Il déssinait, il créeait. Tel était le train de vie, de Kingfy. Il passait son temps à dessiner, il avait commencer à l’age de 8 ans, dans son lit, il imaginait le monde et le dessinait. Bien que ses déssins étaient très créatifs, les parents du jeune garçon n’avait jamais pensé à ce que dernier devienne un grand dessinateur. C’était rien de plus que des gribouillages pour eux, mais pour lui, ces dessins valaient tous dire, ils étaient le fruit de son imagination parcemé d’une jeune experience. Son tout premier dessin qui valut la reconnaissance de ses parents, c’était il y’a fort longtemps. Mais il s’en souvenait comme si c’était hier, comme ses parents si ils étaient encore la. Un matin de décembre, alors que la neige semblait recouvrir la maison et que tous les enfants pouvaient aller jouer dehors car l’école avait été annulé, le petit Kingfy devait rester à la maison, ses parents l’interdissait de jouer dehors car c’était trop dangereux. Alors Kingfy restait dans sa chambre, et comme à son habitude, quand il s’ennuiyait, il dessinait. La fenetre de sa chambre semblait l’attirer ce matin la, a la maniere d’un aimant. Il s’approcha de la fenetre, avec précaution car il ne voulait pas perdre la sensation de cette attraction aimanté. Il s’approcha en fixant la fenetre qui s’était fait apprivoisé par la neige. Et regardant par la fenetre, il apperçut ses camarades d’école jouer à la bataille de neige. La bataille était séparé en 2 équipe d’une dizaine d’enfants. Des baricades de chaque coté avait été installés, de sorte à ce qu’un no man’s land de 10m puisse séparer les deux camps. Des rangés d’arbres, abimés par le temps et par l’hiver était derriere ce champ de bataille. Entre les arbres, il y avait des bancs. Et sur un des bancs, était posé une petite fille, aux longues tresses. La fille regardait la bataille avec peu d’interet, elle trouvait ça débile de se lancer des boules de neige. Mais Kingfy voyant cette scène, ne voyait pas seulement des images, il voyait des émotions, de la haine et de la joix pour les guerriers des neiges, de l’ennui pour la petite fille, de la sagesse pour les arbres, du bonheur dans le tapis blanc parcemé de traces, bien qu’il ne participait pas à ce spectacle d’émotions et de sensations, il n’en ressentait aucune jalousie, il se sentait spéctateur, et il était emervéillé. Après avoir admiré, l’orchestre d’émotions qui tenait lieu devant lui, il voulait dessiner la musique. Il courut chercher sa trousse et une feuille . Il poussa son bureau pour l’installer devant la fenetre de sorte qu’il puisse déssiner avec une vue directe sur le sujet, et il s’installa confortablement sur sa chaise, tout en dégainant son arme préféré, son crayon de papier. Alors, pour la premiere fois, il ne voulait pas dessiner, gribouiller pour combler l’ennui, il voulait retranscrire, ce qu’il se passait dehors, il voulait que les autres voient exactement ce qu’il voyait, il voulait que les autres sachent ce qu’il ressent. Kingfy commença par dessiner, mais la neige qui s’accrochait à la fenetre l’empechait de bien voir la scène qui pouvait d’une minute à l’autre s’arréter. Alors il décida, de prendre le risque d’ouvrir la fenetre. Il savait qu’il pouvait se faire disputer mais il ne pouvait continuer à dessiner avec ce rideau de neige. alors il ouvrit la fenetre et repris son dessin. Il commença par dessiner les bords de la fenetre ouverte, une sorte d’ouverture sur le monde, il se sentait puissant en dessinant, ajouter à cela, qu’il était la haut, sur sa tour d’ivoir, ayant accès à cette scène qu’il trouvait splendide. Il dessina d’abord le sol, le trottoir, il sentait qu’il devait commencer par les grosses formes, celles qui manquaient de détails, à la manière qu’on commence toujours par les contours du puzzle. Il dessina les arbres mais sans rentrer dans les détails, de simple tronc, il songeait à les affiner