Le 29 septembre 2024 à 15:01:41 :
Le 29 septembre 2024 à 14:49:42 :
Le 29 septembre 2024 à 14:46:29 :
Tout s'est jouer à la fin des trente glorieuse, mais le point de non retour c'était effectivement fin des années 90J'ai lu récemment le livre "le 4e tournant" (résumé par Michel Drac pour ceux qui veulent), et en fait, ça remet beaucoup de choses en questions dans notre façon de penser ce livre. Pour eux l'histoire est faite de cycle, décompensé en 4 périodes à chaque fois. Moi je vais en résumé en quelques mots : tu as une phase de sommet puis un déclin jusqu'au sommet suivant...
Pour lui les USA (et donc les Européens puisqu'on a été américanisé, qu'on apprécie le fait ou non) étaient déjà bien en déclin dans les années 80 et 90. Mais si nous on est nostalgique de cette période, c'est parce qu'on n'a pas connu les décennies avant, donc pour nous ces deux décennies étaient les meilleurs, car après ça n'a fait qu'empirer.Pourtant la criminalité et le terrorisme que l'on connait déjà déjà bien là dans les années 1990 (attentat du RER en France par exemple).
Je vais me renseigner sur le livre, cimer khey
Pas de soucis, en tant que Boomer je suis là pour aider la jeunesse (bon en vrai je suis de la génération Y avec une tendance à penser comme un X, tout ça est bien complexe ).
D'ailleurs les générations c'est ça grosso modo :
- boomer : 1945-1962
-X : 1962 - 1980
- Y : 1980-1996
- Z : 1996-2005 (note : en réalité pas de consensus pour la terminer cette génération, on peut prolonger jusque 2010).
Et si je devais conseiller d'autres livres, qui même daté sont intéressant : ceux de Christopher Lasch, en particulier son "la culture du narcissisme" et "la trahison des élites".
Le 29 septembre 2024 à 14:59:55 :
Le 29 septembre 2024 à 14:29:10 :
Pareil que toi, il me rendent fouH24 ils boucle sur la guerre en Tchétchénie pour le conflit en Ukraine, pareil pour le conflit avec les Balkans alors que nous on connaît pas du tout
Perso je connait des gens de cette région du monde et 0 problème avec eux
X c'est rempli de boomer aigri qui t'insulte quand tu connaît pas son événement historique qui s'est passé le 11 août 1996 entre 10 h et 14 h 00
Je ne suis pas dessus, mais twitter (donc X) m'a toujours eu l'air d'un endroit énorme pour troller, j'ai la flemme de me mettre dessus, mais ça doit être drôle.
Le 29 septembre 2024 à 14:54:01 :
Le 29 septembre 2024 à 14:49:42 :
Le 29 septembre 2024 à 14:46:29 :
Tout s'est jouer à la fin des trente glorieuse, mais le point de non retour c'était effectivement fin des années 90J'ai lu récemment le livre "le 4e tournant" (résumé par Michel Drac pour ceux qui veulent), et en fait, ça remet beaucoup de choses en questions dans notre façon de penser ce livre. Pour eux l'histoire est faite de cycle, décompensé en 4 périodes à chaque fois. Moi je vais en résumé en quelques mots : tu as une phase de sommet puis un déclin jusqu'au sommet suivant...
Pour lui les USA (et donc les Européens puisqu'on a été américanisé, qu'on apprécie le fait ou non) étaient déjà bien en déclin dans les années 80 et 90. Mais si nous on est nostalgique de cette période, c'est parce qu'on n'a pas connu les décennies avant, donc pour nous ces deux décennies étaient les meilleurs, car après ça n'a fait qu'empirer.Pourtant la criminalité et le terrorisme que l'on connait déjà déjà bien là dans les années 1990 (attentat du RER en France par exemple).
Je savais même pas qu'il y avait eu un attentat dans le RER
Et tu n'as sûrement pas entendu parlé de l'attentat d’Oklahoma City : https://fr.wikipedia.org/wiki/Attentat_d%27Oklahoma_City
C'est un attentat aux USA, mais cela avait eu aussi son effet ici, genre je me souviens interdiction des voitures LPG de se garer dans les parkings sous-terrain.
Il y a toujours eu des évènements terrible, et ça permet aussi de se rendre compte qu'on n'a jamais rien fait pour changer ça. C'est Jordan Peterson qui était étonné que vu le peu de suivi des psychotiques, il n'y ait pas plus de tuerie de masse (et Dieu merci d'ailleurs). Et en Europe on commence aussi à avoir le même type de société, avec un tas de malade mentaux (au sens factuel donc pas péjoratif) dans la nature car peu d'argent pour accorder un suivi.
Le 29 septembre 2024 à 14:46:17 :
Le 29 septembre 2024 à 14:40:07 :
Le 29 septembre 2024 à 14:30:49 :
La fin de l'URSS en 91 a rebattu les cartes.Et le 11 septembre 2001 et ce qui s'en suit à fait basculer le monde dans autre chose.
Par contre pour Israël je suis né en 91 et déjà petit c'était compliqué et ça date depuis la création d'Israël donc ça à la limite rien de nouveau sous le soleil.
