoir, oui vous pensez que quelqu'un c'est introduit dans l'hôpital, mais c'est la 4 ème fois que vous nous appelez, et on n'a jamais rien trouvé donc.. cette fois on a pris un chien.
- Les trois premières fois ce n'était pas moi , c'était un autre homme qui était en charge de la sécurité.
- j'entends bien mais il n'en demeure pas moins , que ça fait trois fois qu'on se déplace pour rien monsieur , décrivez-moi précisément ce que vous avez vue.
Pendant la conversation je continue à regarder l'hopital tout en leur expliquant les faits, puis du coin de l'œil je vois encore la silhouette passer devant la fenêtre je tourne la tête vers l'hopital, se qui me coupe au milieu de ma phrase....
l'un des gendarmes me demande ce qui se passe "Vous avez vue quelqu'un ?" Comme il n'y avait plus rien j'étais sur le point de répondre "n-non rien" mais... d'un seul coup le chien se met à grogner et à aboyer en direction de la fameuse fenêtre...
Il tire sur la laisse tellement fort qu'il forces le gendarme à avancer avec lui ! Et la le gendarme dit :
-Bon le chien à effectivement vue ou senti quelque chose ou quelqu'un , d'habitude il est beaucoup plus calme
Ils se lancent donc à 2 dans l'hôpital me demandant de les guider jusqu'au premier étage tandis que l'un d'eux rester près du véhicule
Nous franchissons donc tous les trois la porte de l'hôpital, accompagné d'un chien plutot agité.
Nous nous dirigeons droit vers les escaliers et commençons à monter. Je jette un coup d'œil au chien, il a l'aire de s'être calmé, tant mieux...
Arrivé devant la porte, je leur explique que, derrière il y a un couloir et en longeant ce couloir, on finira par tomber sur les chambres qui donne sur la façade Est du bâtiment.
Le gendarme ouvre donc la porte avec le chien en tête de file et s'engage vers l'Est, je leur explique que la chambre où j'ai repéré "quelqu'un", se situe à peu près au milieu du couloir, juste en face de la salle commune à l'extérieur. Nous continuons donc à avancer quand soudain... le chien s'arrête net les oreilles dressées sur la tete, il fait de petits mouvements de gauche à droite avec sa tête comme s'il regardait quelque chose se déplacer en travers du couloir. Le gendarme tire sur la laisse pour le faire avancer, mais rien, puis... le gendarme a coté de moi se retourne brusquement en disant "wow" a voix basse
Gendarme avec chien : Quoi ?
Gendarme 2 : Rien, j'ai senti un soufle dans mon oreille
Gendarme avec chien : Un courant d'aire. (en sourient légèrement)
Gendarme 2 : Un courant d'air.. chaud ?
Moi :
Puis d'un seul coup le chien se met à sprinter droit devant lui en aboyant, dans la direction qu'il semblait observer avec attention. Ça laisse échappe des mains du gendarme distrait par son collègue et la... commence la fiesta ! Le chien rameute tout l'hôpital, il cours en passant d'une pièce a l'autre en grognant, les 2 gendarme le poursuivent en essayant d'attraper la laisse, j'ai presque envie de me tordre de rire mais j'ai trop peur pour ça. La course du chien est incroyablement précise, on jurerait qu' il poursuit quelqu'un, mais il n'y a personne à poursuivre...
Au bout de quelques secondes le chien s'arrête net, le gendarme attrape enfin la laisse et il force le chien à s'asseoir, le gendarme nous regarde et dit :
- C'est l'odeur du produit qui doit le perturber.
Il y avait effectivement une odeur de produit assez désagréable dans l'aile Est, quand soudainement on entend quelque chose d' assez lourd tomber sur le sol juste au au-dessus de nous... sans rien dire on se dirige vers le 2eme étage et là.. une échelle et un seau renversée, le seau roule encore sur le sol comme si on venait de mettre un coup de pied dedans ou.. de le faire tomber.
