Le 03 avril 2023 à 00:56:55 :
y avait des kheyette dans l'hp ?https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png
Non aucune kheyettax
Le 03 avril 2023 à 00:22:17 :
J'ai hâte de lire la suite de tes histoires
Content que ça te plaise kheyou
Le lendemain, je me suis réveillé assez tôt (vers 7h) puis les infirmières sont venues toquer à ma porte pour me dire qu'il était temps de descendre pour prendre son petit-déjeuner.
Mais avant, il fallait prendre son traitement. Je me rappelle que j'étais le premier, du coup j'ai vu les autres venir un par un.
Les autres viennent et décident de s'asseoir à côté de moi. Pendant l'attente, une des patientes me révèle quelque chose : il y’avait un nouvel arrivant le lendemain.
J'étais assez content à ce moment-là car jusqu'ici je me sentais bien seul.
Je descends puis je prends mon petit déjeuner, une seule tasse de café avec du sucre. Je le bois puis je me dirige vers la salle commune (ou le salon si vous préférez).
Il n'y avait strictement rien à faire. La seule chose qui pouvait à peu près nous stimuler était une radio avec quelques dizaines d'albums à côté.
Je retourne dans mon coin comme hier pour faire passer le temps. Je prends un livre présent dans la bibliothèque, puis je le lis ou bien je ferme les yeux pour me reposer et faire passer le temps.
Le lendemain, le nouvel arrivant est venu. Il semblait assez timide et n'était visiblement pas content d'être là.
Au début, on ne se parlait pas, mais par la suite, on est devenus meilleurs amis.
Maintenant que je vous ai expliqué mon arrivée, laissez-moi vous expliquer le fonctionnement de l'hôpital.
Il y a plusieurs types de soignants : les infirmiers, les psychiatres, les internes et les stagiaires (assez minoritaires).
Le rythme de vie de l'hôpital est le suivant :
8h : réveil, prise des traitements puis petit déjeuner
De 8h à 12h : on a le champ libre, on peut jouer à des jeux de société, lire ou ne rien faire
À 12h15-12h45 : on mange
Puis jusqu'à 13h30 : on peut faire ce qu'on veut
À 13h30 : on monte pour le temps calme, puis on sort de nos chambres respectives à 14h20-14h40
Ensuite, on fait ce qu'on veut jusqu'à 16 heures, l'heure du goûter
Puis on peut faire ce qu'on veut jusqu'au soir où on prend notre dîner puis nous avons le choix de monter soit à 21h, soit à 22h30, puis on se couche.
Je vous ai un peu résumé mon arrivée. Maintenant, je vais vous raconter quelques anecdotes ou faits.
Pour vous remettre dans le contexte, nous étions au moins 11 la plupart du temps : 50% de filles et 50% de garçons.
Il y a plusieurs phases de mon séjour : le début, la phase intermédiaire, la phase décisive et la fin.
Pendant la grande partie de mon séjour, je ne faisais pas grand-chose hormis boucler entre la cour extérieure, les différentes parties de jeux de société ou de baby-foot et la bibliothèque.
Je me rappelle qu'à un moment, on avait une sorte de délire avec le groupe. C'était une sorte de buzzer qui déclenchait un bruit insupportable dès qu'on appuyait dessus.
Moi, du coup, comme j'aime bien être relou, j'aimais bien le prendre puis le mettre au milieu du salon, là où tout le monde glandait sur les canapés, puis je l'activais.
Il y avait aussi pas mal de fois où je m'amusais à prendre une barre de chocolat en plus en toute discrétion lors des goûters. J'étais vraiment bon pour ne pas me faire prendre la main dans le sac.
Je passais aussi pas mal de mon temps dans la bibliothèque à ne rien faire. L'endroit était calme donc ça me plaisait.
Le 02 avril 2023 à 19:15:10 :
Toujours en vie l'op ?
Sweetax ce soir
Le 01 avril 2023 à 01:48:47 :
mais pourquoi t'es allé en hp si c'est juste pour être dans une chambre a regarder le mur ? Surtout que personne t'a forcé a y aller bordel
T'aurais juste pu prendre rdv avec un psy
Comme je disais (mauvais compte) j’étais au seuil du suicide, et c’était un moyen pour moi de me contenir pour ne pas faire de connerie
Le 01 avril 2023 à 01:42:13 :
L'op ce harceleur
C’était avant khey, je regrette mes actes maintenant, et puis ce n’était pas du harcèlement moral ou du rabaissement
Le 01 avril 2023 à 01:38:41 :
J'ai mis en fav
J'attends la suite l'op
Sweet demain mon cléyou
Le 01 avril 2023 à 01:31:50 :
Excellent khey, ça va mieux depuis ?
