Le 05 novembre 2019 à 04:16:41 caleb44 a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 04:12:44 DemantaRemoraid a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 04:09:41 caleb44 a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 04:00:54 DemantaRemoraid a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:58:35 caleb44 a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:54:57 Honolouloued a écrit :
On parle plus d'éducation dure que d'éducation décadente.
Et de surprotection quand il s'agit de la mère.putain elle m'a forcé à être autonome hyper vite donc la surprotection, je n'ai pas trop connu. Après si ça reste un cliché de beaucoup d'homophobe que beaucoup gays ont été éduqué par des parents laxistes, progressistes etc..
Sauf qu'il y a des homosexuels qui ont été élevés dans des familles rigoristes et sévères, donc cette explication ne tient pas. A part si on accepte soit
- l'idée qu'il n'y a pas UNE cause ultime à l'homosexualité
- l'idée que la cause ne se manifeste pas identiquement chez tous les homosexuels (comme un symptôme qui va déclencher ceci chez certains, et cela chez les autres).Déjà, la différence entre un actif et un passif : ils ne recherchent pas la même chose (et je vais dire une grosse bêtise peut-être, mais l'actif a l'air d'avoir tendance à rechercher davantage la virilité que le passif), n'est-ce pas une piste de recherche ?
je sais pas, je ne suis ni l'un ni l'autre perso ne pratiquant pas la sodomie mais je dirais plutôt l'opposé les passif ont tendance à vouloir trouver quelqu'un de protecteur, imposant, un peu plus dominateur pour les protéger/couver et pas mal d'actifs quelqu'un d'un peu moins masculin qu'eux, moins massifs, plus fragiles etc..
Mais ça reste un truc à ne pas généraliser vu qu'il y a des cas différents qui cherchent l'opposé de temps en tempsQuand je disais "rechercher" c'est rechercher pour soi, pas chez son partenaire. J'aurais du dire cultiver, mais l'actif cultive sa virilité et le passif sa féminité, tout en recherchant l'inverse chez son partenaire. Après, effectivement, il y a des exceptions. Le souci c'est que les études sur l'homosexualité considèrent les homosexuels comme un "bloc" sans en envisager la complexité. Pourtant, je pense qu'un homosexuel follasse et un homosexuel avide de comportements stéréotypés masculins, il y a peut-être un dénominateur commun initial (que j’appellerais "quête de la masculinité perdue par le sexe" ou "stratégie de compensation", mais il me faudrait du temps pour développer) mais il ne s'est manifesté de la même façon
Ah non en relisant, je me suis aperçu de mon manque de compréhension, il est tard j'ai la tête dans le cul
C'est possible oui que les actifs recherchent plus la virilité mais alors c'est vraiment pas gagné pour la plupart parce que ce soit actifs ou passifs, je ne vois vraiment pas de différence niveau manièrisme
Bah c'est possible qu'on essaye de compenser par rapport à la vision de la société qui nous considérent tous comme emasculé juste pour une orientation sexuelle. Quand tu intégres cette vision à l'adolescence, c'est difficile de se contruire et ça peut te donner des obsessions débiles.
Oui, même les gays qui cherchent à cultiver les stéréotypes masculins (notamment le physique) se trahissent toujours dans leur comportement très efféminé. A l'inverse, il y a des gays qui certes cultivent moins les clichés virils mais qui sont davantage passe partout que ces gays parce qu'ils n'ont pas de manières. Il y a tellement de façons d’être homosexuel...
Et sinon non, quand je parlais de stratégie de compensation je parlais pas de ça. Pour faire simple, et ne bondissez pas ceux qui lisent sous prétexte que ce serait réducteur : pour moi, l'homosexualité provient chez beaucoup d'une virilité/masculinité qui, à un moment, a été mise à mal. Chez les hétéros, la reconquete va rester dans le champ asexuel et va consister à, je sais pas, faire du sport. Chez ceux qui par la suite deviendront homosexuels, il y a un blocage. Mais le cerveau ne peut pas rester indéfiniment dans l'idée qu'il ne se sentira jamais homme. Il va commencer à sexualiser son objet de désir (la masculinité) car son cerveau a intégré l'idée qu'il ne pourra pas l'avoir par les voies naturelles (pour X ou Y raisons) et c'est une façon pour lui de faire face à ce qu'il avait considéré comme une perte définitive de virilité.
