petite histoire avec une amie :
Mon amie Carole me toise de ses yeux de chat, deux topaze translucides où semble se refléter la lumière d'un autre monde. Elle se prélasse dans le seul canapé de la pièce. Carole est une fille d'ordinaire, assez réservée mais sportive. J'ai 24 ans et elle en a deux de plus que moi. Nous étions partis en randonnée, ce matin, dans la grande forêt qui bordait Donjon. Après trois bonnes heures de marche harassante, sous le soleil torride qui embrasait l'air, nous avions débouché sur une petite clairière qui abritait une vieille demeure abandonnée. Suant de transpiration, nous convînmes, tacitement, de nous y abriter quelques instants, avant de continuer. Nous nous trouvons actuellement dans l'unique pièce du pavillon inhabité. Moi, debout, en face du fauteuil beige occupé. Les murs sont abimés et le toit de chaume, délabré, laisse filtrer amplement les colonnes de chaleur solaire. Toute cette ambiance estivale et chaleureuse à quelque chose d'excitant. Le visage de mon amie est sillonné de gouttes de sueur, comme le mien. Ses longs cheveux dégringolent en cascade autour de son cou, et certaines mèches rebelles viennent recouvrir son visage moite. Notre respiration se fait profonde et nous ne disons mot. Finalement, je romps le silence, curieusement gênant.
- Eh bah ! C'est un véritable four, dehors.
- C'est clair ! Fit-elle en écarquillant ses yeux, toujours fixés sur moi
- Bon, on devrait y retourner.
- On devrait…
elle sourit mais ne daigne pas se lever. Ne sachant que dire, j'attends, penaud. Elle est étrange, tout à coup, à me dévisager avec une sorte d'appétit.
- Euh, ça va ? Fis-je, mal à l'aise.
Elle redresse son buste, fastueusement, puis se lève d'une traite. Toujours ses yeux dans les miens, elle se rapproche lentement de moi, silencieuse et décidée. Elle ne semble pas prêter attention à ma décontenance ostensible, et se poste devant moi. Son visage se trouve à quelques centimètres du mien et je ressens, sur ma peau, le souffle chaud de ses expirations. Étrangement, je ne peux plus bouger, je suis paralysé par une étrange sensation mêlant la peur et le désir. Que se passe-t-il ? Nous étions amis depuis longtemps et je n'ai pas souvenance d'avoir jamais eu des sentiments pour elle, même si une fois… Que ? Elle se baisse abruptement et se retrouve assise à genoux, toujours face à moi. Elle pose sa main droite ouverte sur mon entrejambe. Je m'étais habillé d'un jogging noir pour la randonnée, et le contact indirect de sa paume sur mon sexe engendre en moi une réaction physique incontrôlable. Une bosse se forme en quelques secondes, là où ses doigts s'appuient, puis je recule instinctivement, gêné par tant d'émotions et d'incongruité. Je la regarde, incrédule, avant de balbutier.
- Euh… mais… qu'est-ce qu'on fait, là… je…
- Bon, allez. Laisse-toi faire, m'intime t-elle d'une voix suave et entraînante qui n'était pas la sienne habituellement. Ne dit rien, surtout.
Sans savoir pourquoi, j'obéis et la laisse se rapprocher de nouveau. Mon érection n'est pas descendue, le rythme de mon cœur accélère. Le son strident et monotone des cigales, à l'extérieur, n'atténue en rien l'intensité de l'instant présent. Que se passe t-il ? Toujours à genoux, elle s'empare des bords de mon pantalon et caleçon en même temps, avant de les abaisser fluidement. Mon sexe rebondit et je me retrouve, devant elle, défroqué et, elle le constate, relativement excité. Je ne sais plus où me mettre et mon regard erre plusieurs fois autour de la pièce vide. Rien sur les murs, pas même une photographie ou une peinture. Finalement, je ne peux résister à la tentation de voir ce qui se trame devant moi. Elle donne un coup de langue salivant sur sa main droite, avant d'empoigner, avec fermeté, mon sexe dur. Déjà, la chaleur de sa main me procure de fortes sensations. Elle se met à faire des mouvements de va-et-vient avec son jouet qui durcit davantage, gonflé à bloc. J'halète doucement. Je n'ai qu'un désir, en observant cette adorable bouche qui continue de souffler sur mon sexe. J'ai envie de l'y rentrer, de lui donner accès à cette antre chaude et mouillée, mais je me reprends et la laisse faire. Après tout, peut-être désire-t-elle simplement me donner du plaisir avec sa main. C'est déjà un magnifique présent… Oh ! Elle rapproche ses lèvres roses et pulpeuses, avant de les ouvrir vivement et… !
