Bon alors l'OP j'ai pas tout lu, t'as choisi quoi ??
Pour ceux qui hésitent encore, bien que je sois originaire du Pays Basque, je ne vais pas forcément le mettre beaucoup plus en avant que la Bretagne, voici pourquoi.
Avantages du Pays Basque non cités :
- climat presque subtropical. Il peut faire au-dessus de 20 degrés à l'ombre plusieurs jours de suite en plein mois de janvier et le gel, c'est rare. Les hivers sont doux, et les étés, bien que plus frais et plus humides que beaucoup de régions de France, restent quand même chaud. Y a plein de plantes exotiques qui poussent (palmiers, etc.). Et l'eau de l'océan, pendant les canicules ou après, peut dépasser 24 degrés, chose rare dans l'Océan Atlantique à nos latitudes. Mais grâce à des courants chauds venant s'engouffrer près des côtes, l'eau est plus chaude que dans les Landes ou qu'en Espagne vers les côtes cantabriques et au Portugal !
- ambiance de fou à Bayonne, perso j'adore le rugby et y a une ambiance de zinzin autour du rugby. Bayonne est la deuxième ville de France où il fait "le plus bon vivre", Biarritz et Anglet venant juste derrière. Beaucoup de villes basques dans le top 5 des meilleures villes de France pour y vivre, donc forcément le choix est vite fait. Mais la ville n°1 c'est Angers, et Angers, je crois que c'est en Bretagne...
Inconvénients :
- si t'es un célestin c'est pas facile de s'intégrer, y a que des yes life, je confirme. J'y avais pas énormément d'amis. J'étais un peu célestin mais j'avais quand même quelques potes donc ça va. Faut aimer le rugby, l'apéro, et... connaître du monde, car c'est pas forcément facile de t'intégrer si t'as pas la "tchatche" avec les gens, la mentalité sudiste et quelques amis déjà présents sur place. Bon après les bayonnais ne sont pas des mauvais bougres, on est un peu bourrus, on se tutoie facilement, mais on est globalement assez accueillants ! Mais les biarrots par exemple on a du mal, beaucoup de parigots et de bordelais, qui se mélangent plus avec des bourges du Sud des Landes (Capbreton, Hossegor) qu'avec les bayonnais. Y a pas beaucoup de gens à Biarritz qui ont l'accent du Sud et la mentalité accueillante et chaleureuse des sudistes.
- la vie est chère poulet, l'immobilier cote comme à Paris. Les appartements avec vue sur la mer dépassent souvent les 15.000 € le mètre carré, et si tu vas 10 km dans les terres, les terrains sont très chers (un terrain constructible de 1000 m2, c'est au moins 300.000 €, rien que le terrain nu avec permis de construire). Une pièce de bœuf dans un petit resto sur les quais de la Nive dans Bayonne, c'est pas loin de 40 balles. En gros, c'est quasiment partout aussi cher qu'en région parisienne.
- les bouchons : affreux. Tout le temps. Sans arrêt. 50 min pour faire 10 km. Bayonne, Anglet... affreux. J'ai pas les mots. Même la rocade bordelaise à l'heure de pointe c'est moins pire bordel
- autre inconvénient : les espagnols, qui squattent en journées nos plages, nos ruelles, nos bars à tapas, etc... dès qu'il y a un peu d'animation, ils viennent en masse et ça aggrave encore plus les problèmes de circulation car ça bouchonne déjà pas mal sans leur présence.
Je vois l'Irlande gagner le tournoi, mais sans grand chelem : je vois une égalisation lors du France-Irlande, mais victoire de l'Irlande à la fin du tournoi car plus d'essais marqués et de bonus offensifs.
En deuxième, je vois la France, aucune défaite : une égalisation contre l'Irlande, victoire contre tous les autres.
En troisième, je vois l'Ecosse, ex-aeco avec l'Angleterre en nombre de victoires et défaites mais ils auront la troisième place car ils auront eu pas mal de bonus offensifs et défensifs contrairement aux anglais.
En quatrième, la perfide Albion, explications ci-dessus.