Attention, j'ai bien dit que pour moi ce schéma ne s'applique pas à tout le monde (par exemple, pour des gays de type Bilal Hassani ou Conchita Wurst, qui disent s’être sentis homosexuels très jeunes à 5 ans, je pense que c'est faux). D'où mon idée qu'il n'y a pas qu'une seule homosexualité (contrairement aux deux gays sus mentionnés, quand j'étais petit je cherchais l'amour des filles et pas des garçons)
Le 05 novembre 2019 à 04:09:41 caleb44 a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 04:00:54 DemantaRemoraid a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:58:35 caleb44 a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:54:57 Honolouloued a écrit :
On parle plus d'éducation dure que d'éducation décadente.
Et de surprotection quand il s'agit de la mère.putain elle m'a forcé à être autonome hyper vite donc la surprotection, je n'ai pas trop connu. Après si ça reste un cliché de beaucoup d'homophobe que beaucoup gays ont été éduqué par des parents laxistes, progressistes etc..
Sauf qu'il y a des homosexuels qui ont été élevés dans des familles rigoristes et sévères, donc cette explication ne tient pas. A part si on accepte soit
- l'idée qu'il n'y a pas UNE cause ultime à l'homosexualité
- l'idée que la cause ne se manifeste pas identiquement chez tous les homosexuels (comme un symptôme qui va déclencher ceci chez certains, et cela chez les autres).Déjà, la différence entre un actif et un passif : ils ne recherchent pas la même chose (et je vais dire une grosse bêtise peut-être, mais l'actif a l'air d'avoir tendance à rechercher davantage la virilité que le passif), n'est-ce pas une piste de recherche ?
je sais pas, je ne suis ni l'un ni l'autre perso ne pratiquant pas la sodomie mais je dirais plutôt l'opposé les passif ont tendance à vouloir trouver quelqu'un de protecteur, imposant, un peu plus dominateur pour les protéger/couver et pas mal d'actifs quelqu'un d'un peu moins masculin qu'eux, moins massifs, plus fragiles etc..
Mais ça reste un truc à ne pas généraliser vu qu'il y a des cas différents qui cherchent l'opposé de temps en temps
Quand je disais "rechercher" c'est rechercher pour soi, pas chez son partenaire. J'aurais du dire cultiver, mais l'actif cultive sa virilité et le passif sa féminité, tout en recherchant l'inverse chez son partenaire. Après, effectivement, il y a des exceptions. Le souci c'est que les études sur l'homosexualité considèrent les homosexuels comme un "bloc" sans en envisager la complexité. Pourtant, je pense qu'un homosexuel follasse et un homosexuel avide de comportements stéréotypés masculins, il y a peut-être un dénominateur commun initial (que j’appellerais "quête de la masculinité perdue par le sexe" ou "stratégie de compensation", mais il me faudrait du temps pour développer) mais il ne s'est manifesté de la même façon
Le 05 novembre 2019 à 03:58:35 caleb44 a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:54:57 Honolouloued a écrit :
On parle plus d'éducation dure que d'éducation décadente.
Et de surprotection quand il s'agit de la mère.putain elle m'a forcé à être autonome hyper vite donc la surprotection, je n'ai pas trop connu. Après si ça reste un cliché de beaucoup d'homophobe que beaucoup gays ont été éduqué par des parents laxistes, progressistes etc..
Sauf qu'il y a des homosexuels qui ont été élevés dans des familles rigoristes et sévères, donc cette explication ne tient pas. A part si on accepte soit
- l'idée qu'il n'y a pas UNE cause ultime à l'homosexualité
- l'idée que la cause ne se manifeste pas identiquement chez tous les homosexuels (comme un symptôme qui va déclencher ceci chez certains, et cela chez les autres).
Déjà, la différence entre un actif et un passif : ils ne recherchent pas la même chose (et je vais dire une grosse bêtise peut-être, mais l'actif a l'air d'avoir tendance à rechercher davantage la virilité que le passif), n'est-ce pas une piste de recherche ?
Le 05 novembre 2019 à 03:49:52 BB_Richelieu a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:44:13 caleb44 a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:38:53 pronoduturfu3 a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:35:52 radda5555 a écrit :
Tu confonds non binaire et transgenre
Les transgenres se sentent comme le sexe opposé et sont mal à l'aise tant que leur corps ne correspond pas à leur ressenti.De toute facon les LGBTQ+ ils sont a peu prés tous sur la même longueur d'onde par rapport a la théorie du genre non?
je suis gay et je ne crois absolument pas à la théorie du genre perso
Un homme et une femme, c'est biologique point, le reste relève du délire pour moiTient d'ailleurs j'ai une question à propos de ça.
Comment cela se fait que homosexualité et "transidentiéč sont quasiment toujours associés ?