plus tard. Le temps pressait, les enfants commencait à se lancer moins de boules de neiges, il était presque midi et ils allaient surement rentrer manger. Il ne faisait qu’un avec son crayon, il semblait passioné, et c’était beau, il ne reflechissait plus, il déssinait. Comme si depuis le debut, tous avait servi à ça. Sans couleurs pour le moment, le dessin prenait différentes directions, au début, le dessin semblait se focaliser sur la bataille de boule de neiges, il dessina les digues de neige, les enfants derrière accroupi entrain de former leurs projectiles, les bonnets tricotés, les moufles, ainsi que leurs manteaux trop grand les couvrant du froid. Il semblait tous different mais tous uni par cette bataille qui leurs tenaient à coeur. Et ayant terminé la derniere esquisse de la bataille, il se lassa, il avait l’impression d’avoir trop vu, il était dégouté d’avoir déja fini, il avait reussi à transmettre ses émotions sur cette bataille. Les boules de neiges volantes, les sourrires et les rires causés quand un tir en pleine tete toucha l’ennemi, tous avaient été décris. Il changea de cible. Les arbres, oui ils parlaient aussi ces arbres, ils voulaient en dire beaucoup. Il les dessina, vieux et sans feuilles comme ils étaient. Mais le tronc était solide et transmettait la force et la sagesse, de milliers d’hivers passés. Chaque années, ils renaissaient. Le cycle de la vie, était montrés par ces arbres. Ils avait par le temps appris à surmonter toute épreuve. Ils n’avaient plus peurs et étaient heureux. Et quand les arbres touchaient leurs apogée et que les traits de crayons se dissipaient dans le ciel, ils se lassa, encore une fois et alors il dessina le ciel, n’omettant aucun détails de son imagination et de ses sensations, car les deux se complétaient, l’un était l’ombre d’un autre. L’imagination passe par la sensation. Et ça il le ressentait également. Il arrivait qu’il puisse distinguer certaines idées dans les images qu’ils apercevaient, ils les rationalisaient pas. Il n’aimait pas ça, il aimait ressentir et retranscrire à la manière d’un peintre, d’un ecrivain ou d’un philosophe, car le point commun de ces proféssions, c’est qu’il y a une subjectivité certaine. De toute façon, tous ce qu’on apperçoit, c’est par le spectre de nos émotions, et c’est donc forcément biaisé. Alors il se laissa convaincre, que les arbres, bien que leurs vitalité soient convaincante, avaient dit leurs dernier mot quand a leurs representation dans les yeux du jeune kingfy. C’est ainsi, que tout naturellement, le nouvel objectif du dessinateur en herbe, fut cette jeune fille, toujours assise, sur son banc, elle était jolie cette fille. Il l’a déssinait de tel sorte qu’il la voyait. Elle portait une robe rouge et des grosses chaussures de montagne. Elle avait l’air de s’ennuyer. Tous ce qu’elle faisait, même si cela peut paraitre anecdotique pour certains, était un nouveau détail, que le jeune maitre, savourait d’exploiter. Le dessin prit forme, et la petite fille, d’abord assise fut effacé pour laisser la place à une petite fille, debout sur le banc, car pour lui, elle était jolie et grande. Elle était sur ce banc, un grand sourire aux lèvres, les mains dans les poches pour se réchauffer. Soudain, la petite fille, dans le monde réelle, environnement que Kingfy avait oublié, aperçut le dessinateur, du haut de sa tour d’ivoire. Elle lui fit un coucou, et Kingfy rougit, il eu honte d’avoir été vu par cette fille qu’il admirait. Alors il fermit la fenêtre et fit une boule de papier, avec ce quoi, il ne savait pas encore, allait changer sa vie. Il se jeta sur son lit tout en lançant ce qu’il venait de dessiné par la fenêtre. Il aurait voulu continuer, ajouter des couleurs, mais il ne voulait pas etre vu, il était géné. Il avait l’impression que c’etait mal d’observer sans etre vu. Alors il ferma et les yeux, et s’endormit profondément.
