Le 15 juin 2023 à 12:57:07 :
Pendant que le petit français faisant un excès de vitesse peut manger une GAV
Le 15 juin 2023 à 12:55:31 :
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Bien s'passer
Le 15 juin 2023 à 12:50:39 :
Cest triste mais bon on ne peut rien faire pour empecher ça
Bah si
Une femme enceinte agressée : « Il aurait pu tuer mon bébé ! Pourquoi on l’a remis en liberté ? »
Jeudi 8 juin, vers 16 h 30, une femme enceinte de huit mois a été frappée par un homme qui voulait s’en prendre à son ventre, alors qu’elle se promenait sur les bords du Rhône à Guilherand-Granges en Ardèche. Elle a réussi à se protéger et s’en sort avec un bras cassé. L’homme a été remis en liberté après sa garde à vue.
« Je ne sais pas comment j’ai eu ce réflexe, d’où ça m’est venu. Je n’ai pensé qu’à protéger mon bébé. »
Une semaine après les faits, la jeune femme a la gorge serrée en évoquant l’agression. Jeudi 8 juin, vers 16 h 30, alors qu’elle promenait son chien sur la voie bleue, le long du Rhône, à Guilherand-Granges, cette Ardéchoise de 25 ans, enceinte de huit mois, a été violemment agressée par un homme.
« J’habite une commune voisine, mais je suis venue me promener ici justement car je trouvais ça plus prudent, il y a toujours du monde. Je suis passée à la hauteur de cet homme, qui m’a paru bizarre. Il m’a laissée passer, puis il s’est mis à me suivre et il est remonté à ma hauteur en me disant “Bonjour, hé ! Bonjour ! Oh, réponds moi !”»
La future maman se trouve à ce moment-là seule sur le chemin. « Je n’étais pas rassurée, je lui ai répondu que j’étais fatiguée et que j’étais enceinte de huit mois. Là, il a fait un pas en arrière et a regardé mon ventre d’une façon horrible. Puis, comme dans un film, il a sauté pour me lancer un coup de pied en plein ventre, comme un kick ! J’ai contré son tibia en me tournant et en le repoussant avec mon bras. »
Sous le choc, la jeune femme prend alors la fuite comme elle peut. « Mon chien s’est mis entre nous, moi j’étais un peu tétanisée. Je me suis dit que si je sortais mon téléphone pour appeler la police il allait m’achever ! Du coup, je suis partie vers un papy qui se promenait plus loin. »
Quand elle arrive à la hauteur du promeneur, elle tente d’appeler son compagnon qui habite non loin de là, mais elle est en pleine crise d’angoisse et c’est le promeneur qui explique la situation. « Après, la police est arrivée très vite et mon agresseur, qui était alcoolisé, a été interpellé et placé en garde à vue. »
Une plainte pour violence aggravée et tentative d’homicide
« On a appris qu’après 24 heures de garde à vue, il a été remis en liberté. Il ne sera jugé qu’en septembre. S’il vient à son procès ! Apparemment, c’est un Tunisien en situation irrégulière. »
La jeune femme ne comprend pas cette décision. « Pourquoi on l’a remis en liberté ? Pourquoi on ne l’oblige pas à partir ? Il fait du mal aux gens ! Il aurait pu tuer mon bébé ! Je pense sans arrêt à ça. Je m’estime heureuse, car je suis vivante et mon bébé est vivant. Mais je n’arrête pas de me dire qu’en quelques secondes, j’aurais pu perdre ma fille. On a tout préparé pour l’accueillir, sa chambre est prête. »
La future maman a été examinée en urgence à la clinique Pasteur après l’agression et le monitoring a révélé des contractions nombreuses et rapprochées. « Heureusement, mon bébé n’a rien. »
Ce n’est pas le cas de la jeune femme : « J’ai eu le poignet cassé. J’ai un plâtre que je dois garder six semaines. Alors que je dois accoucher dans cinq semaines. » Une vraie galère au quotidien : « Je ne peux rien faire, même pas mettre mes bas de contention ! »
Sans parler des séquelles psychologiques. « Je ne dors plus, je fais des cauchemars. J’ai peur de sortir de chez moi. De toute façon, avec le plâtre, je ne peux plus conduire. Je ne sais pas comment je vais faire pour m’occuper de mon bébé quand elle naîtra. »
La jeune femme a déposé plainte pour violence aggravée et tentative d’homicide sur son bébé. Le suspect, âgé de 35 ans, est bien un ressortissant tunisien, sous le coup d’une obligation de quitter le territoire.
« Au moment des faits, cet homme n’avait pas de casier judiciaire et la décision d’obligation de quitter le territoire français a été prise par la préfecture après les faits. C’est pour cela qu’il n’a pas été décidé de le juger en comparution immédiate », précise le parquet de l’Ardèche.
Le parquet d'ajouter : « Nous allons mettre en place en urgence un suivi psychologique de la victime grâce à la convention avec l’Amav [Association d’aide aux victimes, NDLR]. »
Et non les shills, toujours pas !
C'est bien évidemment fake ! Vous le faites exprès de tomber dans le panneau à chaque fois ?
0 dose, toujours 100% humain, et mes couilles encore 100% fertiles.
0 test, mes cloisons nasales encore inviolées !
0 QR-code, je ne me fais pas scanner comme du vulgaire bétail pour pouvoir aller au resto ou au ciné !
Paix sur vous les shills, en dépit des mesures sanitaires.