Alors que, du moins à mes yeux, c'est vraiment deux situation fondamentalement différente
Tu veux dire quoi par associé ? Que les homosexuels sont souvent transgenre, ou que les deux problématiques soient souvent rapprochés et réfléchis conjointement ?
Le 05 novembre 2019 à 03:49:07 TT213 a écrit :
[03:45:06] <DemantaRemoraid>
Le 05 novembre 2019 à 03:42:49 TT213 a écrit :
[03:40:52] <DemantaRemoraid>
Le 05 novembre 2019 à 03:38:44 TT213 a écrit :
[03:37:01] <DemantaRemoraid>
Le 05 novembre 2019 à 03:35:52 radda5555 a écrit :
Tu confonds non binaire et transgenre
Les transgenres se sentent comme le sexe opposé et sont mal à l'aise tant que leur corps ne correspond pas à leur ressenti."Les transgenres se sentent comme le sexe opposé" non, ils rejettent surtout la correspondance sexe qu'ils ont/comportements attendus de par ce sexe. Mon amie se définit comme transgenre alors qu'elle ne voudrait pas être un mec, mais elle ne veut pas être une meuf non plus, il n'y a juste pas de troisième sexe...
Ca c'est non binaire.
Mais en fait ces deux termes ne s'excluent pas, une personne qui se définit comme non binaire est par essence transgenre, mais l'inverse n'est pas forcément vrai : on peut être transgenre (c'est-à-dire ne pas se sentir femme alors qu'on est dans un corps de femme) tout en trouvant la division des genres pertinente (les femmes sont douces, les hommes sont forts, on me demande à moi d’être douce alors que je veux être fort, donc je veux être un garçon)
Transgenre te casses pas le cu, c'est juste qqun qui s'associe pas à son corps d'origine.
Oui, mais si quelqu'un se définit non binaire (c'est-à-dire que la division genrée plurimillénaire n'est pas pertinente pour elle) alors il se définit comme transgenre (son identité de genre diffère de celle assignée à la naissance, puisque celle assignée à la naissance provient de la division genrée plurimillénaire)
Être TG implique avoir une identité sexo. Non binaire t'en as pas
Je comprends pas ce que tu veux dire
Le 05 novembre 2019 à 03:44:13 caleb44 a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:38:53 pronoduturfu3 a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:35:52 radda5555 a écrit :
Tu confonds non binaire et transgenre
Les transgenres se sentent comme le sexe opposé et sont mal à l'aise tant que leur corps ne correspond pas à leur ressenti.De toute facon les LGBTQ+ ils sont a peu prés tous sur la même longueur d'onde par rapport a la théorie du genre non?
je suis gay et je ne crois absolument pas à la théorie du genre perso
Un homme et une femme, c'est biologique point, le reste relève du délire pour moi
Toujours ravi de te voir sur tous les topics débattant de l'homosexualité ou de la transidentité
Le 05 novembre 2019 à 03:42:49 TT213 a écrit :
[03:40:52] <DemantaRemoraid>
Le 05 novembre 2019 à 03:38:44 TT213 a écrit :
[03:37:01] <DemantaRemoraid>
Le 05 novembre 2019 à 03:35:52 radda5555 a écrit :
Tu confonds non binaire et transgenre
Les transgenres se sentent comme le sexe opposé et sont mal à l'aise tant que leur corps ne correspond pas à leur ressenti."Les transgenres se sentent comme le sexe opposé" non, ils rejettent surtout la correspondance sexe qu'ils ont/comportements attendus de par ce sexe. Mon amie se définit comme transgenre alors qu'elle ne voudrait pas être un mec, mais elle ne veut pas être une meuf non plus, il n'y a juste pas de troisième sexe...
Ca c'est non binaire.
Mais en fait ces deux termes ne s'excluent pas, une personne qui se définit comme non binaire est par essence transgenre, mais l'inverse n'est pas forcément vrai : on peut être transgenre (c'est-à-dire ne pas se sentir femme alors qu'on est dans un corps de femme) tout en trouvant la division des genres pertinente (les femmes sont douces, les hommes sont forts, on me demande à moi d’être douce alors que je veux être fort, donc je veux être un garçon)
Transgenre te casses pas le cu, c'est juste qqun qui s'associe pas à son corps d'origine.
