Messages de Zergod
Et vous redonne le sourire également. 
Le 30 avril 2021 à 18:22:56 :
surtout un grand mythomanehttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/28/2/1499790397-alain-soral-jacques-attali-photo.png
Soral allait faire une conférence, il a croisé Attali à la gare, il lui a proposé de faire une photo ironique et celui ci a accepté.
Il l'a expliqué dans une de ses vidéos après avoir lui même publié cette photo "quenelle".
La jeunesse d'Alain Soral (1976-1993), de ses 18 ans à ses 35 ans. Si vous avez la date et les minutes exactes de l'émission "Bas les masques" de 1992 berbere2souche est preneur, il veut également savoir si c'était avant le changement de nom d'Antenne 2 ou après (le changement de nom de la chaîne en "France 2" s'est fait le 7 septembre 1992).
1976
Le 24 décembre 1976, le jeune Alain Bonnet, 18 ans, interrompt brutalement ses études secondaires en Terminale dans un lycée privée de la banlieue de Genève. Après une dispute avec son père, il quitte le domicile parental de la cité des Merlettes à Annemasse et monte à Paris en pleine vague punk.
1977
En 1977, à Paris, il se passionne pour le mouvement punk autour du trou des Halles et vit de petits boulots (chantiers, convoyages, brocanteur, vendeur dans les marchés aux puces, physionomiste dans les casinos,...) tout en louant pour 450 Francs par mois une chambre de bonne rue Fromentin à Paris. Il s’intéresse également à la New Wave parisienne et à son esthétique et intègre le collectif "En Avant comme Avant" composé de Rodolphe Bouquerel, Pascal Chardin, Eric Deroo, Blaise Sourdille, Michel Trier et Titus Duchene dit "le dandy" dont il fut proche.
1978
En 1978, afin d'être couvert par la Sécurité Sociale et n'étant pas bachelier, il tente et réussit le concours d'entrée à l'École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris. Sa carte d’étudiant est dédicacée par Andy Warhol (qui y dessine un pénis). Le jeune Alain Bonnet s’intéresse également à l’histoire de l’art et visite les vernissages parisiens chaque jeudi pour draguer les filles de la bourgeoisie. Il monte également une galerie d’art contemporain (galerie Forain) avec deux amis, dont l’un est un fils de bonne famille qui a hérité d’un espace à Paris rue de Varennes. Il reçoit la visite d’Andrée Putman à son vernissage. C'est à cette époque qu'il fait la rencontre de Louis Aragon (qui habitait non loin de la galerie) et de Romain Gary. C'est dans la galerie Forain qu'il expose une performance sous le pseudonyme ABS où, le corps peint en rouge et vert, il reste longtemps immobile sur une chaise, puis joue avec le miroir.
1979
Le 7 février 1979, Alain Bonnet fait une discrète apparition sur TF1 en tant qu'acteur de complément dans le téléfilm Pierrot mon ami de François Letterier (1h30min). Âgé de 20 ans, il était fiancé à la fille d’un psychanalyste lacanien, rencontrée lors d’un auto-stop à Ramatuelle pour aller à Saint-Tropez. Cette année là, il découvre également la poésie et les essais dans la collection 10/18 et les bacs de soldes des libraires du quartier St Michel. Il se passionne pour la poésie, en particulier celle de Lautréamont, et la philosophie mais souffre d'une grande solitude affective. En parallèle à ces lectures, il s'inscrit en salle de boxe à Paris, rue des Martyres puis à la salle Lafond, rue d'Enghein à Paris. Par ailleurs il est invité le 14 juillet chez Louis Aragon.
1980
En 1980, Alain Bonnet se lie étroitement avec Éric Walter (devenu critique d’art sous le nom de Hector Obalk), qui le pousse à lire et à écrire et qui le recueille chez sa famille d'universitaires (Éric Walter est le fils de la linguiste Henriette Walter). En parallèle, il est admis à titre d'élève stagiaire à l'École des Hautes Études en Sciences Sociales dans la classe du sociologue Cornelius Castoriadis. En parallèle à ses études, il continue son activité artistique et réalise en juin un happening situationniste à l'enterrement de Jean-Paul Sartre où il s’affiche avec une pancarte "Place aux jeunes". C'est lors d'un vernissage dans sa galerie qu'il fait la rencontre avec la duchesse de Maresca avec laquelle il part à Rome en Citroën DS chapron cabriolet. À Rome, il habite quelques mois à la Via Margutta où il rencontre Federico Felini qui tourne alors La Cité des Femmes (1980). Enfin, il fait une apparition au côté de la mannequin Farida Khelfa dans le reportage Aujourd'hui en France (n°142, Gaumont, VHS) où il présente en tant que mannequin les modèles de Jean-Paul Gaultier.