En cinquième, les gallois, qui ne battront que l'Italie et n'auront livré qu'un rugby à l'image de leurs instances : un rugby qui fait grise mine, un rugby en berne, un rugby fade, un rugby de soupe à la grimace, un rugby d'encéphalogramme plat.
Et en dernier : les ritaux => cuiller de bois being cuiller de bois !
Un souvenir affreux ?? Parlons rugby, Top 14.
La défaite de Bayonne contre Perpignan, à Perpignan (décembre 2023), 36 à 10.
Oui, on avait sorti une assez grosse équipe, et pourtant on a pris une dérouillée cosmique contre les avant-derniers du classement, qui étaient dans une dynamique de merde et qui perdaient tous leurs matchs.
Bref, c'était l'occasion d'enfin réussir à gagner un match à l'extérieur, et on l'a pas saisie. Quel dégoût... quand t'aimes le rugby et que tu vois ça, quand tes gars qui sont souvent héroïques décident de ne pas mouiller pas le maillot, t'as juste envie de finir ta bière cul sec avant la fin du match et de dire "bon bonne nuit les gars je rentre".
Celui qui a dit qu'ils finissent boulanger à 16 ans et patron de leur boulangerie à 20 ans pour être millionnaire à 25 ans... MAIS T'ES CON OU QUOI ??
Tu crois que tu vas finir millionnaire en montant... une boulangerie ?
Ma revanche je l'ai eue sur mes harceleurs, par la réussite et par l'argent, la femme et les propriétés. Ainsi que la qualité de vie en général, incluant la santé.
Mes harceleurs étaient peu nombreux et leurs actes étaient légers à modérés, ça se limitait à quelques moqueries... mais même, j'avoue que je suis bien content d'avoir une vie intéressante et de privilégié comparé à la leur, qui est sans saveur voire compliquée pour certains. Mais c'est bien fait pour eux, je me cogne de leurs problèmes. Si demain ils crèvent, je m'en contrefiche, je ne verserai pas une larme.
Si je dois retenir les 5 gars qui m'ont le plus marqué, ceux avec qui il y a eu réconciliation ne sont pas mieux lotis que moi, quand aux trois autres gros bouffons, ça vole pas haut :
- interdit bancaire,
- vendeur de porte à porte,
- petits boulots avec salaire de m**** (pour pas être trop péjoratif).
Moi j'ai déjà la maison, le patrimoine, les ressources, la femme... donc arrêtez de dire que les harceleurs finissent mieux, ça n'est que des conneries, c'est ce qu'ils vous font croire car ils savent que vous allez mater leurs profils sur LinkedIn & Compagnie. Mais c'est que du flan en ce qui concerne ceux qui "réussissent".
Aziz dis pas de conneries
J'ai oublié un 4ème dans ma liste : un autre gars avec qui j'étais pote en seconde au lycée, puis petit à petit, avec l'effet de groupe, il s'amusait à me bolosser... sympa quand y avait personne, mais quand y avait du monde il faisait le fort... aujourd'hui interdit bancaire
Alors que je m'en fous plein les fouilles (et le pire c'est qu'il le sait, les diplômes, les photos de vacances sous les tropiques sur les réseaux, etc...)
Bref, ils n'ont pas fini bien haut
Je n'ai eu que des harceleurs légers (c'est-à-dire que ça se limitait à des moqueries de temps en temps, parfois méchantes (jamais de coups ni de tabassage), plus rarement des menaces mais j'arrivais à passer outre (dans la majorité des cas, bien que pas toujours.
Le premier : en classe de sixième. Un pur footeux kéké des plages au cheveux longs, une teigne. J'avais des très bonnes notes, lui était plutôt moyen... je pense que ça devait le gonfler, étant donné qu'il avait énormément confiance en lui et était le plus sportif de la classe. Il me chahutait un peu... au lieu de finir footballer professionnel, il a finit VRP dans une boîte de distribution d'outillage industriel ou de matos de BTP. Il doit avoir un CAP, ou un bac pro, et encore... je sais même pas s'il l'a.
