Le 24 janvier 2024 à 17:26:18 :
Rien comprisDDB dans le doute
Je crois qu'elle a mal pris quelque chose.
Mais quoi ?
D'après elle :
" Ce moment que j'avais pourtant tant imaginé
Ce moment je l'avais tant imaginé. le soir dans mon lit. Quand j'avais besoin d'imaginer quelque chose d'agréable, de réconfortant, de glorieux. Aujourd'hui ce moment était là. Alors que la police me maintenait qu'il n'arriverait pas, en fait si. Si monsieur le flic à la con, si si. Oui, il y aura une grande salle d'audience, sa sale gueule dans le box des accusés. Son père, son avocat. Mes potes et mon corps frêle qui se font faces. Parce que le tribunal est assez mal branlé que l'accusé et la victime sont en face. Pendant qu'il jouait au con je fuyais son regard fou. J'avais l'impression d'être si petite, si frêle. je sais que dans ton crâne de taré tu vas dire que j'étais belle. Tu vas écrire un putain de roman dans ta tête. Tu as dit que tu aimais le théâtre et que tu ne pouvais pas te retenir de me voir jouer. Sale malade putain. Tu as dit que tu aimais lire. Et lire pour mieux écrire tes bouquins de taré dans lesquels tu me viole à douze ans. Ton avocat a dit que tu étais que tu souffrais d'addiction. Au cannabis, à l'alcool et à moi. "Mon client est addict à la victime, il ne peut s'en passer au même titre que le cannabis et l'alcool" Parce que je suis une substance ? Parce que je suis une clope, une bière putain de baveux ça t'arrange bien de penser ça. Tu joues au troll pour te faire mousser. Personne ne rit. Ton père a honte et me serre la main lors de la suspension d'audience. Tu ne regrettes pas. Tu n'es pas désolé.
Tu vas continuer et tu le sais. Et la justice de ce putain de pays ne le voit pas.
Mais tu vas recommencer.
Tu vas menacer mes élèves.
Mes collègues.
Mon frère.
Mon père.
Mon mec.
Mes profs.
Mes potes
Rien ne t'arrêta parce que toi aussi tu imaginais ces choses dans ta tête. Mais mon imaginaire est plus fort que le tien petite salope misérable.
Mon nom et mon prénom sont invoqués lorsque le courage est de mise.
Je rendrais justice pour ta soeur.
Pour ta mère.
Jamais je ne lâcherais, tu m'entends petite salope ? Jamais
Même s'il fallait à nouveau affronter ce tribunal et sa hauteur de plafond qui renverse l'univers.
Je serais digne, droite et belle. Belle comme une reine du Moyen-Age"
Elle aurait pas du dire ça, on est d'accord ?