Le dessin s’envola, par le vent, et fut déposé délicatement sur la couche de neige, qui jonchait sur le sol. Personne ne l’avait remarqué.
Les enfants continua à jouer quelques minutes, et puis quand leurs estomacs commençaient à gargouiller et que le froid commençait à leurs piquer les doigts, ils décidèrent de rentrer laissant derrière eux, leurs champ de bataille. La petite fille n’avait pas bougé, elle songeait toujours à ce garçon à qui elle avait fait coucou, que faisait il la haut ? Et alors elle se leva et fit le chemin retour. Les heures passèrent, la neige commençait à imprégner le papier de son dessin.
Vous ne le voyez pas, mais il est bien la. C’est de cette manière que commença son histoire. Et par tout le sang versé, tous les femmes bléssés, toutes les idées conceptualisés, et toutes les blagues racontés, nous vous promettons qu’aucun details ne serat omis dans cette histoire. Un detail, n’est il pas simplement, le fruit de la vérité, comme dans l’amour les détails font une histoire. Souvenez vous de son anniversaire, de ce que vous avez mangé le jour de votre mariage, de sa couleur préféré, de sa musique préféré, de son film préféré, de son roman préféré. Tous ça sont des détails, ils se cachent partout mais sont completement admissibles. Nous sommes un ensemble de détails.
Il déssinait, il créeait. Tel était le train de vie, de Kingfy. Il passait son temps à dessiner, il avait commencer à l’age de 8 ans, dans son lit, il imaginait le monde et le dessinait. Bien que ses déssins étaient très créatifs, les parents du jeune garçon n’avait jamais pensé à ce que dernier devienne un grand dessinateur. C’était rien de plus que des gribouillages pour eux, mais pour lui, ces dessins valaient tous dire, ils étaient le fruit de son imagination parcemé d’une jeune experience. Son tout premier dessin qui valut la reconnaissance de ses parents, c’était il y’a fort longtemps. Mais il s’en souvenait comme si c’était hier, comme ses parents si ils étaient encore la. Un matin de décembre, alors que la neige semblait recouvrir la maison et que tous les enfants pouvaient aller jouer dehors car l’école avait été annulé, le petit Kingfy devait rester à la maison, ses parents l’interdissait de jouer dehors car c’était trop dangereux. Alors Kingfy restait dans sa chambre, et comme à son habitude, quand il s’ennuiyait, il dessinait. La fenetre de sa chambre semblait l’attirer ce matin la, a la maniere d’un aimant. Il s’approcha de la fenetre, avec précaution car il ne voulait pas perdre la sensation de cette attraction aimanté. Il s’approcha en fixant la fenetre qui s’était fait apprivoisé par la neige. Et regardant par la fenetre, il apperçut ses camarades d’école jouer à la bataille de neige. La bataille était séparé en 2 équipe d’une dizaine d’enfants. Des baricades de chaque coté avait été installés, de sorte à ce qu’un no man’s land de 10m puisse séparer les deux camps. Des rangés d’arbres, abimés par le temps et par l’hiver était derriere ce champ de bataille. Entre les arbres, il y avait des bancs. Et sur un des bancs, était posé une petite fille, aux longues tresses. La fille regardait la bataille avec peu d’interet, elle trouvait ça débile de se lancer des boules de neige. Mais Kingfy voyant cette scène, ne voyait pas seulement des images, il voyait des émotions, de la haine et de la joix pour les guerriers des neiges, de l’ennui pour la petite fille, de la sagesse pour les arbres, du bonheur dans le tapis blanc parcemé de traces, bien qu’il ne participait pas à ce spectacle d’émotions et de sensations, il n’en ressentait aucune jalousie, il se sentait spéctateur, et il était emervéillé. Après avoir admiré, l’orchestre d’émotions qui tenait lieu devant lui, il voulait dessiner la musique. Il courut chercher sa trousse et