Le 02 août 2023 à 18:50:35 :
vous êtes complètement malades
Oussama qui sort encore un secondaire
De quel fake tu parles ?
Chiale, tu t'es cramé tout seul
L'alarme stridente de son téléphone le sortit impitoyablement de sa douce torpeur, son unique refuge. Invariablement, le programme millimétré de l'horloge intégrée profanait l'anéantissement de soi que le sommeil offrait à l'homme brisé.
Dans un réflexe pavlovien, il se réveilla apeuré, comme pris en flagrant délit, criminel oisif. Cette stimulation avait été incorporée à son être à force d'un usage répété et incessant, violant son esprit et sa volonté. Ce que cela annonçait n'était que vide et désintérêt.
Dès qu'il prenait conscience au petit matin, l'homme au réveil luttait, sa conscience à peine émergente, contre la rage folle envers ce que représentait ce rituel d'aliénation douloureuse du temps dans son existence.
L'homme au réveil se lève difficilement de son lit, encore groggy et engourdi par le sommeil. Il se dirige vers la salle de bain pour se rafraîchir le visage et se réveiller complètement. Il se regarde dans le miroir et ne reconnaît plus l'homme qu'il voit. Les cernes sous ses yeux témoignent des nuits sans sommeil qu'il a endurées. Ses épaules sont affaissées, son dos est courbé sous le poids de la fatigue et du stress.
Le réveil sonne strident, perçant l'air empuanti d'une ville putride. Rifson, tel est son nom, se lève, effleuré par la conscience qu'il n'aura aucun répit. Il sait déjà qu'il est en sursis, enchaîné à une routine absurde, emprisonné dans une ville qui n'est plus que l'ombre de ce qu'elle était. Paris est désormais un lieu sinistre, un champ de bataille où les vaincus sont les civils. Les trottoirs, auparavant pavés de rêves et d'espoir, sont maintenant jonchés de détritus et d'excréments. Les rues sont des rivières de sang, de crasse et de sueur. Les commerces sont des boutiques de misère, où les riches s'enrichissent et les pauvres se perdent. Les logements sont des taudis insalubres où la vie n'a plus aucune valeur.
Depuis que qu'il est arrivé dans cette ville, il a plongé dans un abîme de désespoir. Les rues de Paris sont envahies par une foule bruyante et agressive, qui l'a submergé dès son premier jour ici. Les études sont tout aussi insupportables. Il se sent comme un singe en manque de dopamine, qui passe ses journées à se masturber pour échapper à la réalité de ce monde de merde. La dissonance entre son être et ses études sans intérêt est insupportable, et il ne peux s'empêcher de penser que la seule façon de s'en sortir est de se suicider.
Les ondes négatives émanant de cette ville l'étouffent, l'oppressent, le tirent vers le bas. Il est pris dans un égrégore maléfique et avilissant qui l'oblige à devenir un golem, un petit soldat du capital. Il est un pur aliéné mental dont l'existence sert à légitimer le système d'oppression capitaliste.
Ses études sont insensées, elles ne peuvent être menées à bien qu'en étant un pur aliéné mental. sa souffrance n'est que le résultat de la confrontation entre son être entier et ses études bullshit. La vie est trop courte pour être gâchée de cette manière. Et pourtant... Boomers de merdes.
Il souffre énormément de sa vie près de Paris. Depuis qu'il a posé ses pieds dans cette ville, son état mental n'a fait qu'empirer. Il se sent de plus en plus malade, Rifson était en train de perdre la tête.Il n'est pas fragile, mais Paris est comme un virus qui infecte tout ce qui s'approche de lui. Depuis qu'il y était, il a développé des comportements malsains, des addictions et des vices.
Il s'est mis à chercher des explications, et a fini par découvrir l'article de John Calhoun sur le "Squared death". Il pensa que c'est exactement ce dont il souffrait. Mais ce n'est pas suffisant pour expliquer la profondeur de son malaise. Il a commencé à explorer la parapsychologie et a découvert l'existence d'un égrégore massif à Paris. Il y a quelque chose de pervers dans cette ville, quelque chose qui se nourrit de notre énergie et de notre vitalité.
Mais ce n'est pas tout. Paris détruit tout ce qui est bon et noble en lui. Les valeurs qui étaient au cœur de son identité ont été complètement balayées par l'atmosphère toxique de cette ville. Il est devenu une coquille vide, un zombie qui erre dans les rues de Paris en quête de quelque chose qui n'existe plus.
Et même lorsque il parvient à s'échapper de cette ville maudite, il ne peux pas retrouver ma santé mentale. Les effets positifs sont de courte durée et la réalité de Paris le rattrape toujours. Les transports en commun sont une source de stress constante, tout comme l'atmosphère oppressante et la pression sociale pour réussir dans la vie.
Le golem de Banlieue avait perdu tout sens critique et toute volonté de changer sa situation. Il avait vendu son âme à la ville de Paris, laissant son esprit se noyer dans un océan de décadence et de désespoir.
Chaque jour, il descendait les marches de Saint Lazare, devenant de plus en plus aliéné par le rituel satanique qu'il avait adopté. L'odeur d'ammoniac fermenté l'enveloppait, l'enivrant de sa douceur nauséabonde, tandis qu'il était entraîné dans un tourbillon d'émotions négatives.
