Le 23 avril 2023 à 09:11:12 :
« Cette année naîtra leur troisième enfant. »
Ça me rappelle un film.
Le 23 avril 2023 à 09:09:03 :
Merci pour le c/c de l’article dextre.
C’est intéressant mais je sais pas quoi en tirer, une partie de moi, très autoritaire, aimerait les interdire d’avoir des enfants mais c’est quand même d’une violence inouïe.Le grand sujet dont l’article ne traite pas c’est que malheureusement la majeure partie de l intelligence est génétique, donc à priori les gosses seront eux aussi des debiles assistés dont la société n’a pas besoin… qu’est-ce qu’on va en faire donc?
Faut bien des gens pour travailler la matière, le monde serait horrible si tout le monde était disposé à réaliser des tâches intellectuellement complexes alors que les places pour ce type de poste sont déjà très inférieures à l’offre de travail qualifié.
Le 23 avril 2023 à 09:07:15 :
Ça me rappelle un gars que j'ai connu au collège, sa mère était comme ça, sans surprise c'était un cassos desco qui sortait de chez tous les 30 février, un genre kikikomoriJe sais pas ce qu'il est devenu le pauvre
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/32/6/1596909582-risijeune.png
Tu confonds les Japonais et les Mongols.
Le 23 avril 2023 à 09:02:20 :
Tu crois que tu n'en fais pas partie, sérieusement ?
Selon quels critères tu déterminerais que mes parents sont déficients intellectuels ?
À moins que tu me visais personnellement et que tu ne sois pas capable de comprendre correctement le titre, auquel cas je suis au regret de t’apprendre que ton message en dit plus long sur toi que sur moi.
Éviter les placements
Car le cas de Justine est un parmi tant d'autres : les enfants de parents avec une déficience intellectuelle risquent davantage que les autres d'être retirés à leur famille. En 2004, 32,77 % d'entre eux étaient placés. Cette prévalence continue d'être forte. Plusieurs interlocuteurs le confirment. «Le risque est plus important pour ces personnes-là, dit maître Sophie Janois, avocate à la cour de Paris et auteur de La Cause des autistes (Payot, 2018). En matière de trouble du neurodéveloppementaux, on peut rapidement être en défaut de soin.» Elle se souvient d'un dossier pour lequel un signalement avait été fait : «l'enfant n'était jamais lavé, il avait six ans, se faisait seul à manger». Edeline Delanaud, chef de service au SAVS de Stains, évoque sur le site d'actualité familiale Gynger la menace du placement «qui pèse systématiquement».
Cette appréhension accentue la fébrilité de ces parents et peut les emmener à commettre des erreurs. «Ils manquent de confiance en eux et l'environnement peut leur renvoyer ce manque de confiance en miroir», corrobore Valérie Devestel du SAAP de Mouvaux. «En règle générale, on ne leur laisse pas la chance de faire leurs preuves, regrette Me Janois. Alors que j'ai vu des parents apprendre au fur et à mesure.» Le dossier cité plus haut a connu une fin heureuse. Après un placement d'urgence de quinze jours, la juge a reçu la mère. «Elle a compris qu'elle avait besoin d'une aide éducative». Quelques mois plus tard, l'ordonnance de placement a été levée.
Pas si simple
«Tout est une question d'accompagnement, assure la formatrice Marine Desmazeau. La plupart du temps, ces gens-là n'ont pas fait de baby-sitting à 12 ans, on ne leur a pas parlé de leur future vie de famille. Leur inhabileté à un moment donné n'est pas tant inhérente à leur déficience qu'à un manque d'expérience.» Celle-ci se construit, dit-elle. Il suffit d'être aidé. Pour les personnes qui ont une reconnaissance handicap, il existe des services comme les SAAP ou les SASP. Les personnes qui n'ont pas le tampon de la maison du handicap - déceler la déficience est coton - peuvent se tourner vers les aides communes : technicien de l'intervention sociale et familiale, la protection maternelle et infantile… Certains des spécialistes qui y travaillent sont formés au handicap mental.
«On leur apprend qu'il faut donner des repères concrets car la déficience intellectuelle empêche l'accès à l'abstraction, explique Marine Desmazeau. Le temps de faire chauffer le biberon, c'est le temps de fumer une cigarette par exemple. On leur dit qu'il faut éviter de proposer plusieurs choix car les personnes avec une déficience intellectuelle ont tendance à choisir la dernière proposition.»
