Messages de PilulePassion
Le 28 septembre 2024 à 14:15:57 ItsAlllGoodMan a écrit :
Le 28 septembre 2024 à 14:07:44 :
le topic original :https://image.noelshack.com/fichiers/2024/39/6/1727525245-capture-d-cran-2024-09-28-140712.png Oui mais en quoi c'est drôle ?
jamais dit que c'était drôle, c'est écoeurant
Le 28 septembre 2024 à 14:04:41 Legros_Singe a écrit :
Le malaise d’imaginer l’op avec ses petits bras dans sa chambre puant le sperme entrain de taper sa merde une main dans le froquard
C'est un vrai topic fait en 2003 qu'on m'a envoyé, j'ai pris un autre pseudo pour que les mecs comme toi viennent feed
Je suis avec mon copain depuis deux ans. Tout se passe bien alors qu’on s’adapte à la vie après l'univ. On parle de mariage et de ce qu’on veut pour l’avenir. C’est super excitant de construire ces projets ensemble.
Le cercle social de mon copain est plutôt « alpha », très orienté sport et virilité. Ils jouaient tous ensemble à des sports à l'université et continuent à se retrouver pour des compétitions locales. Ils passent pas mal de temps ensemble. Même s’ils ne sont pas tous forcément amis proches, ils partagent tous un peu la même mentalité.
Il y a deux semaines, on était à une soirée avec ces gars, et un mec (je vais l’appeler Dylan) était particulièrement chiant avec tout le monde, surtout envers mon copain. Dylan est l’un des gars les plus insupportables du groupe. Alors que certains l’apprécient, mon copain et moi, on ne peut vraiment pas le supporter.
Dylan est allé trop loin et une bagarre a éclaté entre lui et mon copain. Pour être honnête, mon copain n’a pas eu le dessus. Il a eu du mal à se relever après que Dylan l’a humilié. Mon copain est super énervé depuis ce jour-là, et moi aussi.
Mais dernièrement, je me surprends à avoir des pensées bizarres à propos de Dylan. Ça a commencé quand j’ai vu une photo de lui apparaître sur mon fil Facebook. J’ai remarqué des détails sur lui que je n’avais jamais remarqués avant. Depuis, je me surprends au boulot à penser à ses bras ou à des trucs comme ça. Ça me rend vraiment mal à l’aise. J’ai l’impression de trahir mon copain. Je ne veux pas être attirée par Dylan ou fantasmer sur lui, mais je n’arrive pas à m’en empêcher.
Hier soir, j'étais avec mon copain et quelques-uns de ses amis pendant qu’ils jouaient au basket. Dylan est arrivé après un moment et a rejoint l’équipe « skins » (sans maillot). Dès qu'il a enlevé son t-shirt, j’ai été envahie par des pensées complètement déplacées. J’ai essayé de me concentrer sur mon téléphone pour me distraire.
Mon copain et moi sommes partis peu après que Dylan soit arrivé (mon copain ne pouvait plus supporter sa présence).
Le pire, c’est que je me suis retrouvée à me masturber en pensant à Dylan sans son t-shirt.
Je me sens tellement coupable ce matin. Ça fait des heures que je pleure. Je veux que ça s’arrête, mais je ne sais pas comment. J’essaie vraiment de repousser ces pensées quand elles viennent. Je pensais que j’avais la situation sous contrôle, mais hier soir, j’ai complètement craqué, et ça me dégoûte encore plus.
Comment est-ce que je peux arrêter ces pensées ? Comment puis-je gérer cette culpabilité ?
Le 28 septembre 2024 à 00:58:55 Cantos-Endymion a écrit :
Du coup il faut les importer massivement pour les soigner chez nous.
Oui logique
https://www.courrierinternational.com/une/une-du-jour-la-sante-mentale-un-enjeu-oublie-au-maroc
Le 22 septembre 2024 à 23:16:50 Helio_1 a écrit :
Je viens de voir l'épisodeUn grand n'importe quoi
pareil du grand délire
A l'époque où l'humour existait encore
Mais oui go vaccin, c'est plein de bonnes choses
Se faire injecter un vaccin ultra toxique alors que ton corps se détox justement de toute la merde qu'il inhalé et ingéré depuis que t'es né
Go cru animal, go gras animal cru
Le 22 septembre 2024 à 14:29:48 Autumnfag-2021 a écrit :
https://youtu.be/7gJBvlo3Ozk
Tu resteras toujours orphelin de ces amours adolescentes que tu n'as pas connues
C'est pas ça l'amour vrai
C'est pas déambuler comme un pnj sur le globe qui fait grandir
- Pourquoi t'es tout le temps renfermé sur toi à ton âge ? C'est ça ton problème tu vas jamais vers les autres
- Ben les relations sont souvent superficielles, donc je préfère la solitude en attendant de trouver de vrais amis naturellement
- Les gens sont superficiels? Toi tu te prends pour quelqu'un d'extraordinaire et profond ?