Les problèmes au Proche-Orient commencent dès les années 1970 (et sont ancré aussi dans la Guerre Froide).
Pour le reste bien résumé. Moi j'étais gosse, mais les années 1990 ont été vécu comme une parenthèse enchanté, peut-être même le sommet de la vie en Occident (comment mais on n'avait pas encore l'internet globalisé, terrible ! ), puis après ça n'a été que déclin et déclin.En fait, je me dis que c'est la merde mnt mais ça l'a toujours été
Le problème, c'est qu'avant, on n'avait que la télé et la radio donc on vivait dans notre bulle peinardos, notre vie se limitait juste aux gens que l'on rencontrait dans la vie de tous les jours et à 20h, on avait une petite dose d'info sur le monde avec le JT mais ce n'était qu'une parenthèse
Maintenant, avec Internet ou les chaines d'info en continue, c'est non-stop qu'on se prend des news sur la guerre, les attentats, les faits divers, ect... C'est devenu notre quotidien car t'es dehors, chez toi, au boulot, potentiellement si t'es assez connecté ou que t'as des gens connectés, ces infos néfastes vont te venir à la gueule en boucle
Réflexion intéressante.
Perso j'ai eu internet à partir de 15 ans (2003), donc j'ai connu le monde sans, et il y a vraiment un avant et un après, et je pense qu'on était effectivement moins "névrosé" avant.
C'est très mal vu de dire que c'était mieux avant, mais je m'en fiche, pour certaines choses ça l'était. Même s'il y avait déjà des problèmes comme tu dis, mais aujourd'hui on vit dans une société d'asociaux, de dépressif et de névrosé en tout genre.
Le 29 septembre 2024 à 14:46:29 :
Tout s'est jouer à la fin des trente glorieuse, mais le point de non retour c'était effectivement fin des années 90
J'ai lu récemment le livre "le 4e tournant" (résumé par Michel Drac pour ceux qui veulent), et en fait, ça remet beaucoup de choses en questions dans notre façon de penser ce livre. Pour eux l'histoire est faite de cycle, décompensé en 4 périodes à chaque fois. Moi je vais en résumé en quelques mots : tu as une phase de sommet puis un déclin jusqu'au sommet suivant...
Pour lui les USA (et donc les Européens puisqu'on a été américanisé, qu'on apprécie le fait ou non) étaient déjà bien en déclin dans les années 80 et 90. Mais si nous on est nostalgique de cette période, c'est parce qu'on n'a pas connu les décennies avant, donc pour nous ces deux décennies étaient les meilleurs, car après ça n'a fait qu'empirer.
Pourtant la criminalité et le terrorisme que l'on connait déjà déjà bien là dans les années 1990 (attentat du RER en France par exemple).
Le 28 septembre 2024 à 16:59:25 :
Le 28 septembre 2024 à 16:58:01 :
Le 28 septembre 2024 à 16:52:15 :
Philo et tout ce qui est fac de lettre, c'est vrai que c'est du costaud, hélas pas des études valorisés dans notre société qui veut des low QI (pas pour rien que les ingés passent pour des génies, c'est ce qu'on veut).tu veux faire quoi comme travail avec des études de philo et ou de lettre ? et quel salaire ?
C'est pour ça qu'on dit que le QI n'est pas récompensé.
Si t'as des aspirations salariales, ne fais pas philosophe c'est sûr.
Perso un mec qui a fait philo ou un truc comme histoire, je le veux comme conseiller politique.
Mais dans notre société de low QI, les gens préfèrent se dire : ha machin il a étudié le droit ou la science, donc il est sûrement un dirigeant compétant et on boucle ça à chaque fois pour ensuite pleurer "on a de mauvais dirigeant".
Le 29 septembre 2024 à 14:30:49 :
La fin de l'URSS en 91 a rebattu les cartes.Et le 11 septembre 2001 et ce qui s'en suit à fait basculer le monde dans autre chose.
Par contre pour Israël je suis né en 91 et déjà petit c'était compliqué et ça date depuis la création d'Israël donc ça à la limite rien de nouveau sous le soleil.
Les problèmes au Proche-Orient commencent dès les années 1970 (et sont ancré aussi dans la Guerre Froide).
Pour le reste bien résumé. Moi j'étais gosse, mais les années 1990 ont été vécu comme une parenthèse enchanté, peut-être même le sommet de la vie en Occident (comment mais on n'avait pas encore l'internet globalisé, terrible ! ), puis après ça n'a été que déclin et déclin.
Le 28 septembre 2024 à 17:43:18 :
Le 28 septembre 2024 à 17:35:45 :
Le 28 septembre 2024 à 17:31:54 :
Je pose à chaque fois la question suivante sur ce genre de topics, je n'ai jamais de réponse.Pourquoi faudrait-il un sens à la vie ?
C'est un peu aussi ma réponse : il n'y en a pas.
C'est à nous de s'en trouver un, c'est toujours apaisant, en tout cas pour beaucoup de gens.Mais dans l'absolu, il ne faut pas forcément un sens, d'autant plus que sur un plan collectif et universel, l'individu n'est rien. On sera oublié après deux-trois génération (et si on devient un être exceptionnel comme Napoléon, on ne fait que repousser l'échéance car même lui sera un jour dans le néant total ).
