Le 23 septembre 2024 à 23:46:04 :
Le 23 septembre 2024 à 23:45:21 :
Non célestin arrête de cope tu représentes bel et bien une minorité, non tu n'es pas normal.Niveau 51 par contre t'es puceau à 100%
Absolument pas, mais je suis sur JVC depuis que je suis ado c'est une sale habitude + continue de cope ça t'aidera pas à baiser
Le 23 septembre 2024 à 19:47:40 :
30 tout rond, mais bon j'ai baisé, une gosse. ya pirehttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/16/2/1618909009-risitas-choquer.png bien qu'actuellement célibataire qui entend des voix
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/16/2/1618909009-risitas-choquer.png j'ai dis adieu à mes abdos aussi, terminé
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/16/2/1618909009-risitas-choquer.png
La ponctuation qui te sauve de Gilbert
Le 23 septembre 2024 à 03:52:53 :
[03:51:18] <MusicienSourd>
Crédibilité des sources, taux de preuves.Qu'est-ce qui rend une source plus crédible qu'une autre ?
Flemme de décrire mais en gros, le raisonnement est clair, étayé, les zones incertaines sont présentées comme telles, études à l'appui pour les points considérés vrais, pas de biais ni d'émotionnel ni d'opinion ni de sophisme.
Tout le contraire des sources complotax.
Le 23 septembre 2024 à 03:17:44 :
[03:16:35] <MusicienSourd>
Un peu malaise la mineure qui fait bander tous les vieux mais bon, sympa hormis ce détailC'est pas comme le château dans le ciel ?
Ça fait trop longtemps que j'ai vu le château dans le ciel pour me souvenir de ça
Le 23 septembre 2024 à 03:06:16 :
Le 23 septembre 2024 à 02:52:11 :
Le 23 septembre 2024 à 02:48:08 :
Le 23 septembre 2024 à 02:39:18 :
Le 23 septembre 2024 à 02:36:06 :
> Le 23 septembre 2024 à 02:31:50 :
>Les textes d'auteur sont indigestes donc je me repose sur des synthèses de vulgarisateurs genre monsieur phi. On a l'essence du raisonnement sans les fioritures verbales.
Ne connaître que la thèse d'un auteur, et quelques arguments qui la justifient, c'est ne la connaître que de l'extérieur sans se donner les moyens de la comprendre. Ce n'est pas en soi un mal, mais il ne faut pas être naïf
Est ce que tu peux me donner un exemple concret où les arguments extraits du texte sont insuffisants pour comprendre la thèse ?
La parabole de Nietzsche sur les trois métamorphoses. Parce que ça se lit comme un texte littéraire, le rythme porte la "thèse" ;)
Il y a aussi des cas où l'écriture participe de l'intuition que l'on peur avoir de son objet ; les laisser de métaphores auxquelles Bergson s'essaie doivent nous ménager un accès à cette "interpénétration d'hétérogénéités" dont il nous parle sans cesse.
En phénoménologie pareille. Le style arrache quelque chose à l'objet que l'on cherche à dire.
Ce sont certes des cas limites. Ce que je dis surtout, c'est qu'un paragraphe des Méditations ou des Critiques ne se laissent pas réduire à son squelette sans conséquences. Tu peux à la rigueur reformuler, pour fluidifier l'écriture et expliciter.. mais tu en as alors pour au moins autant de pages.Je comprends pour tes cas limites ou le style a son importance dans la transmission de l'idée.
Mais pour le fait que réduire à son squelette un paragraphe des Critiques n'est pas sans conséquence, qu'est-ce que ça veut dire concrètement ?
Quel est l'impact sur la compréhension de l'idée ?
Est ce qu'un lecteur assidu et un visionneur de vulga risquent de comprendre des choses différentes du même paragraphe ?Pas la force de faire une réponse intelligente, je doute fort de pouvoir de convaincre. Mais dirais simplement que vulgariser cinq cent pages de Kant en une trentaine, c'est au mieux donner un aperçu de la chose...potentiellement trompeur.
En l'occurrence, j'ai recouru à cela pour la CRPure au lycée : un petit fascicule du genre "pour.comprendre la Critique", destiné aux eleves de premsir cyle. J'avais ainsi la charpente, une connaissances des enjeux épistémologiques et métaphysiques, ainsi qu'un schéma bien stabilisé de l'ordre des facultés.
Mais rien sur la question du "schématisme" ; qui n'occupe certes que 15 pages de l'ouvrage. Il se fait que la lecture de ces quelques pages suffit à tour changer. Tu renverses complètement ledit ordre des facultés (donnant l'ascendant à l'imagination sur les deux autres)et tu subordonnes la problématique espistémolgique à celle de le.genese de l'esprit humain. Ce qui ouvre sur les textes ultérieurs de Kant, clarifie par avance la.troisième Critique... et donne un aperçu de l'idéalisme ultérieur.
Tout ça pour quinze pages que ne mentionne pas la vulgarisation (ou alors en une ligne qui ne dira absolument rien de notre affaire).
Tu doutais de pouvoir me convaincre mais tu viens de m'éclairer pourtant.
Je comprends mieux, je suis pas sûr d'avoir le courage de lire Kant mais en tout cas je comprends mieux les limites de la vulga.