- Non je dis juste que j'arrive pas à tisser des liens forts avec les gens, car c'est de moins en moins courant de nos jours
- Ben si t'as pas d'amis c'est que tu veux pas aller vers les autres tout simplement, il faut essayer de t'ouvrir et d'arrêter de ruminer
- Je rumine pas, j'ai rencontré pleins de gens et ça n'a pas marché mais ça m'est égal
- C'est ça ton problème, t'essayes de forcer des relations que personne ne veut avec toi, mais ça marche pas comme ça et ça sert à rien de remette la faute sur les autres
- Je remets la faute sur personne, mais c'est juste que j'ai pas pu avoir d'amis
- Aaah mais arrête de te plaindre de pas avoir d'amis, toujours à te victimiser tu fais pitié
- Mais c'est toi qui..
- Tu devrais vraiment voyager, ça t'ouvrirait un peu l'esprit car t'as l'air très rigide dans ta manière de penser
- Quel rapport ? En quoi faire du tourisme va me faire avoir des amitiés durables dans mon pays ?
- Bon écoute je comprends mieux pourquoi personne t'aime, tu veux toujours avoir raison, c'est insupportable
- ...
Le 20 septembre 2024 à 09:41:28 DragonCelestin a écrit :
Est-ce qu'il y a maintenant des preuves tangibles contre le défunt Abbé Pierre ?
Non y aura jamais rien, jamais de procès car il est mort.
Une grosse connerie en somme
Il a peloté une ou deux gonz' y a 50 ans ça mérite bien de se faire traîner dans la boue comme le pire des violeurs en série 15 ans après sa mort pendant qu'une bonne partie des élites consomment des enfants
Pour, comme dit dans le texte, deux ou trois allégations venant de gonzesses random
Comme Par Hasard
Le 20 septembre 2024 à 09:32:35 ermitedesmarais a écrit :
Sauf que l'Eglise a juste avoué l'avoir couvert et que tous ses proches savaient que c'était un gros degueulasse, il est pas trop tard pour supprimer ton topic et te remettre en question, Dominique Pélicot va
Le 20 septembre 2024 à 09:32:52 SolideSchneck a écrit :
Le 20 septembre 2024 à 09:28:21 :
L’abbé Pierre était l’homme le plus respecté de France de la seconde moitié du 20ème siècle. Aujourd’hui, aucun homme ne peut sérieusement espérer atteindre le même statut durant sa vie.
Si l’abbé Pierre peut être effacé en quelques semaines parce que quelques traînées affirment, sans contradiction , s’être faite tripotées dans les années 1960, n’importe quel homme peut être effacé. Comme vous ne serez jamais l’abbé Pierre, vous pouvez être banni sur simple accusation d’une ou deux garces.
C’est le message.
Le nouveau paradigme vaginal est clair : avoir une chatte est gage de vérité.
Plus besoin d’enquête, de procès.
Avoir une chatte et criser en public suffit.
?
Le Pape a confirmé : le Vatican savait https://www.courrierinternational.com/article/abbe-pierre-le-vatican-savait-mais-la-loi-du-silence-a-prime_222252
C'est pas juste trois randoms qui ont odeur de sainteté.
Y en a tous les matins des idiots utiles comme ça ?
Le livre en question, dont l'Abbé Pierre évoquait une ÉCLATANTE érudition :
I Les mythes théologiques.
1. Le mythe de la « promesse » : terre promise ou terre conquise?
Dans l’exégèse chrétienne contemporaine.
Dans l’exégèse prophétique juive.
2. Le mythe du « peuple élu ».
3. Le mythe de Josué : la purification ethnique.
II Les mythes du XXe siècle.
1 Le mythe de l’antifascisme sioniste.
2 Le mythe de la justice de Nuremberg.
3 Le mythe des « six millions » (l’Holocauste).
4 Le mythe de « la terre sans peuple pour un peuple sans terre ».
III L’utilisation politique du mythe.
1 Le lobby israélo-sioniste aux États-Unis.
2 Le lobby israélo-sioniste en France.
3 Le mythe du miracle israélien : le financement extérieur.
Voici la lettre de l’Abbé Pierre adressé à Roger Garaudy le 15 avril 1996:
Très cher Roger,
Tu sais les limites de mes forces. Elles diminuent chaque jour bien que beaucoup soient persuadés qu’elles sont grandes parce que ma voix est restée sonore et parce que dès que j’ai la conviction qu’un fait ou une question créent injustice et fausseté, je reprends des énergies, mais qui ne sont que bien brèves.