3 solutions pour protéger son enfant handicapé avec un contrat d'assurance vie classique ou dédié : http://leparticulier.lefigaro.fr/jcms/c_120793/succession/3-solutions-pour-proteger-son-enfant-handicape-avec-un-contrat-d-assurance-vie-classique-ou-dedie-20230315
Présentée par les éducateurs et formateurs de terrain, l'accompagnement des parents avec une déficience intellectuelle est simple comme Baptiste. Ainsi quand on lui demande : comment font ces parents quand leurs enfants ont l'âge de se rendre à l'école ? Pour surveiller les devoirs ? Marine Desmazeau répond : «J'ai beaucoup travaillé avec les instits et on peut facilement mettre des choses en place pour que les parents jouent leur rôle.» Dans les faits, s'il existe des tas d'idées, d'initiatives locales, les structures d'aide sont mal réparties sur le territoire, peu nombreuses. «C'est très compliqué», dixit la sage-femme Frédérique Perrotte.
Dans un autre département que celui du Nord, en pointe avec la Loire-Atlantique et la Haute-Vienne sur le sujet, Maxime et Flore auraient pu ne trouver aucun service dédié. Tous les départements ne mettant pas la main à la poche, une grande partie du soutien est offerte par des structures dont ce n'est pas la vocation initiale. Ainsi le SAVS/SAMSAH du centre Gabrielle n'est pas spécialisé en parentalité. Si de telles structures s'occupent de ces parents, c'est qu'elles le veulent bien. Elles le font en complément de formations sur la contraception, la vie affective, pour éviter des drames.
Comment les parents déficients intellectuels sont aidés à éduquer leurs enfants
ENQUÊTE - Des dizaines de milliers d'enfants sont élevés par des parents dont l'intelligence et les capacités d'adaptation sont inférieures à la moyenne. Ils sont souvent placés par la Justice.
En 2013, Flore et Maxime, 27 ans, se présentent au service d'aide et d'accompagnement à la parentalité (SAAP) de Mouvaux dans le Nord. Leur bébé a deux mois et la vie les déborde. Ils en ont de la veine, depuis 2003 le SAAP est là pour aider ceux qui, comme eux, ont une déficience intellectuelle. Celle-ci, dixit la Haute Autorité de Santé, désigne la «capacité réduite depuis l'enfance de comprendre une information nouvelle ou complexe et des capacités d'adaptation en dessous de la moyenne». En clair, Flore et Maxime travaillent mais dans une structure protégée, vivent seuls mais négligent de nettoyer leur logement, s'occupent d'eux-mêmes mais moyennement de leur fils, ils ne savent pas lire. «Ils avaient besoin d'être structurés», se souvient Gauthier Magnuszewski, le chef du service.
L'équipe du SAAP, composée d'éducateurs spécialisés, d'une éducatrice de jeunes enfants et d'une psychologue, définit avec eux leur projet. Ils veulent apprendre à faire une liste de courses ? D'accord. Élaborer un planning de tâches ménagères ? Fort bien ! Au fil des mois, des années, Flore et Maxime deviennent plus autonomes. Cette année naîtra leur troisième enfant. Pas sûr qu'ils aient encore besoin du SAAP. Selon les mots de Gauthier Magnuszewski, ils ont «développé des compétences parentales» et battent en brèche l'idée selon laquelle les gens comme eux seraient incapables de mener une vie de famille. Ce préjugé largement partagé correspond moins qu'avant au réel. Des aides, mal connues, existent.
La normalisation
En 1995, l'association départementale des parents et amis de personnes handicapées mentales (UDAPEI) estimait à 13.000 le nombre d'enfants naissant par an de parents en situation de handicap intellectuel. En 2023 «on peut, au vu des remontées des terrains, considérer que ce nombre a au minimum triplé», explique Marine Desmazeau, accompagnante auprès de parents en situation de handicap intellectuel durant 15 ans.
Aux côtés de ces parents condamnés par la justice à suivre un stage de «responsabilisation» : http://www.lefigaro.fr/actualite-france/aux-cotes-de-ces-parents-condamnes-par-la-justice-a-suivre-un-stage-de-responsabilisation-20210428
«Avoir un chez soi, avoir un travail, prendre les transports en commun, avoir une sexualité, vivre en couple, avoir des enfants, éduquer ses enfants…» À mesure qu'elles se sont intégrées à la vie de la cité, sous l'effet notamment de loi d'inclusion de 2005, les personnes avec une déficience intellectuelle ont eu envie de faire «comme tout le monde», énumère l'éducateur et psychologue Bertrand Coppin dans une étude de 2010. «Un vent de liberté a soufflé sur le sujet de la parentalité», a remarqué Bernadette Grosyeux, la directrice du centre la Gabrielle.
Située à Clayes Souilly (Seine-et-Marne), cette structure accueille 250 adultes porteurs de cette déficience dans son Service d'Accompagnement à la Vie Sociale (SAVS) et son service d'accompagnement médico-social pour adultes handicapés (SAMSAH). «Une centaine se pose la question d'avoir des enfants, rapporte l'une des directrices Renata Chinalska-Chomat. C'est donc une question majeure à prendre en compte.» Car si ce cas est plus fréquent, il continue de devoir être «géré». «L'erreur serait de penser que les couples peuvent se débrouiller sans aide.»