Par contre, je pense qu'on cherche tous le bonheur (aussi un terme polysémique), et le bonheur ce n'est pas la boucle postmoderne : voyage, bouffer, faire la fête... pour être heureux faut des choses plus profondes.
Merci pour ce développement khey
Pour le bonheur, je dirais que c'est plus subjectif. Certains ont besoin de voyager, d'autres de faire du sport, d'autres encore un bouquin au coin du feu avec leur femme près d'eux
Merci pour ton commentaire également !
Il est vrai qu'il y a différents types de tempérament. Sinon il n'y aurait pas eu des explorateurs et d'autres des scientifiques/intellectuels dans leur bibliothèque.
Par contre, ce que je voulais dire, c'est que l'on a une vision très superficiel du bonheur, d'ailleurs c'est un terme intéressant à analyser en philosophie. On l'a souvent réduit à sa part "animal" (jouir de la vie), mais en réalité derrière ce mot il y a tout un concept, par exemple dans la constitution américaine le terme bonheur à l'origine renvoyait au fait de pouvoir se réaliser (exemple : si on a l'étoffe d'un grand scientifique devenir cela donc), ou de vivre par exemple pleinement sa foi si c'est son but.
Et dans la vie postmoderne, je vois beaucoup de gens lâcher bêtement "le bonheur pour moi ça serait de pouvoir voyager tout le temps", puis quand tu décortiques, tu vois que c'est juste un truc qu'ils veulent faire car on leur a dit de le faire, et que c'est aussi surtout pour impressionner leurs contemporains (car on leur a dit que pour exister pleinement il fallait voyager). En réalité, plus de gens ont des attentes très simple, mais ils n'ont jamais réfléchis à cela...
Le 29 septembre 2024 à 14:10:50 :
D'où elle se permet ce type de phrase ? J'espère que tu as demandé à voir son supérieur ?
Oui, en mode Karen "je veux voir le manager !!! ".
Le 28 septembre 2024 à 23:54:33 :
Pourquoi tu clique ?https://image.noelshack.com/fichiers/2017/16/1492857262-nours019178071047.jpg
Je voulais la suite, savoir si son mari considérait que sucer c'est tromper (par contre on sait que c'est pompé).
Je ne suis pas fan des fast food, et je ne suis allé chez burger king pour la première fois de ma vie que récemment, et perso j'étais étonné de la qualité, pour le même prix que chez la concurrence, on a un pain de qualité, une bonne viande, et surtout un plat plus grand, j'étais étonné. Finalement j'aime bien (en jugeant pour ce que c'est : de la restauration rapide).
Après je n'ai pas de dégout de McDo et Quick, chacun à ses points forts mais aussi points faibles.
Le 28 septembre 2024 à 23:11:59 :
Le 28 septembre 2024 à 22:56:55 Tom-Berenger8 a écrit :
Le 28 septembre 2024 à 22:51:43 :
Le 28 septembre 2024 à 22:50:30 :
Le 28 septembre 2024 à 21:49:21 Tom-Berenger8 a écrit :
> Le 28 septembre 2024 à 21:47:12 :
>de façon très consciente, analyée, de façon pure et intelligente, alors que les anxiolitiques sedatifs antidouleurs antidépresseurs euphorisants myorelaxants existe ?
>
> C'est quoi le délire ? c'est quoi l'intérêt de tout voir parfaitement et de tout comprendre alors que le monde est bien entendu vide, douloureux, sans sens, et finit en plus en catastrophe total ? je comprend pas votre délire en fait
D'après un pote gros tox, il m'a dit qu'une fois que tu as commencé ces merdes (ou les opioïdes), tu trouves la vie sans saveur, donc totue ta vie tu voudras en consommer encore et encore.
Donc ne soyez pas inconscient et ne tombez jamais là-dedans (pareil pour l'alcool).
J’ai déjà test l’opium quelques temps par curiosité, c’est clair que ça donne envie d’en reprendre tout de suite après mais j’ai personnellement su arrêter facilement parce que de base j’étais pas dépressif et que je voulais retrouver l’intensité de mes passions (bon c’est aussi que j’en ai pas pris plus d’un mois ou deux, c’était une expérience de jeunesse).
Je pense que la drogue n’est pas le problème en soi, le problème c’est ceux qui laissent celle-ci tout envahir parce qu’ils n’ont pas de passion suffisamment puissante pour aimer vivre. La drogue c’est quasi toujours un genre d’anti-dépresseur/anxiolytique d’automédication.
Donc pour répondre à l’OP : tu es juste en dépression et tu dois absolument te développer des passions, un cercle social, des rêves, des projets...
Après, pourquoi le faire alors que la vie ne sert fondamentalement à rien... Bah juste parce que c’est plus excitant que de rester mort-vivant. Ou comme on dit : il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée. A quoi sert une vie de mort-vivant ?
mais au final t'a quoi ? une passion dans une vie sans sens, ça évolue pas tant que ça à l'air.
Tu peux aimer intensément le cinéma (en tant que média, ne me sort pas comme les gonzesses débiles "ha tu aimes le cinéma, tu vas voir quoi comme film ?" ). La vie n'a pas besoin de sens pour aimer quelque chose, d'ailleurs il y a beaucoup d'oeuvres nihilistes (les films de Michael Mann par exemple).
