Le 08 juillet 2023 à 11:57:27 joykimm a écrit :
Efface la partition sur laquelle y a windows
Le 08 juillet 2023 à 11:57:39 AttackerFois a écrit :
Le 08 juillet 2023 à 11:56:13 :
Le 08 juillet 2023 à 11:54:12 AttackerFois a écrit :
Formate le disque dur/supprime les partitions, et installe W10Bah non, j'ai Linux dessus et je veux le garder
Formate la partition où W11 est installé et installe W10 dessus. Ca changera rien, Grub détectera ta partition W10
Le 08 juillet 2023 à 11:58:11 ReacForum a écrit :
Le 08 juillet 2023 à 11:56:13 ReacForum a écrit :
Le 08 juillet 2023 à 11:54:12 AttackerFois a écrit :
Formate le disque dur/supprime les partitions, et installe W10Bah non, j'ai Linux dessus et je veux le garder
Tu n'as qu'à formater la partition c: déjà présente avec l'outil d'installation puis tu la sélectionnes pour installer W10 dessus
Merci à vous ! C'est ce que je vais faire
Le 08 juillet 2023 à 11:56:13 ReacForum a écrit :
Le 08 juillet 2023 à 11:54:12 AttackerFois a écrit :
Formate le disque dur/supprime les partitions, et installe W10Bah non, j'ai Linux dessus et je veux le garder
Tu n'as qu'à formater la partition c: déjà présente avec l'outil d'installation puis tu la sélectionnes pour installer W10 dessus
Le 08 juillet 2023 à 11:54:12 AttackerFois a écrit :
Formate le disque dur/supprime les partitions, et installe W10
Bah non, j'ai Linux dessus et je veux le garder
En bref, les femmes ont tendance à être plus victimes de violences intimes/domestiques que les hommes, mais il faut prendre en compte le fait qu'elles signalent généralement plus ce genre d'actes que les hommes, qui eux sont plus réticents à les avouer (Shaffer CS, Jones A, Vijoen J, Douglas KS, Saewyc E. 2018. Ten-Year Trends in Physical Dating Violence Victimization Among Adolescent Boys and Girls in British Columbia, Canada). Ceci dit, les femmes ont également tendance à davantage commettre de tels actes que les hommes, en particulier dans les relations connaissant des violences non-réciproques (Whitaker DJ, Haileyesus T, Swahn M, & Saltzman LS. (2007). Differences in frequency of violence and reported injury between relationships with reciprocal and nonreciprocal intimate partner violence.) ; ce phénomène en apparence paradoxal s'explique par diverses raisons psychologiques, en particulier par la présence supérieure chez les femmes des traits de caractère « néoténie » et « neuroticisme » (Kajonius, 2018) . Dans tous les cas, une part significative d'hommes (un quart aux États-Unis https://www.cdc.gov/violenceprevention/pdf/2015data-brief508.pdf ) ont déjà été victimes de violences sex*eulles, mais ils sont médiatiquement beaucoup moins représentés que les femmes ( https://www.yahoo.com/lifestyle/the-number-of-male-domestic-1284479771263030.html ).
Je crois que le sujet peut être clos.
Diverses explications ont été fournies pour expliquer ce fait surprenant que les femmes perpétuent et initient la violence plus souvent que les hommes (même si elles risquent des blessures beaucoup plus importantes en raison de leur faiblesse). Par exemple, il a été avancé que les hommes font face à des conséquences de leurs actes plus importantes et sont considérés comme plus responsables, et qu'ils sont donc plus susceptibles de s'abstenir de recourir à la violence. En outre, les femmes ont tendance à leur développement émotionnel plus tôt que les hommes, qu'elles sont plus néoténiques (i.e. trait de conservation de caractéristiques juvéniles chez les adultes d'une espèce https://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9ot%C3%A9nie ) et donc plus susceptibles de subir des crises de colère de type « enfantin » (faute de meilleur terme).
Une autre explication possible serait que les femmes obtiennent des résultats plus élevés que les hommes en matière de neuroticisme.
Pour rappel :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Neuroticisme
Le neuroticisme (ou névrosisme, névrotisme, neurotisme) est un trait de personnalité fondamental dans l'étude de la psychologie. Mis en évidence empiriquement dans le modèle des "Big Five" puis dans le modèle HEXACO (émotivité), il caractérise une tendance persistante à l'expérience des émotions négatives. Les individus possédant un haut degré de neuroticisme peuvent faire l'expérience d'émotions telles que l'anxiété, la colère, la culpabilité et la dépression.
L'étude qui montre ceci (en ce qui concerne le fait que les femmes sont plus sujettes au neuroticisme que les hommes) :
https://gwern.net/doc/psychology/personality/2018-kajonius.pdf
Voyez les graphiques de l'étude.
Enfin, il est également possible que certaines femmes peuvent également utiliser la violence pour tester la capacité de domination de leur partenaire. Eibl-Eibesfeldt (1990) a proposé que le schéma domination masculine/abandon féminin soit commun à de nombreuses espèces, remontant à notre ancêtre commun, le lézard, et qu'il puisse encore être présent chez l'homme en tant que vestige. Les femelles qui testaient la force de leurs partenaires masculins avaient plus de chances de produire une progéniture forte, capable de passer de tels tests et de l'emporter dans la compétition physique avec d'autres mâles. La capacité de l'homme à dominer la femelle témoigne également de son statut social et de sa capacité à s'assurer des ressources.