Le gendarme dit "Bon, il y a effectivement quelqu'un, retourner voir mon collègue et attendez-nous en bas" je redescends donc les marches et sort de l'hôpital.
J'explique ce qui s'est passé à leur collègue et il me demande de rester ici. Il longe la façade Est en surveillant les fenêtres au cas où quelqu'un essaierait de s'échapper en sotant dans l'herbe. 15 à 20 bonnes minutes plus tard... rien du tout, les 2 gendarmes ressortent du bâtiment et m'expliquer que même si c'est assez bizarre ils n'ont absolument rien trouvé et que même le chien a cessé de réagir, bref, RAS. On a un peu discuté puis ils sont partis. Me revoilà seul, génial...
Après avoir vue 2 débiles courir après un chien dans les couloirs d'un hôpital vide
(humour , respect à ces gendarmes qui ont fait leur travail)
j'ai donc décidé de retourner dans la salle commune, en arrivant, je me dirige vers la cuisine pour boire un peux puis... je me sens... soudainement vidé de toute énergie... complètement crevé... je retourne dans la salle principale, je m'assois a la table, croise les bras, pose ma tête 5 minutes et fini par m'endormir sans m'en rendre compte...
FIN)
Quelques instants plus tard je finis par émerger de mon sommeil avec ce sentiment d'angoisse et de surprise de m'être endormi ! Inconscient du temps qui s'est écoulé je m'empresse d'attraper mon téléphone pour voir l'heure et
"Ho, je n'ai dormi qu'une demi-heure"
je verrouille alors l'écran de mon téléphone et... quelque chose m'interpelle... l'écran devient noir mais sur cette écran noir je vois le reflet d'une faible lueur derrière moi. Je me retourne et discerne un trait lumineux sous la porte de la cuisine, je me lève et me dirige donc vers ça provenance. J'ouvre la porte et constate que... le frigo est encore ouvert faisant ainsi réfléchir la faible lueur de sa veilleuse dans toute la pièce. Je suis désormais trop fatigué pour me poser des questions, trop fatigué pour avoir peur... sans un bruit je me dirige vers le frigo, pose la main sur la porte et le referme tout simplement. Seulement... Maintenant... me voilà plongé dans l'obscurité total... peu importe, je me retourne et me dirige lentement vers la porte, puis....
"Ta pas peur dans le noir ?"
s'exclame timidement mais clairement une petite voix de femme a mon oreille gauche... Tout les cheveux de mon crâne se dressent d'un seul coup ! Sans même tourner la tête je me précipite sur l'interrupteur le bras tendu en-avant, mais alors que ma main n'est plus qu'à quelques centimètres de son objectif, j'entends l'interrupteur faire...
L'interrupteur se presse tout seul... La lumière s'allume, je ne tourne la tête qu'une seconde, personne... je ne cours pas mais je quitte la pièce à vive allure, je saisie mon sac et mon portable, je quitte la sal commune en cherchant mes clefs de voiture, mes mains tremblent mais je réussi a ouvrir la portière, je jette mon sac sur le siège côté passager, démarre la voiture puis regarde une dernière fois en direction de la salle commune et... sous mes yeux, la lumière de la cuisine s'éteint comme elle c'était allumé... toute seule.
Adieu, hôpital du diable.
1)
L'hiver 2016 , j'ai travaillé comme gardiens de nuit , dans une zone de chantier entourant un gigantesque hôpital abandonné sur le point d'être détruit aux alentours de Grenoble. Mon rôle était surtout d'éviter le vol de matériel de chantier entreposé dans les préfabriqués et d'éloigner les éventuels squatteurs et rôdeurs en tout genre, bref
le terrain à garder était vaste, mais je me rassurait en me disant que je n'aurais probablement jamais à entrer dans l'hôpital.