1981-1982
Dans les années 1981 et 1982, fréquentant les hauts lieux de la nuit parisienne comme Le Palace et Les Bains Douches, Alain Bonnet fait la connaissance de nombreuses personnalités comme Thierry Ardisson (avec lequel il travaillera), Jean-Paul Aron, Roland Barthes, André Bercoff (qui deviendra son premier éditeur), Jean-François Bizot, Salvador Dalí, John Paul Getty III, ou encore Marc-Edouard Nabe. Par ailleurs, il est assidu à la Revue parlée au Centre Pompidou, où il fait la rencontre de Jean-Edern Hallier et Philippe Sollers. Il rencontre également le musicien Jacno, la chanteuse Lio, le militant Daniel Cohn-Bendit et le philosophe Jean Baudrillard avec lequel il se lie d'amitié et qui le citera dans Cool Memories (1989). En outre, il est invité à une fête chez la famille d'Alain Krivine, fondateur de la Ligue Communiste Révolutionnaire.
1983
En 1983, sa sœur Agnès Soral est auréolée du succès du film Tchao Pantin . Alain Bonnet qui utilisait le pseudonyme ABS (Alain Bonnet de Soral) se fait désormais appeller Alain Soral. Il fait également ses premiers pas dans la publicité et réalise le planning stratégie de la publicité GINI Lemon Tonic, filmée par Serge Gainsbourg pour l’agence de publicité Stan Levy Art Direction.
Lien de la publicité :
https://www.dailymotion.com/video/x22an40
1984
En 1984, il publie avec Hector Obalk (Éric Walter) et Alexandre Pasch, un essai de sociologie urbaine intitulé Les Mouvements de Mode expliqués aux parents. Le livre devient un best-seller. Alain Soral fait la promotion du livre à la télévision, sur FR3 le 29 avril 1984 dans un reportage du journal Soir 3 présenté par Geneviève Guicheney. Il vit néanmoins très mal que seul un des coauteurs, Hector Obalk, soit invité à l’émission Apostrophes sur Antenne 2 le 1er juin 1984 (1h18min) et finit par se brouiller avec lui. Les ventes du livre lui ont permit de se constituer un petit capital et une carte de visite d'écrivain, spécialiste de la mode. Alain Soral enseigne alors durant trois ans (de 1984 à 1987) la sociologie du vêtement à l’école Esmod (Paris) avec un salaire horaire de 1500 Francs de l’heure. C'est aussi durant cette période qu'il commence à se consacrer à la drague de façon intensive. Il fait également une courte apparition dans la publicité pour les bonbons caramel et chocolat "La Pie qui chante Michoko" (21 sec).
Publicité Michoko : https://www.ina.fr/video/PUB3784049063
1985
Alain Soral, avec Hector Obalk (Éric Walter) et le peintre Jean-François Dalle (ex-mari de Béatrice Dalle entre 1985 et 1988) fonde le mouvement "Extrême-Centre", un groupe de réflexion artistique et politique.
Il fait une apparition télévisée le 20 octobre 1985 sur FR3 en tant que conseiller en look dans le documentaire Look sur (53min) puis le 2 novembre 1985 sur FR3 Pas-de-Calais où il est invité dans l'émission Avenue du rock (45min) pour parler du mouvement psychédélique.
Ecrit des articles pour Elle, L'Echo des savanes , et le Le Jardin des modes et occupe quelques temps un poste de conseil stratégie pour Promodès .