Justine
D'aide, Justine, 27 ans, en a manqué. De son accent du Sud Ouest, sa mère Véronique, 56 ans, raconte : «Ma fille a une déficience intellectuelle. Pour moi, elle n'aurait jamais d'enfant, elle est tellement bébé…» En 2016, Justine rencontre un garçon «perdu» et part vivre avec lui dans une caravane.
«J'ai appelé les services sociaux pour leur demander quoi faire. Je n'avais qu'une crainte : que Justine tombe enceinte.» Les services sociaux répondent : on ne peut rien faire, Madame. Le 22 juillet 2017, Justine accouche de Lorenzo à Bordeaux. «Elle aimait son fils mais elle avait peur de mal faire. Elle n'arrivait pas à se placer dans le temps et d'estimer à quelle heure Lorenzo aurait faim. Je lui ai proposé de venir vivre chez moi.» Véronique s'occupe de se lever la nuit. Parce que Justine rêve d'une vie à soi, elle rejoint un foyer maternel, emporte le bébé. Mais le père revient dans le décor. C'est la caravane de nouveau.
Un soir, à l'accueil de l'hôpital où elle travaille, Véronique entend l'appel d'une collègue. «Un médecin de la PMI appelait pour un bébé de 5 mois qui avait le poids d'un enfant de 2 mois, une gale non soignée. J'ai entendu le nom du village… C'était celui de ma fille. Mon petit-fils a été placé dans une famille d'accueil.» En 2021, Justine a eu une fille avec le même père. Les services sociaux la lui ont retirée avant sa sortie de la maternité. «On savait que ma fille ne pourrait pas s'occuper seule d'un bébé. Et personne n'a rien fait.»
Pour Frédérique Perrotte, sage-femme référente handigynéco, ce gâchis est la conséquence du tabou autour de la vie affective des personnes handicapées. «Envisager qu'elles puissent avoir des rapports sexuels gêne déjà certains : parents, médecins, éducateurs. Donc la prise en charge d'une éventuelle grossesse, on n'en parle même pas.» Même si on en parle de plus en plus. Depuis 2018, plusieurs agences régionales de santé (Ile-de-France, Normandie) ont déployé le dispositif Handigynéco grâce auquel des sages-femmes se rendent dans les établissements médico-sociaux pour parler du cocktail possiblement détonnant «handicap + parentalité».
Comment les parents déficients intellectuels sont aidés à éduquer leurs enfants
C’est bien évidemment NOFAKE :
Le 22 avril 2023 à 12:51:52 :
Le 22 avril 2023 à 12:50:04 :
Le 22 avril 2023 à 12:48:36 :
Le 22 avril 2023 à 12:47:58 :
Le 22 avril 2023 à 12:40:03 :
Les experts en Ocaml, cette espèce en voix de disparition qu'on ne retrouve plus que sur ce forumMeilleur langage de l’univers.
Que penses-tu du Haskell, en comparaison ?
Jamais touché.
On construit des putains d’avions grâce à Caml, t’as l’un des plus gros hedge funds du monde qui fait que du Caml, on fait quoi avec Haskell ?
Je ne sais pas trop, ils s'en servent pour gérer des serveurs, il me semble
Tu utilisais Ocaml quand tu était en finance ?
Non.
Ça dépend desquels.
T’as ceux qui bossent vraiment et ceux qui regardent, comme dans toutes les équipes.
Le 22 avril 2023 à 12:48:36 :
Le 22 avril 2023 à 12:47:58 :
Le 22 avril 2023 à 12:40:03 :
Les experts en Ocaml, cette espèce en voix de disparition qu'on ne retrouve plus que sur ce forumMeilleur langage de l’univers.
Que penses-tu du Haskell, en comparaison ?
Jamais touché.
On construit des putains d’avions grâce à Caml, t’as l’un des plus gros hedge funds du monde qui fait que du Caml, on fait quoi avec Haskell ?
Le 22 avril 2023 à 12:40:03 :
Les experts en Ocaml, cette espèce en voix de disparition qu'on ne retrouve plus que sur ce forum
Meilleur langage de l’univers.
Essaie comme ça :
type bureau_vote = Bv of string * (string * int) list
type departements_vote = Dpt of string * bureau_vote list
Tu définis un nouveau type Dpt :
Dpt of string * (Bv of string*((string*int) list) list)
Le 22 avril 2023 à 12:27:39 :
Le 22 avril 2023 à 12:27:17 :
T’as défini le type d’abord ?Bah justement, je veux le type somme
Après, je dois faire des sous-types (ville, zone)
Les seuls types que tu n’as pas besoin de définir ce sont les strings, les tuples, les listes.
Commence par définir Bv en premier.