Vous aussi vous avez connu ça ? Rassurez moi je suis pas seul ?
Pour ceux qui ignorent d'où ça vient, c'est des images provenant d'une émission qui passait à l'époque sur Cartoon Network très tard au beau milieu de la nuit.
Le spitch, c'était qu'on voyait ces horreurs manger des boyaux et morceaux de corps humain, et c'est tout. Ça durait une bonne dizaine de minute à chaque fois, il y avait rarement de montage, aucun scénario ni musique, aucun dialogue, même pas de générique à la fin et au début. Du coup le plus dérangeant c'est que ça commençait à chaque fois sans aucune transition par rapport au programme qui passait juste avant, et ça se terminait tout aussi brèvement pour s'enchaîner direct avec le programme suivant.
L'émission ne figurait pas sur le programme télé donc du coup on connaît pas le nom de l'émission, à vrai dire on sait pas si elle en a une.
Toutes les personnes qui ont vu cette émission ont ressenti un profond malaise, apparemment c'était hyper malsain, surtout cet espèce de silence pesant car on entendait juste les bruits de mastication des "démons”...
Le drame s'est produit dimanche dans une ferme aux crocodiles de Siem Reap, au Cambodge. Une fillette, âgée de 2 ans, a échappé à la vigilance de sa maman occupée avec son nourrisson.
La petite est tombée dans l'enclos des crocodiles. Les reptiles se sont jetés sur l'enfant et l'ont dévoré en quelques secondes, sous les cris de sa mère. Le père de Rom a sauté dans l'enclos pour reprendre le corps de sa fille aux crocodiles mais il n'a pu récupérer que le crâne de la victime.
Les parents avaient installé une barrière autour du parc des reptiles, mais l'enfant est parvenue à passer à travers un trou. Une enquête a été ouverte afin d'en savoir plus sur les circonstances de ce drame.
Ce pays
Même en ayant été une star tu es en galère pour payer des frais de chimio
Tout juste libéré après six mois de prison, Akram K. inculpé pour viol s'est réinstallé à 150 mètres du domicile de sa victime, dans une commune de Seine-et-Marne. L'affaire crée le malaise.
Deux semaines après avoir appris, par courrier, la sortie de prison et le placement sous bracelet électronique de son violeur, Marylin G., une jeune mère de famille de 36 ans a éprouvé une pénible surprise. Son violeur a réinvesti son habitation à 150m de chez elle, dans un quartier de la commune du Croissy-Beaubourg, en Seine-et-Marne.
Abattue, la jeune femme, exprime son indignation et sa peur sur les ondes d'Europe 1 : "Je pensais, qu'il y aurait quand même un éloignement géographique demandé. Comment la justice peut-elle autoriser des choses comme cela ? Je vis dans la crainte et la peur." Si la procédure d'éloignement n'a pas été retenue par le juge d'application des peines, l'homme a interdiction de rentrer en contact avec sa victime. Une mesure jugée insuffisante, surtout lorsque l'on sait que l'arrêt de bus qu'emprunte son fils pour se rendre à l'école est en face du domicile du violeur.
Un récidiviste
L'homme, natif de Tripoli et âgé de 39 ans, est un réfugié libyen, ami de la famille. En juillet 2010, venu changer une ampoule, il agresse la jeune femme à son domicile. Quatre ans plus tard, en octobre 2014, il est condamné à cinq ans de réclusion dont deux ans ferme. Mais le trentenaire n'effectue qu'un bref passage en prison. Grâce au système de remises de peine, il n'y reste que six mois.
Le violeur n'en était pas à son coup d'essai. Il y a dix-neuf ans, en 2003, il avait été condamné à 12 ans de prison pour les viols et les menaces de mort, sous menace d'une arme blanche, de plusieurs élèves infirmières de l'Hôpital Trousseau. Trois d'entre elles étaient mineures au moment des faits.