"Reports are also showing a decline of the number of women and an increase in the number of men reporting" abuse, says counselor and psychologist Karla Ivankovich, PhD, an adjunct professor of psychology at the University of Illinois, Springfield.
(source: l'article Yahoo évoqué précédemment.)
Toujours selon Ivankovich, ces chiffres et leurs implications ne suscitent pas beaucoup d'intérêt, car nous ne savons pas comment gérer la violence des partenaires féminins à l'égard des hommes (Birch 2015).
Ceci dit, ce sont les femmes qui semblent être le plus victimes de violences domestiques graves (i.e. celles qui ont nécessité une hospitalisation). On raisonne ici en terme de pourcentage de femmes parmi de telles hospitalisations (92.6 %). Ce chiffre est significatif mais pas tout-à-fait concluant puisqu'il se pourrait également que les hommes victimes de violences graves se résignent moins à aller aux urgences (pour les raisons précédemment évoquées).
https://journals.sagepub.com/doi/abs/10.1177/0003134820964191
Cette étude est sans appel :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1854883/
Results. Almost 24% of all relationships had some violence, and half (49.7%) of those were reciprocally violent. In nonreciprocally violent relationships, women were the perpetrators in more than 70% of the cases. Reciprocity was associated with more frequent violence among women (adjusted odds ratio [AOR]=2.3; 95% confidence interval [CI]=1.9, 2.8), but not men (AOR=1.26; 95% CI=0.9, 1.7). Regarding injury, men were more likely to inflict injury than were women (AOR=1.3; 95% CI=1.1, 1.5), and reciprocal intimate partner violence was associated with greater injury than was nonreciprocal intimate partner violence regardless of the gender of the perpetrator (AOR=4.4; 95% CI=3.6, 5.5).
Dans les relations non-réciproquement violentes, les femmes étaient les initiatrices de la violence dans 70 % des cas.
On retrouve les mêmes proportions un peu partout, par ex. :
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/9103736/
Physical violence perpetration was reported by 37.2% of women and 21.8% of men.
Ce qui est important est surtout cette phrase :
The findings converge with community studies showing that more women than men are physically violent toward a partner […].
Traduction :
Les résultats convergent avec des études communautaires montrant que plus de femmes que d'hommes sont physiquement violentes envers un partenaire […].
Les femmes sont plus souvent victimes de violences domestiques que les hommes, mais il semble que les femmes ont plus tendance à initier ces violences que les hommes.
Beaucoup d'hommes subissent des violences (i.e. male domestic abuse dans l'article) de la part de leur partenaire féminin. Seulement, on n'en entend jamais parler parce que cela semble au mieux un événement rare, au pire une proportion invraisemblable aux yeux de la société.
https://www.yahoo.com/lifestyle/the-number-of-male-domestic-1284479771263030.html
According to the CDC’s statistics - estimates based on more than 18,000 telephone-survey responses in the United States - roughly 5,365,000 men had been victims of intimate partner physical violence in the previous 12 months, compared with 4,741,000 women. By the study’s definition, physical violence includes slapping, pushing, and shoving.
More severe threats like being beaten, burned, choked, kicked, slammed with a heavy object, or hit with a fist were also tracked. Roughly 40 percent of the victims of severe physical violence were men. The CDC repeated the survey in 2011, the results of which were published in 2014, and found almost identical numbers - with the percentage of male severe physical violence victims slightly rising.
https://www.cdc.gov/violenceprevention/pdf/2015data-brief508.pdf
En 2015 près d'un quart des hommes aux États-Unis ont reconnu avoir déjà subi une violence sex*uelle, ce qui est une part non-négligeable. Pourtant, force est de constater que l'on en parle beaucoup moins que les femmes.
Le 08 juillet 2023 à 10:17:41 :
Le 08 juillet 2023 à 10:15:21 :
Ça arrive aussi à des hommes que ce soit de la part de femmes ou d'autres hommes... C'est juste que c'est banaliséBanalisé et pas pris au sérieux.
Imagine aller au commissariat déclaré que ta femme t'as fait des attouchements sans ton accord...
Je pense qu'ils rigolent les premiers
C'est une vraie honte sociale, hélas, pour un homme d'avouer ça. Ca doit bien fausser les chiffres d'ailleurs
C'est vrai.
Results could also reflect differences between boys and girls in their willingness to report PDV victimization. Some studies have indicated that men are more likely than women to under report PDV victimization and minimize the severity of violence within their relationships.
https://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/ss6308a1.htm
Les hommes ont tendance à sous-estimer les violences physiques qu'ils subissent dans les relations contrairement aux femmes dont la tendance est plutôt l'inverse. Cela a de quoi renforcer l'écart entre les deux sexes concernant le signalement des violences physiques dans les relations.
C'est faux. Il y a, en France du moins, à peu près autant d'hommes que de femmes victimes d'agressions sexuelles.
Aux US :
https://www.cdc.gov/mmwr/preview/mmwrhtml/ss6308a1.htm
In the United States, an estimated 19.3% of women and 1.7% of men have been raped during their lifetimes; an estimated 1.6% of women reported that they were raped in the 12 months preceding the survey.
Ceci dit, les hommes sont plus sujets à être victimes de violences physiques dans les relations que les femmes.
Controlling for age, boys were 58% more likely than girls to have experienced PDV [physical dating violence] victimization in 2003 likely in 2008 and 45% more likely in 2013.
https://journals.sagepub.com/doi/10.1177/0886260518788367
Le 07 février 2023 à 18:01:46 :
J'ai glissé chef
Ooups