Le golem avait cessé d'être humain depuis longtemps, et ne voyait plus que la mort comme une issue à sa souffrance. Il criait seul dans sa chambre, se cognait contre les murs, cherchant en vain une échappatoire à sa détresse.
Il avait abandonné toute forme de raison, acceptant son sort de vermine banlieusarde, prisonnier de son propre mode de vie décadent et corrompu. L'égrégore de Paris avait fini par le briser complètement, transformant son corps et son esprit en coquille vide.
Le golem de Banlieue était devenu l'incarnation de la dystopie parisienne, un être perdu dans un monde de misère et de corruption. Il ne restait plus rien de son humanité, juste une créature aliénée qui se traînait chaque jour jusqu'à Saint Lazare pour accomplir son rituel satanique.
Oui, telle est mon histoire. Paris, la ville des lumières, la ville de l'amour, la ville de la culture, la ville de la mode. Tant de clichés pour décrire cette ville qui semble attirer tant de gens. Pourtant, pour moi, Paris est devenue la ville de la mort, la ville de la folie, la ville de la désolation. Depuis que je suis venu ici pour poursuivre mes études, ma vie a pris une tournure sombre et sinistre. J'ai perdu toute joie de vivre, toute énergie, toute passion. Je suis devenu un être vide, brisé, consumé par la douleur.
Tout commence dès que je descends les escaliers pour prendre le métro. Le vertige cognitif me saisit, les masses marchent de façon automatique, la mort dans l'âme. Les odeurs de pisse fermentée m'envahissent, la foule me presse, les panneaux publicitaires me crient des messages de consommation effrénée. Tout cela crée en moi un sentiment de dystopie, un sentiment de cancer. La vie en IDF n'a pas d'autre but que de fracasser la santé mentale des hommes.
Pourtant, je ne suis pas un être fragile. Avant de venir ici, j'étais normal, sociable, avec un hippocampe et un cortex préfrontal sans doute dans la moyenne. Mais depuis que je suis à Paris, je me suis transformé en un être paresseux et effrayé, hanté par la mentalité des gens, l'immobilier, la mixité culturelle et l'insécurité.
Je ne peux plus sortir sans être pris de panique, sans me sentir agressé par les clodos, sans subir les micro-agressions répétitives. Je suis un serf dans cette ville féodale, un esclave du système capitaliste qui m'a pris mon âme et mon identité.
Chaque jour, je suis pris dans une routine aliénante : trois heures de transport par jour, un boulot qui ne me procure aucune satisfaction, une pause déjeuner qui ne suffit pas à me ressourcer, un retour chez moi tard le soir. Je suis épuisé, déprimé, en colère. Je crie dans ma chambre, j'ai des accès de rage, je rêve de tout détruire.
Pourtant, je ne peux pas partir, je suis piégé ici. Je suis en proie à une force obscure, une aura perverse qui m'est sensible mais pas intelligible. J'ai exploré toutes les hypothèses, de la psychologie à la parapsychologie en passant par l'axiologie, mais rien ne peut expliquer ce phénomène.
Je suis condamné à vivre dans cette ville de malade, à subir la vie en cage parisienne, à perdre peu à peu toute humanité. Je ne peux que crier ma douleur, ma haine, ma tristesse. La vie n'a plus de sens pour moi, je suis déjà mort'ent.
L'immonde spectacle de la déambulation cauchemardesque et dystopique des golems nauséabonds a foudroyé mon âme qui s'est instantanément lézardee de fissures s'ouvrant comme des fosses sceptiques et d'où émane la pestilence de la vie parisienne
Ah... Imprégné par les miasmes de saint lazare l'éther de mon âme pourris au contact des vapeurs sulfuriques de océans d'urines que l'on retrouve à chaque coin de cette gare
La médiocrité m'attire tant que je côtoie ce monde médiocre
Ma détestation du français est inouïe et absolue, ma rage contre ce pays est insondable et totale
L'odieux spectacle que les maîtres des horloges me font subir chaque jour n'est ni plus ni moins qu'une sombre lobotomie
Cette machination sadique me plonge dans un abattoir industriel où des trains bondés d'un bétail humain vomissent tout ce qu'il y'a de plus médiocre et de pitoyable en France
Ils déchargent inlassablement cette nuée de singes affables et apathiques dont la seule vue suffit a broyé votre humanité
Il n'y a rien de plus détestable qu'un golem français, ce Homoncules dont l'existence est un affront à la vie pêche en souillant la terre et mes yeux de son odieuse gesticulation
Il impose à l'honorable âme et la pure vérité le vice de l'existence quelconque du golem brisé
C'est un cancer et il se propage de proche en proche
En vous forçant à le côtoyer les maîtres de l'horloge s'assure ainsi de l'inéluctable sentence qui a été proclamé par contumace à votre égard soit imposé et que de fait vous finissiez brisé comme il se doit
Seigneur je ne suis pas l'un de ces immondes cloportes, ignobles golems et monstrueux clafoutis qui marchent à Saint lazare, alors pourquoi dois je subir ce calvaire pourquoi suis je astreint à côtoyer les plus médiocres des vivants