Puisqu chacun y va de sa petite anecdote, voici les miennes
Entretien d’embauche à 1h30 en transports de chez moi.
Au bout de 20’ je commence a sentir mon ventre qui n’est pas dans un état normal.
Serrant l’anus comme si ma vie en dépendait, je parviens à conserver en moi la funeste chiasse qui se profile.
Au bout de 50’, je n’en peux plus. J’ai heureusement la bonne idée de regarder si les stations sur lesquelles je passe sont pourvus de gogues.
Bienheureux, la prochaine en est équipée. Je me rue en dehors du RER, poussant par la meme tous les autres usagers.
Je cours avec des petits pas afin d’éviter une liquéfaction publique.
Délivrance, enfin, j’arrive dans les chiottes publiques, en oubliant même l’odeur pestilentielle qui en émane.
Après avoir repeint la cuvette et le mur, nouveau problème. Horreur : pas de PQ.
Je fouille mon sac en quête d’un matériel de substitution. Mon bloc note fit l’affaire.
Jai à nouveau chié dans l’entreprise en arrivant, et j’ai eu le job
Autre anecdote de quand j’étais à l’armée :
Cérémonie de ravivage de la flamme à l’arv de triomphe.
45’ a 1h au garde à vous, tous les civils qui te regardent…
C’est le moment qu’a choisi le réacteur B de mon sphincter pour s’enflammer, sans doute pour me punir du tacos 8 viandes de la veille.
Luttant pour évacuer la pression à moindre coût, je parvins à attendre la fin pour aller fusiller les chiottes des policiers en sous-sol. Merci à vous les potes