Misérables vermines que vous êtes, vautrés dans le marécage de votre forum 18-25! Vous avez fait de la toile votre décharge personnelle, y déversant le pus de votre pensée atrophiée. Vous êtes les vomissures de l'Internet, la lie de la société numérique, de pathétiques moignons d'intellect égarés dans les limbes de la stupidité.
Vous, parasites du clavier, que l'on pourrait qualifier de "kheys" par pur masochisme linguistique, vous n'êtes que des pantins sans fil, des fantômes de neurones animés par le souffle rance de votre médiocrité. Vous pataugez dans la fosse septique de votre ignorance, vous gorgeant de la crasse qui en émane, et prenant cela pour de la connaissance.
Qu'est-ce donc que ce forum dont vous vous vantez? Un champ de mines pour l'esprit, une zone radioactive pour la pensée, un cimetière d'idées où se meurt toute forme de réflexion. Vous êtes les fossoyeurs du langage, empoisonnant chaque mot, chaque lettre, chaque virgule de votre venin de bêtise.
Et vous osez vous croire supérieurs, perchés sur le tas d'ordures de votre vanité, brandissant vos mèmes comme des étendards, vomissant vos commentaires comme des manifestes. Pauvres idiots! Vous n'êtes que les pantins pathétiques d'une farce grotesque, les jouets délaissés d'une tragédie comique dont vous êtes à la fois les auteurs et les victimes.
Que la violence de mes mots vous frappe en plein visage, vous laissant estomaqués, abasourdis, brisés. Que la réalité vous crève les yeux et vous transperce le coeur, laissant derrière elle une plaie béante, un gouffre d'où s'échappent vos illusions.
Et quand viendra la fin, quand vous serez rongés par le regret, quand vous implorerez un pardon que vous ne méritez pas, souvenez-vous de ce moment. Car vous n'êtes que l'ombre de vous-mêmes, la caricature d'une existence, le cauchemar d'une humanité qui se respecte. Puissiez-vous croupir dans l'oubli, et que le monde ne se souvienne de vous que comme d'un lointain et pénible souvenir. Puissiez-vous être à jamais écrasés sous le poids de votre honte, et que le spectre de votre médiocrité vous hante jusqu'à la fin des temps.