une feuille . Il poussa son bureau pour l’installer devant la fenetre de sorte qu’il puisse déssiner avec une vue directe sur le sujet, et il s’installa confortablement sur sa chaise, tout en dégainant son arme préféré, son crayon de papier. Alors, pour la premiere fois, il ne voulait pas dessiner, gribouiller pour combler l’ennui, il voulait retranscrire, ce qu’il se passait dehors, il voulait que les autres voient exactement ce qu’il voyait, il voulait que les autres sachent ce qu’il ressent. Kingfy commença par dessiner, mais la neige qui s’accrochait à la fenetre l’empechait de bien voir la scène qui pouvait d’une minute à l’autre s’arréter. Alors il décida, de prendre le risque d’ouvrir la fenetre. Il savait qu’il pouvait se faire disputer mais il ne pouvait continuer à dessiner avec ce rideau de neige. alors il ouvrit la fenetre et repris son dessin. Il commença par dessiner les bords de la fenetre ouverte, une sorte d’ouverture sur le monde, il se sentait puissant en dessinant, ajouter à cela, qu’il était la haut, sur sa tour d’ivoir, ayant accès à cette scène qu’il trouvait splendide. Il dessina d’abord le sol, le trottoir, il sentait qu’il devait commencer par les grosses formes, celles qui manquaient de détails, à la manière qu’on commence toujours par les contours du puzzle. Il dessina les arbres mais sans rentrer dans les détails, de simple tronc, il songeait à les affiner plus tard. Le temps pressait, les enfants commencait à se lancer moins de boules de neiges, il était presque midi et ils allaient surement rentrer manger. Il ne faisait qu’un avec son crayon, il semblait passioné, et c’était beau, il ne reflechissait plus, il déssinait. Comme si depuis le debut, tous avait servi à ça. Sans couleurs pour le moment, le dessin prenait différentes directions, au début, le dessin semblait se focaliser sur la bataille de boule de neiges, il dessina les digues de neige, les enfants derrière accroupi entrain de former leurs projectiles, les bonnets tricotés, les moufles, ainsi que leurs manteaux trop grand les couvrant du froid. Il semblait tous different mais tous uni par cette bataille qui leurs tenaient à coeur. Et ayant terminé la derniere esquisse de la bataille, il se lassa, il avait l’impression d’avoir trop vu, il était dégouté d’avoir déja fini, il avait reussi à transmettre ses émotions sur cette bataille. Les boules de neiges volantes, les sourrires et les rires causés quand un tir en pleine tete toucha l’ennemi, tous avaient été décris. Il changea de cible. Les arbres, oui ils parlaient aussi ces arbres, ils voulaient en dire beaucoup. Il les dessina, vieux et sans feuilles comme ils étaient. Mais le tronc était solide et transmettait la force et la sagesse, de milliers d’hivers passés. Chaque années, ils renaissaient. Le cycle de la vie, était montrés par ces arbres. Ils avait par le temps appris à surmonter toute épreuve. Ils n’avaient plus peurs et étaient heureux. Et quand les arbres touchaient leurs apogée et que les traits de crayons se dissipaient dans le ciel, ils se lassa, encore une fois et alors il dessina le ciel, n’omettant aucun détails de son imagination et de ses sensations, car les deux se complétaient, l’un était l’ombre d’un autre. L’imagination passe par la sensation. Et ça il le ressentait également. Il arrivait qu’il puisse distinguer certaines idées dans les images qu’ils apercevaient, ils les rationalisaient pas. Il n’aimait pas ça, il aimait ressentir et retranscrire à la manière d’un peintre, d’un ecrivain ou d’un philosophe, car le point commun de ces proféssions, c’est qu’il y a une subjectivité certaine. De toute façon, tous ce qu’on apperçoit, c’est par le spectre de nos émotions, et c’est donc forcément biaisé. Alors il se laissa convaincre, que les arbres, bien que leurs