Je commence donc ma ronde avec pour seule compagnie, le bruit de mes chaussures de sécurité résonnant sur les murs de l'hopital, j'inspecte les préfabriqués et les véhicules de démolition, rien à signaler, je fais un tour complet de l'hôpital, toujours rien.
je retourne alors dans la salle commune mise en place pour les ouvriers lors des pauses, il s'agit de préfabriqué emboîté les unes aux autres qui forme un genre de petit appartement de 4 pièces, bref c'était plutot spacieux.
Je m'assoie a la table et ouvre mon paquet de chips, je commence à grignoter d'un coup, le bruit d'une sonnerie de téléphone me fait sursauter..
il provient de l'une des autres pièces (le bureau) , je me lève et me dirige vers la pièce en question en me disant que c'est probablement les propriétaires où mon chef qui veut m'avertir d'un détail important, je réponds au téléphone avec un allô un peu hésitant, personne ne répond.. j'entends pourtant un faible grésillement dans le combiné.. je dis "allô" une deuxième fois , toujours rien.. je raccroche en me disant que la ligne doit avoir un problème..
À peine je pose le téléphone que... "TULULULULU" (la sonnerie) je sursaute une deuxième fois mais décroche presque instantanément.. "heu.. allo ?" j'entends plusieurs personnes qui discute en bruit de fond.. je redis "allo !" , le bruit s'arrête et la une femme me dit et répète avec une toute petite voix (c'était presque inaudible) "encore le frigo, ç'est le frigo, ç'est le frigo, le frigo, le frighxyfrgfydffr..."
(incompréhensible) alors je dis "allô ? le frigo ? je ne vous entends pas, il y a un problème avec le frigo ?" et... sa racroche.
Je vais donc dans la salle où il est censé y avoir un micro-ondes, un frigo et des placards bref une cuisine improvisée. Je me dirige vers cette salle, j'ouvre la porte et là dans le noir, je trouve le frigo grand ouvert. Alors je me dis "OK, elle voulait me prévenir que le frigo pouvait s'ouvrir tout seul, sûrement un problème avec la porte" je ferme donc le frigo et cale la porte en plaçant un tabouret juste devant, je retourne manger mes chips puis repart pour une patrouille.
Encore une fois je fais le tour, RAS, je retourne donc dans la salle commune, je m'installe puis... j'entends quelque chose traîner sur le sol dans l'une des autre pièce...
Sans trop réfléchir je me dirige automatiquement vers la provenance du bruit qui m'amène droit vers la cuisine, j'ouvre la porte, et là... le tabouret est à l'autre bout de la pièce et le frigo est grand ouvert.. je reste figée quelques secondes le temps de comprendre, puis je me dirige machinalement vers le tabouret pour le remettre à sa place, seulement... à peine je pose la main dessus que j'entends derrière moi un bruit provenant du frigo... Une assiette glisse et se brise juste au pied de celui-ci.
je commence un peut à... paniqué , je m'approche et je vois un morceau de viande rouge (boeuf cru) avec un peu de sang au milieu des débris d'assiette , je ramasser les fragments, je les jette soigneusement à la poubelle, je me baisse ensuite pour ramasser la viande mais a peine je la touche que... je sent tout les cheveux de l'arrière de mon crane qui se dressent d'un coup ! Et je sent comme quelqu'un qui souffle un coup sec sur ma nuque... je me retourne rapidement, convaincu de tomber nez à nez avec quelqu'un d'autre ! Sauf que... personne, juste le sentiment d'être en danger, (difficile à expliquer) je lache la viande, claque la porte du frigo, et sort de la salle commune au plus vite ! Je marche un peux (mal à l'aise) j'aurais voulu appeler quelqu'un pour me rassurer mais... il était 3h du matin, je me ressaisis petit à petit et décide de retourner dans cette étrange cuisine...
2)
Je décide donc de retourner dans la cuisine en m'autoprovoquant pour me motiver, je me disais intérieurement "tu as 21 ans maintenant, tu n'es plus un gosse ! Alors retournes-y et fais ton travail" je retourne donc dans la cuisine et... imaginez ma surprise en découvrant la porte du frigo grande ouverte... encore.