Oui, mais si quelqu'un se définit non binaire (c'est-à-dire que la division genrée plurimillénaire n'est pas pertinente pour elle) alors il se définit comme transgenre (son identité de genre diffère de celle assignée à la naissance, puisque celle assignée à la naissance provient de la division genrée plurimillénaire)
Le 05 novembre 2019 à 03:41:03 BB_Richelieu a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:37:01 DemantaRemoraid a écrit :
Le 05 novembre 2019 à 03:35:52 radda5555 a écrit :
Tu confonds non binaire et transgenre
Les transgenres se sentent comme le sexe opposé et sont mal à l'aise tant que leur corps ne correspond pas à leur ressenti."Les transgenres se sentent comme le sexe opposé" non, ils rejettent surtout la correspondance sexe qu'ils ont/comportements attendus de par ce sexe. Mon amie se définit comme transgenre alors qu'elle ne voudrait pas être un mec, mais elle ne veut pas être une meuf non plus, il n'y a juste pas de troisième sexe...
À-t-elle le syndrome de klinfelter ? De Turner ? Le syndrome 47?
Si la réponse à tout cela est non alors son sexe est défini depuis sa naissance et elle ne pourra jamais rien y changer.
C'est une femme
Oui d'accord, mais du coup je lui dis quoi en tant qu'ami : tu es une malade mentale, et ta maladie mentale ne pourra jamais être soignée ? On pourrait résumer tout le problème de la transidentité par cette problématique là : et si les gender studies n'existaient que par difficulté morale et éthique à annoncer à toute une partie de la population qu'elle est malade mentale (et a priori incurable) ?
Le 05 novembre 2019 à 03:38:44 TT213 a écrit :
[03:37:01] <DemantaRemoraid>
Le 05 novembre 2019 à 03:35:52 radda5555 a écrit :
Tu confonds non binaire et transgenre
Les transgenres se sentent comme le sexe opposé et sont mal à l'aise tant que leur corps ne correspond pas à leur ressenti."Les transgenres se sentent comme le sexe opposé" non, ils rejettent surtout la correspondance sexe qu'ils ont/comportements attendus de par ce sexe. Mon amie se définit comme transgenre alors qu'elle ne voudrait pas être un mec, mais elle ne veut pas être une meuf non plus, il n'y a juste pas de troisième sexe...
Ca c'est non binaire.
Mais en fait ces deux termes ne s'excluent pas, une personne qui se définit comme non binaire est par essence transgenre, mais l'inverse n'est pas forcément vrai : on peut être transgenre (c'est-à-dire ne pas se sentir femme alors qu'on est dans un corps de femme) tout en trouvant la division des genres pertinente (les femmes sont douces, les hommes sont forts, on me demande à moi d’être douce alors que je veux être fort, donc je veux être un garçon)
Le 05 novembre 2019 à 03:35:52 radda5555 a écrit :
Tu confonds non binaire et transgenre
Les transgenres se sentent comme le sexe opposé et sont mal à l'aise tant que leur corps ne correspond pas à leur ressenti.
"Les transgenres se sentent comme le sexe opposé" non, ils rejettent surtout la correspondance sexe qu'ils ont/comportements attendus de par ce sexe. Mon amie se définit comme transgenre alors qu'elle ne voudrait pas être un mec, mais elle ne veut pas être une meuf non plus, il n'y a juste pas de troisième sexe...
Par contre, de ce que je vois dans mes fréquentations personnelles, je ne connais que 2 personnes concernées par ces questions, et elles ont toutes les deux de graves troubles psys (une qui a fait de l'anorexie, des tentatives de suicide, et des séjours plus ou moins prolongés à l’hôpital, l'autre dont je vous ai parlé page 1 qui n'a jamais été à l’hôpital mais qui enchaîne les psychologues et qui fait souvent des crises de dysphorie de genre).
Si on est un peu honnête avec soi-même, et pour peu qu'on ait connu des personnes concernées par ces questions IRL, on ne peut s’empêcher de se questionner sur l'aspect pathologique de la question : est-ce que c'est une maladie mentale ?
J'ai une amie (donc une fille) qui souffre de troubles de l'identité de genre. Dans son cas, elle me dit qu'elle préfère qu'on la masculinise plutôt qu'on la féminise (notamment dans l'usage de pronoms personnels, elle veut qu'on dise "il" et pas "elle") parce qu'elle se sent plus homme que femme, mais au fond elle se sent ni l'un ni l'autre, et aurait aimé l'existence d'un pronom neutre comme ça peut exister en allemand.
Par conséquent, elle ne veut pas changer de sexe, mais veut supprimer certains de ses attributs féminins (comme les cheveux longs, les habits genrés féminins, et même la poitrine qu'elle veut se faire retirer). Elle se situe dans un entre-deux, et ne se sent à l'aise dans aucun des deux genres.
Au final, ce sont les non-binaires qui sont cohérents avec la logique de la théorie du genre.