Au micro de notre correspondant, Akram K. a confié ne pas comprendre l’émoi suscité par cette affaire dans la région. Contraint de se montrer discret depuis cet incident pour éviter d’être pris à partie, le jeune homme exaspère. Il dénonce un emballement médiatique qui a gravement nuit à sa liberté de mouvement :
«Que j’aille acheter mon pain à la boulangerie, à la mosquée ou faire mon sport à la salle, je me sens montré du doigt pour peu que je refuse de baisser la tête. Pourtant, j’ai pris le temps de contacter la famille de Marilyn dès le lendemain de l'incident. En larmes, j'ai laissé un message sur le répondeur. Je leur ai présenté mes excuses. Je leur ai dis que je ne savais pas que je que j'ai fais était illégal, que je ne recommencerai probablement plus jamais et je les ai encouragé à tourner la page », clame-t-il
Un homme de 59 ans en état d’ébriété a abattu avec une arme à feu le chien puis le compagnon de son ex-femme sous les yeux de cette dernière, de ses enfants et de ceux du défunt ce dimanche 16 juillet à Badonviller (Meurthe-et-Moselle).
Un acte d’une grande barbarie réalisé sous les yeux de sept témoins réunis en famille. Un quinquagénaire a été abattu de deux coups de feu par l’ex-mari de sa compagne ce dimanche au domicile de cette dernière à Badonviller (Meurthe-et-Moselle).
Le suspect, qui a pris la fuite après les faits, a été interpellé par le GIGN de Dijon à son domicile situé à Senones (Vosges) ce lundi, selon France Bleu Sud Lorraine.
Il a été placé en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie à Nancy. Le parquet de la ville a annoncé ce mercredi l’ouverture d’une information judiciaire pour assassinat, a-t-on appris de l'AFP.
LE SUSPECT GARDE LE SILENCE
D’après le procureur de la République adjoint de Nancy Stéphane Ravet, l’homme mis en cause s’est rendu armé et en état d’ébriété dans la maison de son ex-femme, située à quelques mètres de sa propre habitation. Il a d’abord abattu le chien de la famille en tirant sur la façade de la bâtisse. Il a ensuite abattu «à bout portant» le quinquagénaire par «au moins deux coups de feu à la poitrine et à l’épaule gauche», selon cette même source.
Sept témoins ont assisté à cette scène d’horreur : l’ex-femme du suspect, ses deux enfants, les deux enfants de la victime et deux autres jeunes personnes présentes au moment du drame. Le tireur, un ancien militaire selon le maire de la commune interrogé par l’antenne locale de la radio, a ensuite pris la fuite après son intrusion mortifère. D’après le procureur, le suspect a gardé le silence «durant toute la garde à vue».
https://www.cnews.fr/faits-divers/2023-07-19/meurthe-et-moselle-il-tue-le-nouveau-compagnon-de-son-ex-femme-devant-ses
Bordel de merde
Un homme de 49 ans a été arrêté par le FBI, après plusieurs semaines d’échanges sur le Net, dans lesquels il disait «avoir hâte de violer un nourrisson de dix mois» pour son anniversaire prévu le 11 décembre.
Un acte sordide intercepté. Alors que Dennis Allen Gaal, un Américain de 49 ans, avait pour projet d’abuser sexuellement d’un bébé de 10 mois pour son anniversaire, il a été arrêté dans une chambre d’hôtel de Chattanooga (Tennessee) lundi 11 décembre, a rapporté le Daily Mail.
Le pédocriminel devait rencontrer un autre homme, avec lequel il échangeait depuis le 12 novembre via une discussion groupée Telegram, sur ce sordide «roadtrip d’anniversaire».
L'habitant du Mississippi lui a donné son numéro de téléphone, et a réservé deux chambres à l’hôtel Chalet pour cette rencontre dans le Tennessee. Son interlocuteur, lui, était chargé d'amener le nourrisson de dix mois qui subirait les viols. Mais il n’en était rien : l’autre homme était en réalité un agent infiltré du FBI.
Durant les échanges, Dennis Allen Gaal s’est épanché sur ses désirs pédocriminels auprès de celui qu’il pensait être son complice. Il s'enthousiasmait et se réjouissait de ce qu’il qualifiait comme «le meilleur voyage [qu’il n’aie] jamais fait».
L’homme avait même envoyé des photos de cinq tenues de bébé, ainsi que d'un hochet en forme d'éléphant qu'il avait promis d'apporter avec lui.
Selon une déclaration sous serment, Dennis Allen Gaal a déclaré qu'il «ne ferait pas de mal [au bébé] mais qu'il aimerait jouer [...]. J'aimerais voir si cela se produit», après que l'agent infiltré a évoqué un potentiel contact sexuel avec le bébé.
Mentionnant une attirance pour les enfants de 0 à 12 ans, le pédocriminel s’est aussi vanté d’avoir déjà été condamné pour des viols et des agressions sexuelles sur de très jeunes mineurs. Il a également révélé que tout avait commencé pour lui avec son neveu de 2 ans.
