Pour le moment, la France n’a pas suivi. Elle n’est pourtant pas épargnée, bien au contraire : d’après les rapports de la Fondation de France, plus de 11 millions de personnes se sentent régulièrement seules dans l’Hexagone. Et ce, en dehors de toute mesure de distanciation sociale, alors même qu’il n’a jamais été aussi facile de prendre des nouvelles de ses proches grâce aux nouvelles technologies.
Qu'en pense le forum ?
Sciences. Depuis le Covid-19, plusieurs pays se sont dotés d’un arsenal politique pour lutter contre les effets du manque de relations sociales sur la santé. Mais sur le plan scientifique, les mystères restent nombreux.
Demandez à Patrick Bernard, 64 ans, sa recette pour vaincre la solitude, et il vous répondra : "Il faut faire de l’ingénierie sociale". La vérité, c’est qu’au début, la feuille de route de cet ancien journaliste devenu une icône du combat contre l’isolement, ressemblait plutôt au plan de travail d’un artiste plasticien qu’à un manuel industriel : "Je n’avais aucun plan, j’ai appris en faisant", avoue-t-il innocemment.
Un soir, attristé par la rudesse des rapports de voisinage à Paris, il réunit des compagnons de palier et les convainc de l’importance de resserrer les liens dans son quartier. Le petit groupe monte une association qu’ils nomment "La République des Hypervoisins". Puis ils fomentent un banquet, en pleine rue. Un franc succès : "Il a suffi d’une impulsion aussi bête qu’un repas partagé, pour que tout le monde se parle à nouveau", se réjouit-il.
Rendue particulièrement prégnante par la crise sanitaire, la question de la solitude intéresse désormais de plus en plus les décideurs. Longtemps oubliée, reléguée à un problème individuel, à des états d’âme ou aux marges de la société, la problématique s’est brusquement imposée à tout un chacun durant cette période, où chaque rencontre fût soupesée, négociée, contrôlée, pour ne pas propager le virus. Depuis, de nombreux pays ont décidé de se doter d’un plan national de lutte contre la solitude. L’Angleterre, le Danemark, l’Allemagne, les Pays-Bas, la Finlande, les Etats-Unis et le Japon ont déjà franchi le pas, signe d’une progressive prise de conscience du besoin d’agir. Fin 2023, la Commission européenne a fait du sujet une de ses priorités, et a entamé des discussions pour coordonner les réponses politiques à apporter. Au même moment, l’OMS se dotait d’une commission sur les "connexions sociales".
Le 29 septembre 2024 à 16:16:01 Cantos-Endymion a écrit :
[16:12:34] <bukeled>
Le 29 septembre 2024 à 16:11:01 :
What y a vraiment 130 000 oqtf ?https://image.noelshack.com/fichiers/2016/26/1467335935-jesus1.png Un OQTF c'est pas forcément un criminel, c'est par exemple si ton titre de séjour a expiré et n'est pas renouvelé.
Non ça c'est quand t'es en situation irrégulière. L'OQTF c'est quand ta situation ne peut vraiment plus être régularisée.
Non t'as des OQTF totalement injustifiées délivrées par les préfectures
Le 29 septembre 2024 à 15:32:03 satana895 a écrit :
Le mystère pour moi c'est que la majorité des mecs que je connais de mon age sont célibatairesEt quasiment toutes les meufs que je connais sont soit en couple, soit passent de mecs en mecs
Je comprends pas
Elles sont (pas toutes) en moyenne avec des mecs plus âgés
Le 29 septembre 2024 à 15:28:08 triste_mais_aah a écrit :
Ahiii, ça ne va pas plaire au gauchos nonobstanthttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1490886827-risibo.png
SIAMO TUTTI ANTIFASCISTI
SIAMO TUTTI ANTIFASCISTI
SIAMO TUTTI ANTIFASCISTI
Le 29 septembre 2024 à 13:44:26 ShizuSuN a écrit :
Je pense que le Japon devrait prendre des mesures contre le tourisme de masse et la distribution de Visa comme pochette surprise.
Et immédiatement enfermer tous les Français dans des camps
Ensuite, à l’adolescence, le père de Taha l’a emmené en Espagne en lui disant qu’il s’agissait d’un voyage. En réalité, il l’a littéralement abandonné dans la rue, dans ce pays qu’il ne connaissait pas, pour partir refaire sa vie avec une femme en Allemagne. Il pensait que Taha s’en sortirait mieux tout seul en Espagne qu’au Maroc.
C'est chaud...
J’ai également éprouvé de la culpabilité parce que j’étais la seule personne extérieure avec qui Taha était en contact. J’avais eu des nouvelles de lui il y a un an et demi par l’association qui le suivait en prison. C’était quelqu’un de très seul, qui n’avait personne pour lui rendre visite, ni famille, ni amis.
Source : son avocate