Je regarde dans tous les coins de la pièce comme pour me rassurer, puis j'avance mal à l'aise vers le frigo pour le refermer, je ramasse le morceau de viande, le mets dans une assiette puis le range au fond du congélateur. Je remets le tabouret devant la porte du frigo, ferme la porte de la cuisine puis retourne m'installer à la table devant mon paquet de chips, le reste de la nuit fut relativement calme hormis le sentiment d'insécurité vis-à-vis de ce qui venait de se passer bref. la nuit se termine, je retourne donc chez moi.
(avance rapide jusqu'à la deuxième nuit)
La deuxième nuit, je retrouve donc ma salle commune, me remémorant les événements de la nuit précédente tout en essayant de ne pas trop y penser, je me dirige vers ma pièce favorite à savoir "la cuisine" , et je constate que tout est en ordre, je remets le tabouret devant la porte du frigo (car les employés ne l'ont pas fait) puis je me lance dans une patrouille. Je longe l'hôpital, une fois arrivé au mur Ouest (la zone la plus éloignée de la salle commune) , j'entends juste au-dessus de moi comme le bruit d'une conversation entre deux ou trois personnes , je m'arrête net, lève la tête, mais rien, plus un bruit et il fait trop sombre pour voir quoi que ce soit. je prends donc du recul pour mieux discerner les fenêtres, j'attrape ma lampe torche et éclair d'un coup la façade du bâtiment ! Et là...
du coin de l' œil au 4e étage, j' aperçoit une silhouette qui recule brusquement de la fenêtre comme pour échapper a la lumiere de ma lampe... persuadé d'avoir vu quelqu'un, je fais mon travail et lui crie
"je vous ai vu au 4e étage ! vous n'avez rien à faire ici c'est une propriété privée ! soit vous sortez soit j'appelle les gendarmes pour vous faire sortir"
mais personne ne me répond... Je commence même douter de ce que j'ai vue. Ducoup, je me dis que si j'appelle les gendarmes pour rien je passe pour un imbécile, mais d'un autre côté, je ne peux pas prendre le risque de laisser un ou des intrus se balader librement dans ma zone de patrouille.
Ainsi je décide de faire ce que j'espérais ne pas avoir à faire... Entrer dans l'hôpital.
3)
Je reviens rapidement sur mes pas car il n'y a pas d'entrée sur la façade Ouest de l'hôpital, la seule entrée se trouve sur le côté Sud.
j'arrive donc devant l'entrée et constate que la porte et bel est bien fermée, mais il suffit de la pousser pour l'ouvrir. Après quelques secondes de motivation, j'entre dans le hall et l'intérieur est exactement comme vous l'imaginez, c'est sombre, poussiéreux et parfait pour tourner un film d'horreur.
je mets la main sur ma lampe torche mais à la dernière seconde, je me dis "Si il y a réellement quelqu'un et que je me balade avec une lampe torche allumer dans tout le bâtiment, il me verra venir à des kilomètres" (ce que je préfère éviter, car à choisir, je préfère surprendre plutot qu'être surpris)
Alors je ferme la porte derrière moi, je reste immobile dans le noir quelques secondes le temps que mes yeux s'habituent à l'obscurité, une fois la tâche accomplie, on y voit plutôt bien, je me dirige maintenant vers les escaliers et monte les marches à pas de loup jusqu'au 3e étage, je suis stoppé net par le craquement des bouts de verre sous mes chaussures.
(Les escaliers du troisième au 4e étage sont recouvert de débris de verre)
je racle alors mes chaussures en montant les marches pour éviter de piétiner le verre et faire trop de bruit.
J'ouvre la porte qui mène au couloir du 4e étage et je me dirige vers l'Ouest.
(Pour vous donner une idée du décor le couloir est très long et il y a d'anciennes chambre de malade à gauche et à droite tout le long.)