vitalité soient convaincante, avaient dit leurs dernier mot quand a leurs representation dans les yeux du jeune kingfy. C’est ainsi, que tout naturellement, le nouvel objectif du dessinateur en herbe, fut cette jeune fille, toujours assise, sur son banc, elle était jolie cette fille. Il l’a déssinait de tel sorte qu’il la voyait. Elle portait une robe rouge et des grosses chaussures de montagne. Elle avait l’air de s’ennuyer. Tous ce qu’elle faisait, même si cela peut paraitre anecdotique pour certains, était un nouveau détail, que le jeune maitre, savourait d’exploiter. Le dessin prit forme, et la petite fille, d’abord assise fut effacé pour laisser la place à une petite fille, debout sur le banc, car pour lui, elle était jolie et grande. Elle était sur ce banc, un grand sourire aux lèvres, les mains dans les poches pour se réchauffer. Soudain, la petite fille, dans le monde réelle, environnement que Kingfy avait oublié, aperçut le dessinateur, du haut de sa tour d’ivoire. Elle lui fit un coucou, et Kingfy rougit, il eu honte d’avoir été vu par cette fille qu’il admirait. Alors il fermit la fenêtre et fit une boule de papier, avec ce quoi, il ne savait pas encore, allait changer sa vie. Il se jeta sur son lit tout en lançant ce qu’il venait de dessiné par la fenêtre. Il aurait voulu continuer, ajouter des couleurs, mais il ne voulait pas etre vu, il était géné. Il avait l’impression que c’etait mal d’observer sans etre vu. Alors il ferma et les yeux, et s’endormit profondément.
Le dessin s’envola, par le vent, et fut déposé délicatement sur la couche de neige, qui jonchait sur le sol. Personne ne l’avait remarqué.
Les enfants continua à jouer quelques minutes, et puis quand leurs estomacs commençaient à gargouiller et que le froid commençait à leurs piquer les doigts, ils décidèrent de rentrer laissant derrière eux, leurs champ de bataille. La petite fille n’avait pas bougé, elle songeait toujours à ce garçon à qui elle avait fait coucou, que faisait il la haut ? Et alors elle se leva et fit le chemin retour. Les heures passèrent, la neige commençait à imprégner le papier de son dessin.Vous ne le voyez pas, mais il est bien la. C’est de cette manière que commença son histoire. Et par tout le sang versé, tous les femmes bléssés, toutes les idées conceptualisés, et toutes les blagues racontés, nous vous promettons qu’aucun details ne serat omis dans cette histoire. Un detail, n’est il pas simplement, le fruit de la vérité, comme dans l’amour les détails font une histoire. Souvenez vous de son anniversaire, de ce que vous avez mangé le jour de votre mariage, de sa couleur préféré, de sa musique préféré, de son film préféré, de son roman préféré. Tous ça sont des détails, ils se cachent partout mais sont completement admissibles. Nous sommes un ensemble de détails.
Le 14 août 2023 à 12:58:21 :
C'est pas le coronavirus ?
boucle
Le 14 août 2023 à 12:58:27 :
Bah c’est rien continue de cracher tes glaires, tu seras vite guéri hein.
Dis toi que beaucoup de gens savent même pas les cracher et donc guérissent moins bien
je suis jamais malade en hiver mais en été si juste avant de partir en voyage (">
Le 14 août 2023 à 12:55:07 :
Je suis gay et franchement de visage il est vraiment pas fou il fait pas viril , je pense qu'il est grand mais surtout très très large du dos
après personne à demandé ton avis gros dechet
Le 01 août 2023 à 03:02:05 :
On a que ça à foutre. Oubliez pas le recommandé avec accusé de réception pour noter un 4/10 à 3h du matin
Je suis un 7-8
Le 01 août 2023 à 02:30:19 :
Mp je note
Ajoute discord c’est plus pratique
Le 31 juillet 2023 à 23:15:22 :
Moi aussi parfois j'ai cette impression là un peu d'être seul au monde si on peut dire et j'ai à peu près le même profil que toi
Je vais go augmenter ma frame et mon smv