Content que ça te plaise kheyou, oui ça va vraiment mieux depuis je reprend du poils de la bête petit à petit
Le 01 avril 2023 à 01:22:17 :
l'opax mérite des upaxhttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/37/1/1663014384-ahi-pince-mais.png
je garde la page sur mon navigateurhttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/37/1/1663014384-ahi-pince-mais.png
Merci clé à molette
Le lendemain, rien de spécial ne se passe.
Je me réveille assez tôt, j'avais rendez-vous avec un psychiatre vers 9h et je me suis réveillé à 7h
Du coup, j'ai attendu pendant 2 heures.
Et qu'ai-je fait pour faire passer le temps? Rien.
Je me suis assis sur le bord de mon lit et j'ai fixé le vide pendant 2 heures.
Il est 9h et le rendez-vous avec mon psychiatre commence, il se tient au chevet de mon lit et je dois répondre à pas mal de questions.
L'entretien se passe et il décide de me garder jusqu'au lendemain.
J'ai passé toute la journée assis à ne rien faire, je ne voulais pas regarder la télé, je pensais à tout et rien, j'étais comme aspiré par ma pensée.
La journée se passe sans qu'il n'y ait rien de particulier à signaler.
Le lendemain, je passe un autre entretien avec un psychiatre et cette fois-ci j'ai menti pour qu'ils me laissent sortir, j'ai fait semblant d'aller mieux. Ils décident alors qu'il serait judicieux de me laisser partir.
C'était acté, je pouvais m'en aller. Avant de partir, ils avaient décidé de me réorienter vers un autre hôpital psychiatrique spécialisé dans la prise en charge de patients adolescents cette fois-ci.
Je rentre chez moi après 2 jours passés aux urgences.
Chez moi, je me renseigne sur l'établissement psychiatrique que j'allais devoir intégrer.
Je regarde les avis Google et, surprise, l'hôpital est noté 2 étoiles sur Google.
En lisant les avis, j'étais décidé à ne pas y aller. Puis, j'ai vu une vidéo de présentation de l'établissement sur YouTube.
Et j'ai changé d'avis. D'après la vidéo de présentation, l'établissement m'avait l'air plus que correct.
Du coup, je décide d'y aller, sans me douter de ce qui m'attendrait là-bas.
Les jours passent et vient le jour j de mon départ, je fait mes affaires, je dit au revoir à mon chez moi
Puis je m’en vais pour vivre une nouvelle aventure qui durera 1 mois au total (sans dire au revoir à qui que ce soit)
Je prend les transports en commun pour y aller, 50 minutes de trajet en tout
On arrive finalement devant l’hp avec ma mère
C’était une sorte de petite clinique sur 3 étage et avec une mini cours pour fumer, on se présente à l’accueil puis on est redirigé vers la salle d’attente avec ma mère
On attend pendant 10 minutes puis la psychiatre vient nous chercher pour passer notre premier entretien
J’explique ma situation et pourquoi je suis ici, elle m’explique un peut tout ce qu’il y’a à savoir sur l’établissement
Puis une infirmière me fait visiter le bâtiment, l’atmosphère était intimidante
Elle me présente ensuite ma chambre, et me dit d’y poser mes valises, chose que je fait
C’était au moment du repas, du coup elle décide de m’emmener dans la cantine pour que je mange
Elle m’explique les règles à table avant de m’y faire entrer.
Elle ouvre la porte, puis me fait avancer pour que je me présente aux autres patients (2 au moment où j’arrive)
Les khey, je vous jure que la scène était vraiment hilarante.
J’étais debout comme planté au sol et je ne savais pas quoi faire, les deux autres patientes me regardaient avec de gros yeux. C’est limite si je me faisais dessus par stress.
Je mange puis je débarrasse, je me dirige vers le salon, puis j’étais comme perdu, je ne savais pas quoi faire. Il n’y avait pas le droit au téléphone portable ni aux écrans tout court, Les deux autres patientes étaient sur les canapés, mais j’étais beaucoup trop timide pour m’asseoir là-bas. Du coup, je décide d’aller au fond de la salle commune pour m’assoir dans des sièges isolés.
20 minutes se passent et pendant ce temps, je ne fais rien hormis attendre. Puis on nous dit qu’il faut monter pour prendre nos médocs.
Je monte, puis je m’assis sur les sièges d’attente juste devant le poste des infirmières. On m’appelle pour que je prenne mes médicaments, puis on m’explique qu’il est l’heure du « temps calme ».
En gros, on doit passer 1 heure dans nos chambres, sauf qu’il n’y avait strictement rien à faire. C’était soit lire ou soit dormir, J’avais pas de livre sous la main et je n’arrive pas à me reposer durant la journée, du coup je devais attendre sans rien faire pendant 1 heure.
1 heure plus tard, le temps calme était fini, on devait redescendre pour continuer la journée.