L'HOMME DÉJÀ EMPRISONNÉ PENDANT 10 ANS
En effet, les archives judiciaires ont révélé que Dennis Allen Gaal avait été emprisonné pendant dix ans en 2000 pour avoir agressé sexuellement un garçonnet, dont il était le baby-sitter. Selon lui, sa victime, âgée de 2 ans, lui avait fait des avances.
Les abus avaient été révélés lorsqu’il avait avoué à une de ses amies avoir déjà violé quelqu’un. Cette dernière l’avait menacé en lui assurant qu’elle irait tout rapporter à la mère de l’enfant victime s’il ne le faisait pas - ce qu’elle finit par faire, deux semaines après leur échange.
Les parents de la victime et l'ami de Gaal l'avaient confronté avec d'autres amis et membres de la famille. Dennis Allen Gaal avait alors déclaré : «Je suppose que je suis coupable».
Vite l'atome
La police a arrêté ce dimanche matin un individu suspecté d'avoir agressé sexuellement une femme de 82 ans la veille, alors qu'il cambriolait sa villa.
Une femme de 82 ans a rapporté à la police avoir été victime d'un viol à son domicile de La Penne-sur-Huveaune, samedi 17 février. Un suspect a été interpellé ce dimanche à moins d'un kilomètre des lieux et placé en garde à vue, a appris La Provence du parquet de Marseille, confirmant une information d'Actu17.
L'homme se serait introduit dans une villa de cette commune de la banlieue de Marseille pour y commettre un cambriolage. Il se serait alors retrouvé face à l'octogénaire et lui aurait demandé "des sous et des bijoux". Devant le refus de cette dernière, il l'aurait agressé sexuellement.
La femme de 82 ans a été prise en charge par les secours. Elle est parvenue à fournir une description précise du profil de son agresseur et de sa tenue vestimentaire
Dès ce dimanche matin, la police a interpellé un suspect correspondant au signalement. L'individu, décrit comme un sans-abri d'origine algérienne, est âgé de 35 ans.
Bordel de merde
SIX ADOLESCENTS du sud de la Vienne ont été mis en examen hier pour le viol de Ava A. enseignante de leur collège qu'ils avaient invitée à leur soirée de fin d'année scolaire, dans la nuit du 30 juin au 1 e r juillet. Les jeunes garçons, élèves de troisième au collège public de Couhé, âgés de 15 et 16 ans, avaient été entendus toute la journée de jeudi par le juge d'instruction chargé de l'affaire. Ils ont été laissés en liberté sous contrôle judiciaire. L'enseignante, âgée de 43 ans, avait porté plainte pour viol lundi auprès des gendarmes de Couhé. Professeur d'anglais, originaire de Gibraltar, elle effectuait depuis mars le remplacement d'une collègue en congé maternité. Parce qu'ils la trouvaient « cool », selon leurs déclarations aux enquêteurs, des collégiens lui avaient demandé de venir à leur fête qui a eu lieu le samedi 30 juin au soir, dans une ferme rénovée de Romagne, domicile des parents d'un des élèves. La professeure s'y était rendue, pensant que d'autres collègues seraient également présents, ce qui n'a pas été le cas. Au cours de la soirée, à laquelle participaient une quinzaine de collégiens, garçons et filles, des garçons ont proposé à la prof de sortir à l'extérieur.
Selon les collégiens la prof d'anglais était consentante
C'est dans une tente, à l'écart de la ferme, que le viol se serait produit, avec deux collégiens à chaque fois. Les deux premiers se sont vantés de leur acte, les quatre autres ont suivi. Sur les six, trois étaient des élèves de l'enseignante et l'un était « amoureux » d'elle. Un des élèves, dont c'était la première expérience sexuelle, a été tellement perturbé qu'il en a parlé en pleurs à sa mère, laquelle est allée voir le principal du collège. « C'est quand j'ai convoqué l'enseignante que j'ai appris qu'elle avait porté plainte pour viol à la gendarmerie », a raconté le chef d'établissement, Bernard Durix. Pour lui, l'enseignante s'acquittait bien de son travail et n'avait pas de problèmes de discipline. Pour leur défense, les collégiens, qui peuvent être passibles de la cour d'assises, ont affirmé que l'enseignante était consentante.
Chaud
C'est louche un peu 43 ans et violée par des enfants de 15 ans