1986
En 1986, Les Mouvements de Mode est traduit en japonais. Grâce à ses droits d'auteur, Alain Soral s'installe rue Galande à Paris dans l'ancienne fabrique d'instruments chirurgicaux Dufaut. Il échange des lettres avec son père incarcéré en Suisse à la prison fédérale de Chêne-Bourg. Alain Soral connait alors la dépression et plutôt que d'accepter un poste de planeur-stratégie dans l'agence de publicité CLM BBDO, il dilapide son pécule en vêtements sur mesure à Londres et décide de suivre le dragueur Laurent le Kabyle afin de se perfectionner dans la drague de rue.
1987
En 1987, Alain Soral rédige une Sociologie du Maquereau , première ébauche de son futur ouvrage Sociologie du dragueur (1996), et publie La Création de Mode, essai de sociologie , qui reprend ses cours de sociologie du vêtement donnés à l'Esmod depuis 1984. Il part quelques temps pour le Brésil afin de donner des conférences sur la création de mode. Il est également l'invité de Thierry Ardisson, le 9 octobre 1987 sur La Cinquième, dans l'émission de variété Bains de minuit (1h30min) pour présenter son ouvrage sur la création de mode, au côté du designer sonore Claude Challe et de la femme de lettre russe Tatiana Tolstoï. En outre, il réalise une publicité pour le constructeur automobile Citroën (33sec) joué par Pierre Fatus.
Publicité réalisée par Alain Soral : https://www.dailymotion.com/video/x2t704c
Alain Soral dans l'émission Bain de Minuit : https://www.dailymotion.com/video/xf8j7j
En outre, Il exerce quelques temps le métier du reporter ou il part au Zimbabwe pour faire des reportages animalier, ainsi qu'au Brésil où il réalise quelques conférences. Alain Soral commence également à écrire le scenario de Confession d'un dragueur qui sortira 13 ans plus tard.
1988-1989
Alain Soral apparaît à nouveau à la télévision le 13 mars, le 28 octobre, le 11 novembre et le 2 décembre 1989 sur Antenne 2 en tant que chroniqueur au côté de Yolaine de La Bigne et deux fois (le 21 février et le 23 mars) dans un rôle d'acteur (le professeur "Science infuse" ) au côté du mannequin Nathalie Duffau pour l'émission "Drevet vend la mèche" animée par Patrice Drevet.
1990
En délicatesse avec le fisc et d’humeur suicidaire, il décide d’aller vivre à la campagne et s'installe dans la demeure d'un ami, nommée La Bosselette, près de Dieppe, puis dans un ermitage en Côte d’Or, où il devient gardien de château et rédige les premières lignes d'un roman autobiographique sur le thème de la drague, La Vie d’un vaurien qu’il situe "entre Kant et San Antonio". Il porte également un intérêt croissant pour la technique cinématographique et réalise deux films publicitaires pour Mélodie Moovies. Il est lauréat de l'aide sélective au court métrage et écrit puis réalise Chouabadaballet, une dispute amoureuse entre deux essuie-glaces (label, diffusion Canal +). En outre, il rejoint le Parti Communiste français (cellule Paul Langevin) où il fait la rencontre d'Olivier Cachin, journaliste spécialisé dans le rap, qui participait à certaines permanences.
1991
En 1991, il publie son premier roman autobiographique Le Jour et la Nuit ou la Vie d'un vaurien aux éditions Calmann-Lévy. Il publie également des articles dans le bimestriel Maintenant . Le rédacteur en chef du journal, fondé par Michel Sitbon, était alors Frédéric Taddéi. Alain Soral y fait campagne pour le "non" au traité de Maastricht. Durant des vacances à Ibiza il fait la rencontre de son épouse. Son père meurt le jour de ses 33 ans, le 2 octobre 1991.
1992
Cette année là, son livre La Création de Mode est traduit en anglais et en portugais. Alain Soral apparaît de nouveau à la télévision, sur France 2 (date inconnue) où il est l'invité de l'animatrice Mireille Dumas dans l’émission Bas les masques (env.1h) pour raconter son expérience de dragueur. Il est également licencié amateur au club de boxe de Jean Bretonnel (un combat, une défaite).