Je retourne dans mon coin puis j’ai attendu jusqu’à 17 heures, heure où on est autorisés à aller dans une pièce avec une télé. Là-bas, on peut regarder des films ou bien des chaînes. J’étais seul du coup j’ai décidé de mettre les infos.
Jusqu’à 21 heures, puis je décide de monter dans ma chambre pour m’endormir. J’étais épuisé donc j’ai pas trop réfléchi.
J’ai fermé les rideaux, j’ai éteint les lumières, je me suis déshabillé, je me suis allongé, puis je me suis endormi.
Le 31 mars 2023 à 01:37:09 :
La sweet bourdel la sweet je ferais tout pour t'empecher le bidax khey en dépit de mon niveau 1
La sweet ce soir kheyou
Le 31 mars 2023 à 01:33:58 :
Ta famille n'avait clairement pas à faire ça
On est d’accord clé
Le 31 mars 2023 à 01:31:10 :
Le 30 mars 2023 à 22:58:46 :
Les jours passent et un jour je décide de vouloir lui montrer mon visage
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/14/1491527142-riri2.jpg J'ai senti le drame arriver
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/10/1/1520260980-risitas94.png
Le lendemain, je me suis réveillé sans me douter de ce qui s'était passé durant la nuit. Je me suis connecté puis j'ai regardé les derniers messages qu'elle aurait pu m'envoyer et que j'aurais pu louper. Et surprise, je suis bloqué.
Au début, j'ai essayé de garder mon sang-froid, mais j'ai vite paniqué. Elle m'avait envoyé des messages avant de me bloquer, des messages où elle expliquait le pourquoi du comment. Elle disait regretter amèrement ce qui s'était passé, qu'elle avait ruiné sa vie et qu'elle espérait que je lui pardonnerais un jour
Je n'ai vraiment pas compris ce qui m'arrivait pour le coup. J'ai été pris d'une crise de panique et je n'ai pas réalisé l'incidence que cela aurait pu avoir. J'ai essayé par tous les moyens qui me venaient à l'esprit de rentrer en contact avec elle
Puis j'ai eu l'idée de réagir aux messages avec un oiseau volant. J'admets que je n'en étais pas fier sur l'instant et je n'en suis d'ailleurs toujours pas fier. Elle a décidé de me débloquer suite à cela pour s'assurer que rien de louche ne m'arrivait, puis j'ai pu lui parler à ce moment-là.
Au final, j'ai pu calmer la situation et la rassurer. Sauf que c'est à ce moment-là que je me suis rendu compte d'un truc : j'étais arrivé à un stade critique de dépendance affective.
Mais qu'importe, la journée s'est passée sans aucun autre souci. Les jours ont passé et quelques jours après, il s'est trouvé qu'on a réitéré ce qui s'était passé. Sauf que cette fois-ci, elle m'a bloqué avec le ferme intention de ne plus me reparler. J'ai essayé par tous les moyens de rentrer en contact avec elle, et finalement, j'ai pu lui parler sur l'un de ses comptes sur une autre plateforme.
Cette fois-ci, c'était bien plus grave que la dernière fois. J'ai pu constater que ce qui s'était passé avait de réelles répercussions sur elle. Elle était au bout de sa vie, elle n'avait plus aucune volonté, plus la volonté de vivre, plus la volonté ni le courage de se regarder dans la glace par honte. Elle restait toute la journée collée à son lit sans rien faire, noyée par le chagrin.
Je m'en suis voulu. Si j'avais su, je n'aurais jamais agi ainsi
Pendant une heure, nous avons échangé et c'était assez tendu. J'essayais par tous les moyens de la rassurer et de redevenir son ami car j'étais dépendant à ce moment-là.
Au final, nous nous sommes réconciliés.
Les jours passent et un jour je décide de vouloir lui montrer mon visage
Je lui ai dit que je voulais lui envoyer une photo de moi, mais elle a catégoriquement refusé. Elle ne voulait pas associer mon visage à ce qui s'était passé. Pour elle, j'étais un gamin.
J'ai insisté tout au long de la journée pour qu'elle accepte. Finalement, elle a accepté, mais uniquement de voir la moitié de mon visage.
À ce moment-là, je savais que mon acte allait signer la fin définitive de notre amitié, mais je voulais à tout prix lui montrer à quoi je ressemblais (5-6/10 selon le forum). Je lui ai envoyé une photo de moi, puis aucun message pendant 30 à 40 secondes. C'étaient les secondes les plus longues de toute ma vie. Ensuite, elle m'a confié que nos chemins devaient se séparer car "elle avait enfin réalisé la gravité de son acte". J'ai à peine eu le temps de comprendre que je me suis retrouvé bloqué de partout en deux minutes à peine.
Je n'avais absolument rien vu venir.
Cette fois-ci, c'était fini pour de bon. Je ne pouvais rien faire pour la parler. Elle s'était réfugiée dans un bunker numérique.