Et tu peux aussi être un romantique comme Rousseau, qui disait que la seule chose qui donne un sens à la vie, à titre individuel (car à titre collectif il pensait que c'était la famille et à un niveau plus haut la nation), c'est l'amour.
En gros tu t'estimes complètement au-dessus des gens
Baisse ton melon aya
Oui, et je le suis.
Le 28 septembre 2024 à 22:50:30 :
Le 28 septembre 2024 à 21:49:21 Tom-Berenger8 a écrit :
Le 28 septembre 2024 à 21:47:12 :
de façon très consciente, analyée, de façon pure et intelligente, alors que les anxiolitiques sedatifs antidouleurs antidépresseurs euphorisants myorelaxants existe ?C'est quoi le délire ? c'est quoi l'intérêt de tout voir parfaitement et de tout comprendre alors que le monde est bien entendu vide, douloureux, sans sens, et finit en plus en catastrophe total ? je comprend pas votre délire en fait
D'après un pote gros tox, il m'a dit qu'une fois que tu as commencé ces merdes (ou les opioïdes), tu trouves la vie sans saveur, donc totue ta vie tu voudras en consommer encore et encore.
Donc ne soyez pas inconscient et ne tombez jamais là-dedans (pareil pour l'alcool).
J’ai déjà test l’opium quelques temps par curiosité, c’est clair que ça donne envie d’en reprendre tout de suite après mais j’ai personnellement su arrêter facilement parce que de base j’étais pas dépressif et que je voulais retrouver l’intensité de mes passions (bon c’est aussi que j’en ai pas pris plus d’un mois ou deux, c’était une expérience de jeunesse).
Je pense que la drogue n’est pas le problème en soi, le problème c’est ceux qui laissent celle-ci tout envahir parce qu’ils n’ont pas de passion suffisamment puissante pour aimer vivre. La drogue c’est quasi toujours un genre d’anti-dépresseur/anxiolytique d’automédication.
Donc pour répondre à l’OP : tu es juste en dépression et tu dois absolument te développer des passions, un cercle social, des rêves, des projets...
Après, pourquoi le faire alors que la vie ne sert fondamentalement à rien... Bah juste parce que c’est plus excitant que de rester mort-vivant. Ou comme on dit : il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée. A quoi sert une vie de mort-vivant ?
Merci pour ton témoignage, c'est toujours intéressant.
Je pense que tu n'as pas été exposé longtemps, et que tu te dis toujours "si un jour je veux en prendre un, pourquoi pas", sans tomber dans l'obsession.
Mais quelqu'un qui y a été exposé pendant des années, il perd apparemment toute notion de bonheur, disons que ses récepteurs en dopamine sont tellement affecté, qu'il n'arrive donc pas à trouver des choses passionnantes, rien ne lui procure du bonheur en gros.
Heureusement, il parait qu'avec le temps les récepteurs s'équilibrent et donc on peut retrouver goût à la vie. Quelqu'un pour confirmer ? C'est probablement pareil avec l'alcool ?
Le 28 septembre 2024 à 23:04:39 :
Le 28 septembre 2024 à 23:03:36 :
Le 28 septembre 2024 à 22:59:25 :
Le 28 septembre 2024 à 22:56:55 :
Le 28 septembre 2024 à 22:51:43 :
> Le 28 septembre 2024 à 22:50:30 :
>> Le 28 septembre 2024 à 21:49:21 Tom-Berenger8 a écrit :
> >> Le 28 septembre 2024 à 21:47:12 :
> > >de façon très consciente, analyée, de façon pure et intelligente, alors que les anxiolitiques sedatifs antidouleurs antidépresseurs euphorisants myorelaxants existe ?
> > >
> > > C'est quoi le délire ? c'est quoi l'intérêt de tout voir parfaitement et de tout comprendre alors que le monde est bien entendu vide, douloureux, sans sens, et finit en plus en catastrophe total ? je comprend pas votre délire en fait
> >
> > D'après un pote gros tox, il m'a dit qu'une fois que tu as commencé ces merdes (ou les opioïdes), tu trouves la vie sans saveur, donc totue ta vie tu voudras en consommer encore et encore.
> >
> > Donc ne soyez pas inconscient et ne tombez jamais là-dedans (pareil pour l'alcool).
>
> J’ai déjà test l’opium quelques temps par curiosité, c’est clair que ça donne envie d’en reprendre tout de suite après mais j’ai personnellement su arrêter facilement parce que de base j’étais pas dépressif et que je voulais retrouver l’intensité de mes passions (bon c’est aussi que j’en ai pas pris plus d’un mois ou deux, c’était une expérience de jeunesse).
>
> Je pense que la drogue n’est pas le problème en soi, le problème c’est ceux qui laissent celle-ci tout envahir parce qu’ils n’ont pas de passion suffisamment puissante pour aimer vivre. La drogue c’est quasi toujours un genre d’anti-dépresseur/anxiolytique d’automédication.
>
> Donc pour répondre à l’OP : tu es juste en dépression et tu dois absolument te développer des passions, un cercle social, des rêves, des projets...
