Le 25 mai 2021 à 12:34:41 :
Le 25 mai 2021 à 12:32:11 :
Gens de droite (hors RN hein): Vieux et bourgeois.
Quand tu sors d'une école de commerce à 10k l'année payée par papa/maman et que ton premier salaire commence à 3k pour un bullshit job, il n'est pas possible pour toi de comprendre comment le prolo de base se retrouve à bosser en usine pour le smic.Ces gens pensent qu'ils méritent leur place et ne souhaitent absolument pas que les pauvres s'élèvent à leur niveau de salaire/glande.
Bref, être de droite c'est vouloir conserver les inégalités de richesses, the end.
Oh que si, vu qu'à 3k à Paris tu vis objectivement moins bien que le prolo à l'usine + tu bosses 2 fois plus et t'es traité comme une merde.
C'est pour ça qu'il n'y a que des vieux de droite, ce sont les seuls à bien vivre dans ce pays.
Peut être pour Paris alors mais je parle là en province. Crois moi, les filles à papa qui sortent d'école de commerce avec 3 fois le smic (net) j'en connais, j'peux te garantir que ça vote pas à gauche ;)
Ces gens ne peuvent pas comprendre ce qu'est la vie d'un prolo.
Gens de droite (hors RN hein): Vieux et bourgeois.
Quand tu sors d'une école de commerce à 10k l'année payée par papa/maman et que ton premier salaire commence à 3k pour un bullshit job, il n'est pas possible pour toi de comprendre comment le prolo de base se retrouve à bosser en usine pour le smic.
Ces gens pensent qu'ils méritent leur place et ne souhaitent absolument pas que les pauvres s'élèvent à leur niveau de salaire/glande.
Bref, être de droite c'est vouloir conserver les inégalités de richesses, the end.
Mon ex copine (pas pour rien que c'est désormais mon ex), de la famille aussi qui gagne blindé, ainsi que des amis qui viennent d'école de commerce etc...
Après, le vote LREM/LR c'est principalement les boomers et les bourgeois.
Le 16 mai 2021 à 20:22:47 :
Bordel c'est gravissime
Mais sur ce forum on préfère mettre des oeillères sur l'injustice que subissent certaines populations
Ouai, pour gueuler que des jeunes de cité se fassent libérer y'a du monde, mais pour gueuler contre les flics ripoux qui les envoient en prison malgré leur innocence y'a plus personne
Le 16 mai 2021 à 20:06:11 :
ça sent la vidéo professionnelle et non-orientée
Il y'a les enregistrements des interrogatoires. Fais toi ton avis.
Les gens qui se rendent compte dans ces vote que le RN n'est qu'une pseudo opposition
Rappel: le RN a aussi voté main dans la main avec LREM/PS/LR CONTRE la levée des brevets pour les vaccins covid.
Le 11 mai 2021 à 10:28:59 :
Le 11 mai 2021 à 10:28:34 :
Le 11 mai 2021 à 10:26:20 :
Le 11 mai 2021 à 10:25:20 :
Ca dépend ce que tu fais... Quels langages et quel niveau ?---C++/ Rust , junior bac+5
Tu as déjà bossé dans le milieu ?
La pire erreur (selon moi) qu'on peut faire en Free, c'est de s'y mettre sans avoir déjà travaillé dans le milieu pro.Pourquoi est-ce une erreur
Tant que tu n'as pas travaillé au moins quelques mois dans une entreprise/agence/etc... et pratiqué ton métier avec des projets concrets et des problématiques d'entreprise, c'est très compliqué de se rendre compte de nombreuses choses, y compris des relations avec les clients, faire de l'estimation, du planning etc...
Je ne dis pas qu'être directement Free est impossible, mais c'est bien plus compliqué. Et encore, dans mon cas c'était pour du web (majoritairement).
Autre chose: fais un max de veille, c'est ce qui te garde au dessus du lot (si tu y es, sinon ça te permet d'y accéder).
Le 11 mai 2021 à 10:26:20 :
Le 11 mai 2021 à 10:25:20 :
Ca dépend ce que tu fais... Quels langages et quel niveau ?---C++/ Rust , junior bac+5
Tu as déjà bossé dans le milieu ?
La pire erreur (selon moi) qu'on peut faire en Free, c'est de s'y mettre sans avoir déjà travaillé dans le milieu pro.
Le 02 mai 2021 à 12:45:31 :
2017 : Mélenchon + abstention
2022 : Mélenchon + abstentionJe vote pour le programme pas le personnage. Le plus important pour moi l'écologie et le social, c'est le seul qui base son programme dessus (pour ceux qui ont un programme aussi...)
idem
Cf son post FB:
"Mardi, j'ai rencontré une jeune femme, qui m'avait écrit sur Instagram, avec qui nous avons passé l'après-midi en marchant, en flânant dans le jardin du Luxembourg, dans les rues, en parlant. Une femme belle, intéressante, qui me racontait des mondes que je ne connaissais pas.
Nous avons ainsi passé un temps sous le soleil, je l'ai raccompagnée au métro au moment du couvre feu, place Saint-Placide. Elle trainait un peu des pieds, m'a demandé dans quel sens je repartais. Elle m'a alors regardé, un sourire partagé. Nous nous sommes quittés, et je souriais, je crois.
