Messages de Ahasverus8
Le 29 juin 2023 à 12:23:46 :
Je pense que l'on ne peut être "pour" ou "contre" puisque le suicide est personnel, il ne revient qu'a la personne qui en fait le choix ou non. Cependant pour ma personne je pense que le suicide n'est pas adéquat, la douleur que l'on engendre, les occasions manquées de reprendre sa vie en main, rien n'est jamais gravé indéfiniment dans le marbre. La volonté, un déclic, peuvent sauver.
À quoi bon reprendre sa vie en main si on peut l'achever d'un seul geste ?
La douleur engendrée est subjective, dépend de la perception de chacun. Ce n'est donc pas ma responsabilité au final.
Tant pis je meurs 
Le suicide est-il une solution adéquate à la résolution des problèmes ?
Je veux dire que si tu te suicides tu n'as plus aucun souci 
Mais la mort est-elle la fin de la vie ?
L'insolubilité de cette question m'ensevelit sous les poids de son mystère... 
Le style fan fiction semble apprécié des kheys... Personellement j'ai un peu de mal avec un tel niveau d'amateurisme, mais je dois être un connard aigri
N'importe quelle vidéo gore prouve que la douleur que l'OP décrit est incompatible avec les évènements qu'il narre.
Si ton narrateur souffrait comme il dit souffrir, il serait en train de hurler, son cerveau disjoncterait, plus rien ne répondrait.
Sans même parler de l'incohérence constitutive à ton idée de base : dans un monde spirituel, inclure - et pas qu'un peu - les corps en tripes et en merde, tu trouves pas ça légèrement fort de café ?
T'aurais pu nous faire un truc plus technologique, à la Basilic de Rocco ; ou bien plus physique, à la Sade, dont les personnages arrachent directement les nerfs de leur victime pour accéder directement au centre névralgique de leur douleur.
Là on dirait que t'as le cul entre deux chaises et le résultat est un peu bancal...
Et moi je réponds à un topic qui a deux ans ahiiii
Le 22 août 2021 à 11:51:08 :
SUITE
Je me tournais, me retournais, mais rien ne pouvait soulager l’incommensurable douleur. Avec tout cet acide dégoulinant sur l’intégralité de mon corps, vous comprendrez qu’il m’a été encore plus insupportable de réussir à ouvrir les yeux. Je tiens d’ailleurs à faire une petite parenthèse. J’ai appris là-bas qu’on ne s’habituait pas à la douleur. Jamais. J’ai également appris à revoir mon échelle de la douleur. Si, sur terre, je pouvais raisonnablement évaluer ma douleur sur une échelle de 1 à 10, il m’aurait fallu agrandir cette échelle comprenant 100 échelons lors de mon réveil en enfer. Et encore, cela serait bien loin de suffire, comme je l’apprendrai prochainement.Bref, j’ai commencé à réussir à me concentrer, pour distinguer ce qu’il y avait autour de moi. Il faisait sombre, le ciel était d’une teinte noirâtre. De la lumière émanait de quelques roches incandescentes. Le sol était fait de cailloux, de rochers, et j’apercevais quelques cavités un peu plus loin, dans le relief. A quelques mètres de moi, je distinguais une personne, allongée sur le sol. C’était un homme à qui il manquait les deux jambes. Derrière lui, je pouvais voir une trainée mêlant sang et acide. Il ne faisait pas un bruit, mais tremblait, à la limite de la convulsion.
La douleur étant toujours tout aussi insoutenable, j’ai décidé de m’élancer vers l’une des cavités afin de tenter de me protéger du crachin. Peut-être que si vous vous immolez, et que vous tentez de courir par la suite sur un tapis de braise, vous pourrez ressentir une part de ce que je ressentais alors. Je courais, en tentant de m’arracher la peau, les cheveux, pour chercher à trouver un quelconque soulagement cette sensation de brûlure indescriptible. En vain, évidemment. En m’approchant de l’espèce de grotte, j’eu le temps de distinguer deux silhouettes humaines à l’entrée. Peu importait, rien n’était alors plus important que de me protéger de l’acide.
Tout à coup, un objet long, pointu, vint perforer mon abdomen, stoppant net ma course. Il déchira la peau de mon dos en ressortant de l’autre côté. Une des deux personnes venait de m’empaler avec ce qui semblait être plusieurs os liés entre eux par de la peau. A l’abris du crachin, dans la cavité, la douleur liée à l’attaque venait de remplacer celle de l’acide. Avant même que je ne puisse dire le moindre mot, je sentis une seconde lame s’abattre sur ma nuque. Son possesseur dû s’y reprendre une dizaine de fois, avant de réussir à couper ma tête.
C'est dommage de laisser une incohérence aussi grosse dans un récit aussi ambitieux : tu dis avoir appris qu'on ne s'habituait pas à la douleur, et au paragraphe suivant tu réussis à te concentrer
Ça ne peut que sortir de l'ambiance des bourdes comme ça.
Le 25 juin 2023 à 03:22:02 :
Le 25 juin 2023 à 03:17:23 :
Le 25 juin 2023 à 03:15:00 :
DAY* DES* nofake. C’est pas si ouf d’ailleursOui, j'ai été vachement déçu quand j'ai appris que c'étaient des actrices rémunérées. Du coup je me suis senti con et j'ai préféré retourné au porno classique, où au moins c'est assumé.
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/14/7/1523146490-marcelddb.png What j’avais pas vue ton message du dessus. C’est même pas du porno, même pas du gore. La petite s’en est bien sortie, il y a bien pire qui existe, bien pire
Bah surtout depuis qu'on a appris qu'elles avaient 19 et 22 ans, souffraient simplement d'une maladie orpheline (ce qui est drôle avec le recul) quand leurs contrats ont leak 
Je pense que "dromadaire" aurait mieux convenu, en effet...
Mais bon, après moi j'ai 174 de Q.I aussi, donc fatalement je sais mieux, quoi...
Faut pas complexer clé : t'es né teubé, tu le resteras
Cultives tes autres qualité : par exemple la cuisson idéale des pâtes.
Persoent, mis à part Daisy's Destruction je me suis toujours cantonné au porno classique.
Un peu de bondage à la rigueur