J'avance en rasant le mur tout en inspectant du coin de l' œil chaqu'une des chambres, mon plan était simple , je voulais seulement être sûr et certain qu'il y ait quelqu'un, une fois que j'aurai repérer le ou les intrus, je n'aurais plus qu'à m'en aller discrètement et prévenir les gendarmes. Je continue ma progression à la recherche d'un potentiel signe d'activité humaine.
en regardant à travers les fenêtres je savais que je m'approchai peu à peu de l'endroit où j'avais aperçu la silhouette, mais là... je vois la porte d'une des chambres que j'avais éclairé avec ma lampe torche depuis l'extérieur, se fermer lentement, mais pas assez lentement pour que ça paraisse naturel style courant d'air... Je m'approche tout doucement de la porte et je m'arrête presque juste en face pour écouter et essayer d'entendre quelque chose. Des chuchotements ! Ou plutôt quelqu'un qui parle à voix basse !
(Je ne suis pas adepte de ce genre de pratique mais j'imagine que c'est comme écouter ses voisins discuter à travers le mur)
Bref, même si c'est faible, j'entends distinctement des voix. Mission accomplie je décide de faire demi-tour. Seulement, je n'ai pas le temps de faire 10 pas que... j'entends rire aux éclats dans la pièce des intrus ! Un rire malsain, un rire moqueur avec la voix d'un vieil homme... Je sursaute et me retourne brusquement ! La porte est toujours fermée... je commence à marcher lentement à reculons et là... encore une fois, je sens quelqu'un qui me souffle dans la nuque, un souffle... chaud !
je me retourne d'un seul coup ! rien... Pris de panique je me mets à tourner sur moi-même dans le noir, mais je ne vois personne ! À ce moment là ça a été trop pour moi donc "Au diable la discrétion, au diable ce travail ridicule !"
j'allume ma lampe torche et me dirige droit dans la salle des intrus, en me disant que j'en ai plus rien à faire de ce pourquoi je suis venu ici, je n'veux juste plus être seule ! Je leur expliquerai que je ne leur ferai rien et qu'ils peuvent même rester là si ça leur chante !
Je pousse donc violemment la porte ! Et... personne... PERSONNE ?!?! Terrifié je me mets dos à la fenêtre au fond de la pièce et j'éclaire la porte d'entrée, avec l'autre main j'attrape mon téléphone et j'essaie d'appeler mon chef au moins pour me rassurer ! Mais, Boîte vocale... j'essaie d'appeler d'autres personnes de mon répertoire, personne ne répond... en même temps il est 3h30 du matin... Je vois du mouvement en direction de la porte du coin de l' œil, je lève les yeux de mon portable et... La porte se referme, à la même vitesse que la première fois...
"Hors de question que je passe la nuit ici !"
J'avance, j'ouvre la porte, je regarde à gauche et à droite, je me précipite dans le couloir en marchant rapidement la peur au ventre sans trop me préoccuper de ce qui m'entoure. Je descends les escaliers et je sors enfin du bâtiment. Soulager, je me dirige vers la salle commune, j'entre, je respire, je repense à tout ça et je n'ai qu'une envie : me passer de l'eau sur le visage. Je me dirige vers la cuisine, le tabouret est par terre à l'autre bout de la pièce et le frigo est... grand ouvert.
Trop fatigué psychologiquement et moralement pour réagir, j'ai juste ramassé le tabouret et l'ai posé devant le frigo après l'avoir refermé, ensuite j'ai stoppé les patrouille pour la nuit, j'ai simplement camper dans la sal commune le restant de la nuit. Vers les coup de 9h du matin mon chef ma appelé, voyant mon appel en absence, j'ai choisi de garder le silence pour ne pas être pris pour un fou, alors je lui ai juste dit que j'avais cru voir quelqu'un roder dans l'hôpital et il ma répondue avec empressement "T'as prévenue les flics ?!" Je luis réponds "Non, je suis entrée dans l'hopital pour vérifier mais il n'y avais personne" et il ma dit quelque chose du genre "Ouf t'as bien fait !" alor je lui demande "pourquoi ?" Et la il me répond que le type qui assurait la sécurité des lieux juste avant moi a démissionné sans donner trop d'explications mais qu'il avait fait déplacer les gendarme 3 fois pour rien en leurs disant... qu'il avait vue et entendu des gens a travers les fenêtres de l'hôpital... Je suis devenue tout blanc au téléphone, bref , la conversation se termine je rentre me coucher.