Je lui ai réécrit peu après afin de m'excuser d'avoir dû partir, en lui indiquant que si elle le souhaitait, nous pouvions nous revoir. Elle a relevé le gant, et est venue me voir. Nous avons, un peu illégalement, installé deux chaises devant la Seine, je lui ai fait une tisane et elle a goûté une bière qu'elle n'a pas aimé. Les voisins passaient, certains un peu loufoques, "cherchant la lune", d'autres baladant leurs chiens. Mon chat était là, dehors lui-aussi, les gens nous regardaient.
Il faisait froid, nous sommes rentrés. Nous parlions, riions, nous regardions. Elle n'avait plus de batterie, j'avais un vieux cable qui ne fonctionnait plus trop, nous essayions de le recharger. Je ne sais pas qui a eu l'idée, mais nous nous sommes décidés à voir un film. Elle voulait une comédie, moi un film sérieux. Nous avons installé le projecteur sur le lit. Elle m'a proposé les Tuches, m'a montré des bandes-annonces sur un site de streaming, je l'ai regardé sévère, on a rit. On a tenté la cité de la peur, elle m'a regardé sévère, on a fini par lancer Snake Eyes, puis Le Mépris.
Nous étions côte à côte, elle m'a donné sa main, je l'ai longtemps tenue. Nous avons commencé à nous embrasser. Cela allait et venait. On ne savait pas trop, on se provoquait, on se refusait puis recommençait.
Nous avons beaucoup hésité, j'avais envie d'elle, elle aussi, on se l'est dit, plusieurs fois, et à un moment, je lui ai demandé si elle voulait, et elle m'a dit oui, et nous avons fait ce que deux personnes en ces circonstances feraient.
Il était tard dans la nuit, nous nous regardions et nous recherchions, nous demandions ce que nous en pensions. Lorsque cela s'est fini, nous avons laissé le film, et nous nous sommes endormis.
Nous avons passé la nuit collés, collés comme deux enfants, et le matin, alors que je devais assister à une réunion, je me suis levé. Elle l'a fait peu après, et juste avant que mon appel commence, elle m'a embrassé, sur le visage, sur les lèvres, m'a sourit, et est partie.
Elle avait oublié ses lunettes, son chargeur qui ne marchait pas. Elle m'a écrit et je lui ai dit qu'elle pouvait les chercher quand elle le voudrait.
Le soir, elle est repassée me voir, elle était froide et troublée. Elle m'a dit que c'était allé trop vite, que ça ne lui était jamais arrivé, que d'habitude c'était elle qui était entreprenante, et que moi je l'avais pas été. Elle a commencé à dessiner des comparaisons qui m'ont blessé.
Je ne comprenais pas, je lui ai dit ma blessure de l'entendre me dire ces mots, lui ai rappelé tout ce que je viens de vous écrire, que nous nous désirions, que nous n'avions cessé de parler, qu'il n'y avait eu nulle contrainte, que si elle s'était sentie mal, nous aurions immédiatement tout arrêté. Elle acquiesçait, elle se disait rassurée que je lui dise cela. Elle m'a dit alors, alors que je lui demandais, qu'elle n'avait couché qu'avec deux garçons. J'ai été désemparé, et j'ai compris que la chose avait été peut-être, pour elle, plus important que je ne le croyais. Elle s'est excusé, m'a dit qu'elle comprenait que je ne l'ai pas compris.
Elle m'a alors dit qu'elle était allée à la police le lendemain. Qu'elle avait déposé une main courante, car deux amies à qui elle avait parlé le lui avaient suggéré.
Je l'ai regardée sans comprendre et sans rien dire. Pour moi. Elle s'est à nouveau excusée, si je pensais qu'elle pouvait encore la retirer, que le policier n'avait pas l'air de vouloir me faire du mal.
Elle m'a demandé si on pourrait tout de même rester en contact.
J'étais blessé, blessé de ne pas comprendre, de voir la personne en face de moi faire de notre rencontre.
Je lui ai dit ce qu'elle savait et prétendait ignorer: que c'était moi, qu'elle le savait, et qu'elle savait très bien ce qui se passerait.
Elle a voulu me parler de corrida, m'a demandé ce que je pensais du droit des animaux. Un taxi est arrivé.
Ce matin, un journaliste du Parisien m'a appelé. Une enquête pénale pour viol avait été ouverte contre moi, ils allaient publié.
Je lui ai dit ce que je viens d'écrire. J'ai raccroché. J'ai prévenu ma mère. Mes amis. Ceux avec qui je travaille depuis des années pour tenter, de la méditerranée aux gilets jaunes, de construire quelque chose qui nous amène quelque part.
Et puis j'ai pleuré. Pleuré de voir que ce qu'il me restait, m'était, comme cela devait arriver, comme cela m'avait tant de fois été annoncé, après tout ce que déjà, goutte après goutte, on m'avait arraché, sur le point d'être retiré.
Et que je deviendrais un poids, un de ces lourds poids pour tous ceux que j'avais voulu aider.
Je suis désolé."