- au collègue et au lycée respectivement : 2 types avec qui je m'entendais bien voire potes (1 au collège, l'autre au lycée), dispute qui éclate, puis l'un moqueries l'autre menaces, au final avec le premier on s'est réconciliés, et le second, 5 ans après la fin du lycée, m'envoie un message pour s'excuser par rapport aux menaces qu'il m'avait faites. J'ai accepté ses excuses car au fond c'était pas un mauvais gars, mais un gars qui traînait avec des mauvaises personnes et à qui il était arrivé de mauvaises choses.
- un autre gars au lycée, qui avait bien compris que je manquait de confiance en moi, que j'avais peu d'amis et que j'essayais de m'intégrer. Bref : échec total, il a grillé mon jeu, et à ses yeux j'étais le kassos. Cet enfoiré ne me croisait que rarement dans les couloirs, et il a de toute façon changé de lycée l'année suivante... j'arrivais à passé outre. Mais si je le retrouve, je le détruis. Il a fini avec une sorte de bac pro, à faire des petits boulots ici ou là (mise en rayon, etc...). Puis s'est inscrit dans un BTS assez classique il me semble, un truc d'assistant manager...
Au final, je suis déjà quart de millionnaire, diplômé d'une école d'ingénieurs (j'ai fait une école en alternance) appartement à un groupe dans le top 20 de France, propriétaire d'un loft de 115 m2 dans le Sud de la France, et avec un super projet en construction pour devenir auteur et éditeur avec un pote... et qui prévoit de rapporter assez d'argent à terme pour me rendre rentier, au vu de l'importance que le projet prend et de l' engouement qu'il suscite.
De tous ces "harceleurs", je suis de loin celui qui s'en sort le mieux. D'autant plus que je suis en couple avec une nana impeccable
Les wokistes effectivement y être pour quelque chose... avec le bordel qu'ils foutent, ça chauffe tellement que les flocons préfèrent rester perchés, ou arrivent sous forme de pluie facilement !
Mais ça malheureusement Louis Bodin, Tatiana Silva et toute la tribu, ils ne le diront jamais, idem pour les scientifiques qui disent exactement ce qu'on leur dit de dire et pas plus...
Pour la limite pluie-neige, le fait qu'il fasse 1°C ou 4°C ça veut rien dire.
Si en altitude l'air est glacial, et que la température ne redevient positive qu'à seulement 200 ou 300 mètres du sol, et qu'en plus ce sont des précipitations de gros calibre ou qui chutent rapidement, tu peux avoir des précipitations qui arrivent sous forme de flocons sur le plancher des vaches même s'il fait au-dessus de 0 (on peut observer des gros flocons lourds de neige humide qui tombent vite à 5°C, voire 6 même si ça devient rare).
En revanche, si l'air en altitude là où est situé le nuage (à 1200 mètres d'altitude par exemple) est froid sans l'être excessivement, que les précipitations sont peu denses / faibles et qu'en plus la température redevient positive sur les 800 dernières mètres avant d'atteindre le sol, même si t'as 1°C au sol ça sera de la pluie.
En général, on considère que les flocons ont besoin de 400 mètres pour devenir pluie. Ça veut dire qu'on peut observer de la neige fondue généralement jusqu'à 400 mètres en-dessous de l'isotherme 0. Et comme tu perds 0,65°C tous les 100 mètres quand tu montes en altitude, monter de 400 mètres revient à perdre 2,5 degrés. C'est pour ça qu'à 3 degrés, tu peux avoir de la pluie et de la neige mêlées mais avec une prédominance de la pluie, et à 1,5 degré, tu considères que ça arrive essentiellement sous forme de neige. La température où tu observes la limite pluie-neige (c'est-à-dire là où on observe 50 % de pluie et 50 % de neige dans ce qui tombe), c'est situé dans l'intervalle allant de +2°C à +3°C le plus souvent. Au-delà, c'est généralement de la flotte, et en-dessous de cet intervalle, c'est généralement de la neige. Mais ça c'est le cas général. Tu peux avoir des flocons à +4, +5, +6 et même des traces de neige fondue dans la pluie à +7, tout comme tu peux avoir de la pluie à +0,5 ou +1 (cas où les flocons ont le temps de fondre avant d'atteindre le sol).