1993
En 1993, Alain Soral écrit et réalise "Les Rameurs, misère affective et culture physique à Carrières-sur-Seine" (label, prime et prix) et scénarise "Les Vauriens" puis "Z'y Va!" pour AGAT films. Le long métrage monte en plénière au Centre national du cinéma et de l'image animée mais selon lui "c'est Bernard-Henri Lévy qui aura l'argent". Il dirige également le Collectif communiste des travailleurs des médias (cellule Ramón-Mercader) et écrit pour le magazine Interview , lancé par Thierry Ardisson. Le magazine sera rebaptisé plus tard Entrevue, Soral y rédigera quelques billets dans la rubrique "Rumeur".
En plus de ses piges pour Interview, Alain Soral est recruté par Isabelle Chazot, rédactrice en chef du magazine mensuel féminin 20 ans . Dans ce mensuel, Alain Soral, sous le pseudonyme "Yvon Marie-Saint" rédigera des articles jusqu'à 2001, comme "Le marxisme expliqué aux jeunes", "Les mémoires d'un branché" ou encore "La Grâce". La revue est d'inspiration clouscardienne. Alain Soral travaille au côté de Simon Liberati, Diastème ou encore Michel Houellebecq.
Enfin cette année là, Alain Soral est aussi journaliste à L’Idiot internationale (fondé en 1969 par Jean-Edern Hallier) où il écrira sous le pseudonyme "Debby De Boisson". Dans ce journal, il signera la tribune publiée par Jean-Paul Cruse, ("membre comme lui du collectif des travailleurs des médias" ) intitulée "Vers un Front national" lançant ouvertement l’idée d’un rapprochement du PCF avec le Front national de Jean-Marie Le Pen.
Le culot 
Durant le moyen âge, ils ont été incapable de de christianiser les teutons, ils ont dû faire appel aux croisés pour faire ce qui était de leur ressort pour finalement les chasser du royaume
Ensuite durant les guerre napoléonienne, la noblesse polonaise a sucé vigoureusement Napoléon pour que celui-ci leur accorde l’indépendance (heureusement sans succès)
En effet, il est bon de rappeler que la Pologne s'est faite rayé 30 fois de la carte, et que à chaque fois le tout en crachant allègrement sur leurs sauveurs : crache sur les occidentaux, puis sur la Russie, puis à nouveaux sur les occidentaux comme on peut le voir aujourd'hui avec l'union européenne qui les a sortit de la misère, mais visiblement ils auraient plutôt préférer continuer à prier Staline ...
Je vais expliquer ce qu'est authentiquement la décadence sexuelle.
C'est le fait d'être faux, artificiel, inauthentique, dans ses relations sexuelles.
Par exemple, un homme qui a besoin d'être bourré pour avoir des relations sexuelles est décadent. Parce que :
- Avoir besoin d'alcool pour se décontracter est preuve de timidité.
- Physiologiquement, l'alcool n'est un stimulant sexuel que pour les femmes. Ne pas confondre désinhibition et excitation.
- L'acte sexuel étant agréable, anesthésier ses sens et sa conscience est un acte de castration temporaire.
L'homme dont le comportement sexuel est le suivant, quelqu'un qui boit, et drague plusieurs femmes, en embrasse éventuellement une ou deux, mais repart seul chez lui, est décadent. C'est une allumeuse, son comportement sexuel est proche de celui d'une femme.
Le puceau tardif est décadent, car il ne parvient pas à satisfaire ses pulsions
L'homme ou la femme qui a une sexualité "périphérique", sans érotisme, de nature uro-gynécologique et très chirurgicale, a une sexualité d'enfant qui découvre son corps, et est donc peu viril ou féminin. C'est un être décadent.
De la même manière, l'homme qui a besoin de porno hardcore manque d'excitabilité, et donc de virilité. C'est décadent.
La femme qui se la joue libérée à fond gouino-lesbienne polyamoureuse ne fait que se la jouer, elle ne se fait pas plaisir et n'est qu'en représentation. Elle est fausse avec les autres et avec elle-même. Elle est donc faible et influençable : décadente
La femme qui a une sexualité exhubérante devient peu désirable (ce qu'on appelle en socio "effet préservatif usagé"). Elle nuit donc à sa propre capacité reproductive et finit par repousser les hommes de qualité supérieure, pour ne finir qu'avec les immondes dalleux.
Voilà, vous savez tout maintenant.