À partir de ce moment-là, c'était le début de ma déchéance.
Je passais mes journées à penser à elle. Je ne mangeais plus, hormis le strict minimum pour ne pas mourir. Je n'avais plus aucune libido. Pendant au moins deux semaines, je n'en avais plus envie.
Il y avait aussi une sorte de harcèlement dont je ne suis pas fier. Je créais régulièrement des comptes qui se faisaient tous bloquer en un rien de temps, où j'essayais à chaque fois de rentrer en contact avec elle en vain.
J'étais seul face à ma dépression et à ma solitude.
Un jour, j'ai réussi à trouver son compte Instagram. J'ai rédigé un long pavé où je me rabaissais. Elle m'a répondu, mais pas comme je le voulais. Elle me disait que c'était la dernière fois que je rentrais en contact avec elle, sinon elle allait porter plainte contre moi pour harcèlement.
Puis elle m'a bloqué et supprimé son compte.
J'ai essayé de rentrer en contact avec une de ses amies. Elle aussi m'a envoyé chier assez vulgairement et m'a bloqué.
À ce moment-là, j'avais enfin compris, au bout d'un mois d'harcèlement. Je me préparais douloureusement à tourner la page.
Sauf que j'ai oublié de vous dire un truc, les kheys. Comme un débile, je l'ai MP, mais pas avec mon portable car je n'avais plus de batterie. Et comme un abruti j’ai oublié de me déconnecter dessus.
Du coup un jour m’a mère à tout découvert
Elle avait aussi montré tous les messages à mes frères
J’étais dans une colère et dans une tristesse infinie, c’était le suicide social, j’étais désormais répertorié comme un harceleur parce que évidemment eu n’ont su qu’une petite partie de l’histoire
Ils m’ont comme convoqué dans le salon familial
Et ils ont voulu lire tous les messages devant moi
J’ai tout essayé pour pas qu’ils puissent lire ces messages mais en vain
Ma seule et ultime solution était de faire une tentative de suicide
J’ai foncé vers une fenêtre qui était ouverte et au moment où je m’apprêtais à sauter on m’a retenu en m’attrapent
Puis on m’a mis sur le canapé et je me suis effondré en larmes pendant 10 minutes comme une merde devant tout le monde
À ce moment là c’est la qu’une dépression profonde et sévère me gagna, le lendemain j’étais comme un mort vivant, je pensait h24 mais vraiment h24 à la mort, je passais mes journées dans ma chambre, dans le noir le plus complet, par terre, je ne mangeais plus du tout ma mère à dû insisté pour que je mange quelque bouts pour ne pas crever
J’étais comme dans une profonde mélancolie et tristesse
Ma seul volonté était d’aller en hp mais ma mère refusait de m’y emmener, elle en avait peur, du coup ma seul solution était de fuguer un jours pour y aller
C’était un soir lors de la finale france-argentine, j’en ai profité pour discrètement me diriger vers la porte de sortie, je l’ai ouvert délicatement pour ne pas me faire repérer
Puis je me suis fait la male, il pleuvait énormément et j’avais uniquement un gilet et un pantalon pour me couvrir, je courais dans la pluie au cas où ma famille était à mes trousse pour m’empêcher d’y aller
Je me souviens sur le chemins que j’ai croisé un type, il était sur un vélo et était couvert de noir
- T’es un gars d’où ?
- Euuh, je suis juste de la bas (pointe du doigt vers chez moi), pourquoi ?
- Ah ok, parce que tu courais je pensais que t’avais des problèmes
- Non, tout va bien j’ai aucun soucis
Puis j’ai continué à me faire la malle
J’étais enfin arrivé à l’hôpital au bout de 10 minutes de course, je rentre dans l’établissement, et…. Je tourne en rond pendant 1h-1h30
J’explorais le bâtiment de fond en comble (L’hôpital robert debré pour ceux qui se demandent)
Puis au final je me rend à l’accueil, j’explique pourquoi je suis ici et ils appellent ma mère et mon frère, ils me font voir un psy et décident de m’hospitaliser en psychiatrie par peur que je finisse mal.
Ils m’ont dirigé vers ma chambre, qui était vraiment grande et spacieuse, avec une télévision et plusieurs chaînes.
Je me suis installé et avant de me coucher, ils ont décidé de me donner un médicament. C’était la toute première fois que je prenais des médicaments en psychiatrique, C’était du Tercian en gouttes.
Ils me l’ont donné et je l’ai pris. Puis, pendant 30 secondes, il ne s’est rien passé. Mais soudain, j’ai ressenti un fort enthousiasme et toute mon anxiété a disparu. Je débordais d’énergie, j’étais à la fois extrêmement joyeux et triste. J’ai sautillé partout dans ma chambre comme une sauterelle.
Ensuite, je me suis endormi.