>
> Après, pourquoi le faire alors que la vie ne sert fondamentalement à rien... Bah juste parce que c’est plus excitant que de rester mort-vivant. Ou comme on dit : il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée. A quoi sert une vie de mort-vivant ?
mais au final t'a quoi ? une passion dans une vie sans sens, ça évolue pas tant que ça à l'air.
Tu peux aimer intensément le cinéma (en tant que média, ne me sort pas comme les gonzesses débiles "ha tu aimes le cinéma, tu vas voir quoi comme film ?" ). La vie n'a pas besoin de sens pour aimer quelque chose, d'ailleurs il y a beaucoup d'oeuvres nihilistes (les films de Michael Mann par exemple).
Et tu peux aussi être un romantique comme Rousseau, qui disait que la seule chose qui donne un sens à la vie, à titre individuel (car à titre collectif il pensait que c'était la famille et à un niveau plus haut la nation), c'est l'amour.
encore une fois,
- Autant dormir, c'est même mieux
- C'est pas mieux tout ça que par exemple lire picsou magazine
- C'est au mieux temporaire donc fondamentalement sans grand intérêtAu final t'a rien de plus qu'avant
Alors qu'un sédatif, tu sais même pas que l'heure tourne ou même existe, ou anxiolitique tu t'en fous que le temps passe, etc
Tu ne nous dit toujours pas en quoi c'est mieux comme état.
par expérience
Encore une fois ça ne dit toujours pas en quoi c'est mieux que de profiter réellement de la vie ? Stp fais nous en profiter, tu as tellement l'air convaincu.
Le 28 septembre 2024 à 22:59:25 :
Le 28 septembre 2024 à 22:56:55 :
Le 28 septembre 2024 à 22:51:43 :
Le 28 septembre 2024 à 22:50:30 :
Le 28 septembre 2024 à 21:49:21 Tom-Berenger8 a écrit :
> Le 28 septembre 2024 à 21:47:12 :
>de façon très consciente, analyée, de façon pure et intelligente, alors que les anxiolitiques sedatifs antidouleurs antidépresseurs euphorisants myorelaxants existe ?
>
> C'est quoi le délire ? c'est quoi l'intérêt de tout voir parfaitement et de tout comprendre alors que le monde est bien entendu vide, douloureux, sans sens, et finit en plus en catastrophe total ? je comprend pas votre délire en fait
D'après un pote gros tox, il m'a dit qu'une fois que tu as commencé ces merdes (ou les opioïdes), tu trouves la vie sans saveur, donc totue ta vie tu voudras en consommer encore et encore.
Donc ne soyez pas inconscient et ne tombez jamais là-dedans (pareil pour l'alcool).
J’ai déjà test l’opium quelques temps par curiosité, c’est clair que ça donne envie d’en reprendre tout de suite après mais j’ai personnellement su arrêter facilement parce que de base j’étais pas dépressif et que je voulais retrouver l’intensité de mes passions (bon c’est aussi que j’en ai pas pris plus d’un mois ou deux, c’était une expérience de jeunesse).
Je pense que la drogue n’est pas le problème en soi, le problème c’est ceux qui laissent celle-ci tout envahir parce qu’ils n’ont pas de passion suffisamment puissante pour aimer vivre. La drogue c’est quasi toujours un genre d’anti-dépresseur/anxiolytique d’automédication.
Donc pour répondre à l’OP : tu es juste en dépression et tu dois absolument te développer des passions, un cercle social, des rêves, des projets...
Après, pourquoi le faire alors que la vie ne sert fondamentalement à rien... Bah juste parce que c’est plus excitant que de rester mort-vivant. Ou comme on dit : il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée. A quoi sert une vie de mort-vivant ?
mais au final t'a quoi ? une passion dans une vie sans sens, ça évolue pas tant que ça à l'air.
Tu peux aimer intensément le cinéma (en tant que média, ne me sort pas comme les gonzesses débiles "ha tu aimes le cinéma, tu vas voir quoi comme film ?" ). La vie n'a pas besoin de sens pour aimer quelque chose, d'ailleurs il y a beaucoup d'oeuvres nihilistes (les films de Michael Mann par exemple).
Et tu peux aussi être un romantique comme Rousseau, qui disait que la seule chose qui donne un sens à la vie, à titre individuel (car à titre collectif il pensait que c'était la famille et à un niveau plus haut la nation), c'est l'amour.
encore une fois,
- Autant dormir, c'est même mieux
- C'est pas mieux tout ça que par exemple lire picsou magazine
- C'est au mieux temporaire donc fondamentalement sans grand intérêtAu final t'a rien de plus qu'avant
Alors qu'un sédatif, tu sais même pas que l'heure tourne ou même existe, ou anxiolitique tu t'en fous que le temps passe, etc
Tu ne nous dit toujours pas en quoi c'est mieux comme état.
Le 28 septembre 2024 à 22:51:51 :
Le 28 septembre 2024 à 22:43:29 :
Le 28 septembre 2024 à 22:26:54 :
Le 28 septembre 2024 à 22:19:01 :
Le 28 septembre 2024 à 22:11:00 :
> Le 28 septembre 2024 à 22:04:33 :
>> Le 28 septembre 2024 à 22:01:47 :
> >> Le 28 septembre 2024 à 21:49:21 :
> > >> Le 28 septembre 2024 à 21:47:12 :
> > > >de façon très consciente, analyée, de façon pure et intelligente, alors que les anxiolitiques sedatifs antidouleurs antidépresseurs euphorisants myorelaxants existe ?