(avance rapide jusqu'à la troisième nuit)
4)
La troisième nuit fût calme vue que je ne me suis pas approché de l' hopital ! J'ai même pas oser y jeter un coup d'oeil... RAS , a part le téléphone qui à sonné 2 fois au alentours de 3h du matin, mais... personne au bout du fil... le frigo est bien resté fermé ! Pourtant j'ai pas trouver mon fidèle partenaire le tabouret d'élite, sûrement les employés qui l'ont déplacée pendant la journée, Bref..
(avance rapide jusqu'à la dernière nuit)
Encore une fois j'entre dans la salle commune. Cette fois je suis motivée ! J'ai bien récupéré et je suis prêt à refaire sérieusement mon travail, alors je pose mon sac et je démarre ma patrouille, j' éclaire chaque fenêtre de l'hopital, RAS, tout va bien.
Je tourne les talons et marche en direction de la salle commune sauf que... à mis chemin, je suis pris d'une angoisse inexplicable, sueur froide, frisson dans le dos, je sent une présence pleine d' hostilité qui m'observe. C'est dure à d'écrire, c'est comme êtres face à grand danger que tu n'vois pas, mais que tout ton corp ressent !
Je me retourne lentement, je regarde en direction de l'hôpital et a environs 25 , 30 mètres
(difficile à dire, cette facade de l'hôpital n'est que partiellement éclairé par les lumière proche de la salle commune)
je vois au première étage quelqu'un qui se tient debout droit comme un piquet a la fenêtre, juste en face de moi, je focalise ma vision au maximum sur cette silouette
"je rêve ou il ya quelqu'un ?"
...
A cette distance c'est trop dure à dire, sauf que... la silhouette se panche a la fenêtre, 5 fois d'affilé ! Elle se panche et se redresse aussi tôt de façon frénétique et répétée, comme quelqu'un qui a un Toc ! juste avant de reculer et s'en aller sur la droite, pour disparaître dans l'hopital... La j'appelle directement mon chef. (qui par chance répond asser vite)
je lui explique en essayant de garder mon calme que je viens une nouvelle fois de voir quelqu'un dans l'hôpital au premier étage, il me demande si j'en suis vraiment sûr, je lui dis que oui, il me demande "où exactement", je lui réponds "dans l'aile Est"
( le problème c'est que depuis 2015 des travaux de désamiantage ont été lancé dans l'hôpital donc l'aile Est est en plein travaux , il m'a donc était vivement déconseillé voire interdit de m'y rendre, pour des raisons de santé)
mais il me dit que le premier et deuxième étage on était nettoyé récemment (donc peuvent etre inspecté) et qu'une fois de plus il va prévenir les gendarmes.
j'attends alors qu'il me rappelle... En attendant je fixe la fenêtre en question en repensant à ce que j'avais vue, mais rien pendant 10 bonne minutes, puis... mon portable qui sonne. Je réponds et en gros, mon chef me dit qu'il a convaincu les gendarmes de se déplacer une nouvelle fois.
L'aile Est étant proche de l'entrée je desside de les attendre sur place tout en continuant à fixer la fenêtre du premier étage comme si c'était devenu... une obsession. Au bout de 15 bonne minutes, je fini par voire quelqu'un passer devant la fenêtre, pour disparaître de l'autre côté (de la droite vers la gauche), je détourne le regard quelques secondes pour mieux me reconcentrer en me disant qu'au bout de 15 minutes à fixer la fenêtre dans le noir mes yeux finissent peut-être par me jouer des tours, sauf que... ça recommence ! Quelqu'un passe de gauche à droite cette fois, puis de droite à gauche, et ça a continué comme ça 4 ou 5 fois d'affilé !