Tu eux avoir de la pluie verglaçante, c'est le cas quand t'as une masse d'air très doux qui s'intercale entre les basses couches et l'air d'altitude, faisant fondre les flocons totalement, les transformant en pluie, pluie arrivant dans les basses couches (les 500 derniers mètres par exemple) et un sol qui sont à une température négative. Les gouttes de pluie qui traversent cette masse d'air restent liquides tout en voyant leur température propre devenir négative, mais ne gèlent pas parce qu'elles sont dans un état de surfusion (à cause de l'absence de noyaux de congélation). Ça n'est que lorsqu'elles percutent le sol et les surfaces solides (voitures, arbres, herbe, toit, cliques électriques, grillages, portails, routes, etc...) qu'elles se solidifent, formant du verglas. C'est la pluie verglaçante.
Alors tu me diras :
"pourquoi quand on va en altitude, par exemple dans les stations de ski, par exemple 1200 mètres, il y a souvent de la neige ?"
Pour plusieurs raisons :
1- en altitude, les précipitations sont plus fortes : les nuages s'entassent contre les montagnes, et à force de s'entasser, ils sont plus denses et finissent par cracher des précipitations,
2- quand t'as 8-10 degrés en plaine sous la pluie, à 1200 m t'as la même situation mais t'as entre 0 et +3°C donc c'est de la neige fondue voire de la neige,
3- quand tu es pas loin de la base du nuage, les précipitations n'ont pas le temps de s'évaporer pendant leur chute, alors que si t'es au sol (c'est-à-dire à 1000 m ou 2000 m de la base du nuage), une partie des précipitations s'est évaporée pendant sa chute. Ce qui explique que le cumul de précipitations diminue légèrement au fur et à mesure que tu descends. Tu n'as jamais vu ces fameux altostratus ou altocumulus, qui parfois donnent des précipitations qu'on voit en regardant le ciel (rideaux) mais qui n'atteignent jamais le sol ? Eh bien ce sont des précipitations qui s'évaporent avant d'atteindre le sol. Car ces nuages sont très hauts et les gouttes de pluie ou cristaux de glace ont le temps de repasser à l'état gazeux bien avant d'atteindre les basses couches. C'est aussi le cas de certaines cascades très hautes en montagne qui donnent au-dessus du vide direct, dont l'eau n'atteint le sol des vallées qu'en faible quantité puisqu'une grosse partie s'évapore pendant la chute.
Maintenant, si t'ajoutes ce que je viens de dire à mon message précédent, tu comprends pourquoi la neige en pleine est si rare même s'il fait froid (alors qu'en montagne elle n'est pas rare).
Temps doux + pluie = flux océanique ou flux de Sud mêlé à un flux océanique.
Temps froid = flux de Nord-Est essentiellement, ce qui est un froid sec.
Pour avoir de la neige il faut avoir des systèmes nuageux suffisamment denses (c'est-à-dire prédisposés à donner des précipitations), résultat d'une forte évaporation (hé oui, pas d'évaporation, pas de cycle de l'eau) + un froid intense. Généralement, les créations de masses nuageuses denses se produisent lorsqu'il y a évaporation et l'évaporation se produit lorsqu'il y a suffisamment d'énergie thermique (chaleur, si tu préfères). Ce qui est incompatible avec le froid. C'est pour ça que dans les zones au climat polaire, le temps est sec, très sec. Le froid et le sec vont ensemble. Quand les plus fortes gelées ont lieu, le taux d'humidité dans l'air est moindre car l'air froid peut stocker beaucoup moins d'humidité que l'air chaud.
Mais si la différence de température entre le sol et l'air en altitude est importante, l'écart peut aider à la formation de nuages. Ainsi des nuages peuvent se former même par temps froid et délivrer des précipitations. Il y a aussi des nuages provenant de l'Atlantique ou de la mer du Nord qui peuvent débarquer, refroidis par l'altitude et venant survoler des sols froids, ce qui crée de la neige s'il fait assez froid au sol.