> > > >
> > > > C'est quoi le délire ? c'est quoi l'intérêt de tout voir parfaitement et de tout comprendre alors que le monde est bien entendu vide, douloureux, sans sens, et finit en plus en catastrophe total ? je comprend pas votre délire en fait
> > >
> > > D'après un pote gros tox, il m'a dit qu'une fois que tu as commencé ces merdes (ou les opioïdes), tu trouves la vie sans saveur, donc totue ta vie tu voudras en consommer encore et encore.
> > >
> > > Donc ne soyez pas inconscient et ne tombez jamais là-dedans (pareil pour l'alcool).
> >
> > C'est très vrai, étant alcoolique une fois que t'arrêtes le sentiment de vide est multiplié et ce de plus en plus au fur et à mesure que tu arrêtes.
>
> Intéressant, tu peux m'en dire plus (je demande par curiosité) ?
>
> Perso quand je prends de l'alcool, que je me défonce avec des potes, j'ai un sentiment cool comme tout le monde, mais je trouve ça marrant une fois, je me serais jamais imaginé l'avoir tous les jours. Pour ça que je me suis toujours demandé comment on peut être alcoolique. Tu as un sentiment d'apaisement peut-être ?
>
> Moi perso, ce qui m'a marqué c'est quand un ancien morphinomane m'a expliqué comment c'était sous morphine, et comment il regrette de ne plus avoir le sentiment qu'il avait, et que la seule chose qui l'en empêche c'est d'être surveillé... Et que justement il m'expliquait tout ça pour bien faire comprendre qu'il faut jamais tomber dans ce genre de merde sinon on voit la vie comme étant sans saveur.
Si tu bois juste avec des potes en soirée c'est bon pas de problème, après attention à ne pas faire de soirée JUSTE pour boire.
Il ne faut pas boire seul et même si ça se fait ça ne doit pas être excessif.Par exemple quand je finissais une soirée avec des potes, un pote devait se débarrasser de la tise de chez lui donc j'en prenais pas mal avec moi et je buvais solo (pour maintenir l'effet d'ivresse qui est agréable), puis peu à peu tu commences à rechercher l'effet quand t'es seul, puis tu te dis que c'est trop bien d'être bourré t'as l'impression d'être dans un petit rêve, puis tu bois de plus en plus tous les jours etc ...
En gros tu recherches ce que beaucoup de drogué ressentent (attention je n'utilise pas le terme péjorativement mais juste factuellement). Un effet d'apaisement. Et tu étais triste dans la vie ? Ou ça t'est juste tombé dessus comme ça ?
Les deux sont possibles apparemment : soit tu es dépressif par exemple, et prendre des trucs t'enlève cet état, et souvent ces personnes-là quand elles arrivent à soigner leur dépression n'éprouvent plus le besoin d'avoir des produits.
Puis tu en as d'autres, c'est tout simplement par hasard qu'ils tombent là-dedans (un peu comme Matthew Perry : il avait eu une blessure au ski, et on lui a prescrit des antidouleurs, malheureusement pour lui il est devenu accro car il trouvait que ça l'aidait à gérer son anxiété dût à sa célébrité).Et je me demande aussi combien de temps il faut pour devenir accro à l'alcool ? Car étudiant je me souviens qu'il m'arrivait d'en prendre tous les jours la semaine, et pourtant je n'avais pas d'effet de manque quand je n'en prenais pas le week-end ou la semaine suivante.
Disons que j'avais une prédisposition dû à mon passé (sans faire de le d4rk sasuke).
Les substances dont l'alcool et d'autres peuvent entretenir les pathologies telles que les troubles de l'humeur oui, et les aggraver sur le long terme d'où le fait que les kheys avec ces pathologies doivent consulter au plus vite.
Il n'y a pas vraiment de temps prédéfini, le truc c'est que l'alcool il y en a partout tout le temps, donc si tu bois de manière générale tu seras toujours tenté quoi qu'il en soit.
Maintenant il y a plein de facteurs qui jouent sur ton degré d'alcoolisme (psychologique, social, environnemental), c'est à toi de savoir pour quelle(s) raison(s) tu bois.Perso pour l'alcool, j'ai jamais vraiment aimé l'effet en lui-même, juste le fait de délirer avec des potes, et je trouvais encore rigolo l'effet gueule de bois le lendemain. Mais de là à vouloir répéter ça en boucle, ça m'a jamais attiré, donc c'est que chez moi ce n'était pas un effet appréciable.
Par contre à certaines périodes, je faisais la fête avec mes potes souvent, et je me suis posé la question plusieurs années plus tard, quand j'ai compris qu'il existait un effet sevrage pour l'alcool (beaucoup de gens ne conceptualisent pas l'effet sevrage, ils pensent que la plupart des addicts sont faibles mentalement, sans savoir qu'il y a aussi une dépendance physique), du coup je me suis demandé comment j'y avais échappé, je pense que l'alcool prend beaucoup de temps à devenir une obligation physique contrairement à beaucoup de drogues (tant mieux car l'alcool reste la substance la plus difficile à stopper apparemment).
