Le CO2 n'est pas un polluant, mais un fertilisant.
C’est tout profit pour la végétation et les plantes nutritives - qui jouissent davantage de glucose - et certaines formes de plancton par le biais de la photosynthèse, et indirectement pour l’élevage et les poissons. Les rendements des récoltes n’ont jamais été aussi élevés qu’aujourd’hui.
La production mondiale de nourriture n'a jamais été aussi aisé. Depuis 1960, la production céréalière a littéralement quadruplé ; un cinquième de cette hausse est directement attribuable à la hausse du niveau de CO2 atmosphérique survenue lors du siècle dernier.
Lorsque la concentration de CO2 croît de 300 ppm, le rendement du riz s'accroît de 34,3%, celui du blé de 33%, celui de l'orge de 41,5% ; s'agissant des légumes, le pourcentage moyen d'accroissement des rendements atteint 45,7% et s'élève à 32,8% pour les fruits. Quant à celui des arbres, il s'élève jusqu'à 70,8%.
Ces résultats sont obtenus sur la base de 2 800 expériences différentes conduites sous contrôle.
Tout serriste sait parfaitement que pour améliorer sa production, il doit augmenter significativement le taux de CO2 dans ses serres. Plus il y a de CO2 contenu dans l’air, plus la végétation est luxuriante et florissante.
En brûlant des combustibles fossiles, on ne fait que remettre en circuit le CO2 qui a été capturé il y a bien longtemps par les organismes vivants grâce à la photosynthèse.
Sans le CO2 est une molécule miracle sans laquelle la vie est impossible.
La capture du CO2 atmosphérique en vue de son stockage est un véritable non-sens.