Le froid est également rarement compatible avec les situations de ciel couvert, car les nuits les plus froides, sont les nuits où le ciel est dégagé (rayonnement nocturne, entraînant des gelées blanches). Sinon, c'est quand on est en flux de Nord / Nord-Est / Est qu'en hiver il fait froid. Mais pour les flux de Nord-Est et Est, c'est souvent de l'air sec. Les flux de Nord peuvent être un peu humides mais si la Mer du Nord est bien froide, il y aura difficilement des évaporations. Car ce qui crée des évaporations c'est souvent quand la mer est chaude par rapport à l'air. Les nuages se forment moins en Mer du Nord que dans l'Atlantique car en hiver, là où l'Atlantique est à 10-12 degrés, l'eau de la mer du Nord est entre 6 et 8 degrés.
Je up ce topic, arrivant un peu tard... j'écris pour les prochains qui liront.
Pour beaucoup c'est trop facile de juger l'auteur... d'autant plus qu'il mentionne avoir subi des violences à l'âge de 13 ans. Idem pour sa grande sœur qui avait été tabassée devant ses yeux quand il était gamin.
Son père est violent et il a eu raison de le repousser, point barre. Dans sa situation j'aurais fait pareil. J'aurais rendu les coups. N'écoutez pas tous les débiles qui traitent l'auteur de cas social... ça ne va faire de vous que des petites merdes bonnes qu'à se faire cogner dessus. C'est ce que vous voulez ? Devenir des victimes comme beaucoup l'ont été ? Laisser quelqu'un frapper une fille, comme ça, sans pression, sous prétexte que c'est son père ?
Ta plus grosse erreur l'OP, c'est de ne pas avoir été jusqu'à menacer ton père de déposer plainte contre lui pour violences sur femmes. Ton père n'était pas obligé de la cogner. Il aurait simplement pu la foutre dehors maintenant qu'elle a 18 ans et ça aurait résolu le problème. L'usage de la violence envers une femme, surtout d'un déchaînement de ce genre (sachant que ça n'est pas la première fois) est inapproprié et est puni par la loi. Ton père peut aller en taule et si ça se trouve il a déjà battu ta mère.
Malheureusement, j'écris cela 4 ans après les faits mais je pense qu'en grattant un peu, il y avait matière à déposer plainte.
Tu ne peux pas aimer un père qui t'a cogné quand t'étais gamin et qui a cogné ta sœur même majeure. C'est pas possible. Il y a une différence entre prendre quelques baffes / fessées qui calment et se faire rouer de coups. On a tous pris quelques baffes / fessées, personne n'en est mort, on va dire que ça passe encore d'autant plus que dans 80 % des cas c'est mérité. Mais les tabassages, c'est non seulement dangereux mais surtout traumatisant et je valide totalement la démarche de l'OP.
Alors oui l'OP un gap s'est creusé entre ton père et toi, rien ne sera peut-être plus comme avant... mais dès le jour où il a commencé à vous tabasser, tu aurais dû prendre conscience que ton père n'est pas quelqu'un de bien et qui ne méritait pas vraiment ton amour. Je sais que ça te fait quelque chose, le fait que votre relation se soit brisée... mais il fallait qu'elle se brise car elle était déjà fragile, elle était déjà sur la corde raide votre relation père-fils. Mais quand on est jeune on peut avoir tendance à vouloir rester dans le déni, ce qui est totalement humain et je ne te juge pas là-dessus. Tout ce que je te souhaite c'est d'évoluer de ton côté en paix, d'élever tes enfants de manière ferme et autoritaire sans pour autant leur faire subir des déchaînements de violence disproportionnée et je souhaite également à ton père qu'il prenne conscience de ses actes et qu'il agisse en conséquence pour vous réparer.
D'ailleurs l'OP, aujourd'hui, soit 4 ans plus tard, qu'en est-il advenu de cette histoire ?