Pardon de tant parler de moi, mais c’est pour expliquer à toi et à tous ceux auxquels tu estimeras utile de faire connaître ma lettre, comment il se fait que j’ai tardé en dépit des contacts téléphoniques, à rendre publiques mes certitudes en ce qui te concerne, en ta personne que je connais depuis 50 ans et en ce qui concerne tes actes, des plus intimes à ceux ayant les plus grandes conséquences publiques.
Ton livre le plus récent m’est parvenu alors que j’étais vraiment à bout de forces pour d’autres tâches pressantes. Je ne peux que trop peu lire, à 83 ans, de tout ce qui m’arrive, n’ayant guère que 2 heures le matin et 2 heures l’après-midi où je puisse vraiment travailler.
Sur cet écrasant drame millénaire qui ne cesse autour d’Israël, tu sais ma pensée mûrie depuis beaucoup d’années, et tu sais aussi que cette pensée s’étend bien au delà des seuls drames contemporains.
Nous avons eu déjà sur ce sujet de graves entretiens.
De ton nouveau livre il m’est impossible de parler avec tous les soins que réclament non seulement son sujet fondamental, mais aussi l’étonnante et éclatante érudition, scrupuleuse, sur laquelle chaque propos se fonde, comme j’ai pu le constater en le parcourant.
Autour de moi quelques personnes dont les exigences et la compétence sont grandes et qui l’ont entièrement lu me disaient l’importance de ce qu’elles en ont reçu.
Il faut tout faire, et je m’y emploie, pour que bientôt des historiens vrais, de la même passion du vrai qui est la tienne, s’attachent à en débattre avec toi.
Les insultes contre toi que j’ai pu connaître (jusque dans un quotidien que j’estime le plus pour son habituelle objectivité), qui t’ont accablé de toutes parts sont déshonorantes pour ceux qui, comme à la légère, t’en accablent.
Je veux en cette lettre m’efforcer de rendre publiques deux convictions : l’une, en peu de mots, concernant ta personne, et l’autre (sûrement encore, bien imparfaitement exprimée) porte sur ce que toute ma vie d’homme de foi et d’amour m’a conduit à concevoir de la succession de faits historiques sur lesquels je pense avec tristesse, que toute la foi, admirable (mais depuis tant de siècles repliée sur elle-même) de ce peuple, de mes frères, se limite, sans entendre qu’elle l’appelait à une mission d’une autre et noble grandeur.
Ce n’est pas sans quelque douloureux tremblement et grande humilité que j’évoquerai l’autre de mes convictions relative à la portion juive de l’univers humain.
Tout a commencé, pour moi, dans le choc horrible qui m’a saisi lorsqu’après des années d’études théologiques, reprenant pour mon compte un peu d’études bibliques, j’ai découvert le livre de Josué. Déjà un trouble très grave m’avait saisi en voyant, peu avant, Moïse apportant des « Tables de la loi » qui enfin disaient : « Tu ne tueras pas, voyant le Veau d’or, ordonner le massacre de 3.000 gens de son peuple. Mais avec Josué je découvrais (certes contés des siècles après l’événement), comment se réalisa une véritable « Shoah » sur toute vie existant sur la « Terre promise ».
A crié en moi : « Si je te promets ma voiture, et si toi, dans la nuit, tu viens tuer le gardien, forcer les portes et t’emparer de la voiture promise, que peut-il rester de la « Promesse » ? » La violence ne détruit-elle pas tout fondement de la Promesse ?
Mais cette Alliance porte-t-elle encore sur ce coin du monde seulement (que l’on peut et doit encore appeler, non « terre promise », mais « terre sainte », couverte de crimes mais aussi de saints prophètes ?)
Je ne puis plus concevoir promise par DIEU (même si on lui attribue l’ordre de massacrer et n’est-ce pas outrager DIEU ?), seulement ce coin de terre pour ou contre lequel tant meurent aujourd’hui encore.
Je n’ignore pas que le repli d’Israël sur soi, sans missionnaire, est en partie dû à l’étrange retournement de l’histoire causé par Constantin après l’Edit de Milan et des néfastes conséquences qui accompagnèrent ses bienfaits.
Je t’en prie, retiens de ces lignes presque illisibles que nous lirons ensemble au téléphone, la force et la fidélité de mon affectueuse estime et de mon respect pour l’énorme travail de ton nouveau livre. Le confondre avec ce qui fut appelé « révisionnisme » est une imposture et véritable calomnie d’inconscients.
Je t’embrasse et t’assure que toi et les tiens me restez présents dans l’offrande de chaque jour du peu d’effort que je peux encore tenter.
Ton frère,
Abbé Pierre