Le 23 septembre 2024 à 02:48:08 :
Le 23 septembre 2024 à 02:39:18 :
Le 23 septembre 2024 à 02:36:06 :
Le 23 septembre 2024 à 02:31:50 :
Les textes d'auteur sont indigestes donc je me repose sur des synthèses de vulgarisateurs genre monsieur phi. On a l'essence du raisonnement sans les fioritures verbales.Ne connaître que la thèse d'un auteur, et quelques arguments qui la justifient, c'est ne la connaître que de l'extérieur sans se donner les moyens de la comprendre. Ce n'est pas en soi un mal, mais il ne faut pas être naïf
Est ce que tu peux me donner un exemple concret où les arguments extraits du texte sont insuffisants pour comprendre la thèse ?
La parabole de Nietzsche sur les trois métamorphoses. Parce que ça se lit comme un texte littéraire, le rythme porte la "thèse" ;)
Il y a aussi des cas où l'écriture participe de l'intuition que l'on peur avoir de son objet ; les laisser de métaphores auxquelles Bergson s'essaie doivent nous ménager un accès à cette "interpénétration d'hétérogénéités" dont il nous parle sans cesse.
En phénoménologie pareille. Le style arrache quelque chose à l'objet que l'on cherche à dire.
Ce sont certes des cas limites. Ce que je dis surtout, c'est qu'un paragraphe des Méditations ou des Critiques ne se laissent pas réduire à son squelette sans conséquences. Tu peux à la rigueur reformuler, pour fluidifier l'écriture et expliciter.. mais tu en as alors pour au moins autant de pages.
Je comprends pour tes cas limites ou le style a son importance dans la transmission de l'idée.
Mais pour le fait que réduire à son squelette un paragraphe des Critiques n'est pas sans conséquence, qu'est-ce que ça veut dire concrètement ?
Quel est l'impact sur la compréhension de l'idée ?
Est ce qu'un lecteur assidu et un visionneur de vulga risquent de comprendre des choses différentes du même paragraphe ?
Le 23 septembre 2024 à 02:43:40 :
Le 23 septembre 2024 à 02:39:18 :
Le 23 septembre 2024 à 02:36:06 :
Le 23 septembre 2024 à 02:31:50 :
Les textes d'auteur sont indigestes donc je me repose sur des synthèses de vulgarisateurs genre monsieur phi. On a l'essence du raisonnement sans les fioritures verbales.Ne connaître que la thèse d'un auteur, et quelques arguments qui la justifient, c'est ne la connaître que de l'extérieur sans se donner les moyens de la comprendre. Ce n'est pas en soi un mal, mais il ne faut pas être naïf
Est ce que tu peux me donner un exemple concret où les arguments extraits du texte sont insuffisants pour comprendre la thèse ?
L'intérêt d'un texte/d'un ouvrage ne consiste pas seulement à comprendre sa thèse proprement dite, il y a souvent une structure globale qui la remplit et lui donne une certaine consistance et richesse ; un bon exemple serait la Critique de la raison pure de Kant, qu'il serait assez dommage de réduire à son résumé « vulgarisé » dans les Prolégomènes à toute métaphysique future (qui a de toute évidence ses mérites propres)
Qu'est-ce que tu entends par consistance et richesse ? Ça me paraît superficiel dit comme ça par rapport au cœur de la thèse.
Le 23 septembre 2024 à 02:42:09 :
Le 23 septembre 2024 à 02:37:08 :
Le 23 septembre 2024 à 02:34:18 :
Le 23 septembre 2024 à 02:31:50 :
Les textes d'auteur sont indigestes donc je me repose sur des synthèses de vulgarisateurs genre monsieur phi. On a l'essence du raisonnement sans les fioritures verbales.Que tu ne te sentes pas le courage de lire des milliers de pages au sens souvent équivoque, je comprends bien. Mais parler de fioritures verbales. .
Tu vas me dire que chaque phrase alambiquée est nécessaire à l'essence du raisonnement chez Kant par exemple ?
Vraie question c'est pas rhétoriqueC'est un bon exemple. Mais une syntaxe pesante (il sagit de cela ave Kant), pour moi c'est autre chose qu'une fioriture ; elle n'a pas vocation rhétorique, et trahit quelque chose de sa pensée.
Donc non, on pourrait peut être alléger la Critique de la Raison purs. Mais ça donner les commentaires de Lachièze-Rey (presque aussi long que le bouquin d'origine).
Je me suis mal exprimé alors, syntaxe pesante est plus approprié à décrire ce qui me décourage
Le 23 septembre 2024 à 02:36:06 :
Le 23 septembre 2024 à 02:31:50 :
Les textes d'auteur sont indigestes donc je me repose sur des synthèses de vulgarisateurs genre monsieur phi. On a l'essence du raisonnement sans les fioritures verbales.Ne connaître que la thèse d'un auteur, et quelques arguments qui la justifient, c'est ne la connaître que de l'extérieur sans se donner les moyens de la comprendre. Ce n'est pas en soi un mal, mais il ne faut pas être naïf
Est ce que tu peux me donner un exemple concret où les arguments extraits du texte sont insuffisants pour comprendre la thèse ?
Le 23 septembre 2024 à 02:34:18 :
Le 23 septembre 2024 à 02:31:50 :
Les textes d'auteur sont indigestes donc je me repose sur des synthèses de vulgarisateurs genre monsieur phi. On a l'essence du raisonnement sans les fioritures verbales.Que tu ne te sentes pas le courage de lire des milliers de pages au sens souvent équivoque, je comprends bien. Mais parler de fioritures verbales. .
Tu vas me dire que chaque phrase alambiquée est nécessaire à l'essence du raisonnement chez Kant par exemple ?
Vraie question c'est pas rhétorique