Le pire c'est que beaucoup de gens ont déjà pensé que j'étais alcoolique car j'avais l'alcool festif, sans comprendre que je peux ne pas en boire pendant des mois sans problème, les gens confondent ivrogne (que je définirais pas celui qui aime boire pour rigoler mais sans tomber dans une addiction) et le vrai alcoolique).
Là ça fait des mois que j'en ai plus bu, et mes potes sont étonnés (j'ai l'impression qu'eux ont des tendances à tomber dans l'alcoolisme).Comme toi, j'ai toujours entendu que le danger commençait quand on buvait seul.
Oui carrément, la dépendance à l'alcool prend du temps à arriver sauf qu'une fois que c'est là c'est vraiment la merde.
À un certain stade tu peux avoir un delirium trémens qui te donne des hallucinations, à un stade plus avancé tu peux carrément ... Mourir. Ataoy
Yep, en effet, j'avais lu des mecs qui avaient carrément des hallucinations de milliers d'araignées qui arrivent sur eux, rien que ça m'a dissuadé de tomber dans l'alcoolisme.
Et effectivement on peut en mourir (crise cardiaque j'imagine), ce qui n'est pas (en principe) le cas lorsqu'on arrête les drogues.
Le 28 septembre 2024 à 22:51:43 :
Le 28 septembre 2024 à 22:50:30 :
Le 28 septembre 2024 à 21:49:21 Tom-Berenger8 a écrit :
Le 28 septembre 2024 à 21:47:12 :
de façon très consciente, analyée, de façon pure et intelligente, alors que les anxiolitiques sedatifs antidouleurs antidépresseurs euphorisants myorelaxants existe ?C'est quoi le délire ? c'est quoi l'intérêt de tout voir parfaitement et de tout comprendre alors que le monde est bien entendu vide, douloureux, sans sens, et finit en plus en catastrophe total ? je comprend pas votre délire en fait
D'après un pote gros tox, il m'a dit qu'une fois que tu as commencé ces merdes (ou les opioïdes), tu trouves la vie sans saveur, donc totue ta vie tu voudras en consommer encore et encore.
Donc ne soyez pas inconscient et ne tombez jamais là-dedans (pareil pour l'alcool).
J’ai déjà test l’opium quelques temps par curiosité, c’est clair que ça donne envie d’en reprendre tout de suite après mais j’ai personnellement su arrêter facilement parce que de base j’étais pas dépressif et que je voulais retrouver l’intensité de mes passions (bon c’est aussi que j’en ai pas pris plus d’un mois ou deux, c’était une expérience de jeunesse).
Je pense que la drogue n’est pas le problème en soi, le problème c’est ceux qui laissent celle-ci tout envahir parce qu’ils n’ont pas de passion suffisamment puissante pour aimer vivre. La drogue c’est quasi toujours un genre d’anti-dépresseur/anxiolytique d’automédication.
Donc pour répondre à l’OP : tu es juste en dépression et tu dois absolument te développer des passions, un cercle social, des rêves, des projets...
Après, pourquoi le faire alors que la vie ne sert fondamentalement à rien... Bah juste parce que c’est plus excitant que de rester mort-vivant. Ou comme on dit : il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée. A quoi sert une vie de mort-vivant ?
mais au final t'a quoi ? une passion dans une vie sans sens, ça évolue pas tant que ça à l'air.
Tu peux aimer intensément le cinéma (en tant que média, ne me sort pas comme les gonzesses débiles "ha tu aimes le cinéma, tu vas voir quoi comme film ?" ). La vie n'a pas besoin de sens pour aimer quelque chose, d'ailleurs il y a beaucoup d'oeuvres nihilistes (les films de Michael Mann par exemple).
Et tu peux aussi être un romantique comme Rousseau, qui disait que la seule chose qui donne un sens à la vie, à titre individuel (car à titre collectif il pensait que c'était la famille et à un niveau plus haut la nation), c'est l'amour.
Le 28 septembre 2024 à 22:34:29 :
Aller en boîte à 31 ans,vous en pensez quoi ?
Cela dépend du type de boite, mais ça peut être marrant.
Le 28 septembre 2024 à 22:26:54 :
Le 28 septembre 2024 à 22:19:01 :
Le 28 septembre 2024 à 22:11:00 :
Le 28 septembre 2024 à 22:04:33 :
Le 28 septembre 2024 à 22:01:47 :
> Le 28 septembre 2024 à 21:49:21 :
>> Le 28 septembre 2024 à 21:47:12 :
> >de façon très consciente, analyée, de façon pure et intelligente, alors que les anxiolitiques sedatifs antidouleurs antidépresseurs euphorisants myorelaxants existe ?
> >
> > C'est quoi le délire ? c'est quoi l'intérêt de tout voir parfaitement et de tout comprendre alors que le monde est bien entendu vide, douloureux, sans sens, et finit en plus en catastrophe total ? je comprend pas votre délire en fait
>
> D'après un pote gros tox, il m'a dit qu'une fois que tu as commencé ces merdes (ou les opioïdes), tu trouves la vie sans saveur, donc totue ta vie tu voudras en consommer encore et encore.