Petite histoire avec une amie:
Mon amie Carole me toise de ses yeux de chat, deux topaze translucides où semble se refléter la lumière d'un autre monde. Elle se prélasse dans le seul canapé de la pièce. Carole est une fille d'ordinaire, assez réservée mais sportive. J'ai 24 ans et elle en a deux de plus que moi. Nous étions partis en randonnée, ce matin, dans la grande forêt qui bordait Donjon. Après trois bonnes heures de marche harassante, sous le soleil torride qui embrasait l'air, nous avions débouché sur une petite clairière qui abritait une vieille demeure abandonnée. Suant de transpiration, nous convînmes, tacitement, de nous y abriter quelques instants, avant de continuer. Nous nous trouvons actuellement dans l'unique pièce du pavillon inhabité. Moi, debout, en face du fauteuil beige occupé. Les murs sont abimés et le toit de chaume, délabré, laisse filtrer amplement les colonnes de chaleur solaire. Toute cette ambiance estivale et chaleureuse à quelque chose d'excitant. Le visage de mon amie est sillonné de gouttes de sueur, comme le mien. Ses longs cheveux dégringolent en cascade autour de son cou, et certaines mèches rebelles viennent recouvrir son visage moite. Notre respiration se fait profonde et nous ne disons mot. Finalement, je romps le silence, curieusement gênant.
- Eh bah ! C'est un véritable four, dehors.
- C'est clair ! Fit-elle en écarquillant ses yeux, toujours fixés sur moi
- Bon, on devrait y retourner.
- On devrait…
elle sourit mais ne daigne pas se lever. Ne sachant que dire, j'attends, penaud. Elle est étrange, tout à coup, à me dévisager avec une sorte d'appétit.
- Euh, ça va ? Fis-je, mal à l'aise.
Elle redresse son buste, fastueusement, puis se lève d'une traite. Toujours ses yeux dans les miens, elle se rapproche lentement de moi, silencieuse et décidée. Elle ne semble pas prêter attention à ma décontenance ostensible, et se poste devant moi. Son visage se trouve à quelques centimètres du mien et je ressens, sur ma peau, le souffle chaud de ses expirations. Étrangement, je ne peux plus bouger, je suis paralysé par une étrange sensation mêlant la peur et le désir. Que se passe-t-il ? Nous étions amis depuis longtemps et je n'ai pas souvenance d'avoir jamais eu des sentiments pour elle, même si une fois… Que ? Elle se baisse abruptement et se retrouve assise à genoux, toujours face à moi. Elle pose sa main droite ouverte sur mon entrejambe. Je m'étais habillé d'un jogging noir pour la randonnée, et le contact indirect de sa paume sur mon sexe engendre en moi une réaction physique incontrôlable. Une bosse se forme en quelques secondes, là où ses doigts s'appuient, puis je recule instinctivement, gêné par tant d'émotions et d'incongruité. Je la regarde, incrédule, avant de balbutier.
- Euh… mais… qu'est-ce qu'on fait, là… je…
- Bon, allez. Laisse-toi faire, m'intime t-elle d'une voix suave et entraînante qui n'était pas la sienne habituellement. Ne dit rien, surtout.
Sans savoir pourquoi, j'obéis et la laisse se rapprocher de nouveau. Mon érection n'est pas descendue, le rythme de mon cœur accélère. Le son strident et monotone des cigales, à l'extérieur, n'atténue en rien l'intensité de l'instant présent. Que se passe t-il ? Toujours à genoux, elle s'empare des bords de mon pantalon et caleçon en même temps, avant de les abaisser fluidement. Mon sexe rebondit et je me retrouve, devant elle, défroqué et, elle le constate, relativement excité. Je ne sais plus où me mettre et mon regard erre plusieurs fois autour de la pièce vide. Rien sur les murs, pas même une photographie ou une peinture. Finalement, je ne peux résister à la tentation de voir ce qui se trame devant moi. Elle donne un coup de langue salivant sur sa main droite, avant d'empoigner, avec fermeté, mon sexe dur. Déjà, la chaleur de sa main me procure de fortes sensations. Elle se met à faire des mouvements de va-et-vient avec son jouet qui durcit davantage, gonflé à bloc. J'halète doucement. Je n'ai qu'un désir, en observant cette adorable bouche qui continue de souffler sur mon sexe. J'ai envie de l'y rentrer, de lui donner accès à cette antre chaude et mouillée, mais je me reprends et la laisse faire. Après tout, peut-être désire-t-elle simplement me donner du plaisir avec sa main. C'est déjà un magnifique présent… Oh ! Elle rapproche ses lèvres roses et pulpeuses, avant de les ouvrir vivement et… !