>
> Donc ne soyez pas inconscient et ne tombez jamais là-dedans (pareil pour l'alcool).
C'est très vrai, étant alcoolique une fois que t'arrêtes le sentiment de vide est multiplié et ce de plus en plus au fur et à mesure que tu arrêtes.
Intéressant, tu peux m'en dire plus (je demande par curiosité) ?
Perso quand je prends de l'alcool, que je me défonce avec des potes, j'ai un sentiment cool comme tout le monde, mais je trouve ça marrant une fois, je me serais jamais imaginé l'avoir tous les jours. Pour ça que je me suis toujours demandé comment on peut être alcoolique. Tu as un sentiment d'apaisement peut-être ?
Moi perso, ce qui m'a marqué c'est quand un ancien morphinomane m'a expliqué comment c'était sous morphine, et comment il regrette de ne plus avoir le sentiment qu'il avait, et que la seule chose qui l'en empêche c'est d'être surveillé... Et que justement il m'expliquait tout ça pour bien faire comprendre qu'il faut jamais tomber dans ce genre de merde sinon on voit la vie comme étant sans saveur.
Si tu bois juste avec des potes en soirée c'est bon pas de problème, après attention à ne pas faire de soirée JUSTE pour boire.
Il ne faut pas boire seul et même si ça se fait ça ne doit pas être excessif.Par exemple quand je finissais une soirée avec des potes, un pote devait se débarrasser de la tise de chez lui donc j'en prenais pas mal avec moi et je buvais solo (pour maintenir l'effet d'ivresse qui est agréable), puis peu à peu tu commences à rechercher l'effet quand t'es seul, puis tu te dis que c'est trop bien d'être bourré t'as l'impression d'être dans un petit rêve, puis tu bois de plus en plus tous les jours etc ...
En gros tu recherches ce que beaucoup de drogué ressentent (attention je n'utilise pas le terme péjorativement mais juste factuellement). Un effet d'apaisement. Et tu étais triste dans la vie ? Ou ça t'est juste tombé dessus comme ça ?
Les deux sont possibles apparemment : soit tu es dépressif par exemple, et prendre des trucs t'enlève cet état, et souvent ces personnes-là quand elles arrivent à soigner leur dépression n'éprouvent plus le besoin d'avoir des produits.
Puis tu en as d'autres, c'est tout simplement par hasard qu'ils tombent là-dedans (un peu comme Matthew Perry : il avait eu une blessure au ski, et on lui a prescrit des antidouleurs, malheureusement pour lui il est devenu accro car il trouvait que ça l'aidait à gérer son anxiété dût à sa célébrité).Et je me demande aussi combien de temps il faut pour devenir accro à l'alcool ? Car étudiant je me souviens qu'il m'arrivait d'en prendre tous les jours la semaine, et pourtant je n'avais pas d'effet de manque quand je n'en prenais pas le week-end ou la semaine suivante.
Disons que j'avais une prédisposition dû à mon passé (sans faire de le d4rk sasuke).
Les substances dont l'alcool et d'autres peuvent entretenir les pathologies telles que les troubles de l'humeur oui, et les aggraver sur le long terme d'où le fait que les kheys avec ces pathologies doivent consulter au plus vite.
Il n'y a pas vraiment de temps prédéfini, le truc c'est que l'alcool il y en a partout tout le temps, donc si tu bois de manière générale tu seras toujours tenté quoi qu'il en soit.
Maintenant il y a plein de facteurs qui jouent sur ton degré d'alcoolisme (psychologique, social, environnemental), c'est à toi de savoir pour quelle(s) raison(s) tu bois.
Perso pour l'alcool, j'ai jamais vraiment aimé l'effet en lui-même, juste le fait de délirer avec des potes, et je trouvais encore rigolo l'effet gueule de bois le lendemain. Mais de là à vouloir répéter ça en boucle, ça m'a jamais attiré, donc c'est que chez moi ce n'était pas un effet appréciable.
Par contre à certaines périodes, je faisais la fête avec mes potes souvent, et je me suis posé la question plusieurs années plus tard, quand j'ai compris qu'il existait un effet sevrage pour l'alcool (beaucoup de gens ne conceptualisent pas l'effet sevrage, ils pensent que la plupart des addicts sont faibles mentalement, sans savoir qu'il y a aussi une dépendance physique), du coup je me suis demandé comment j'y avais échappé, je pense que l'alcool prend beaucoup de temps à devenir une obligation physique contrairement à beaucoup de drogues (tant mieux car l'alcool reste la substance la plus difficile à stopper apparemment).
Le pire c'est que beaucoup de gens ont déjà pensé que j'étais alcoolique car j'avais l'alcool festif, sans comprendre que je peux ne pas en boire pendant des mois sans problème, les gens confondent ivrogne (que je définirais pas celui qui aime boire pour rigoler mais sans tomber dans une addiction) et le vrai alcoolique).
Là ça fait des mois que j'en ai plus bu, et mes potes sont étonnés (j'ai l'impression qu'eux ont des tendances à tomber dans l'alcoolisme).
Comme toi, j'ai toujours entendu que le danger commençait quand on buvait seul.